Le gestionnaire d’actifs M&G Investments Ltd a nommé Taro Shiroyama au poste nouvellement créé de managing director, responsable du développement des activités auprès des investisseurs institutionnels au Japon, rapporte l’agence Reuters. Taro Shiroyama a plus de dix-huit ans d’expérience du marché japonais. Il était dernièrement responsable de l'équipe produits et solutions chez Pimco Japan.
Le gestionnaire d’actifs écossais Standard Life Investments a nommé Neil Slater au poste de directeur général («chief executive officer») et « representative director » pour son nouveau bureau récemment ouvert à Tokyo, au Japon, rapporte Reuters. L’intéressé était précédemment gérant de fonds au sein de l’équipe dédiée à l’immobilier à l’échelle mondiale. En parallèle, la société de gestion a également nommé Mikifumi Watanabe en qualité de « vice-chairman » de ce même bureau japonais, rattaché à Neil Slater. Mikifumi Watanabe a rejoint Standard Life Investments en 2015 en tant que « senior advisor ».
Credit Suisse a décidé de fermer son fonds de dette émergente en monnaie locale, le CS (Lux) Emerging Market Local Bond fund, en raison d’une baisse de ses actifs, rapporte le site spécialisé Citywire Selector. Le véhicule domicilié au Luxembourg, qui avait été lancé en décembre 2009, a été formellement fermé le 15 avril, précise-t-on.Selon les derniers chiffres disponibles, les actifs du fonds s'élevaient à 129 millions de dollars à fin mars 2016. Le fonds était géré par Andreas Fischer et Gonzalo Borja. Le duo gère également le CS (Lux) Emerging Market Corporate Bond fund, qui, selon Credit Suisse, peut constituer une possibilité intéressante pour les investisseurs souhaitant garder une exposition aux marchés émergents.
Début d’année en demi-teinte pour Janus Capital. Au cours du premier trimestre 2016, le gestionnaire d’actifs américain a en effet enregistré une modeste collecte nette de 300 millions de dollars. Dans le détail, Janus a enregistré une décollecte nette de 300 millions de dollars sur les produits de long terme, partiellement compensé par une collecte nette de 600 millions sur sa gamme d’ETF. En parallèle, au cours du trimestre écoulé, la société de gestion a subi un effet de marché négatif de 1,3 milliard de dollars. Résultat : ses actifs sous gestion s’inscrivent en repli à 191,3 milliards de dollars à fin mars 2016, contre 192,3 milliards de dollars à fin décembre 2015 et 192,4 milliards de dollars à fin mars 2015.Sans surprise, dans un contexte de diminution de ses encours et, donc, des commissions de gestion, ses revenus ressortent à 248,5 millions de dollars à fin mars 2016, en repli de 7,2% par rapport à fin décembre 2015 (267,8 millions de dollars) et en recul de 5,4% par rapport à fin mars 2015 (262,7 millions de dollars). Son résultat net s’établit également en repli à à 35,1 millions à fin mars 2016, contre 46,6 millions de dollars à fin décembre 2015 et 44,6 millions de dollars à fin mars 2015.
Plus d’un tiers des actionnaires de Citigroup se sont prononcés le 26 avril contre les salaires et bonus versés aux dirigeants de la banque américaine alors que les critiques contre Wall Street se font de plus en plus vives dans la campagne pour la présidentielle américaine, rapporte l’AFP. Environ 36,4% des actionnaires de la quatrième banque américaine en termes d’actifs ont voté contre une résolution leur demandant de valider les rémunérations de l'équipe dirigeante et des membres du conseil d’administration, a annoncé l'établissement lors de son assemblée générale annuelle à Miami. Cette grand-messe annuelle, diffusée sur le site internet de la banque, était très attendue car les très influents cabinets de conseil aux actionnaires Institutional Shareholder Services et Glass Lewis avaient manifesté leur opposition aux salaires et bonus versés notamment au directeur général Michael Corbat. L’an dernier, Michael Corbat a touché 16,5 millions de dollars, un montant en hausse de 27,5%.
Nestadio Capital vient d’annoncer le lancement du FIP Nestadio Conviction mixant l’investissement dans les PME des secteurs traditionnels et des nouvelles technologies (Nouvelles technologies de l’information et de la communication ou NTIC). La société de gestion mise sur les grandes tendances économiques : évolution démographique, croissance d’Internet, du cloud computing, des e-services…, mais aussi transition énergétique et accroissement de la demande en services.Le fonds va investir dans les PME régionales de Bretagne, Pays-de-la-Loire, Centre et Ile-de-France. Pour accélérer la croissance des PME investies, le FIP Nestadio Conviction a pour objectif d’investir plus de 40% en actions de PME non cotées de la Bretagne à la région parisienne et entre 10 et 60% de son actif en obligations convertibles en actions de PME, pour générer des rendements récurrents. Le solde du Fonds est investi en OPCVM actions/obligations, monétaire, etc. Caractéristiques du FIP : Valeur d’une part : 500 €Ticket d’entrée minimum : 500 €Durée de vie du Fonds : 6 ans (prorogeable deux fois 18 mois)Frais d’entrée / Frais de gestion annuels : TFAM 4,72% (TTC)Type d’investissement : capital amorçage, capital développement et capital risqueInvestissement en actions de PME : 40% du FondsIntérêts annuels potentiels : 10 à 60 % de l’actif du Fonds est investi en obligations convertibles en actions de PME.
Comment les investisseurs institutionnels et les grandes entreprises gèrent-ils leur trésorerie? Compte tenu de l’environnement de taux négatifs, la question est pour le moins délicate comme l’a révélé Richard Bruyère qui préside la société Indéfi. Invité sur Newsmanagers TV à dévoiler les grandes lignes de son étude réalisée à partir d’une population d’une quarantaine d’investisseurs, représentant 110 milliards de placements de court terme, le responsable a tout d’abord établi un panorama. D’où il ressort que 40 % des sondés ont désormais recours à des produits de gestion, 40 % à des produits bancaires et le solde en titres vifs. Mais derrière ce tableau d’ensemble, des évolutions marquées sont à relever. « Sur les huit dernières années, la part des OPCVM est assez stable », a noté Richard Bruyère. En revanche, pour les actifs hors OPCVM, a poursuivi Richard Bruyère, des changements sont intervenus. Depuis 2007/2008, la part des titres vifs a fondu et les placements bancaires ont sensiblement progressé. » La tendance est également au désengagement des produits de court terme (monétaires…). De 75 % en 2008, ces derniers ne représentent désormais que moins de 25 %. « Et ce phénomène a touché l’ensemble des investisseurs », a insisté le responsable, en relevant un déport des investissements vers l’obligataire court terme, surtout du côté institutionnels. Richard Bruyère a également recensé quelques solutions plus «sophistiquées» telles que des fonds de repo tandis que les assureurs ont plutôt tendance à réduire à minima leur poche de trésorerie, a-t-il relevé. Pour quel autre investissement ? Si tous ont conscience qu’un produit de substitution est difficile à fabriquer, voire à imaginer, quelques-uns se sont portés vers des produits alternatifs, comme des fonds de performance absolue aux rendements et à la volatilité globalement stables. Enfin, à la question de savoir si le risque s’est accru dans la poche gestion de trésorerie, Richard Bruyère a répondu par l’affirmative dès lors que l’on prend en compte l'évolution vers des produits obligataires, avec l’apparition de risque de crédit, risque de duration, voire pour les plus grands établissements, risque de devises. Quant à ceux qui ne font pas d’OPCVM, il y a un risque de concentration du risque de contrepartie.» En cela, la volonté de la BCE de ne plus fabriquer du rendement sans risque est respectée», a conclu Richard Bruyère...Pour regarder la vidéo, cliquez sur le lien suivant : http://www.newsmanagers.com/NewsManagersTV/unexpertvousparle.aspx?id=1468
CNP Assurances vient de réaliser son premier investissement dans la fintech Lendix en étant investisseur leader sur un tour de table d’un montant de 12 millions d’euros. Outre CNP Assurances, Matmut et Zencap AM (filiale du groupe OFI AM) font leur entrée au capital de la plateforme de crowdlending. «. Ce financement en capital est par ailleurs accompagné d’un engagement de plus de 20 millions d’euros des actionnaires à devenir également prêteurs sur Lendix, indique un communiqué. Réalisé afin de permettre à la plateforme de prêts de financer son expansion en Espagne et en Italie où la plateforme a créé des filiales, le tour de table est également réalisé auprès des actionnaires existants (Decaux Frères Investissements, Partech Ventures, Sycomore Factory, Weber Investissement et Banque Wormser Frères notamment). A noter que Partech Ventures, a annoncé que sa participation a été renforcée via un investissement de 3 millions d’euros lors du tour de table.Pour les 12 prochains mois, Lendix vise la réalisation de plus de 50 millions d’euros de prêts sur sa plateforme sur les trois marchés que sont la France, l’Espagne et l’Italie «Les prêts seront financés à la fois grâce à notre communauté de 10.000 prêteurs particuliers mais aussi grâce au recours aux investisseurs institutionnels, comme nous le faisons depuis notre lancement» a déclaré Olivier Goy dans un communiqué. Pour réaliser ces objectifs, un nouveau fonds dédié aux investisseurs institutionnels sera lancé le mois prochain et 20 recrutements sont programmés à court terme sur les trois géographies pour compléter l’équipe actuelle de 30 personnes, est-il précisé.En outre, à l’occasion du tour de table, Hélène Falchier, responsable du private equity de CNP Assurances, rejoint le conseil de surveillance de Lendix. Elle siègera aux côtés de Xavier Anthonioz (président du directoire 123Venture), Philippe Citerne (administrateur d’Accor et Edenred), Philippe Collombel (managing partner Partech Ventures), Gérard Degonse (président du conseil de surveillance de JC Decaux SA), Christian Gueugnier (directeur général délégué de Financière de l’Echiquier) et Pascal Oddo (président du conseil de surveillance de LBO France).
La société d’investissement de Singapour Temasek Holdings a annoncé une réorganisation afin « d’aligner la société avec ses priorités principales dans cette période difficile à l’échelle mondiale ». Chia Song Hwee et Dilhan Pillay ont été nommés présidents, tandis que Fidah Alsagoff, Michael Buchanan, Png Chin Yee et Juliet Teo deviennent senior managing directors.Les équipes secteur et « market investment » ont été regroupés au sein d’un même ensemble appelé Investment Group. Un pôle Portfoliop Strategy and Risk Group et un pôle Sustainability & Stewardship Group ont aussi été créés. Dans ce cadre, Bloomberg note que Boon Sim, le président pour les Amériques, quitte Temasek.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } Source is adding to its sales personnel. The European ETF provider has announced the appointment of Matt Johnson as head of distribution for the Europe, Middle East and Africa (EMEA) region. He will be based in London, and will be responsible for building the sales infrastructure of the firm in Europe. He will report to Julian Ide, CEO of Source. Johnson had previously worked at Nomura, where he had been managing director in charge of distribution for equity derivative products for the EMEA region since 2014. Before that, he had been managing director in charge of global distribution at ETF Securities. Over his career, he also served in management positions at Bank of America Merrill Lynch, Deutsche Bank, Morgan Stanley and JP Morgan Asset Management. Meanwhile, Peter Thompson, chairman of Source and one of its founders, is taking on new responsibilities, in order to “construct and maintain strategic partnerships for the business,” according to a statement. Since its launch in 2009, Source has formed several partnerships with top businesses in the industry, such as Pimco, Man GLG, LGIM, Ashmore, Rothschild and Goldman Sachs.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } It has been a mixed start to the year for Janus Capital. In first quarter 2016, the US asset management firm posted modest net inflows of USD300m. Janus has posted net inflows of USD300m from long-term products, partially offset by net inflows of USD600m to its ETF product range. Meanwhile, in the past quarter, the firm has seen a negative market effect of USD1.3bn. As a result, assets under management were down to USD191.3bn as of the end of March 2016, compared with USD192.3bn as of the end of December 2015, and USD192.4bn as of the end of March 2015. Unsurprisingly, in a context of falling assets and thus management commissions, earnings totalled USD248.5m as of the end of March 2016, down 7.2% compared with the end of December 2015 (USD267.8m), and down 5.4% compared with the end of March 2015 (USD262.7m). Profits were also down to USD35.1m as of the end of March 2016, compared with USD46.6m as of the end of December 2015, and USD44.6m as of the end of March 2015.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } “We are working to name a new chief executive by summer,” says Pietro Giuuliani, chairman and CEO of Azimut, in an interview with Milano Finanza, “His profile will be that of a man in asset management, with expertise abroad and directly or indirectly in digital,” he says. Giuliani will thus be stepping down from his position as CEO, to respond to “a specific request from the Bank of Italy.”
Credit Suisse a débauché entre 10 et 30 collaborateurs d’UBS dans la gestion de fortune au Mexique, rapporte le Financial Times. L’équipe inclut cinq managing directors ainsi que d’autres postes senior. Cela s’inscrit dans les projets de Tidjane Thiam, le nouveau directeur général de Credit Suisse, de renforcer les équipes internationales de gestion de fortune.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } Open-ended funds on sale in Italy in March posted net subscriptions of EUR7.145bn, after EUR4.536bn in February, the most recent statistics from Assogestioni, the Italian association of asset mangement professionals, reveal. In the first three months of 2016, inflows total EUR12.9bn, and assets total EUR831.3bn. In March, inflows were driven by money market funds (+EUR2.4bn) and bond funds (+EUR2.2bn). Flexible funds have taken in EUR1.5bn, while equity funds have seen inflows of EUR747m, and diversified funds, EUR454m. With the addition of closed funds and mandated management, inflows in March totalled EUR11.5bn in Italy, and assets totalled a new record of EUR1.854bn. This is the 13th consecutive month of inflows for the sector, Assogestioni notes. In the positive month of March, inflows were driven by the three main asset management groups in Italy: Gruppo Generali, with EUR2.8bn, Gruppo Intesa Sanpaolo, with EUR2.6bn, and Pioneer Investments, with EUR891m. The three companies which saw the largest redemptions were foreign. They are Franklin Templeton, which saw outflows of EUR384m, State Street Global Advisors, with outflows of EUR275m, and M&G Investments (-EUR119m).
L’Organisation pour la coopération et le développement économiques (OCDE) estime qu’un éventuel Brexit constituerait un «choc négatif majeur» pour l'économie britannique. Celle-ci se contracterait de 3% à l’horizon 2020 en cas de sortie de l’Union européenne et de 5% à l’horizon 2030 par rapport à ses niveaux actuels. Le financement de l’important déficit des comptes courants britanniques pourrait se révéler plus difficile et la livre sterling pourrait en conséquence se déprécier en cas d’un vote favorable à la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne (UE) lors du référendum du 23 juin, ajoute l’OCDE. L’Organisation estime par ailleurs qu’il en coûterait l'équivalent d’un mois de salaire pour les Britanniques d’ici 2020 en cas de sortie.
Après l’échec de son rachat par un concurrent local, Aurora Investment Management va liquider ses 5 milliards de dollars d'actifs pour rembourser ses clients.
Thomson Reuters a fait état hier d’un bénéfice trimestriel supérieur aux attentes grâce à l’amélioration de la performance de sa principale division dédiée à la fourniture de données et d’informations aux professionnels de la finance. Hors éléments exceptionnels, le bénéfice ressort à 48 cents par action au premier trimestre contre 39 cents un an auparavant. Les analystes s’attendaient en moyenne à 44 cents. Le chiffre d’affaires a progressé de 1% à 2,79 milliards de dollars (2,47 milliards d’euros) par rapport au premier trimestre 2015 à taux de change constants. Il s’inscrit en recul de 1% en données publiées.
Florent Pettenello a déposé les statuts son cabinet de conseil en gestion de patrimoine, nommé Venexia Patrimoine, au mois de mars 2016. La structure devrait être active à partir du mois de juin.
La Banque de Luxembourg Investments a renforcé son équipe de multigestion en recrutant deux nouveaux analystes-gérants en les personnes d’Amélie Morel et de Jean-Baptiste Fargeau. Ces recrutements font suite au départ d’Inès Buttet, qui avait rejoint l’équipe deux ans plutôt.
Dans le milieu des start-ups, les Fintech sont à la mode. Elles lèvent des capitaux, font des promesses sur la révolution financière annoncée. Mais in fine, l'originalité des start-ups visant le grand public demeure faible. Une intermédiation technologique, sur de la gestion financière très classique.
Thomson Reuters a fait état mardi d’un bénéfice trimestriel supérieur aux attentes grâce à l’amélioration de la performance de sa principale division dédiée à la fourniture de données et d’informations aux professionnels de la finance. Hors éléments exceptionnels, le bénéfice ressort à 48 cents par action au premier trimestre contre 39 cents un an auparavant. Les analystes s’attendaient en moyenne à 44 cents, selon le consensus Thomson Reuters I/B/E/S. Le chiffre d’affaires a progressé de 1% à 2,79 milliards de dollars (2,47 milliards d’euros) par rapport au premier trimestre 2015 à taux de change constants. Il s’inscrit en recul de 1% en données publiées.
Le principal fonds de pension canadien, le Canada Pension Plan Investment Board, qui gère 269 milliards de dollars d’actifs, a déclaré n’avoir aucune intention de revoir sa politique d’investissement dans les hedge funds, rapporte le Financial Times fund management. Un dixième des encours du fonds est investi auprès de 58 gérants de fonds externes, dont de grandes sociétés de hedge funds comme Brevan Howard, AQR, Elliott Capital et Och Ziff. Pierre Lavallée, managing director senior au sein du plan canadien, indique que les hedge funds ont ajouté une valeur « significative » au fonds.
Au quatrième trimestre 2015, le secteur belge des fonds a connu une croissance de 6,7 %, et ce, sous l’impulsion d’une part de souscriptions netteset d’autre part de hausses des cours des actifs sous-jacents. Fin 2015, l’actif net des fonds commercialisés publiquement en Belgique atteignait 172,65 milliards d’euros. L’actif net des fonds qui investissent principalement en titres à revenu fixe a augmenté de 4,8 % au cours du quatrième trimestre de 2015. L’actif net des fonds qui investissent majoritairement en titres à revenu variable, comme les fonds d’actions, a quant à lui progressé de 7,5% dans le même temps.Fin 2014, l’actif net des fonds commercialisés publiquement en Belgique s’élevait à 159,51 milliards d’euros. Sur l’ensemble de l’année 2015, à l’exception d’un recul temporaire au cours du troisième trimestre, le secteur belge des fonds a connu une tendance à la hausse. Le 31 décembre dernier, l’actif net des fonds commercialisés publiquement en Belgique dépassait de 8,2 % le niveau de l’année précédente, et ce, surtout sous l’impulsion de souscriptions nettes. Fin 2015, le plus haut historique de fin 2006 pointe à nouveau à l’horizon, indique la Beama (Association Belge des Asset Managers) dans un communiqué.
Le gestionnaire d’actifs américain Franklin Templeton Investments a annoncé la nomination de Dan O’Lear en qualité de président (« President ») de Franklin Templeton Distributors, rapporte Reuters. Dans le cadre de ses nouvelles fonctions, l’intéressé dirige l’ensemble des activités de distribution « retail » aux Etats-Unis. Il remplace à ce titre Peter Jones, qui a pris sa retraite après 27 ans d’activité. Dan O’Lear était précédemment vice-président exécutif de Franklin Templeton Distributors.
Roche-Brune AM et Markus AM unissent leurs expertises complémentaires pour dynamiser Capital Prudence, un fonds diversifié de plus de 5 ans de track record. «Le fonds est géré par délégation par Markus AM en charge de l’allocation et du pilotage du risque. L’exposition aux actions, quant à elle, a vocation à rester centrée sur les fonds Roche-Brune AM», indique un communiqué publié le 25 avril.Dans un environnement de taux bas, Capital Prudence offre une solution de placement simple, à la liquidité quotidienne, dans une enveloppe de risque encadrée tout en bénéficiant des opportunités des marchés actions et obligataires. Avec un objectif de performance de Eonia +2 % et classé risque 2 AMF, Capital Prudence a pour objectif d’offrir un rendement régulier sur l’horizon de placement recommandé de 18 mois.
Amundi a retiré un mandat sur les obligations américaines à TCW Investment Management Company, rapporte Citywire Selector. Dans une lettre aux souscripteurs, la société de gestion a confirmé que le fonds Amundi Funds – Bond US Opportunistic Core Plus sera désormais géré par Amundi Smith Breeden. Le changement n’affectera pas la politique d’investissement du fonds, ni le niveau de frais.
Le gestionnaire de fortune suisse Horus Wealth Management Group (HWMPG) se développe en Europe. Après l’ouverture de bureaux à Genève, Malte et Singapour, la société prévoit d’ouvrir un bureau à Paris ainsi qu'à Madrid, «avant la fin de l’année», précise un communiqué publié récemment à l’occasion d’une croissance externe du groupe. HWMPG a fait l’acquisition de la boutique de conseil et d’indices Finvex Group, basée à Bruxelles. Dans le communiqué commun, les deux sociétés précisent que Finvex continuera son activité de manière indépendante, mais que quelques changements au niveau du management devraient intervenir. Le nom de la société ainsi que les dénominations des indices Finvex restent inchangés.
Le gestionnaire d’actifs américain OppenheimerFunds a annoncé, ce 25 avril, le recrutement de Sharon French en qualité de responsable des solutions beta (« Head of Beta Solutions »). A ce titre, l’intéressée sera chargée d’accélérer le développement de l’activité « smart beta » de la société de gestion, activité qui repose sur la gamme Oppenheimer Factor Weighted ETF. Elle est également chargée de développer de nouveaux produits multi-factoriels afin de répondre au mieux aux besoins et attentes des clients. Basée à New York, Sharon French est rattachée directement Art Steinmetz, président (« chairman ») et directeur général d’OppenheimerFunds.Sharon French arrive en provenance de BNY Mellon où elle a officié en qualité de « Senior Strategic Advisor » auprès du directeur général et du président de BNY Mellon Investment Management, se concentrant plus particulièrement sur les activités ETF et multi classes d’actifs. Auparavant, elle a été « President » de F-Squared Capital. Avant cela, elle a travaillé chez BlackRock en qualité de responsable des clients privés et des institutionnels pour l’activité iShares et elle a passé prés de dix ans chez AllianceBernstein. Au cours de sa carrière, elle est également passée chez mPower, Smith Barney et Chase Manhattan Bank.
Au premier trimestre 2016, KKR a publié une perte économique nette de 553 millions de dollars, contre un bénéfice économique de 526 millions au premier trimestre de l’année dernière. Le résultat trimestriel aurait selon la société de private equity particulièrement souffert de la chute du cours de Bourse des titres First Data, dont KKR est le principale actionnaire. A l’issu du premier trimestre, KKR a en revanche publié une hausse de ses encours, qui sont passés de 119,5 milliards de dollars fin 2015 à 126,4 milliards à fin mars. A l’issu du premier trimestre 2015, ces encours étaient de 107,6 milliards d’euros.
La société de gestion française Tobam a indiqué à Ignites Europe être sur le point de lancer en Europe plusieurs fonds obligataire smart beta afin de répondre à la demande des banques privées. Le spécialiste actions met la dernière main à des accords avec plusieurs banques privées pour distribuer des fonds obligataires ainsi que des fonds actions. « D’un point de vue produits, l’obligataire est la prochaine grande étape pour nous », confie Christophe Roehri, managing director de Tobam. Plus précisément, la société de gestion veut se servir de son offre obligataire pour séduire les investisseurs particuliers français.