Timone Fiduciaria, actionnaire majoritaire du groupe Azimut, a présenté la liste des noms des candidats au conseil d’administration et au collège des commissaires aux comptes de la société, rapporte Bluerating. Pietro Giuliani a été proposé à nouveau à la présidence. En revanche, un nouvel administrateur délégué devra être recherché.
Le fonds souverain norvégien a décidé d’augmenter son allocation dans l’immobilier et de la porter à 7% contre 5% jusqu’ici, selon un communiqué publié le 5 avril. Le fonds décidera lui-même du périmètre et de la composition du portefeuille d’investissements immobiliers, jusqu'à concurrence de 7%, précise le communiqué.En revanche, le ministère des finances norvégien a indiqué le 5 avril qu’il n'était pas préparé à autoriser les investissements dans les infrastructures non cotées, dans la mesure où les bénéfices potentiels de tels engagements restent pour l’instant peu évidents. Le ministère ne semble pas convaincu que les infrastructures non cotées améliorent la diversification du risque ou permettent de relever les performances attendues.Le ministère a par ailleurs précisé qu’il allait abandonner l’indice de référence immobilier au profit d’un benchmark constitué d’un portefeuille d’actions et d’obligations.
BFT Investment Managers (BFT IM), société de gestion filiale d’Amundi, a lancé début mars BFT Sélection Haut Rendement 2021, un FCP de droit français qui a pour objectif de profiter des rendements offerts par des obligations à haut rendement de notation comprise entre BB+ à B- (S&P). Conçu pour être conservé cinq ans, l’objectif de BFT Sélection Haut Rendement 2021 est de rechercher une performance nette annualisée supérieure à 3% jusqu’à son échéance, le 15 décembre 2021.BFT Sélection Haut Rendement 2021 est investi en obligations spéculatives à haut rendement de notation comprise entre BB+ à B- par S&P, avec le souci d’une diversification sectorielle et géographique permanente, sur l’Union européenne et les pays de l’OCDE. Par ailleurs, l’exposition du portefeuille au risque de change est systématiquement couverte. « Nous restons sur la partie haute du high yield, en excluant les titres notés CCC, ce qui donne au fonds un profil moins risqué que celui du marché », explique Michael Zatarain, co-gérant du fonds aux côtés de Diana Rager. Le fonds compte une quarantaine de lignes et chaque émetteur ne peut dépasser 3% du portefeuille. Bien que à échéance, ce fonds n’obéit pas une stratégie classique de « buy & hold », où les titres sont figés jusqu’à l’échéance, mais de « buy & watch », où les titres peuvent être occasionnellement cédés et remplacés par de nouveaux titres. Le turnover du portefeuille est estimé à 10 % à 20 % par an. Concernant le risque de défaut, qui est la principale contrainte à appréhender sur le segment haut rendement, BFT IM estime qu’il faudrait enregistrer plus de deux défauts par an jusqu’en 2021, soit 5% de défaut tous les ans jusqu’en 2021, pour que le fonds n’enregistre pas de performance positive. BFT Sélection Haut Rendement 2021 s’adresse à la fois aux investisseurs particuliers et aux investisseurs institutionnels. La période de souscriptions est ouverte jusqu’au 30 juin. Elle pourra être prorogée jusqu’à la fin de l’année. Actuellement, le fonds affiche un encours de 18,5 millions d’euros, l’objectif étant d’atteindre 100 millions d’euros, a indiqué à Newsmanagers Michael Aflalo, directeur des gestions de BFT IM, en marge d’une conférence sur le sujet.Un autre fonds, cette fois dédié à l’income, sera lancé en mai.
Groupama Asset Management (Groupama AM) a annoncé, ce mardi 5 avril, la nomination de Cyrille Carrière au poste de directeur adjoint des gestions actions et convertibles. L’intéressé est placé sous la responsabilité de Pierre-Alexis Dumont, directeur des gestions actions et convertibles au sein de la société de gestion. « Cette nomination s’inscrit dans le cadre du développement d’une expertise de gestion actions de conviction tournée sur la sélection de titres », explique Groupama AM dans un communiqué. Cyrille Carrière, qui compte 18 ans d’expérience dans la gestion d’actifs, a rejoint Groupama AM en 2012 pour officier en qualité de gérant des stratégies small et mid caps Europe. Il a débuté sa carrière en tant qu’analyste financier chez Rothschild & Cie Gestion de 1998 à 2007. Par la suite, de 2007 à 2012, il a été vice-président et gérant actions small et mid Caps Europe chez Barclays Wealth Managers France.
La réorganisation se poursuit au sein d’Amundi. Ce mardi 5 avril, la société de gestion française a annoncé la nomination de Fannie Wurtz au poste de directeur du métier ETF, Indiciel et Smart Beta, en remplacement de Valérie Baudson, nommée en fin de semaine dernière directeur général de CPR AM. Fannie Wurtz sera toutefois placée sous la responsabilité de Valérie Baudson qui, en qualité de membre du comité exécutif d’Amundi, continue d’assurer la supervision du métier ETF, Indiciel et Smart Beta.Fannie Wurtz a débuté sa carrière en 1999 chez State Street Bank puis chez KPMG Audit. Elle dispose d’une vaste expérience en vente auprès de la clientèle institutionnelle et distributeurs qu’elle a acquise de 2001 à 2003 au sein de Schroders Investment Management, puis chez Fidelity Investments de 2003 à 2008 en tant que Sales Associate Director. En 2008, elle rejoint Crédit Agricole Cheuvreux dans le cadre du démarrage de l’activité Amundi ETF en tant que responsable du développement commercial. En 2011, elle intègre Amundi pour prendre la responsabilité de la vente ETF. En 2013, elle devient responsable des ventes du pôle métier ETF, Indiciel et Smart Beta.
Le Fonds de réserve japonais des régimes de retraites publiques (GPIF) qui communique ses résultats annuels au début du mois de juillet ne fera la lumière sur ses performances que le 29 juillet, soit après une élection parlementaire jugée capitale pour le gouvernement de Shinzo Abe, rapporte Les Echos. Plusieurs analystes estiment que Shinzo Abe, cherchant à doper le Nikkei, pour redonner confiance aux acteurs économiques, a poussé le GPIF à se montrer plus audacieux, ce qui l’a conduit à enregistrer des pertes colossales. Sur l’exercice fiscal qui s’est achevé le 31, il serait question de 48 milliards d’euros.
Le fonds italien d’investissement Fondo Italiano di Investimento (FII) a approuvé sa scission en trois. Ainsi, le fonds originel, lancé en 2010 avec un encours de 1,2 milliard d’euros, donne naissance à trois véhicules, chacun spécialisé dans un domaine. Le Fondo Italiano di Investimento sera dédié aux investissements directs dans le capital d’entreprises affichant entre 10 et 250 millions d’euros de chiffre d’affaires. Le Fondo Italiano di Investimento Fondo di Fondi sera investi dans des fonds de private equity. Enfin, le Fondo Italiano di Investimento FII Venture investira indirectement dans le capital risque. Suite à cette opération, le nombre de fonds gérés par Fondo Italiano d’Investimento SGR passe à cinq pour un montant total de 1,7 milliard d’euros. Aux trois nouveaux fonds s’ajoutent le Fondo di Fondi Private Debt doté de 375 millions d’euros et ciblant 500 millions d’euros, et le Fondo di Fondo di Venture Capital, doté de 80 millions d’euros et ciblant 150 millions d’euros.
L’Association française du family office (AFFO) présentait ce mardi à Paris son quatrième livre blanc, consacré au thème de la gouvernance familiale. Réalisée par la commission du même nom, dirigée par l’avocat Jérôme Barré, l’ouvrage se veut un véritable guide pratique. « Il élabore une méthode permettant aux family offices d’aborder le sujet de la gouvernance à travers des éléments d’informations techniques, familiaux et d’ambiance, dans le cadre d’une procédure organisée visant à établir un diagnostic de la situation familiale », souligne Jean-Marie Paluel-Marmont, président de l’association. Parallèlement, l’association souhaite toujours plus de diversification. L’AFFO ouvrira prochainement une antenne à Lyon et continuera ses voyages à l’étranger pour se confronter à l’expérience d’homologues internationaux. L’AFFO va également lancer prochainement un baromètre annuel qui mesurera par exemple l’appétence au risque des membres et leur exposition aux classes d’actifs.
La firme américaine de capital-investissement KKR a annoncé avoir levé 3,35 milliards de dollars dans le cadre du bouclage définitif de son fonds d’investissement KKR Special Situations Fund II, un véhicule dédié aux situations spéciales. Ce fonds a reçu des engagements de la part d’investisseurs existants et de nouveaux investisseurs, à savoir des fonds de pensions publics ou d’entreprises, des fonds souverains, des compagnies d’assurances, de fondations, des banques privées, des family offices et des investisseurs individuels. Le nouveau fonds succède au KKR Special Situations Fund, qui avait finalisé une levée de fonds de 2 milliards de dollars en décembre 2013. Ce fonds a terminé sa période d’investissement après avoir investi l’intégralité de ses 2 milliards de dollars. La majorité des fonds du premier fonds « situations spéciales » a été déployé en dehors des Etats-Unis, précise KKR dans un communiqué.
UBI Pramerica, société de gestion née du partenariat entre UBI Banca et Pramerica, vient de lancer UBI Sicav Euro Corporate Bond High Potential – classe A, rapporte Bluerating. Il s’agit d’un fonds investi sur des obligations libellées en euro émises par des sociétés privées ayant de bonnes perspectives de croissance. Le compartiment est géré par l’équipe obligataire italienne d’UBI Pramerica Sgr et est investi dans des émissions notées investment grade pour au moins 35 % du portefeuille, mais aussi dans des titres haut rendement avec une notation plus faible.
La Russie pense qu’un baril de pétrole à 45-50 dollars est acceptable pour équilibrer le marché pétrolier mondial, ont déclaré mercredi des sources proches du dossier à Reuters. Moscou estime également que des prix supérieurs à cette fourchette seraient susceptibles de déclencher une reprise de la production de pétrole de schiste nord-américaine, jugée pour partie responsable de la saturation du marché, ajoutent les sources. Le marché pétrolier est en nette progression mercredi matin, se reprenant à espérer un accord sur le gel de la production mondiale après que le gouverneur du Koweït auprès de l’Opep eut déclaré mardi que tout indiquait que la réunion prévue le 17 avril à Doha débouche sur un tel compromis. La Russie reste partisane d’un gel de la production mais non des exportations, une position qui n’a pas varié depuis la réunion de Doha de février, ont encore déclaré les sources.
La France va réinscrire le Panama sur la liste noire des paradis fiscaux à la suite de la mise au jour des «Panama Papers», un fichier répertoriant des milliers de personnes, dont des personnalités françaises, qui ont recouru à des montages offshore pour dissimuler leurs actifs. «Panama est un pays qui a voulu nous faire croire qu’il était en capacité de respecter des grands principes internationaux», a déclaré hier le ministre des Finances, Michel Sapin. Le gouvernement panaméen a indiqué qu’il songeait à prendre des mesures de rétorsion contre la France après cette décision.
À partir du vendredi 8 avril, la Banque de France publiera les résultats de ses enchères inversées 30 minutes après la clôture des opérations menées dans le cadre du programme d’achat de titres publics de la BCE. Les résultats seront disponibles sur la page Bloomberg de la Banque de France et comprendront le montant offert agrégé sur l’ensemble des titres de l’enchère inversée, le montant alloué agrégé, et les prix alloués moyen, minimum et maximum pour chaque titre.
L’activité du secteur des services a accéléré le mois dernier aux Etats-Unis, à un rythme plus soutenu que prévu, une caractéristique qui se retrouve dans toutes les composantes de la mesure qui en est donnée par l’indice de l’Institute for Supply Management (ISM) publié hier. Cet indice est ressorti à 54,5 en mars contre 53,4 en février et 54,0 attendu. La composante activité progresse à 59,8 (consensus: 57,4) contre 57,8 en février, au plus haut depuis octobre, tandis que celle des nouveaux contrats progresse à 56,7 contre 55,5 en février.
L'économie américaine devrait connaître une croissance de 0,4% en rythme annualisé au premier trimestre, montrait hier le modèle de prévisions GDPNow de la Réserve fédérale d’Atlanta après la publication des chiffres des ventes automobiles du mois de mars et des commandes à l’industrie de février. La précédente estimation, le 1er avril, était de 0,7%, rappelle la Fed régionale sur son site internet.
Le Fonds monétaire international (FMI) est «déterminé à continuer à aider» la Grèce, a déclaré hier soir sa directrice générale Christine Lagarde à l’issue d’une rencontre avec la chancelière allemande, Angela Merkel. Cette dernière a souligné qu’une décote (haircut) de la dette n'était pas possible tant que la Grèce restait en zone euro, tout en ajoutant qu’elle souhaitait une conclusion rapide de l’examen des réformes dans le cadre du plan de sauvetage du pays.
Groupama Asset Management a annoncé hier avoir nommé Cyrille Carrière en tant que directeur adjoint des gestions actions et convertibles, sous la responsabilité de Pierre-Alexis Dumont qui dirige cette activité. Cette nomination s’inscrit dans le cadre du développement d’une expertise de gestion actions de conviction tournée sur la sélection de titres. Cyrille Carrière était depuis 2012 gérant des stratégies «small et mid caps» de Groupama AM.
Le robo advisor Investissima souhaite nouer un partenariat avec une société de gestion pour développer une offre de fonds de fonds basée sur son expertise de sélection.
La Banque Postale Asset Management (LBP AM) poursuit son offensive dans la dette d’infrastructure et immobilière. En attendant la finalisation de sa fusion avec Fédéris Gestion d’Actifs, la société de gestion annonce aujourd’hui le premier closing de deux nouveaux fonds pour un montant total de 533 millions d’euros. Les deux véhicules, dont CNP Assurances est un sponsor important, visent une levée globale de 900 millions d’euros au deuxième closing, prévu dans le courant du deuxième trimestre. « Notre fonds d’infrastructures ciblera notamment les transports, les infrastructures sociales, les utilities, les énergies renouvelables ainsi que le secteur de l’environnement. Comme pour le fonds immobilier, nos stratégies prévoient des contraintes sur certains secteurs et zones géographiques », détaille René Kassis, directeur de la gestion dette privée chez LBP AM. Le fonds immobilier ciblera aussi bien les bureaux que les locaux commerciaux, la logistique, le résidentiel et l’hôtellerie. Afin de profiter au mieux de l’intérêt des investisseurs, les deux véhicules ont adopté le régime des fonds de prêts à l'économie (FPE), accessibles aux mutuelles et instituts de prévoyance depuis fin 2014. « La période est aujourd’hui propice pour investir car le cycle de compression des spreads de 2014-2015 semble derrière nous. Par ailleurs, le flux d’affaires est conséquent depuis janvier », note René Kassis, en référence à la course au rendement à laquelle se livrent les institutionnels. Compte tenu de ces deux fonds, de la précédente génération levée en 2013-2014 et de trois fonds dédiés, les encours de dette privée de LBP AM totalisent désormais 1,8 milliard d’euros. Ce montant sera presque doublé à 3 milliards à l’issue de l’absorption de Fédéris, qui devrait être finalisée d’ici la fin du premier semestre. La filiale de gestion d’actifs de Malakoff Médéric permettra en outre à LBPAM d’élargir son offre de dette privée à la dette d’entreprises. Fédéris met justement la dernière main au lancement d’un FPE dédié aux placements Euro PP de midcap et d’ETI européennes. Le fonds, dont le premier closing est prévu pour la fin du premier semestre, vise un objectif de «plusieurs centaines de millions d’euros», indique René Kassis. Fédéris avait annoncé mi-janvier sa sélection pour gérer un FPE destiné à financier les PME et ETI adhérentes de l’Union des industries et métiers de la métallurgie.
À partir du vendredi 8 avril, la Banque de France publiera les résultats de ses enchères inversées 30 minutes après la clôture des opérations menées dans le cadre du programme d’achat de titres publics de la BCE. Les résultats seront disponibles sur la page Bloomberg de la Banque de France et comprendront le montant offert agrégé sur l’ensemble des titres de l’enchère inversée, le montant alloué agrégé, et les prix alloués moyen, minimum et maximum pour chaque titre.
La France a décidé de réinscrire le Panama sur la liste noire des paradis fiscaux à la suite de la mise au jour des «Panama Papers», un fichier répertoriant des milliers de personnes, dont des personnalités françaises, qui ont recouru à des montages offshore pour dissimuler leurs actifs. «Panama est un pays qui a voulu nous faire croire qu’il était en capacité de respecter des grands principes internationaux. (...) Il a pu obtenir ainsi qu’il ne soit plus inscrit sur la liste noire des paradis fiscaux», a déclaré le ministre des Finances lors des questions au gouvernement à l’Assemblée nationale. «Ceci ne sera plus possible, et la France a décidé de réinscrire le Panama sur la liste des pays non coopératifs avec toutes les conséquences que ceci aura pour ceux qui auront des transactions avec le Panama», a poursuivi Michel Sapin.
L’activité du secteur des services a accéléré le mois dernier aux Etats-Unis, à un rythme plus soutenu que prévu, une caractéristique qui se retrouve dans toutes les composantes de la mesure qui en est donnée par l’indice de l’Institute for Supply Management (ISM) publié mardi. Cet indice est ressorti à 54,5 en mars contre 53,4 en février et 54,0 attendu. La composante activité progresse à 59,8 (consensus: 57,4) contre 57,8 en février, au plus haut depuis octobre, tandis que celle des nouveaux contrats progresse à 56,7 contre 55,5 en février.
La Française vient de nommer Riccardo Ricciardi en tant que « chairman » de sa filiale italienne, annonce un communiqué diffusé en Italie. L’intéressé, qui a commencé sa carrière au début des années 1980, est un ancien d’Invesco. Entre 1990 et 2003, il a occupé plusieurs postes clés au sein du groupe en Europe, élargissant peu à peu sa couverture géographique et ses responsabilités. Il a été CIO pour Invesco AM à Londres, CIO pour Invesco Europe (Londres), administrateur délégué pour Invesco Continental Europe à Bruxelles, CIO pour Invesco Global à Londres. Ensuite, il a travaillé pour la National Bank of Kuwait en qualité de vice-directeur général et responsable des investissements, puis pour Gulf Investment Corporation (Kuwait) en tant que vice-directeur général et responsable des marchés mondiaux.« Sa connaissance du marché italien sera fondamentale pour poursuivre nos objectifs de croissance et adapter notre offre de produits aux demandes locales », a commenté Marco Peri, country head pour l’Italie.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } Assets in the asset management sector may break through the USD100trn mark by 2020, but pay scales for actors will not necessarily keep pace, according to a study recently published by PwC (“Rethinking reward as asset management moves centre stage”). PwC predicts that pay expressed as a percentage of revenue will fall back to 35% by 2020, from 45% currently. Remuneration overall is expected to grow in parallel to assets under management, but profit margins will fall, meaning that revenues will not necessarily be synonymous with growth in profits. PwC also explains that increased requirements in the area of transparency and governance will require asset management firms to align pay with the performance of teams and results for client portfolios. Due to pressure on cost and the emphasis on transparency, asset management firms will highlight non-financial incentive measures to retain and motivate talent. The culture of the star manager will also be headed for a fall, to be diluted by a new line of defense: a succession plan with marked emphasis on team decision-making. The results of this will be reflected in remuneration structures. “In a sector where the most prized and most expensive asset consists of personnel, with pay scales which represent 60% of total costs, pay structures at asset management firms can be expected to adapt to developments in the sector, to rising costs and pressure on commissions. At a time when companies in the sector can be expected to continue to grow and to move into areas traditionally dominated by banks, the pay scales for asset management firms will inevitably be monitored by regulators and participants,” says Tim Wright, a partner on the remunerations team at PwC.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } Palamon Capital Partners, owner of Towry, has approved the acquisition of the firm by Tilney Bestinvest for a total of GBP600m. The agreement, which has been expected by the market for some months, means that Palamon will earned 13 times the capital investment, a statement released on 4 April says. Towry, one of the largest independent wealth management firms in the United Kingdom, has over GBP9bn in assets under management, 85% of which are managed under discretionary mandates. The firm, which acquired Ashcourt Rowan last year for GBP97m, has over 900 employees in 21 regional offices. Once approved, the operation will create the alrgest wealth management firm for high net worth clients in the United Kingdom.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } Cazenove Capital Management, the wealth management business of Schroders, has recruited Caspar Rock as chief investment officer. Rock, who will join in third quarter this year, joins from Architas Multi Manafger, the retail multi-management activity of the Axa group, where he had also been chief investment officer. Rock will succeed Richard Jeffrey, who will be taking over as economist-in-chief at Cazenove. He will report to Andrew Ross, CEO.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } Volker Buschmann, managing director in charge of the Swiss office of M&G Investments, will be leaving the asset management firm in 2016. Buschmann had announced plans to return to live in Germany to be nearer his family. The asset management firm has confirmed the reports in Das Investment to Newsmanagers. M&G has stated that a repolacement had already been found for the position, but that his appointment is subject to approval by the Siwss regulator, and as a result M&G wishes to wait for approval from the regulatory authorities before announcing the name of the person. Buschmann served in a variety of management positions at M&G. He had in particular been head of sales for northern Europe, and then became head of the Swiss office.
Assets in the asset management sector may break through the USD100trn mark by 2020, but pay scales for actors will not necessarily keep pace, according to a study recently published by PwC (“Rethinking reward as asset management moves centre stage”). PwC predicts that pay expressed as a percentage of revenue will fall back to 35% by 2020, from 45% currently.Remuneration overall is expected to grow in parallel to assets under management, but profit margins will fall, meaning that revenues will not necessarily be synonymous with growth in profits. PwC also explains that increased requirements in the area of transparency and governance will require asset management firms to align pay with the performance of teams and results for client portfolios.Due to pressure on cost and the emphasis on transparency, asset management firms will highlight non-financial incentive measures to retain and motivate talent. The culture of the star manager will also be headed for a fall, to be diluted by a new line of defense: a succession plan with marked emphasis on team decision-making. The results of this will be reflected in remuneration structures.“In a sector where the most prized and most expensive asset consists of personnel, with pay scales which represent 60% of total costs, pay structures at asset management firms can be expected to adapt to developments in the sector, to rising costs and pressure on commissions. At a time when companies in the sector can be expected to continue to grow and to move into areas traditionally dominated by banks, the pay scales for asset management firms will inevitably be monitored by regulators and participants,” says Tim Wright, a partner on the remunerations team at PwC.
Les fonds souverains, ainsi que les banques centrales et les organismes publics de retraite font partie des institutions qui jouent désormais le rôle de pourvoyeurs à grande échelle de collatéral, ce qui permet de favoriser la liquidité dans le système financier et de favoriser toutes sortes de transactions dans l'économie réelle, selon une étude publiée par BNY Mellon et l’organisme indépendant de recherche OMFIF (Official Monetary and Financial Institutions Forum).Dans cette étude, intitulée «Crossing the Collateral Rubicon: A new Territory of challenge and opportunity for sovereign institutions», les auteurs ont interrogé des investisseurs institutionnels souverains représentant plus de 2.000 milliards de dollars d’actifs sous gestion. Quelque 37% des acteurs interrogés ont indiqué qu’ils étaient à un stade avancé de leur réflexion pour se lancer dans des opérations de collatéral ou qu’ils étaient déjà actifs dans ce domaine. Les deux tiers des participants ont par ailleurs relevé une augmentation des demandes de contreparties potentielles pour de telles transactions.Selon Hani Kablawi, directeur de l’activité Asset Servicing chez BNY Mellon pour la région Europe, Moyen-Orient et Afrique, «depuis la crise financière, les nouvelles réglementations ont donné la priorité aux contreparties ayant accès à du collatéral de première qualité. Toutefois, les politiques macroéconomiques des banques centrales ont réduit l’offre de collatéral. Cette évolution a constitué un gros défi pour les marchés et une opportunité de taille pour les détenteurs officiels de ces titres tels que les fonds souverains».