Invesco lance deux fonds alternatifs à destination de la clientèle italienne : Invesco Global Market Neutral Fund et Invesco Global Markets Strategy Fund. Le premier est géré par l’équipe de gestion quantitative Invesco Quantitative Strategies basée à Francfort. Il s’agit d’une stratégie long/short caractérisée par une approche de faible volatilité. Le second, Invesco Global Markets Strategy Fund, est un fonds diversifié investi en actions, obligations et matières premières. Il est géré par Scott Wolle, directeur des investissements de l’équipe Invesco Global Asset Allocation d’Atlanta. Il a la possibilité de prendre des positions courtes.
En 2015, la société de gestion italienne Azimut a dégagé un bénéfice net de 247 millions d’euros, en forte hausse par rapport aux 92 millions d’euros de 2014. Dans ce contexte, la société va proposer un dividende de 1,5 euro par action, contre 0,78 euro l’année précédente. Azimut a enregistré en 2015 des souscriptions nettes de 6,7 milliards d’euros, soit un peu plus d’un milliard par rapport à 2014 (5,6 milliards d’euros). Ses encours ont ainsi augmenté à 36,7 milliards d’euros (dont 31,2 milliards d’euros gérés en interne), contre 30 milliards fin 2014.
A l’occasion de la publication de ses résultats annuels, l’assureur Swiss Life France a annoncé que sa collecte nette en assurance vie a atteint 1,2 milliard d’euros en 2015, en hausse de 14% par rapport à 2014. Cette collecte nette a été « très largement orientée en unités de compte », à hauteur de 80%, précise la compagnie d’assurance. Ainsi, la part des unités de compte dans les encours a progressé de 31% à 33% sur un an. A l’issue de l’exercie 2015, le chiffre d’affaires de son activité d’assurance vie s’établit à 2,62 milliards d’euros, en augmentation de 5% sur un an. SwissLife Banque Privée a également réalisé une belle année. L’établissement bancaire affiche en effet « une forte croissance de son résultat et de son produit net bancaire (+10% à 50 millions d’euros) », souligne Swiss Life dans un communiqué. Ses actifs sous gestion atteignent 4,5 milliards d’euros, en hausse de 2% par rapport à 2014. L’assureur suisse a enfin dressé un bilan de l’activité de Swiss Life Asset Managers en France. Ainsi, sur le territoire français, Swiss Life Asset Managers gère 15 milliards d’euros d’actifs pour le compte de clients tiers à fin 2015, un chiffre en progression de 14% par rapport à l’année précédente. La collecte nette en fonds d’investissement et mandats pour le compte de clients tiers a atteint 2 milliards d’euros. En parallèle, « l’immobilier a contribué de manière significative à hauteur de 1,1 milliard d’euros à cette augmentation des actifs en France », observe Swiss Life France. Enfin, la collecte nette en fonds provenant de l’activité « Assurances » a aussi progressé et s’élève à 295 millions d’euros en 2015. Au niveau du groupe, Swiss Life Asset Managers gère, fin 2015, 38,8 milliards de francs suisses (35,7 milliards d’euros) d’actifs pour le compte de tiers, avec une collecte nette de 7,2 milliards de francs suisses (6,7 milliards d’euros).
SimCorp, fournisseur de services et solutions logicielles pour le monde de l’investment management, poursuit sa croissance en France et renforce son équipe. François Thaury, qui a rejoint SimCorp France lors de sa création en 2009, est nommé responsable du développement des activités commerciales « Asset Owners » et « Asset Servicers ». François Thaury continuera en outre à développer les relations de SimCorp France avec ses clients existants ainsi que les relations avec les partenaires. Pierre Laborie a rejoint l’équipe commerciale en tant que responsable du développement des activités commerciales « Asset Managers ». Pierre Laborie dispose d’une solide expérience commerciale acquise chez des éditeurs de progiciels financiers : il était récemment en charge des ventes auprès de clients français et suisses chez Calypso Technology après sept années passées chez Traderforce-FlexTrade et douze années chez Thomson-Reuters. Anne Kermarrec a rejoint SimCorp France en tant que responsable marketing. Elle bénéficie d’une expérience marketing de plus de 17 ans acquise notamment auprès des éditeurs SunGard, et plus récemment NeoXam. «La France est un marché clé pour SimCorp. La mise en place de cette nouvelle organisation va nous permettre d’accroître notre croissance et de mieux répondre aux besoins des acteurs par ligne métier : asset managers, asset owners et asset servicers. SimCorp Dimension compte déjà dix références majeures sur le marché français, et permet à ses clients de relever les nouveaux défis de l’industrie : Accelérer la croissance et transformer les systèmes d’information en outils de pilotage”, commente Thomas Van Cauwelaert, directeur des ventes et du marketing chez SimCorp France.
Bridgewater Associates LP a annoncé à ses clients avoir recruté Jon Rubinstein, un ancien dirigeant d’Apple, en tant que co-directeur général, rapporte le Wall Street Journal. L’intéressé, qui a contribué au développement de l’iMac et de l’iPod en Asie, rejoindra la société de hedge funds en mai, selon une note aux clients lue par le journal. Il reprendra les responsabilités de Greg Jensen, qui travaille au sein de la société depuis 20 ans et reste co-directeur des investissements aux côtés de Ray Dalio et Bob Prince. Greg Jensen a longtemps été considéré comme l’héritier désigné de Ray Dalio. Mais les relations entre les deux hommes se sont tendues récemment.
Carlyle Group a obtenu deux ans supplémentaires pour vendre les participations restantes d’un fonds de 7,8 milliards de dollars levé en 2005, rapporte le Wall Street Journal, citant des sources du dossier. Alors que le Carlyle Partners IV approchait sa date butoir du 23 décembre pour liquider le fonds, Carlyle a demandé aux investisseurs l’autorisation d’étendre la vie du fonds, ce qu’il a obtenu. La société espère que cela lui permettra de dégager des rendements plus importants. Les deux dernières participations du fonds sont NXP Semi-conducteurs et Wesco Aircraft.
Amundi doit annoncer ce matin la nomination de Christophe Lemarié en qualité de directeur adjoint de la direction retail et de directeur marketing retail. Diplômé de l’Ecole Polytechnique de Paris et ingénieur de l’Ecole Nationale Supérieure des Télécommunications, Christophe Lemarié a débuté sa carrière professionnelle en 1995 en tant qu’analyste-crédit chez Crédit Lyonnais Americas à New York. Il rejoint ensuite la filiale de gestion d’actifs du Crédit Lyonnais (CLAM) en 1997 et devient responsable marketing de CAAM (Crédit Agricole Asset Management) en 2004 après la fusion CAAM-CLAM. En 2006, il prend la responsabilité des gestions actions, allocation, arbitrage. En 2010, lors de la création d’Amundi, Christophe Lemarié prend la direction de la filiale Société Générale Gestion dédiée aux clients des réseaux de la Société Générale, d’abord comme directeur général délégué puis comme directeur général depuis 2012. En 2012, il est également nommé chez Amundi au poste de responsable des solutions patrimoniales pour les réseaux partenaires. En parallèle, Amundi annonce la nomination de Bertrand Pujol aux côtés de Christophe Lemarié en tant qu’adjoint du Marketing Retail et responsable du pôle Innovation dans cette division. L’intéressé officiait depuis septembre 2009 chez CPR AM, filiale à 100% d’Amundi Group, en qualité de directeur marketing et communication. Après avoir débuté sa carrière au sein du cabinet de conseil AT Kearney en 1998 en tant que « Project Manager », Bertrand Pujol a rejoint Fidelity en 2004 au poste de directeur du marketing, selon son profil LinkedIn. En 2007, il intègre BNP Paribas en qualité de responsable des solutions financières (« Head of Financial Solutions ») en charge des dérivés de matières premières et des actions mondiales, poste qu’il occupera jusqu’en 2009 et son arrivée chez CPR AM.
Pascal Voisin n’est plus directeur général de Natixis Asset Management (NAM), révèle L’Agefi. En interne, le responsable a annoncé sa démission, effective à compter de jeudi soir, dans un e-mail que le quotidien s’est procuré. L’annonce devrait être officialisée aujourd’hui. Si Pascal Voisin ne donne pas d’explications, son départ n’est pas réellement une surprise pour qui connaît les arcanes de la galaxie BPCE et de Natixis, précise L’Agefi. L’année dernière, NAM a été au centre d’une enquête de l’Autorité des marchés financiers (AMF) à propos de certaines pratiques de frais de gestion concernant ses fonds à formule, vendus aux particuliers. BPCE avait mis son inspection générale sur le sujet et Natixis avait commandé un audit externe à EY. Cette enquête a-t-elle contribué à ternir le crédit du patron de NAM auprès de la direction de BPCE ? Difficile de l’affirmer avec certitude.La question de la succession reste entière mais l’absorption de NAM dans NGAM, périodiquement évoqué, ne serait pas envisagée, selon une source proche de Natixis.
En 2016, le spécialiste de l’investissement dans les PME et entreprises de taille intermédiaire Omnes Capital prévoit de se tourner davantage vers la clientèle internationale. « Nos clients étranger représentent aujourd’hui moins de 10 % de nos encours, et nous aimerions qu’à moyen terme, leur part monte à plus de 30 % », a annoncé Fabien Prévost, président de la société de capital investissement lors d’un rendez-vous avec la presse, jeudi 10 mars. Les pays visés en priorité sont ceux limitrophes de la France, tels que l’Allemagne ou le Benelux mais également les pays scandinaves. A horizon 2020, l’objectif de la société est de doubler ses encours sous gestion. Après 4 années d’indépendance, l’ex Crédit Agricole Private Equity affiche désormais 2,1 milliards d’euros sous gestion, dont 320 millions pour l’activité de capital risque, dont dépendra un nouveau fonds commun de placement dans l’innovation (FCPI). Baptisé Capital Invest PME 2016, le fonds permettra aux particuliers de bénéficier d’avantages fiscaux prévus par la loi TEPA au titre de l’impôt de solidarité sur la fortune (ISF) et de l’impôt sur le revenu (IR), tout en bénéficiant du potentiel de croissance des PME françaises et européennes. Les actifs du FCPI Capital Invest PME 2016 seront composés à hauteur de 80 % de PME innovantes françaises et européennes. Les 20 % restants seront investis dans une poche d’actifs non risqués, qui pourra servir de réserve pour des réinvestissements dans les sociétés en portefeuille.
L’incertitude économique relance l’attrait pour les fonds de dette privée défaillante (distressed debt), rapporte L’Agefi qui précise que Oak Hill Advisors tenterait ainsi de réunir 2 milliards de dollars (1,8 milliard d’euros). OHA Strategic Credit Fund II, qui devrait viser à la fois l’Amérique du Nord et l’Europe, disposera du temps nécessaire pour réaliser ses investissements. Oak Hill Advisors pourra en effet attendre deux, voire trois ans avant de boucler ses premières opérations, par nature opportunistes. Le fonds devra néanmoins lancer son processus d’investissement si certains événements se produisent (écartement des spreads de crédit high yield de plus de 750 points de base, taux de défaut sur un an de 4%,…).Outre Oak Hill Advisors, Oaktree Capital, Cerberus et Paulson & Co sont aussi en cours de levée côté américain, tandis que KKR et LCM Partners s’activent en Europe, note le quotidien.
Les fonds actions commercialisés en Suède ont vu sortir, en net, 3,7 milliards de couronnes suédoises, soit près de 400 millions d’euros, portant le total de la décollecte sur les deux premiers mois de l’année à 19,2 milliards de couronnes, soit un peu plus de 2 milliards d’euros montrent les dernières statistiques de l’association suédoise des fonds Fondbolagens Förening. Ce sont les fonds actions suédoises et mondiales et les fonds actions nord-américaines qui ont subi les plus forts rachats en février (-1,364 milliard de couronnes et 1,853 milliard de couronnes). Les fonds obligataires ont aussi vu sortir 1,6 milliard de couronnes, tandis que les fonds diversifiés enregistraient une légère collecte de 0,7 milliard de couronnes. Au cours du mois, seuls les fonds monétaires tirent leur épingle du jeu, en s’arrogeant en net 4,9 milliards de couronnes, portant leur collecte sur les deux premiers mois de l’année à 10 milliards de couronnes.Au total, les fonds commercialisés en Suède accusent des rachats nets de 0,4 milliard de couronnes sur février, et de 11,2 milliards de couronnes depuis le début de l’année.Malgré cela, les fonds suédois ont vu leurs encours légèrement augmenter, de près de 10 milliards de couronnes, à 3.097 milliards de couronnes, soit 334 milliards d’euros. Sur ce total, environ 54 % sont investis dans des actions.
On peut toujours regretter qu’il faille leur accorder une journée - comme ce fut le cas cette semaine - pour se rendre compte de l’importance des femmes. Mais si c’est une occasion pour souligner qu’elles parviennent parfois à ébrécher le plafond de verre, ou plus simplement les préjugés, alors il faut s’arrêter un temps sur leur combat et leur réussite. Y compris dans le monde de l’asset management. Cette semaine, une étude mondiale de Preqin a été publiée, qui estime que les femmes représentent 12,6% des employés senior dans les sociétés de private equity. Contre 11,7% en 2015. La gente féminine prend donc du poids même si les disparités sont encore très fortes selon les stratégies d’investissement. Et rien n’est jamais acquis. Dans les sociétés de LBO, les femmes tendent même à être de moins en moins présentes...En parlant de poids, on a appris cette semaine que deux sociétés de gestion de groupes japonais Dai Ichi Life Insurance et Mizuho vont donner naissance à un petit Sumo de la gestion d’actifs. Asset Management One naîtra précisément le 1er octobre prochain et pèsera 400 milliards d’euros d’encours. Cela étant, au contraire de ce que tout bon diététicien pourrait préconiser, la surcharge pondérale est plutôt conseillée dans l’asset management. Et le Crédit Agricole l’a bien compris qui, dans son Plan Moyen Terme exposé cette semaine, a confirmé les ambitions d’Amundi, et laissé entendre que des acquisitions créatrices de valeur pourraient intervenir à un horizon assez proche. Sur le modèle de « l’union fait la force », l’américain Mass Mutual a, quant à lui, fait le choix de regrouper toutes ses filiales de gestion dédiées à l’institutionnel. Le nouvel ensemble affiche désormais 262 milliards de dollars d’actifs sous gestion et prend le nom d’une de ses filiales en question… Barings. D’une façon générale, tout est passé au crible pour réaliser de bonnes affaires. Ainsi, alors que le groupe Old Mutual envisage de se scinder, les fonds Cinven et Warburg Pincus auraient déjà déposé une offre conjointe pour reprendre Old Mutual Wealth, une filiale de gestion de fortune centrée sur le marché britannique.Pour donner corps à l’idée de « big is beautiful », cette semaine a aussi mis au jour les difficultés d’une petite société de gestion française dont les derniers espoirs d’un adossement se sont envolés. Il est donc désormais question de liquidation judiciaire pour Arkéon Gestion. Pour les mêmes raisons qu’exprimées plus haut, elle n’en suscite pas moins l’intérêt de quelques repreneurs comme Invest Securities, Amplegest, Portzamparc ou encore Financière d’Uzès. A suivre donc.Finalement, tous ces mouvements n’ont qu’un objectif : pérenniser l’entreprise… « Si vis pacem, para bellum » et le danger semble guetter dans l’industrie financière. Pour l’Alfi, l’association luxembourgeoise des fonds luxembourgeois, ce sont les FinTech qu’il faut surveiller, car elles vont rebattre les cartes de la distribution. Ce qui a fait dire à la présidente de l’Association du Grand-Duché que ces FinTech «auront un impact fondamental sur les modèles d’affaires des gestionnaires d’actifs, des intermédiaires de la distribution et des prestataires de services qui sont également confrontés à de nouveau comportements de la part des investisseurs». Mais la concurrence est une chose. Et les risques une autre. A l’évidence, ces derniers sont pris au sérieux par le Conseil de stabilité financière qui, lorsqu’il pense FinTech, évoque également des risques systémiques. Bien évidemment, pour résister aux nouvelles concurrences, d’autres stratégies que la prise d’embonpoint existent. A commencer par celles qui consistent à varier les sources de revenus. A ce titre, les sociétés de gestion se développent dans les «leveraged loans» et taillent des croupières aux banques. En Suisse, des banques de gestion jouent également la carte de la diversification. Elles lancent des plateformes de trading de devises ou cherchent à développer une activité de conseil, ou encore du private equity local, voire des prestations de dépositaire et de gouvernance de fonds de placement, etc. Pour le coup, on ne peut certainement pas appeler cela une diversification. Appelons plutôt cela des réparations. Pas des moteurs en l’occurrence mais plutôt du préjudice subi. Dans les faits, après le scandale Volkswagen, l’assureur Allianz a annoncé cette semaine qu’il entendait poursuivre le constructeur automobile en justice. Enfin, la semaine dernière, les investisseurs, eux, ont calé. Plongés dans l’attentisme, ils portent désormais les niveaux de cash à leurs plus hauts niveaux depuis novembre 2001. L’attentisme justement… S’agirait-il désormais de l’attitude adoptée par les assets managers directement concernés par le résultat du référendum britannique en juin ? Toujours est-il que comparé à la lecture abondante sur le sujet à laquelle on a eu droit la semaine dernière, ces derniers jours ont ressemblé au désert des Tartares. Pas une publication d’importance sur la sortie ou non de la Grande Bretagne de l’Union européenne. A croire que seul le PSG se souciait du Brexit mercredi soir sur la pelouse de Chelsea !
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } Aviva Investors, the asset management firm of the British insurer Aviva, recorded net outflows of GBP5.073bn in 2015, virtually the same sum as in 2014, and negative market effects of nearly GBP5bn. However, assets increased by GBP44bn over the year to GBP289.9bn. It benefited from GBP45bn coming from Friends Life Investments. The firm has also benefited from transfers of GBP9bn to real estate activities. The integration of Friends Life Investments has also boosted operating profits at Aviva Investors by GBP9m: these totalled GBP105m, compared with GBP79m in 2014. Excluding FLI, the increase of GBP17m was largely driven by an increase in performance fees, partly offset by an increase in operating costs (to GBP345m, compared with GBP298m in 2014). These results were called “an important milestone” by Mark Wilson, the CEO of Aviva. “However, it is still early days for the Aviva Investors business and we expect the continuation of strong flows into higher margin external mandates to underpin growth,” he says.
MSCI has announced it has expanded its MSCI ESG Research coverage to include approximately 21,000 mutual funds and ETFs. MSCI ESG Fund Metrics will measure the Environmental, Social and Governance (ESG) characteristics of portfolio holdings and rank or screen funds based on a diverse set of factors including sustainable impact, values alignment and ESG risks, including carbon footprintEach fund will receive an overall score, the Fund ESG Quality Score, a peer group percentile rank and individual E-S-and G-Scores. The ESG Quality Score reflects the ability of the underlying holdings to manage medium - to long-term risks and opportunities.Clients will also have access to over 100 Fund Metrics to evaluate the ESG attributes of their portfolio and fall into three categories: sustainable impact, values alignment and risks.
The German insurer Allianz has announced the appointment of Jacqueline Hunt, 47, to its board of directors as head of asset management and life insurance for the United States. She replaces Jay Ralph, 57, who has decided to leave the company to dedicate more time to his family, according to a statement. His resignation will take effect from 30 June 2016. Hunt had previously served as CEO of Prudential for the United Kingdom, Europe and Africa. Her appointment will take effect from 1 July 2016, and will run until 31 December 2019.Meanwhile, Allianz has announced the appointment of Günther Thallinger, 44, to its board of directors from 1 January 2017, until 31 December 2019. He will be responsible for investment management as well as live and health insurance activities worldwide. He replaces Maximillian Zimmerer, 57, whose term will end on 31 December 2016. Thallinger is currently serving as chief executive offier of Allianz Investment Management SE.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } In February, Spanish funds posted net outflows of EUR649.67m, according to VDOS. At the same time, funds saw a negative market effect of EUR1.2bn. In this context, assets under management in the sector fell 0.84% month on month, to a total of EUR218.13bn as of the end of February, compqred with EUR219.98bn as of the end of January. Over the past month, Santander has seen the strongest net inflows, with EUR141.89m in net subscriptions. The Spanish bank has overtaken Bankinter (EUR109.8m in net inflows), Bankia (EUR87.8m), Kutxabank (EUR73.1m) and lastly, Renta 4 (EUR55.7m). However, the prize for the heaviest net outflows goes to CaixaBank, with EUR346.2m in net outflows. It is followed by BBVA (-EUR275.1m), Allianz (-EUR113.4m), UBS (-EUR96.6m) and lastly, Deutsche Bank (-EUR79.5m).
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } Funds on sale in Sweden have seen net outflows of SEK3.7bn, or nearly EUR400m, bringing total outflows in the first two months of the year to SEK19.2bn, or slightly over EUR2bn, the most recent statistics from the Swedish fund association Fondbolagens Förening reports. Bond funds also saw outflows of SEK1.6bn, while balanced funds posted slight outflows of SEK0.7bn. Over the month, only money market funds have done well, with a net intake of SEK4.9bn, bringing inflows in the first two months of the year to SEK10bn. Overall, funds on sale in Sweden have seen net redemptions of SEK0.4bn in February, and SEK11.2bn since the beginning of the year. Despite this, Swedish funds have seen a slight increase in assets, of nearly SEK10bn, to SEK3.097trn, or EUR334bn. Of this total, about 54% is invested in equities.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } Syz Asset Management, the institutional asset management division of the Syz Group, is launching two new strategies for its new recruits. Hartwig Kos, who joined Syz AM in October 2015 as co-head of the multi-asset team and vice-CIO, has taken over as head of the OYSTER Multi-Asset Diversified frun from 1 January this year, in collaboration with Fabrizio Quirighetti, co-head of the multi-asset team and CIO. The director will rely on his experience managing a multi-asset fund at Baring Asset Management. Adopting a dynamic capital allocaftion,t he fund aims for similar performance to equity markets, with lower risk. Syx AM is also launching the OYSTER Multi-Asset ActiProtect fun, which is based on a dynamic allocation of the risk budget. This risk-based portfolio management is being assumed by Claude Cronioley and Guido Bolliger, two managers who have developed quantitative expertise, particularly at Dynagest, Olympia Capital and Julius Baer, and joined Syz last year. The fund aims at an objective of 2/3 of the returns of some specific equity markets, with the goal of reaching this objecftive with 1/3 of the corresponding risk. These strategies are centered around a shared investment process: the Economic Cycle Analysis, a detailed and standardised macroeconomic analysis of the largest global economies, the Asset Valuation Analysis, an evaluation of asset classes, and the Investment Strategy Group, which, on the basis of the first two, ranks investment preferences. The process then makes it possible to implement the asset allocaftions in various portfolios on the basis of their specific objectives and risk constraints.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } Axa Investment Managers (Axa IM) has opened an office in Mexico, to cover a large part of Latin America. “We are still waiting for a license from the local regulator,” says Andrea Rossi, CEO, at a presentation of their results. “Officially, we are supposed to launch the activity on 1 May. This office will have 6 to 7 people, and we will set up a fixed income platform there. Initially, we will target exclusively institutional investors.” From this new office, Axa IM also hopes to be able to develop in Chile, where the firm already has an exclusive distributor, and in Peru and Colombia, three countries which have large pension funds. The opening of the new office represents a new step in the growth strategy of Axa IM, which is aiming to become “a global actor of reference,” according to Rossi. The initiative comes after a strong year in 2015 for the asset management firm. “Our results are still better than in 2014,” says Rossi. “2015 was an excellent year, a record year.” Last year, the firm earned record net inflows of EUR42bn, compared with EUR19bn in 2014, a leap of 120%. Driven by these record net inflows, assets under management rose 7% to a total of EUR669bn at the end of 2015. Thanks to this, Axa IM has seen its earnings increase 9% in one year, from EUR1.125bn in 2014 to EUR1.230bn in 2015. Last year, operating profits rose 11% to EUR234m, compared with EUR211m in 2014. Lastly, net profits were up sharply to EUR269m as of the end of 2015. On the strength of these results, Axa IM is planning to remain faithful to its growth strategy. “In 2016, we will continue to execute our strategy,” says Rossi. “We want to accelerate our growth in the United States and Asia, and we will continue to offer innovative products and solutions to our clients.”
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } In 2015, the Italian asset management firm Azimut posted net profits of EUR247m, up sharply compared with EUR92m in 2014. In this context, the firm will offer a dividend of EUR1.50 per share, compared with EUR0.78 the previous year. In 2015, Azimut posted net subscriptions of EUR6.7bn, slightly more than EUR1bn over 2014 (EUR5.6bn). Assets increased to EUR36.7bn (of which EUR31.2bn are managed internally), compared with EUR30bn at the end of 2014.
Natixis Asset Management (NAM) tiendra la semaine prochaine un conseil d’administration pour désigner le successeur de son directeur général Pascal Voisin, a indiqué un porte-parole de la filiale de BPCE. Le dirigeant a annoncé jeudi après-midi en interne sa démission et son départ effectif le jour même, comme l’a révélé L’Agefi.
La banque centrale du Danemark n’a pas modifié ses taux directeurs après que la Banque centrale européenne (BCE) eut au contraire réduit les siens, rompant ainsi avec son habitude. Le taux de dépôt reste donc à -0,65%, l’un des plus bas au monde. La BCE a elle-même ramené de -0,30 à -0,40% son propre taux de dépôt.
Le différend porte sur le degré de précision avec lequel définir le MREL, la liste des fonds propres et passifs exigibles pour assurer le bail-in éventuel des banques.
Les inscriptions hebdomadaires au chômage ont diminué davantage que prévu la semaine dernière aux Etats-Unis, pour tomber à leur plus bas niveau depuis octobre dernier. Ce signe est susceptible d'écarter les craintes d’une récession outre-Atlantique. Les inscriptions au chômage ont baissé de 18.000, à 259.000, lors de la semaine au 5 mars, a annoncé le département du Travail. Le chiffre de la semaine précédente a été révisé en baisse d’un millier. Les économistes attendaient en moyenne 275.000 inscriptions au chômage.
Les cours du pétrole devraient rebondir à partir de la fin 2016 et les sous-investissements actuels préparent une forte hausse de prix à l’horizon 2019-2020, a estimé hier l’Union française des industries pétrolières (Ufip). « On s’attend à un rééquilibrage de l’offre et de la demande fin 2016, voire début 2017, avec une évolution conséquente des prix », a déclaré lors d’une conférence de presse Francis Duseux, le président de l’Ufip, syndicat professionnel qui rassemble des entreprises exerçant en France. « On risque de se retrouver, suite à la très forte baisse des investissements, avec un déficit d’offre par rapport à la demande à l’horizon 2019-2020, ce qui devrait se traduire par un fort rebond des prix », a-t-il ajouté.
Jon Rubinstein, précédemment vice-président de l’innovation produits chez HP, va rejoindre le hedge fund Bridgewater en qualité de co-directeur général, a indiqué la société de gestion dans une note que s’est procurée Reuters. Son arrivée est programmée pour le mois de mai. Il remplacera Greg Jensen, qui conservera son poste de co-directeur des investissements. Avant HP, Jon Rubinstein a travaillé pour Apple et Palm. Bridgewater est actuellement le premier gestionnaire de fonds arbitragistes au monde, fort de 154 milliards de dollars d’encours, selon son site internet.
Le juge du district de Brooklyn John Gleeson a accepté mercredi soir que soit retardée la publication du rapport critique sur HSBC et le blanchiment d’argent. Suite à un arrangement à 1,9 milliard de dollars avec la justice américaine dans le cadre d’une enquête sur le blanchiment d’argent de la drogue au Mexique via la banque britannique, celle-ci doit notamment remettre à niveau ses dispositifs de conformité dans ce domaine. Ce rapport a été rédigé par un ancien procureur de New York, Michael Cherkasky, et remis en janvier 2015. Mais HSBC souhaite que certains passages en soient allégés. John Gleeson a accepté de revoir certaines formulations, mais il a rejeté plusieurs propositions de la banque. Elle voulait notamment revoir la conclusion de Michael Cherkasky, qui indique que la banque «a agit trop lentement et a fait des progrès trop limités pour instiller le type de culture dont elle aurait besoin».
Un groupe de 18 fournisseurs, traders et autres acteurs liés au secteur des fonds indiciels cotés (ETF) a demandé dans un courrier hier à la Sec, le gendarme de la Bourse américain, d’agir pour éviter que ne se reproduise un nouvel effondrement subit des marchés comme le 24 août 2015. La lettre est signée notamment par BlackRock, Vanguard Group, JPMorgan, State Street et Charles Schwab and Co.