In the fiscal year ending 31 December 2015, assets under management or deposited with the Pictet group totalled CHF437bn, up by CHF2bn since 1 January 2015, according to a statement released on 12 February. Net inflows to funds are high, at CHF14.6bn for the fiscal year as a whole, compared with CHF17bn the previous year.Tier 1 owners’ equity ratio, calculated on the basis of tier 1 owners’ equity (the highest grade) of CHF2.15bn, comes to 22.1%, a far higher level than minimal requirements, which are 4.5% as set by Basel III, or 7.8% as defined by Finma, and the oversight of which is subject to Pictet. The short-term liquidity ratio is far above the minimum regulatory level of 100% as set by Basel III, at 195%.“All of our strategic markets – Switzerland, the European Union and Asia – have seen net inflows, to which all of our professional units, wealth management, asset mangement and asset servicing, have contributed. This growth is a witness to our long-term approach to the interests of our clients, and to our ability to adapt to a changing environment,” says Jacques de Saussure, senior partner, in a statement.
Le cabinet juridique offshore Bedell renforce sa présence en Europe avec l’ouverture d’un bureau au Luxembourg qui proposera des services d’administration à destination des gestionnaires de fortune, des sociétés de gestion immobilières, des spécialistes du private equity et des entreprises. A cette occasion, Bedell a nommé deux directeurs pour le bureau luxembourgeois : Anne-Catherine Grave, économiste et juriste disposant de plus de 15 ans d’expérience au Luxembourg et à New York, et Catherine Koch, qui compte plus de 27 années d’expérience dans la finance et l’entreprise au Luxembourg et à Londres. Philip Bolton, déjà directeur chez Bedell, rejoindra le bureau au Luxembourg. Outre le Luxembourg, qui marque sa première incursion en Europe continentale, Bedell compte des implantations à Jersey, Guernesey, les îles Maurice, les îles Vierges britanniques, Londres, Singapour et Dublin.
Pictet prévoit de délocaliser une centaine de postes dans les cinq prochaines années, a déclaré l’associé senior Jacques de Saussure devant les collaborateurs jeudi, rapporte L’Agefi suisse. Les profils concernés concernent des fonctions de back office et de middle office, appelés à être délocalisés vers les sites existants du groupe au Luxembourg, à Hong Kong et à Singapour. Il s’agit du premier projet de ce genre au sein de Pictet, qui a confirmé ces informations. Ce projet de délocalisation n’impliquera aucun licenciement et les collaborateurs concernés qui choisiraient de ne pas se déplacer bénéficieront de solutions de mobilité interne. La logique de ce projet est de renforcer les services opérationnels sur les marchés en croissance et de se rapprocher de la clientèle. Pictet emploie un peu moins de 3.900 personnes dans le monde, dont environ 2.200 à Genève (pour 2.300 en Suisse).
Graham Waider, responsable des investissements pour les solutions multi-classes d’actifs chez GAM, a démissionné de ses fonctions, rapporte le site spécialisé Citywire Selector. Il sera remplacé par le chef économiste Larry Hatheway. Graham Waider continuera toutefois d'être présent chez GAM en assurant une fonction de consultant en investissement. Il sera conseiller senior pour les solutions multi-classes d’actifs et accompagnera certains des clients de longue date de GAM dans la structuration de leurs portefeuilles. Graham Waider, qui avait rejoint GAM en 1998, avait été nommé «group head of investments» en février 2015. Il était responsable de la stratégie d’investissement de portefeuilles multi-classes d’actifs représentant un encours de 11,9 milliards de francs suisses. Larry Hatheway a rejoint GAM en septembre 2015. Il était précédemment managing et économiste en chef chez UBS, où il a travaillé pendant une douzaine d’années.
Selon Finews, Bruno Schweinzer a été nommé au 15 février chief investment officer (CIO) du gestionnaire spécialisé dans l’immobilier Fundamenta. L’intéressé rejoint la société en provenance de Avadis Anlagestiftung. Il remplace à ce poste Thomas Hiestand devenu CFO de la société ainsi que responsable de la gestion de portefeuille.
Le conseil d’administration de HSBC a décidé dimanche 14 février de maintenir son siège à Londres. Sur un effectif total de 257.000 personnes, 48.000 sont employées par HSBC en Grande-Bretagne. « Londres est l’un des principaux centres financiers mondiaux et dispose d’un vaste vivier de talents internationaux, extrêmement qualifiés », a souligné HSBC dans un communiqué. L’Asie reste cependant «au coeur de la stratégie du groupe». La banque doit renforcer ses investissements en Chine continentale, et dans les pays de l’ASEAN.
La société de conseil en investissement Gravis Capital Partners LLP a nommé Dion Di Miceli directeur des investissements pour ses fonds. Dion Di Miceli était auparavant Senior corporate adviser au sein du pôle dédié aux fonds d’investissement chez Cenkos Securities.
La société allemande FinTech Group a annoncé le 15 février la signature d’un accord stratégique avec Morgan Stanley pour la distribution sur le marché allemand de produits structurés. Le courtier en ligne flatex, qui appartient à FinTech Group, devrait dès la mi-2016 proposer sous sa propre marque des ETP d’une entité de Morgan Stanley, précise un communiqué. Les actifs sous administration de FinTech Group s'élevaient fin juin 2015 à 5,68 milliards d’euros.
Nedgroup Investments, la division de gestion d’actifs du groupe bancaire sud-africain Nedbank, distribue désormais son fonds Ucits Global Flexible, dont les encours s'élèvent à 469 millions de dollars, est désormais commercialisé sur le marché allemand, rapporte le site Investment Europe. Le fonds, qui est conseillé par la boutique américaine First Pacific Advisors (FPA), met en œuvre une stratégie contrariante pilotée par les cogérants de portefeuille Steven Romick et Mark Landecker. L'équipe s’efforce de constituer un portefeuille de conviction et n’hésite pas à détenir des montants significatifs de cash si les opportunités d’investissement se font rares.
Les actifs sous gestion de la Banque cantonale de Zurich (ZKB) ont progressé l’an dernier de 23%, passant de 208,7 milliards de francs suisses fin 2014 à 257,5 milliards de francs à fin décembre 2015 grâce pour l’essentiel à l’acquisition de l’intégralité de Swisscanto, la société de gestion des banques cantonales. La collecte nette a été marginale, relève la banque cantonale dans un communiqué publié le 12 février. La banque précise néanmoins qu’elle a enregistré une collecte nette de 1,1 milliard de francs dans ses activités de banque privée mais que l’impact des marchés a été négatif à hauteur de 1 milliard de francs. En outre, les activités de banque privée à l’international ont donné lieu à des sorties de 1,1 milliard de francs liées notamment à la régularisation fiscale de certains comptes qui n’ont pas été compensées par des entrées de 0,7 milliard de francs. Le bénéfice net a progressé de 11,5% à 722 millions de francs, là aussi grâce au rachat de Swisscanto qui a contribué à une hausse des recettes. Le bénéfice d’exploitation s’est amélioré de 9,3% à 664 millions de francs, avec une progression de plus de 14% des recettes à 2,20 milliards de francs. Les recettes ont été gonflées par une envolée de 26% des produits des opérations de commissions et de prestations de services, à 663 millions de francs.
Au cours de l’exercice clos le 31 décembre 2015, les actifs sous gestion ou en dépôt du groupe Pictet ont atteint 437 milliards de francs suisses, en augmentation de 2 milliards de francs suisses par rapport au 1er janvier 2015, selon un communiqué publié le 12 février. Les apports nets de fonds se sont élevés à 14,6 milliards de francs sur l’ensemble de l’exercice contre 17 milliards de francs l’année précédente. Le groupe a dégagé des produits d’exploitation en hausse de 3%, à 2,124 milliards de francs suisses, et réalisé un bénéfice net consolidé en baisse de 2%, à 452 millions de francs suisses. Le ratio de fonds propres de première catégorie, calculé sur la base de fonds propres de première catégorie (présentant la qualité la plus élevée) à hauteur de 2,15 milliards de francs, se situait à 22,1%, niveau nettement supérieur aux exigences minimales, qu’il s’agisse du seuil de 4,5% fixé par Bâle III ou de celui de 7,8% défini par la Finma, à la surveillance de laquelle est soumis Pictet. Dépassant largement le minimum réglementaire de 100% prévu par Bâle III, le ratio de liquidité à court terme s'établissait quant à lui à 195%. «Tous nos marchés stratégiques – la Suisse, l’Union européenne et l’Asie – ont enregistré des apports nets auxquels chacune de nos lignes de métier, la gestion de fortune, la gestion d’actifs et l’asset servicing, a contribué. Cette croissance témoigne de notre approche à long terme des intérêts de nos clients et de notre capacité à nous adapter à un environnement en évolution», indique Jacques de Saussure, associé senior, cité dans un communiqué.
Les groupes bancaires de Singapour DBS Group Holdings et Oversea-Chinese Banking Corp ainsi que la banque suisse Julius Baer ont soumis des offres non contraignantes sur la filiale asiatique de gestion de fortune de Barclays, a appris l’agence Reuters auprès de personnes au fait du dossier. Ces offres préliminaires pour la filiale de la banque britannique, basée à Singapour et valorisée autour de 600 millions de dollars (530 millions d’euros), ont été déposées la semaine dernière, selon les sources, qui ont requis l’anonymat. Aucune des banques concernées n’a souhaité réagir. Cette vente s’inscrit dans le cadre d’un programme de restructuration lancé par le nouveau directeur général de Barclays Joe Staley. Plusieurs banques européennes réduisent la voilure en Asie dans le cadre d’une politique de réduction des coûts imposée par les difficultés qu’elles traversent en Europe dans un environnement de taux extrêmement bas. Des sources avaient déclaré auparavant à Reuters que Credit Suisse pourrait également être intéressée par la filiale asiatique que Barclays met en vente. Il n’a pas été possible dans l’immédiat de savoir si Credit Suisse avait également formulé une offre. La banque n’a pas souhaité faire de commentaire.
Ambrosia Asset Management, la nouvelle société de gestion de hedge funds qui a recruté Peter Norman, ancien ministre suédois des Finances, en tant que président, a reçu l’autorisation de l’Inspection des Finances en janvier et va lancer son premier fonds le 1er mars, rapporte Realtid.se. La société se positionne comme une alternative meilleur marché par rapport aux autres hedge funds.
Dans un entretien à Newsmanagers, Fabien Madar, head of Western and Northern Europe de Pioneer Investments, fait un point sur l’actualité de la société de gestion en Europe de l’Ouest, la zone qu’il supervise. Il évoque aussi la fusion avec Santander Asset Management, qui ne devrait pas avoir d’impact sur la région qu’il couvre. Cette opération est en tout cas « une belle histoire », pour le dirigeant.
Les investisseurs norvégiens étaient acheteurs nets de fonds en janvier malgré la forte volatilité à l’échelle mondiale, rapporte Investment Europe, citant des données de Norwegian Fund and Asset Management Association (VFF). Les souscriptions nettes ont atteint 11,9 milliards de couronnes norvégiennes (1,23 milliard d’euros) en janvier. Sur ce total, 6,7 milliards de couronnes se sont dirigés sur les fonds actions et 3,7 milliards de couronnes sur les fonds obligataires.
Un Français à la barre. Douglas Azar, responsable du conseil en investissement pour l’Europe centrale et de l’Est à la banque privée du Lichtenstein LLB, lance une plateforme d'échange de biens de luxe, Wealthinitiative, qui se propose de faciliter les transactions des banques privées et des gestionnaires de fortune dans ce domaine. La plateforme se présente comme une solution basée dans le cloud qui peut aussi être intégrée dans les infrastructures informatiques des banques privées, ce qui permet une exécution des transactions plus discrète, plus efficace et moins coûteuse pour le client. A noter que
L’indice Lyxor Hedge Fund a perdu 0,9% en janvier. Sur 11 indices Lyxor, 5 ont terminé le mois en territoire positif. Les indices Lyxor CTA Long Term (+2,2%), Lyxor Global Macro (+0,7%) et Lyxor Fixed Income Arbitrage (+0,7%) ont signé les meilleures performances. Les hedge funds ont ainsi fait montre d’une remarquable résistance en janvier. En effet, les prévisions de croissance raisonnables du début de l’année ont été agressivement revues à la baisse après la publication des PMI chinois décevant et de la dépréciation du CNY. De manière très visible, les investisseurs ont dès lors intégré des probabilités sérieuses à un atterrissage brutal en Chine, à une impuissance croissante des banques centrales, à un risque de récession aux Etats-Unis et à un retour de la déflation mondiale. Dans un tel contexte, les CTA ont été dopés par leur exposition courte aux matières premières et longue aux obligations. Les fonds FI Arbitrage et Global Macro ont tiré parti des opportunités monétaires relatives et tactiques. Exception faite des fonds L/S Equity Long Bias et Special Situations, pénalisés par leur bêta, les autres stratégies sont parvenues à générer des rendements stables ou modérément négatifs. « Si le retour à une croissance mondiale inférieure à la normale semble intégré dans les prix, l’accumulation des risques baissiers nous pousse à continuer de favoriser les styles tactiques, macro et de valeur relative, qui devraient surperformer les stratégies plus directionnelles », explique Jean-Baptiste Berthon, stratégiste cross-asset senior pour Lyxor AM.
La banque centrale allemande a fortement réduit sa projection pour le taux d’inflation en Allemagne à environ 0,25% cette année contre 1,1% précédemment, et à 1,75% pour 2017 au lieu de 2%. «Les fluctuations des cours du pétrole ont typiquement un effet très rapide et notable sur les prix de l’énergie pour les consommateurs», explique la Buba. Cet ajustement pourrait ainsi également conduire la BCE a coupé les siennes et justifier l’annonce de mesures d’assouplissement supplémentaires lors de sa prochaine réunion en mars.
L’indice CSI 300 des principales valeurs cotées à Shanghai et Shenzhen a limité ses pertes à 0,6% ce matin après une semaine de fermeture des marchés liée aux fêtes du nouvel an chinois. La PBOC avait cherché à calmer toute tension en fixant la valeur du renminbi contre dollar à un niveau plus fort de 0,3%. Cette annonce, ainsi que des propos rassurants du gouverneur de la banque centrale dans un entretien accordé à Caixin magazine après des mois de silence, ont entrainé un fort rebond de 1,2% du cours de la devise cotée sur le marché onshore, effaçant ainsi l’ensemble de sa baisse enregistrée depuis le début de l’année et faisant reculer le spread contre le cours du CNH coté offshore à 0,3%, son plus bas niveau depuis début novembre.
L’excédent commercial de l’Union européenne a presque quintuplé l’année dernière par rapport à 2014, en raison de la chute des prix à l’importation de l’énergie, montrent des données publiées lundi par Eurostat. L’excédent commercial du bloc des 28 avec le reste du monde a atteint 64,2 milliards d’euros en 2015, contre 13,3 l’année précédente, avec des importations en hausse de 2% seulement pour une croissance de 5% des exportations, a fait savoir l’office statistique de l’UE. La facture énergétique de l’UE a fondu à 243,5 milliards d’euros l’an dernier contre 335,8 milliards en 2014, reflétant la chute des prix du brut et du gaz.
La contraction du PIB japonais a atteint 1,4% en rythme annualisé au cours du dernier trimestre 2015, alors que le consensus s’attendait à -1,2%. Il s’agit du deuxième trimestre de recul de l’activité sur les trois derniers. La consommation intérieure a amputé le PIB de 0,5 point, alors que le commerce extérieur a contribué à hauteur de 0,1 point du fait du recul de la valeur des importations liée à la chute des cours du pétrole. Cette déception n’a pourtant pas empêché l’indice Nikkei d’enregistrer sa plus forte hausse en séance depuis 2008, de 7,2% ce matin, après une chute de 11% au cours de la semaine dernière.
La confiance des consommateurs américains s’est repliée en février, montraient vendredi les premiers résultats de l’enquête mensuelle de l’université du Michigan. Son indice de confiance a atteint 90,7 en première estimation après 92,0 en janvier dans sa version définitive, revue nettement en baisse par rapport à une première évaluation à 93,3. Les économistes interrogés par Reuters prévoyaient en moyenne un indice à 92,0 pour février. Le sous-indice mesurant le jugement des consommateurs sur la situation actuelle a reculé à 105,8 contre 106,4 en janvier et celui des anticipations ressort à 81,0, son plus bas niveau depuis septembre.
Le département américain du Commerce a annoncé vendredi que les ventes au détail hors automobiles, carburants, matériaux de construction et produits alimentaires, avaient progressé de 0,6% le mois dernier après une contraction de 0,3% en décembre, chiffre non révisé. Les économistes interrogés par Reuters s’attendaient à une hausse limitée à 0,3% en janvier. La consommation des ménages, qui représente plus des deux tiers de l’activité, a bénéficié de la vigueur du marché du travail et de la baisse du chômage. Globalement, les ventes au détail ont progressé de 0,2% le mois dernier.
La ministre de l’Environnement Ségolène Royal a indiqué vendredi qu’elle souhaitait une clarification des règles concernant le cumul par Laurent Fabius des fonctions de président du Conseil constitutionnel et de président de la COP21 sur le climat. L’actuel président des «Sages», Jean-Louis Debré, avait annoncé la veille que le Conseil constitutionnel se prononcerait sur la possibilité pour Laurent Fabius, s’il était nommé à la tête de l’institution, de cumuler les deux fonctions. Depuis le remaniement intervenu jeudi, Ségolène Royal a le titre officiel de ministre «chargée des Relations internationales sur le climat».
Le Nasdaq a fait savoir vendredi qu’il allait acquérir pour un montant non dévoilé l’entreprise américaine Marketwired, spécialisée dans la publication de communiqués de presse, afin d’élargir son offre de services aux entreprises. L’opérateur boursier a précisé que la transaction, soumise à l’aval des autorités réglementaires, devrait être bouclée au premier trimestre 2016 et qu’elle sera financée sur sa trésorerie, complétée par un recours à la dette.
Les mesures européennes de lutte contre l’évasion fiscale des multinationales ne devraient pas aller au-delà des décisions prises au niveau international, ont déclaré vendredi les ministres des Finances de l’Union européenne (UE), remettant en cause certaines propositions de la Commission. Le ministre néerlandais des Finances, qui présidait cette réunion, a ainsi implicitement renoncé à son objectif de parvenir à un accord entre les gouvernements de l’UE et l’exécutif européen avant la fin de la présidence de l’UE par les Pays-Bas, fin juillet. La Commission a proposé en janvier un ensemble de mesures dont certaines ne figurent pas dans le projet de lutte contre l’érosion de la base d’imposition et le transfert de bénéfices (base erosion and profit shifting, BEPS) adopté par le G20 et l’OCDE. Plusieurs ministres jugent que des mesures plus strictes risqueraient de nuire à la compétitivité des entreprises basées dans l’UE et à l’économie européenne.