p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } Denys de Campigneulles is joining LCL as chief investment officer and as a member of the board of directors at LCL Banque Privée, chaired by Christine Saunier. In this position he replaces Silvia Bocchiotti. Since 2010, de Campigneulles had been responsible for the development and promotion of bond expertise at Amundi and a member of the executive board for bond management. De Campigneulles began his career in 1986 on the global bond markets. In 1994, he joined Amundi as international fixed income manager, and was then promoted to deputy head of the team two years later. In 1999, he participated in the creation of Amundi London, where he founded the emerging market debt management activity. In 2002, he was appointed as director of management in Seoul. Three years later, he was promoted to deputy head of Amundi for Asia, based in Hong Kong.
Dans le cadre de la politique de diversification de ses investissements, l’Ircantec (régime de retraite complémentaire du secteur public pour les agents non titulaires) a annoncé hier la création d’un fonds de 130 millions d’euros dédié principalement au financement en capital et en dette des PME et des ETI européennes, ainsi que l’investissement dans des thématiques durables. Sa gestion a été confiée à Access Capital Partners. Il s’agit du premier fonds de la poche « multi-actifs » créée en mars 2014, qui a vocation à ne pas dépasser 3% du portefeuille global de l’Ircantec au 30 avril 2014. Il s’agit d’un fonds de co-investissement, destiné aux entreprises ayant moins de 250 millions d’euros de chiffre d’affaires pour le financement en fonds propres, aux entreprises ayant moins de 500 millions pour la partie dette privée et dans des infrastructures principalement françaises, liées à la transition énergétique.
Le premier ministre Manuel Valls a engagé hier la responsabilité du gouvernement pour passer en force sur le projet de réforme du Code du travail, après l'échec d’une ultime tentative de conciliation avec les députés « frondeurs » du Parti socialiste. Le conseil des ministres, convoqué en urgence en début d’après-midi, a autorisé le chef du gouvernement à recourir à l’article 49-3 de la Constitution qui permet d’adopter sans vote un texte si une motion de censure ne le sanctionne pas. Cette décision a suscité un tollé de l’opposition mais également de la gauche non socialiste.
Nouveau revirement hier au Brésil : Waldir Maranhao, président par intérim de la Chambre des députés, est revenu sur l’annulation, la veille, du vote du 17 avril qui validait la procédure de destitution de la présidente Dilma Rousseff. La procédure devrait donc suivre son cours et mener aujourd’hui à sa suspension. La décision d’invalidation annoncée lundi par Waldir Maranhao avait fait plonger les marchés et menaçait de provoquer une crise constitutionnelle avec le Sénat. Après le revirement d’hier, le real et la Bourse de Sao Paulo se sont redressés. De son côté, l’avocat général de l’Etat brésilien, Eduardo Cardozo, a demandé hier à la Cour suprême d’annuler les procédures en destitution engagées contre la présidente.
Les stocks du commerce de gros ont à peine augmenté en mars aux Etats-unis, tandis que ses ventes ont enregistré leur hausse la plus forte depuis près d’un an, ce qui laisse penser que leur impact sur la croissance du premier trimestre aura été minime. Les stocks ont augmenté de 0,1%, après un recul de 0,6% en février, a annoncé le département du Commerce hier. La variation de mars est conforme au consensus. Les ventes ont augmenté de 0,7% en mars, leur hausse la plus forte depuis avril 2015, après un recul de 0,2% en février.
Le fonds Total Return de Pimco affiche 1 milliard de dollars de décollecte nette en avril, indique le gestionnaire américain sur son site internet. Les encours totaux atteignent désormais 87 milliards de dollars. Le fonds star souffre de la faiblesse de son rendement : ce dernier atteignait fin avril 0,31% à un an, tandis que l’indice Barclays US Aggregate affiche une progression de près de 2% à la même période. A trois ans, le rendement de Total Return atteint 1,53%, contre 2,5% pour l’indice.
Le robo-advisor WhatWeFund, en cours de développement au sein du pôle incubation de Centrale Supélec, s’est adjoint les services du sélectionneur de gérants expérimenté Bruno Lescoat.
Le groupe Natixis vient de publier les résultats de son activité pour le premier trimestre 2016. Des chiffres qui révèlent notamment des revenus stables mais une décollecte d'un milliard d'euros pour la gestion d'actifs.
A la suite d’un appel d’offres, l’Ircantec vient de sélectionner Access Capital Partners pour la gestion d’un fonds dédié non coté ayant pour objet le financement des PME/ETI françaises et/ou européennes, le financement des collectivités locales et établissements publics, et l’investissement dans des thématiques durables. Dès mars 2014, le conseil d’administration de l’Ircantec avait souhaité créer une poche «multi-actifs» dans la limite de 3% du portefeuille global, soit environ 2030 millions d’euros au 30 avril 2014. Le premier fonds dédié de cette poche aura pour vocation d’investir en co-investissement: dans des entreprises ayant moins de 250 millions de chiffres d’affaires, avec une préférence pour les entreprises de moins de 100 millions d’euros, pour la partie capital investissement; dans des entreprises ayant moins de 500 millions d’euros de chiffre d’affaires, pour la partie dette privée; dans des infrastructures principalement françaises, liées à la transition énergétique (énergie renouvelable, efficience énergétique...). Les investissements en infrastructure notamment viendront contribuer à la mise en oeuvre de la feuille de route adoptée par le Conseil d’administration de l’Ircantec le 5 avril dernier et qui inscrit résolument sa politique de placement dans une trajectoire d’investissement compatible avec un scénario 2°, incluant la dimension transition énergétique dans ses placements. L’Ircantec a choisi Access Capital Partners pour sa capacité à réaliser des opéraions en co-investissement sur le segment des entreprises de taille petite et moyenne et sur celui des petites infrastructures. La philosophie d’investissement appliquée par cette société, qui intègre des critères ESG au niveau de la sélection des supports mais également pendant toute la durée de vie de l’investissement, a également présidé au choix de ce gérant.
L’Agence France Trésor a annoncé aujourd’hui avoir servi 927 millions d’euros de soumissions non compétitives à l’issue de son adjudication de bons du Trésor (BTF) du 9 mai. Le montant total de BTF émis dans le cadre de cette opération s'élève à 6,910 milliards d’euros. Ce volume se répartit en 4,250 milliards d’euros de BTF à 13 semaines, 1,392 milliard de bons à 20 semaines et 1,268 milliard de bons à 50 semaines.
Le premier ministre Manuel Valls a engagé aujourd’hui la responsabilité du gouvernement pour passer en force sur le projet de réforme du Code du travail, après l'échec d’une ultime tentative de conciliation avec les députés « frondeurs » du Parti socialiste. Le conseil des ministres, convoqué en urgence en début d’après-midi, a autorisé le chef du gouvernement à recourir à l’article 49-3 de la Constitution qui permet d’adopter sans vote un texte si une motion de censure ne le sanctionne pas. Cette décision a suscité un tollé de l’opposition de droite et du centre droit mais également de la gauche non socialiste.
Les stocks du commerce de gros ont à peine augmenté en mars aux Etats-unis, tandis que ses ventes ont enregistré leur hausse la plus forte depuis près d’un an, ce qui laisse penser que leur impact sur la croissance du premier trimestre aura été minime. Les stocks ont augmenté de 0,1%, après un recul de 0,6% en février (-0,5% en première estimation), a annoncé le département du Commerce mardi. La variation de mars est conforme au consensus. Les ventes ont augmenté de 0,7% en mars, leur hausse la plus forte depuis avril 2015, après un recul de 0,2% en février. Malgré cela, au rythme de mars, il faudrait toujours 1,36 mois pour écouler les stocks, comme en février.
Goldman Sachs, Northern Trust et TIAA sont accusés de soutenir régulièrement les rémunérations des dirigeants dans les principales sociétés aux Etats-Unis, empêchant les efforts des autres actionnaires pour réprimer les rétributions excessives, rapporte le Financial Times fund management. Les trois sociétés de gestion ont voté en faveur des rapports de rémunérations dans 98 % des cas sur les 12 mois à fin juin 2015, selon des chiffres compilés par Proxy Insight en exclusivité pour le FTfm. BlackRock et T. Rowe Price ont quant à eux apporté leur soutien aux rapports sur les rémunérations dans 97% et 96 % des cas respectivement. D’autres investisseurs, principalement des fonds de pension, adoptent une approche bien plus agressive par rapport aux rémunérations des dirigeants. Parmi eux figurent PGGM et ABP, qui ont tous les deux voté contre plus des trois quarts des rapports sur les rémunérations aux Etats-Unis sur 2014-2015.
La plate-forme américaine LendingClub a jeté hier un froid sur l’ensemble du secteur du crowdlending en annonçant la démission de son PDG Renaud Laplanche, «star» de la finance participative, après la découverte de pratiques non conformes aux procédures du groupe, indique L’Agefi. Il est remplacé par Scott Sanborn, ancien patron du marketing et des opérations. Une enquête interne, diligentée par les administrateurs avec l’aide de conseils extérieurs, a révélé que 22 millions de dollars de prêts de qualité non-standard (near prime) avaient été vendus en mars et en avril à un investisseur institutionnel - il s’agirait de la banque Jefferies - sans respecter ses consignes.
TPG a fini de lever un nouveau fonds de 10,5 milliards de dollars pour des opérations de rachats auprès des investisseurs institutionnels, rapporte le Financial Times. La société de private equity a annoncé lundi que le fonds (son septième pour les rachats en Europe et aux Etats-Unis et au Canada) avait dépassé son objectif de 10 milliards de dollars.
Le groupe Edmond de Rothschild a annoncé la nomination de Roderick Munsters à la tête de l’ensemble de ses activités d’Asset Management à partir du 10 mai 2016. Il succède à Laurent Tignard qui, après trois ans passées à la tête d’EdRAM où Christophe de Backer - un ancien d’HSBC comme Laurent Tignard - l’avait fait venir, quitte le Groupe pour poursuivre de nouvelles opportunités professionnelles. Le nouveau directeur est placé sous la responsabilité d’Ariane de Rothschild, et fait partie du comité exécutif en tant que Global CEO Asset Management.Edmond de Rothschild qui, à la fin de l’année dernière, représentait plus de 85 milliards de francs d’encours (78 milliards d’euros) sous gestion, confirme ainsi sa volonté d’accélérer le développement en France et à l’international de cette activité emblématique du Groupe, indique un communiqué. Roderick Munsters dispose de la double nationalité canadienne et néerlandaise. Il a été chief executive officer du Groupe Robeco de 2009 à 2015, dont il a également eu la responsabilité des filiales RobecoSAM (Sustainable Investing) à Zurich et de Harbor Capital Advisors (US multi-manager) à Chicago. De 2005 à 2009, il était membre du comité exécutif et chief investment officer de ABP et APG All Pensions Group. De 1997 à 2005, Roderick a été membre du comité exécutif (Investments) de PGGM. De 1989 à 1997, il a occupé divers postes au sein du Département Investissement de Insurance Company Interpolis. Roderick Munsters est membre de Capital Markets Committee du régulateur néerlandais (AFM). Il a été président de Eumedion (Dutch Corporate Governance Forum) de 2006 à 2009. Roderick Munsters est diplômé de l’Université de Tilburg (1988) et titulaire d’un diplôme en Corporate Finance et en Financial Economics (1992).
BlackRock a l’intention de lancer cette année un fonds d’investissement en infrastructures ciblant l’Amérique latine, indique un document consulté par Reuters que cite L’Agefi. Le montant cherché n’est pas précisé et le gestionnaire d’actifs n’a pas souhaité faire de commentaires. BlackRock a fait l’acquisition de la société d’investissement mexicaine Infraestructura Institucional l’année dernière, il n’a pas caché son intention d’investir dans l'énergie, les services aux collectivités, les transports et les réseaux de communication sur le continent, en particulier au Mexique. Il dispose pour l’instant d’un milliard de dollars de souscriptions d’investisseurs.
Début d’année mitigé pour la gestion d’actifs de Natixis. Au cours du premier trimestre 2016, ce pôle d’activité a en effet subi une décollecte nette de 1 milliard d’euros, a annoncé le groupe bancaire ce 10 mai à l’occasion de la publication de ses résultats trimestriels. Dans le détail, Natixis a enregistré une collecte nette de 8 milliards d’euros en Europe, dont 4,6 milliards d’euros de monétaires, grâce au dynamisme de ses affiliés DNCA, H2O et Natixis Asset Management. En revanche, le groupe a accusé une décollecte nette de 8 milliards d’euros aux Etats-Unis, centrée principalement sur des produits de taux (6 milliards d’euros de rachats) comme au deuxième semestre 2015. A l’issue du premier trimestre 2016, les actifs sous gestion repassent sous la barre des 800 milliards d’euros pour s’établir à 776 milliards d’euros contre 801 milliards d’euros à fin décembre 2015. Outre l’effet décollecte nette, Natixis a été pénalisé par un effet de change négatif de 19 milliards d’euros et un effet périmètre négatif de 4 milliards d’euros suite aux cessions de deux petits affiliés, à savoir Snyder Capital Management et Capital Growth Management.Dans un tel contexte, le produit net bancaire de la gestion d’actifs est en contraction de 2% sur un an, principalement du fait de la baisse de 16% des actifs sous gestion aux Etats-Unis. Le PBN s’établit ainsi à 626 millions d’euros à fin mars 2016 contre 639 millions d’euros à fin mars 2015. Pour autant, son résultat avant impôt progresse de 7% sur un an pour atteindre 192 millions d’euros à fin mars 2016 contre 178 millions d’euros à fin mars 2015. Dans son ensemble, le pôle Epargne de Natixis – qui regroupe la gestion d’actifs, l’assurance et la banque privée – a dégagé des revenus de 825 millions d’euros au premier trimestre 2016, stables par rapport au premier trimestre 2015, « incluant une hausse des marges en gestion d’actifs et une forte croissance de tous les segments de l’assurance », indique Natixis dans un communiqué. Par ailleurs, les charges ont augmenté de 1% sur un an pour s’inscrire à 590 millions d’euros à fin mars 2016 contre 583 millions d’euros à fin mars 2015. Ainsi, le résultat brut d’exploitation du pôle Epargne est en repli 3% à 234 millions d’euros contre 240 millions d’euros il y a un an. A l’inverse, le résultat avant impôt progresse de 6% pour atteindre 256 millions d’euros au 31 mars 2016 contre 242 millions d’euros au 31 mars 2015.En prenant en compte l’ensemble du périmètre géographique et des activités de Natixis, le groupe bancaire a enregistré un produit net bancaire de 2,08 milliards d’euros à fin mars 2016, en repli 3% sur un an. Son résultat avant impôt diminue 19% pour atteindre 427 millions d’euros contre 527 millions d’euros un an auparavant. Enfin, son résultat net part du groupe ressort à 213 millions d’euros à fin mars 2016 contre 260 millions d’euros à fin mars 2015, soit un recul de 18% sur un an.
Sur le réseau social professionnel Linked-in, le profil de Sébastien Masson indique que l’ancien Managing Director Business Development de Natixis Global Asset Management Private Equity entre novembre 2010 et avril 2016 est désormais Managing Director Business Development chez Darius Capital Partners.Entre 2006 et 2010, le responsable avait occupé la fonction de Managing Director European Sales chez NGAM Distribution International.
Le cabinet de conseil en investissement bfinance a annoncé l’arrivée de fonds de Private Equity gérés par Baird Capital dans la société. L’actuel directeur général de bfinance, David Vafai, va continuer de diriger l’entreprise dans cette nouvelle phase de développement. Il sera rejoint au conseil d’administration par Andrew Ferguson, directeur général chez Baird Capital, et Mark Brownlie, directeur financier de bfinance. Tim Trotter qui est président non exécutif au sein de plusieurs sociétés financières et de grandes sociétés de gestion d’actifs, rejoint également le conseil d’administration en tant que président.L’opération doit permettre de fournir un soutien à la croissance de bfinance sur le plan international. Le cabinet de conseil bénéficiera également des ressources et des expertises de Baird, spécialiste reconnu de l’accompagnement des sociétés en forte croissance, pour ouvrir de nouveaux réseaux et marchés ainsi que pour renforcer la capacité de bfinance d’attirer et de retenir les meilleurs talents dans ses équipes de recherche et sélection de gérants, et plus largement dans ses différents services.bfinance conseille les investisseurs institutionnels les plus importants et les plus sophistiqués dans le monde, que ce soit des caisses de retraite et fonds de pension privés ou publics, des compagnies d’assurance, des fonds souverains, des fondations, ou des family offices présents dans plus de 25 pays à travers le monde.A noter que les derniers mandats de grande envergure pour bfinance comprennent une mission d’accompagnement global en appel d’offres marchés publics pour une caisse de retraite française (1,1 milliard d’euros en cumulé sur quatre classes d’actifs), un nouvel appel d’offres dans le domaine des plates-formes d’investissement dédiées externalisées (concept « PICIM1 ») dans le cadre des passifs sociaux d’une grande multinationale française (2,5 milliards d’euros), une recherche et sélection en private equity (1 milliard de dollars) pour un fonds de pension public suédois, et une mission de conseil pour la mise en place d’un programme de stratégies en bêta alternatif pour un fonds de pension américain (1,2 milliard de dollars).
L’UFF, qui publiait hier ses résultats financiers pour le premier trimestre 2016, a fait état d’un produit net bancaire de 47,5 millions d’euros, en baisse de 4% par rapport à celui du premier trimestre 2015. Il comprend une charge financière de 0,5 millions d’euros correspondant à des moins-values réalisées sur des placements et des provisions pour dépréciations durables.La collecte commerciale s’est élevée à 308 millions d’euros en baisse de 4% par rapport au premier trimestre 2015. Dans le détail, les valeurs mobilières ont reculé de 47%. L’assurance-vie est en retrait limité de 2% avec une part croissante investie sur des contrats en euros (47% contre 34% au premier trimestre 2015). A noter que l’immobilier direct est en croissance de 9% en majorité grâce au dispositif Pinel et les souscriptions en parts de SCPI ont progressé de 51%.La collecte nette s’élève à 44 millions d’euros soit -9% par rapport au premier trimestre 2015 (48 millions d’euros ) en raison d’une augmentation de 7% des rachats et du remboursement de fonds dissous pour 16 millions d’euros (aucun remboursement au premier trimestre 2015). Les actifs administrés s’établissent à 11,2 milliards d’euros au 31 mars 2016 (-3% par rapport au premier trimestre 2015).Les commissions sur en-cours s’élèvent à 28,1 millions d’euros contre 31,5 millions d’euros au 31 mars 2015, soit une baisse de 11% en lien avec la baisse des actifs moyens gérés. En 2016, certaines initiatives digitales visant à enrichir l’expérience client devraient voir le jour, indique l’UFF dans un communiqué. Par ailleurs, la société a renforcé ses différentes enveloppes fiscales (FIP, Holding, groupements forestiers) et de nouvelles stratégies patrimoniales haut de gamme sont en cours d’élaboration «afin de permettre la consolidation de (sa) position sur le segment de clientèle de la gestion privée».
Les hedge funds activistes ont eu une activité particulièrement soutenue depuis le début de l’année. Ainsi, sur le seul mois d’avril, une centaine d’entreprises, dont 80 aux Etats-Unis, ont été ciblées par des activistes, comme l’an dernier, rapporte le quotidien économique Les Echos. Sur les quatre premiers mois de l’année, ce sont ainsi 333 sociétés qui ont subi les assauts des fonds, selon des chiffres d’Activist Insight. Il faut dire que ces fonds disposent d’une force de frappe considérable. Les capitaux détenus par les activistes ont grimpé de 58,5 à 135,5 milliards de dollars entre 2004 et fin 2015. Dans le même temps, le nombre de fonds a progressé de 170 à 280, selon des données de Standard & Poor’s reprises par Les Echos. Aux Etats-Unis, leurs cibles privilégiées ont des valeurs dont la capitalisation boursière est comprise entre 2 et 10 milliards de dollars, soit 43% de leurs placements. Par ailleurs, les petites et moyennes sociétés représentent plus des deux tiers des cibles de fonds et les grandes entreprises autour de 30%.
Au cours du mois d’avril, les ETF cotés à l’échelle mondiale ont enregistré une collecte nette de 10,13 milliards de dollars, réalisant ainsi un 27éme mois consécutif de souscriptions nettes, selon des données publiées le 9 mai 2016 par ETFGI. Dans le détail, les ETF obligataires ont engrangé 7,73 milliards de dollars de flux nets entrants, devant les ETF actions qui ont enregistré 2,39 milliards de dollars de collecte nette. A l’inverse, les ETF matières premières ont subi une décollecte nette de 136 millions de dollars au cours du mois écoulé. Au cours du mois d’avril, la palme de la plus forte collecte nette revient à iShares qui a capté 6,01 milliards de dollars de flux nets entrants, suivi par Vanguard (5,98 milliards de dollars de collecte nette) et ProShares (1,18 milliard de dollars de collecte nette).Depuis le début de l’année 2016, la collecte nette des ETF dans le monde a atteint 79,4 milliards de dollars, note ETFGI. Les ETF obligataires ont attiré 48,66 milliards de dollars de flux nets entrants, suivis des ETF matières premières (14,42 milliards de dollars de collecte nette). Grâce à ces afflux massifs de capitaux, les encours des ETF cotés dans le monde ont atteint le niveau record de 3.137 milliards de dollars à fin avril 2016. Dans le détail, les encours des ETF cotés aux Etats-Unis s’élèvent à 2.217 milliards de dollars à fin avril. En Europe, les encours des ETF ressortent à 533,34 milliards de dollars tandis qu’au Japon les actifs sous gestion des ETF ont atteint 145,93 milliards de dollars. En Asie-Pacifique, les ETF affichent des encours de 125,21 milliards de dollars. Enfin, au Canada, les encours des ETF s’élèvent à 77,42 milliards de dollars.
Vontobel annonce la nomination de Henrik Rox Hansen au poste de responsable asset management pour la Scandinavie et les Pays-Bas. Sa mission est de renforcer le présence de Vontobel AM sur ces marchés, en mettant l’accent sur la clientèle des investisseurs «wholesale» et institutionnels, a indiqué la banque lundi 9 mai dans un communiqué. L’intéressé rejoint Vontobel AM en provenance de Janus Capital, où il était dernièrement responsable de la division affaires nordiques et en charge du développement auprès de la clientèle institutionnelle.
Invesco PowerShares envisage de lancer une plate-forme de conseil robotisé en Europe, suite à l’acquisition de Jemstep, une société de conseil numérique aux Etats-Unis en début d’année, rapporte Ignites Europe. Byron Lake, responsable de PowerShares pour l’Europe, le Moyen-Orient et l’Afrique, indique que la société « étudie » si elle peut proposer des service de « robo-advice » similaires en Europe.
Credit Suisse a annoncé la création d’une co-entreprise qui regroupera ses unités gestion de fortune internationale et banque universelle suisse, selon Reuters, qui s’est vu confirmer par le groupe suisse des informations parues dans le journal Schweiz am Sonntag. Cette co-entreprise chapeautera l’activité gestion d’actifs du groupe. En début de mois, Credit Suisse avait annoncé sa volonté de remanier en profondeur sa division de gestion de fortune afin de réduire ses coûts de plusieurs centaines de millions de francs suisses, suite à un début d’année difficile. La banque suisse a fait état pour le compte du premier trimestre d’un bénéfice net en baisse de 64% à 707 millions de francs suisses (642 millions d’euros).
Conséquence de rendements en baisse pour les placements en actions, les institutions de prévoyance suisses ont vu leur situation de financement se dégrader au premier trimestre 2016, note L’Agefi suisse. Pour les caisses de pension de droit privé, le taux de couverture pondéré en fonction des encours a chuté à 109,2%, soit un recul de 1,6 point sur le trimestre selon le moniteur des caisses de pension publié par Swisscanto. Les institutions de prévoyance de droit public à capitalisation complète ont présenté une évolution semblable, leur taux de couverture se contractant de 1,3 point à 99,3%.
Le conseil d’administration d’IGM Financial a annoncé la nomination effective à compter du 6 mai 2016 de Barry McInerney au poste de président et directeur général de Mackenzie Investments. L’intéressé, qui compte plus de 25 ans d’expérience dans la gestion d’actifs, a notamment été co-directeur général de BMO Global Asset Management.Barry McInerney succède ainsi à Jeffrey R. Carney, qui était président et directeur général de Mackenzie Investments et co-président et directeur général d’IGM Financial depuis 2013. A compter du 6 mai, Jeffrey Carney a été nommé président et directeur général d’Investors Group et président et directeur général d’IGM Financial.IGM Financial est l’une des plus importantes sociétés de services financiers et l’une des plus grandes sociétés de gestion du Canada, avec environ 132 milliards de dollars canadiens d’actifs sous gestion.
Le président de la banque italienne Unicredit, Giuseppe Vita, a contesté lundi des problèmes liés à la gouvernance après qu’un article du Financial Times eut relancé les spéculations sur un possible changement à la tête de la banque, rapporte l’agence d’informations suisse AWP. Le Financial Times cite lundi, de façon anonyme, l’un des dix premiers actionnaires de la banque, qui affirme qu’Unicredit a besoin d’une augmentation de capital, ce qu’elle «ne peut faire avec le management actuel car ils ont perdu la confiance des marchés». En cause notamment: le fait qu’Unicredit ait accepté de garantir l’essentiel de l’augmentation de capital menée par Banca Popolare di Vicenza. Alors que celle-ci n’a suscité qu’un intérêt très faible des investisseurs, l’opération a finalement dû être souscrite en totalité par le tout récent fonds Atlante de soutien aux banques.
Fideuram Intesa Sanpaolo Private Banking a enregistré au premier trimestre 2016 des souscriptions nettes de 1,9 milliard d’euros, en repli de 12 %, et un bénéfice net consolidé de 213 millions d’euros, en hausse de 7 %, rapporte Bluerating. Les encours sous gestion se montent à 129,2 milliards d’euros, tandis que les encours conseillés ressortent à 31,5 milliards d’euros.