Le fonds d’investissement Marguerite, basé à Paris et Luxembourg, a annoncé le 28 janvier à Riga une prise de participation de 29% dans le monopole de distribution de gaz en Lettonie Latvijas Gaze. Le paquet d’actions a été acquis auprès d’Uniper Ruhrgas International GmbH, qui garde une participation de 18% dans la société lettonne. Le montant de la transaction n’a pas été divulgué. A la suite de cette vente, le groupe public russe Gazprom devient premier actionnaire de Latvijas Gaze avec 34%. S’y ajoute, avec 16%, la filiale locale du groupe russe de transport de gaz Itera.Pour mémoire, le Fonds Marguerite, appelé aussi Fonds européen 2020 pour l'énergie, le changement climatique et les infrastructures, est appuyé par six institutions financières de taille - Caisse des Dépôts et Consignations, Cassa Depositi e Prestiti, European Investment Bank, Instituto de Crédito Oficial, KfW et PKO Bank Polski - et la Commission européenne. Il participe à de nouveaux projets d’infrastructures (greenfield) dans les transports, l'énergie et les énergies renouvelables.
En novembre, BlackRock a annoncé qu’il allait réduire de plus de 50 % les frais annuels facturés aux investisseurs d’un ETF qui réplique la performance du marché actions américaines. Avant la fin de la journée, les dirigeants de son concurrent Charles Schwab s’étaient alignés sur la baisse, relate le Wall Street Journal. En décembre, Vanguard Group a annoncé des réductions de frais allant jusqu’à 25 % sur des dizaines de fonds. Dans ce contexte de concurrence exacerbée, le coût de l’investissement approche zéro pour des portefeuilles basiques d’actions et d’obligations. La baisse a commencé il y a des années, mais elle s’accélère. Plus de 100 mutual funds et ETF coûtent désormais 10 dollars ou moins pour 10.000 dollars investis, contre 40 dollars en 2010, selon Morningstar. Samuel Lee, fondateur de Severian Asset Management, nuance cette course aux frais zéro. Pour lui, les grosses sociétés de gestion tentent de promouvoir quelques ETF très bons marchés qui établissent « un halo de réputation de prix cassés ». Dans le même temps, les frais des autres fonds restent au même niveau ou sont augmentés. L’an passé, 117 ETF coûtant plus de 0,5 % ont été lancés, mais seulement 21 à moins de 0,1 %, selon Morningstar.
NN Investment Partners (NN IP) est désormais référencé chez la société Quantalys, a indiqué le 28 janvier à Paris Philippe Fidaire, directeur de NN IP en France, à l’occasion d’un point de presse. Quantalys développe des outils d’analyse, de diagnostic, d’optimisation et de suivi de portefeuilles à destination des professionnels de la distribution et de la sélection de fonds et des investisseurs privés autonomes, tout en proposant une base de données référençant les OPCVM commercialisés en France et les principaux contrats d’assurance vie multisupports.
Une vingtaine d’entreprises du SBF 120, soit 17% d’entre elles, ont réalisé au moins une augmentation de capital réservée à leurs salariés ou une cession d’actions existantes aux salariés en 2015, ce qui représente une baisse, en nombre d’entreprises, de 20% par rapport à 2014, selon les premiers résultats de l'édition 2016 de l'étude Eres sur l’actionnariat salarié des entreprises du SBF 120.Les entreprises du NEXT80ont été moins nombreuses à avoir réalisé des opérations: 11% des entreprises de l’indice en 2015 contre 16% en 2014. Dans le CAC40, ce chiffre est resté plutôt stable, 28% des entreprises de l’indice ayant réalisé une opération en 2015 contre 30% en 2014. Au total, 23 opérations d’augmentation de capital réservées aux salariés ou de cession d’actions ont été réalisées dans le SBF120 en 2015 contre 28 en 2014. L’analyse de l’actionnariat salarié coté en France par rapport à l’Europe, l’étude complète des opérations collectives dans le SBF120 ainsi que les tendances de l’année, seront présentées en juin prochain.
Les cinq plus importants fonds de pension néerlandais ont publié des performances décevantes au titre de 2015, note IPE. Le fonds de pension le plus performant en 2015 est ABP (351 milliards d’euros d’encours sous gestion), alors que le moins bon, le fonds de pension du secteur médical PFZW (161 milliards d’euros), a perdu 0,1 % sur l’année. PMT, BpfBOUW et PME ont publié des performances de respectivement 2,3 %, 1 % et 1 %.IPE note une grande divergence entre la performance des différentes classes d’actifs au sein des portefeuilles. Ainsi ABP a enregistré une performance de 16,9 % sur l’année sur l’immobilier, 13 % sur les infrastructures et 24,8 % sur le private equity, alors que son portefeuille dédié aux matières premières a subi une perte de 20 %.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } The Swedish investment firm Investor (Wallenberg family) on 28 January announced a decline in its profits in 2015, a year in which stock markets experienced turbulence which the group says is expected to continue in 2016. Net profits fell 66% to SEK17.43bn, while gains in the value of portfolios were slower than in 2014. The measure preferred by the group, its net asset value, rose 6% in fourth quarter, to a total of SEK271.8bn, or about EUR29.38bn. The management is proposing a dividend of SEK10 per share, compared with SEK9 the previous year.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } The Norwegian sovereign fund on Thursday announced that it has placed the Brazilian oil group Petrobras, at the centre of a large corruption scandal, under observation. The ethical council at the fund, with NOK6.938trn (EUR735bn) in assets, will closely monitor the case involving the Brazilian giant, with the potential for an eventual divestment. If further cases of aggravated corruption should come to light in the future related to the activities of Petrobras, and if the business cannot demonstrate that the anti-corruption programme is being adhered to and genuinely improved, the conditions for an exclusion may be met, the board indicates.
L’Union européenne (UE) imposera des droits sur les importations d’acier chinois employé dans le béton armé, tandis que la Commission poursuit son enquête sur du dumping présumé des producteurs chinois. Bruxelles imposera des droits provisoires de 9,2% à 13,0% sur les importations de barres d’armature du béton en acier à haute tenue à la fatigue (HFP), précise le journal officiel de l’Union. L’exécutif européen a ouvert une enquête anti-dumping sur ce type d’importations chinoises en avril, sur requête de la fédération européenne de l’acier Eurofer.
L’inflation dans la zone euro s’est accélérée en janvier à 0,4% en rythme annuel, comme attendu, et les prix hors énergie et produits alimentaires non transformés ont augmenté plus qu’anticipé, montre vendredi la première estimation publiée par Eurostat. Les économistes interrogés par Reuters prévoyaient en moyenne un taux d’inflation de 0,4% sur un an après 0,2% seulement en décembre. L’inflation de base, surveillée de près par la Banque centrale européenne (BCE), a atteint 1,0% après 0,9%. Le consensus Reuters prévoyait un taux inchangé. Les prix de l’énergie ont diminué de 5,3% sur un an en janvier, une baisse ralentie par rapport à décembre (-5,8% annuel) et novembre (-7,3%). Ceux des produits alimentaires non transformés ont augmenté de 1,8%, après +2,0% en décembre. La BCE s’est fixé pour objectif à moyen terme un taux d’inflation inférieur à mais proche de 2%.
Le produit intérieur brut de la France au quatrième trimestre 2015 a progressé de 0,2%, un niveau conforme aux attentes des économistes, selon une première estimation publiée vendredi par l’Insee. L’institut a confirmé dans le même temps la hausse de 0,3% enregistrée au troisième trimestre, ce qui fait que, sur l’ensemble de 2015, l’économie française à crû en moyenne de 1,1%, son niveau le plus élevé depuis 2011, après +0,2% en 2014. La prévision du gouvernement était de 1,0%. La douceur des températures et les attentats de novembre ont pesé sur la consommation des ménages, en baisse de 0,4%. A l’inverse, l’investissement des entreprises a progressé pour le quatrième trimestre consécutif (1,3% au dernier trimestre, +2% sur l’ensemble de l’année), affichant son plus haut niveau depuis début 2008. Toutefois, avec le plus faible niveau de croissance du PIB au dernier trimestre, l’économie française aborde 2016 avec un acquis de croissance limité à 0,35%. L’objectif de croissance du gouvernement a été fixé à +1,5%.
Legg Mason a annoncé avoir pris une participation de 83% dans le capital de la société d’investissement immobilier new-yorkaise Clarion Partners pour 585 millions de dollars (535,8 millions d’euros). L’équipe dirigeante de Clarion Partners, qui gère environ 40 milliards de dollars, conservera 17% du capital. Retraitée des frais liés à la transaction, compris entre 10 et 15 millions de dollars, l’opération «devrait être légèrement relutive dès la première année», précise Legg Mason. Le gérant américain a par ailleurs indiqué avoir conclu un accord visant à rapprocher Permal, sa plateforme de gestion de hedge funds, avec EnTrust Capital. Legg Mason détiendra 65% du capital de la nouvelle entité, qui prendra le nom d’EnTrustPermal et gèrera 29 milliards de dollars. Parallèlement à ces deux opérations, Legg Mason a enfin pris une participation de 19,9% dans Precidian Investments, spécialiste du développement d’ETF.
La croissance du crédit aux entreprises de la zone euro a nettement ralenti en décembre, tout comme celle de la masse monétaire M3, montrent les statistiques publiées vendredi par la Banque centrale européenne (BCE). Le crédit aux entreprises a augmenté de 0,3% seulement le mois dernier, après +0,7% en novembre. La croissance du crédit aux ménages est quant à elle restée stable à 1,4%. Le taux de croissance de M3, mesure de référence de la masse monétaire en circulation dans la zone euro et considéré comme un indicateur avancé de l’activité économique, a parallèlement ralenti à 4,7% en rythme annuel contre 5,0% en novembre, alors que les économistes interrogés par Reuters l’attendaient en moyenne à 5,2%. La croissance de M3, après avoir atteint 5,4% en avril, suit depuis une tendance baissière.
Le ministre japonais de l’Economie, Akira Amari, a annoncé hier qu’il démissionnait de ses fonctions afin que les accusations de corruption portées contre lui ne fassent pas obstacle à la relance de l’économie. Le ministre a reconnu qu’une entreprise du BTP avait versé de l’argent, mais qu’il n’en avait pas bénéficié personnellement: la somme a été enregistrée régulièrement au titre du financement politique. Il a précisé qu’une partie de l’argent avait indûment disparu et que deux de ses secrétaires lui avaient remis leur démission. Son départ, a-t-il insisté, est une décision politique et non un aveu de culpabilité.
L’Arabie saoudite aurait proposé de réduire la production de pétrole de chaque pays producteur jusqu’à 5% pour soutenir les prix actuellement au plus bas, a déclaré aujourd’hui le ministre russe de l’Energie, Alexander Novak. Il avait indiqué que son pays était disposé à débattre de la situation du marché pétrolier, ajoutant que l’Opep cherchait à organiser une réunion le mois prochain avec des producteurs extérieurs au cartel. L’information selon laquelle l’Opep serait disposée à coopérer à toute action pour stabiliser les cours du pétrole, délivrée à Reuters par un délégué d’un membre de l’Opep, a été démentie quelques minutes plus tard par un autre délégué. Les déclarations du ministre russe ont toutefois fait naître l’espoir d’un accord entre l’Opep et les pays hors Opep, provoquant une forte remontée des cours du brut. Le brut léger américain WTI est monté jusqu’à 34,82 dollars le baril et a terminé en hausse de 2,85%, à 33,22 dollars.
L’Azerbaïdjan a confirmé hier les rencontres avec le Fonds monétaire international et la Banque mondiale, mais précise qu’il ne s’apprête pas à demander d’aide financière. «Nous avons le droit d’emprunter auprès du FMI et d’autres institutions. Mais nous n’avons pas un besoin urgent de le faire. Nous pouvons emprunter dans trois mois, cinq mois, à la fin de l’année ou l’an prochain», a indiqué Samir Sharifov, le ministre azéri des Finances. Les discussions portent sur la libéralisation de l’économie et l’amélioration du climat des affaires, a-t-il précisé. Le Financial Times évoquait hier un prêt d’urgence de 4 milliards de dollars: en raison de l’effondrement des prix du pétrole, Bakou a brûlé 60% de ses réserves en 2015 pour défendre sa devise, le manat.
L’inflation dans la zone euro sera cette année «significativement» inférieure aux prévisions actuelles et les prix à la consommation pourraient même reculer au printemps, a déclaré hier Jens Weidmann, président de la Bundesbank et membre du conseil des gouverneurs de la BCE. Les propos de Jens Weidmann ravivent les craintes d’une déflation, qui avaient conduit la BCE, en mars 2015, à mettre en œuvre son programme d’assouplissement quantitatif. Jens Weidmann, favorable à l’orthodoxie monétaire, ne presse pas pour autant la BCE, dont les taux d’intérêt ont atteint un niveau historiquement bas, à agir tout de suite, alors que Mario Draghi, président de la BCE, a laissé entendre qu’une nouvelle baisse n’était pas exclue à la prochaine réunion en mars.
Comme prévu depuis plusieurs années, La Banque Postale Asset Management (LBPAM) vient de céder sa participation de 33,4% dans Thiriet Gestion, indique à L’Agefi la petite boutique de gestion actions, confirmant les informations de La Lettre A. Thiriet Gestion a racheté les parts de son partenaire via une réduction de capital et se trouve désormais détenue à 49,9% par Marc Berdugo et à 50,1% par sa société VIP Conseils, principal client de Thiriet. VIP Conseils avait déjà racheté les parts du fondateur Bernard Thiriet, décédé l’an dernier. Bientôt rebaptisée Cybele AM, Thiriet Gestion vient de recruter un nouveau gérant, Pascal Heurtault, qui fut directeur des gestions d’Aviva Investors France jusqu’au premier trimestre 2015. Il remplace Jean-Paul Salles, qui part à la retraite. La société, qui revendique 450 millions d’euros d’encours, n’avait pas profité du réseau de distribution de LBPAM au-delà du partenariat capitalistique.
A l’initiative d’Invesco, un multigérant, un allocataire d’actifs et un gérant de fonds ont débattu ce jeudi 28 janvier à l’Hôtel Meurice de la sélection de fonds absolute return et de l’utilisation de ces stratégies dans la construction de portefeuille.
Selon H24 Finance, Guillaume de Trogoff devrait arriver dans les prochains jours chez ACG Management, qui gère près de 3 milliards d'euros d'encours au sein de FCPI et de mandats de gestion.
L’industrie française de l’assurance a renforcé en 2015 son rôle de financeur des PME et ETI en France. Le secteur a investi 53,4 milliards d’euros, soit une hausse de 5% comparé à 2015, dont 27,9 milliards en capital (private equity, PME cotées) et 25,5 milliards sous forme de dette (fonds obligataires, placements privés, titrisations de crédits). En 2010, ce soutien financier s’élevait à 22,8 milliards. Un effort qui s’est fait notamment au travers des fonds de prêts à l’économie. Les fonds Nova ont été lancés en 2012 (161,5 millions pour les fonds propres cotés), suivis des fonds Novo en 2013 avec 1,015 milliard pour des prêts de longue durée remboursables à terme, et des fonds Novi en 2015, soit 580 millions pour des investissements en fonds propres comme en titres de dette. Les assureurs continuent à être mis à contribution. «Nous sommes en train de rassembler des engagements afin de réalimenter les fonds Novo à hauteur de 300 millions d’euros, soit environ un tiers de l’enveloppe initiale», a indiqué hier Bernard Spitz, président de l’Association française de l’assurance (AFA) et de la Fédération française des sociétés d’assurance (FFSA) lors d’une conférence de presse. Le lancement des fonds Novo (1 et 2) avait associé 24 investisseurs, dont 18 assureurs. Tikehau IM, le gérant de Novo 2, a fait savoir il y a quelques jours que le compartiment a investi depuis octobre 2013 plus de 284 millions d’euros sur 15 opérations, ce qui représente plus de 80% de l’enveloppe sous mandat. Cette conférence de presse de début d’année a aussi été l’occasion pour Bernard Spitz de préciser les contours de la future Fédération française de l’assurance (FFA), dont les statuts ont été adoptés en décembre dernier. La FFA sera un syndicat professionnel, le Gema, le syndicat professionnel des mutualistes, se transformant en association. Cette maison commune comptera un conseil exécutif de 23 membres plus le président, dont 18 membres permanents, un comité de présidence (avec le président et trois vice-présidents), un conseil de l’assurance (l’ensemble des dirigeants des groupes et sociétés adhérents), une assemblée générale et douze commissions permanentes (onze commissions de travail et une commission de déontologie). Le Gema, présidé par Pascal Demurger, et le président de l’AFA ont prévu de régler tous les aspects liés à la mise en place opérationnelle de la fédération au premier semestre.
Soutenu par Equistone Partners Europe et Céréa Capital, Bretèche Industrie vient d’officialiser une opération de refinancement de 80 millions d’euros. Ce fabricant d’équipements pour les industries agro-alimentaires, cosmétiques et pharmaceutiques, a obtenu une nouvelle dette senior de 60 millions d’euros et une ligne d’acquisition de 20 millions. Le groupe rembourse notamment la ligne de mezzanine d’environ 20 millions apportée par Capzanine et Céréa Mezzanine en 2013. Ce refinancement permet à Bretèche de «réduire le coût de sa dette» et de «bénéficier de plus de souplesse pour poursuivre sa stratégie de croissance externe», précise le communiqué. Avec près de 870 employés, le groupe a réalisé un chiffre d’affaires d’environ 180 millions d’euros l’an dernier.
L’Azerbaïdjan a confirmé jeudi des rencontres avec le Fonds monétaire international et la Banque mondiale, mais en précisant qu’il ne s’apprêtait pas à demander une aide financière. «Nous avons le droit d’emprunter auprès du FMI et d’autres institutions. Mais nous n’avons pas un besoin urgent de le faire. Nous ne brûlons pas. Nous pouvons emprunter dans trois mois, cinq mois, à la fin de l’année ou l’an prochain», a indiqué Samir Sharifov, le ministre azéri des finances. Les discussions avec les deux institutions de Washington porte sur la libéralisation de l’économie et l’amélioration du climat des affaires, a-t-il précisé.
L’Arabie saoudite aurait proposé de réduire la production de pétrole de chaque pays producteur jusqu’à 5% pour soutenir les prix actuellement au plus bas, a déclaré aujourd’hui le ministre russe de l’Energie, Alexander Novak. Il avait indiqué un peu plus tôt que son pays était disposé à débattre de la situation du marché pétrolier, ajoutant que l’Opep cherchait à organiser une réunion le mois prochain avec des producteurs extérieurs au cartel. Les pays du Golfe membres de l’Opep et l’Arabie saoudite sont disposés à coopérer à toute action pour stabiliser les cours du pétrole, a indiqué à Reuters un délégué d’un de ces pays membres de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole. Une version démentie quelques minutes plus tard par un autre délégué d’un pays membre de l’Opep.
Le ministre russe de l'Energie, Alexander Novak, affirme que l'Opep cherche à organiser une réunion le mois prochain avec des producteurs extérieurs au cartel
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } The French fund market is regaining its positive momentum. After two lacklustre years, 2015 saw assets for French-registered open-ended products on sale to increase by EUR47.50bn, or 6.2%, according to Europerformance-SIX Telekurs. Total assets as of the end of the year came to EUR817bn. Meanwhile, the French collective management market returned to positve inflows, concluding five consecutive years of redemptions. Net subscriptions on the French market totalled EUR38.2bn in 2015, of which EUR21.3bn went to long-term asset classes. It was also a good year in 2015 for money market management. After years of large-scale outflows, money market funds in 2015 attracted a total of EUR16.9bn in net investment inflows. Allocations to bond funds show a net decline compared with 2014. This indicates a thirst for returns on the part of investors, as the largest inflows went to the high yield (+EUR2.5bn) and euro – very short term bond category (+EUR1.9bn). For equities, investors in 2015 brought net subscriptions of EUR2.7bn, preferring European equity funds (+EUR5.7bn) to the detriment of Americas equities (-EUR3bn) and international and emerging equities (-EUR1.8bn). The diversified fund family took in EUR3bn in inflows, with continuing inflows to fixed-income dominant portfolios (+EUR2.9bn) and mixed allocation (+EUR1.1bn). However, the alternative category has seen a year marked by redemptoin requests totalling EUR617m in the first 11 months of 2015. The French ETF segment was particularly dynamic for equity markets, where it saw inflows of EUR7.1bn, setting it apart from active management.