BlackRock a enregistré au premier trimestre une collecte nette d’actifs de long terme de 55 milliards de dollars, avec des entrées nettes positives dans les stratégies indicielles comme dans les stratégies actives, a annoncé ce 12 avril le géant américain de la gestion d’actifs. Les fonds indiciels cotés iShares ont enregistré une collecte nette de seulement 34,6 milliards de dollars contre 64,5 milliards de dollars un an plus tôt. Les actifs sous gestion s’inscrivaient à 6.320 milliards de dollars à fin mars 2018 contre 6.290 milliards de dollars à la fin du quatrième trimestre.BlackRock souligne que les clients institutionnels ont été particulièrement actifs au premier trimestre, en raison notamment des pics de volatilité observés au premier trimestre, des tensions commerciales exacerbées, et des préoccupations liées à l'évolution des taux et de l’inflation. La collecte nette institutionnelle s’est élevée à 3 milliards de dollars, qui se décomposent en un peu plus de 7 milliards de sorties nettes pour les stratégies actives et de 10,4 milliards de dollars d’entrées nettes pour des stratégies passives, dont 17,5 milliards de dollars de collecte dans l’obligataire, en partie effacée par 7,2 milliards de dollars de rachats sur les actions. Dans le détail, les entrées nettes de long terme se sont élevées à 57,3 milliards de dollars pour la région Amériques et à 3,2 milliards de dollars pour la région Asie-Pacifique mais l’activité dans la région Europe, Moyen-Orient, Afrique (EMEA) a donné lieu à des sorties nettes de 5,9 milliards de dollars. Du côté des résultats financiers, le chiffre d’affaires tiré de l’activité de conseil, des commissions de gestion et de prêts de titres a progressé au premier trimestre de 17% à 2,95 milliards de dollars contre 2,52 milliards de dollars un an plus tôt. Le chiffre total a augmenté de près de 16% à 3,58 milliards de dollars. Le bénéfice net du premier trimestre ressort à 1,09 milliard de dollars, soit 6,68 dollars par action, contre 859 millions de dollars, soit 5,21 dollars par action, au titre du premier trimestre 2017.
Directrice de la stratégie vis-à-vis de la clientèle chez Winton Capital jusqu’en février dernier, Marie Caroline Stievenart, a quitté le hedge fund britannique pour rejoindre Capital Fund Management (CFM), un hedge fund français, en tant qu’executive director, indique Investment Europe. Titulaire d’un master HEC, Marie Caroline Stievenart a fait l’essentiel de sa carrière chez HSBC avant de rejoindre Winton en 2013.
Groupama AM lance G Fund - Absolute Return Bonds, un fonds de performance absolue multi classes d’actifs obligataires, dont l’objectif est de surperformer l’Eonia capitalisé, par le biais d’investissement sur des supports obligataires et monétaires dont la répartition sera optimisée pour atteindre l’objectif d’investissement. La société de gestion renforce ainsi sa gamme de fonds « unconstrained ».L’équipe de gestion déploie des stratégies directionnelles ou d’arbitrages, en respectant une cible de volatilité annualisée maximum de 5% sur les marchés internationaux de taux d’intérêt, du crédit ou des devises. Des positions acheteuses et vendeuses sur ces instruments peuvent être initiées. Dynamique et flexible, la stratégie d’investissement, non contrainte, exploite tous les moteurs de performance de l’univers obligataire via trois types d’approches différents: directionnelle, relative value et assurantielle. Sans biais directionnel structurel, le fonds a vocation à générer de la valeur dans toutes les configurations de marché. L’équipe de gestion intègre un budget de risque global défini par moteur de performance et par l’activation de stop loss sur chaque stratégie, en cas d’évolution défavorable. Julien Moutier et Laurent Pommier sont co-gérants du fonds. « La demande de nos clients pour des fonds de performance absolue obligataire s’est traduite par plus de 500 millions d‘euros de collecte en deux ans pour notre fonds G Fund Alpha Fixed Income. Avec le lancement de G Fund Absolute Return Bonds, nous capitalisons sur la qualité de nos gestions pour leur proposer une nouvelle brique d’investissement », commente Thierry Goudin, directeur du développement.
Franklin Resources, la maison-mère de Franklin Templeton Investments, a annoncé ce 12 avril que son conseil d’administration a autorisé la société à procéder à un nouveau programme de rachats d’actions. Ce nouveau plan porte sur le rachat de 80 millions d’actions dans le cadre d’opérations de marché ou hors marché, selon un communiqué. « La taille et le calendrier de ces rachats dépendront du prix, des conditions de marché et d’activités, ainsi que d’autres facteurs », précise Franklin Resources. Ce nouveau programme vient s’ajouter à un précédent plan de rachat d’actions, dont environ 15,9 millions d’actions étaient encore disponibles au 31 mars 2018. Du 1er janvier 2018 au 31 mars 2018, la société a déjà racheté environ 11,1 millions d’actions. Depuis le 1er janvier 2018, le titre Franklin Resources a perdu 25,04%, sa capitalisation boursière ressortant à 17,9 milliards de dollars.
La société d’investissement Eurazeo a annoncé, hier, avoir réalisé l’acquisition de 70% du capital de la société d’Idinvest Partners. Le 5 février dernier, Eurazeo avait annoncé un accord définitif selon lequel l’IDI, société d’investissement cotée sur Euronext Paris, s’engageait à vendre l’intégralité de sa participation dans Idinvest, soit 51% du capital. « Le prix d’acquisition des titres payé à la finalisation de l’opération s’élève à 230 millions d’euros et valorise Idinvest à 310 millions d’euros, indique Eurazeo dans un communiqué. Idinvest conservera son autonomie de gestion avec une équipe de management inchangée, qui continue de détenir 30% du capital. »Fondée en 1997, Idinvest Partners a financé près de 4.000 entreprises européennes à travers ses trois lignes de métier : Capital Innovation et Croissance, Dette Privée, transactions secondaires, Mandats & Fonds dédiés. La société gère 7 milliards d’euros pour le compte de compagnies d’assurances et de grands institutionnels, mais aussi pour 80.000 particuliers. « Cette opération s’inscrit dans la stratégie de long terme d’Eurazeo de devenir le partenaire de référence des entreprises et des entrepreneurs, à tous les stades de leur développement, ajoute la société d’investissement. Elle conforte également son modèle dual à travers le développement de la gestion pour compte de tiers. »
Olivier Samain, parti de la direction de la distribution réseaux tiers (CGPI, Courtiers et Banques) d’AXA France en janvier (chez Axa Thema notamment), a rejoint Generali France. Il y est devenu directeur des partenariats et opérations CGPI au sein du marché Épargne et gestion de patrimoine. Il est rattaché à Sonia Fendler, membre du comité exécutif de Generali France en charge du marché Épargne et gestion de patrimoine.Olivier Samain débute son parcours en 1989 à la Banque Worms où il découvre les prémices de la création du métier de CGPI. Il y occupe successivement les fonctions de commercial en charge de la distribution de la gestion d’actifs pour compte de tiers au sein de la direction des placements et réseau de vente, puis responsable des relations siège / agences sur l’activité gestion de patrimoine au sein de la direction de la clientèle privée jusqu’en 1993.En 1993, il est nommé directeur commercial de THEMA VIE (alors filiale de la Banque Worms et de l’UAP), où il prendra en charge la création et le développement de la marque auprès des réseaux non captifs dont les Banques de Gestion Privée et les CGPI. En 2003, il devient responsable des Partenariats Financiers CGPI au sein d’AXA THEMA. En 2013, il devient responsable de la distribution réseaux tiers (CGPI, Courtiers et Banques) au sein d’AXA France.Olivier Samain, 52 ans, est diplômé de l’Institut de Formation aux Affaires et à la Gestion (IFAG) de Paris et diplômé du Centre d’Etudes Supérieures de Banque (CESB) Gestion de Patrimoine.« Dans le cadre de notre projet d’entreprise Excellence 2022, nous avons l’ambition de poursuivre notre développement sur le marché de l'épargne et de la gestion de patrimoine. La grande expérience d’Olivier sur le marché des CGPI va renforcer notre connaissance des attentes de nos partenaires et notre présence au plus près d’eux. Nous nous réjouissons de son arrivée parmi nous », précise Sonia Fendler.
La société de capital investissement indépendante Pragma Capital, spécialisée sur les PME avec 700 millions d’euros levés, change de nom et devient Sparring Capital. Ce changement de nom s’accompagne d’une redéfinition de la stratégie. Sous la houlette d’Arnaud Leclercq, président du directoire de la société depuis début 2015, Sparring Capital recentre sa stratégie d’investissement sur des prises de participation majoritaires au capital de «smidcap» sélectionnées pour leur potentiel de croissance et de leadership sur leur marché avec un focus sur les deals de transmission. «Notre ambition est de devenir l’acteur incontournable de la transmission des entreprises smidcap en France», selon Arnaud Leclercq, qui a dirigé par le passé le bureau français de Gimv. De son point de vue, le segment des «smidcap» en France offre de belles perspectives en raison de sa profondeur et de l’augmentation du nombre de situations de transmission.Sparring Capital prendra des tickets unitaires compris entre 7,5 et 15 millions d’euros dans des cibles dont le chiffre d’affaires compris entre 10 millions et 50 millions d’euros dans le cadre d’une approche multisectorielle avec une expertise marquée dans le B2B. En attendant, la société de gestion souligne le bon démarrage de son fonds 3, bouclé à 100 millions d’euros, déjà déployé à 50% et présentant des perspectives de plus-values attractives avec 6 investissements réalisés et 2 cessions.Sparring Capital prépare la levée d’un fonds successeur dédié au même compartiment de marché mais d’une taille supérieure grâce au renforcement envisagé de l'équipe pour accroître sa capacité de déploiement et de suivi des participations. La société étudie également les possibilités de diversifier son offre avec une stratégie d'élargissement de la proposition aux entreprises qui pourrait passer par le capital-développement ou encore le segment du LBO small cap.
La banque privée espagnole A&G Banca Privada a annoncé le recrutement de Laura Suarez en qualité de directrice du marketing et de la communication. L’intéressée sera directement rattachée à Jorge Lovaco, directeur général de la banque privée. Sa mission sera de renforcer les positions d’A&G dans le marché de la banque privée espagnole. Laura Suarez compte plus de 20 ans d’expérience dans les marchés financiers et la gestion d’actifs. Elle a débuté sa carrière chez Bank of New York à Bruxelles et elle a travaillé en Espagne pour des sociétés de gestion comme Franklin Templeton, Aviva Investors et Santander Asset Management.
Anacap et Pimco renforcent leur pari sur le marché des créances douteuses italiennes, rapporte Il Sole – 24 Ore. Après avoir investi dans certaines tranches de créances douteuses de différentes banques italiennes, les deux sociétés ont formalisé hier leur entrée au capital de Phoenix Asset Management, opérateur spécialisé dans la gestion de portefeuilles de créances douteuses. Anacap et Pimco détiendront chacun 30 % du capital, tandis que les actionnaires fondateurs de Pam (Steve Lennon, Paolo Lo Giudice et Roberto Tavani) conserveront 40 %.
La société de gestion du groupe norvégien Storebrand a nommé Robert Vicsai en tant que nouveau directeur pour la clientèle institutionnelle de Storebrand Kapitalförvaltning (Asset Management) pour le marché suédois, rapporte Investment Europe. L’intéressé travaillait précédemment pour Lifeplan.
EG Capital Advisors, une société d’investissement basée à Londres, a lancé le fonds Ucits Emerging Markets Corporate High Yield. Il s’agit d’un compartiment du EG Capital Advisors Irish Collective Asset-management Vehicle (ICAV). Cela fournira aux investisseurs un accès à la stratégie EG Capital Advisors Emerging Markets Corporate High Yield qui est investie dans les obligations corporate haut rendement des marchés émergents libellées en dollars. Cette stratégie a été lancée en 2009 et représente actuellement 500 millions de dollars.
La boutique de gestion Capitulum Asset Management, que vient de créer l’ancien responsable de la gestion chez LBB-Invest (depuis intégrée dans le groupe Deka), lance, en partenariat avec Universal Investment, deux stratégies de taux, Capitulum Weltzins-Invest Universal, un fonds obligataire international dédié aux devises locales, avec sa variante offrant une couverture taux et devises Capitulum Renenstrategie optimiert Universal. Les deux stratégies proposent des parts pour les investisseurs institutionnels et les investisseurs privés.Le fonds se caractérise notamment par une diversification très marquée dans l’allocation cible à tous les niveaux avec plus de 70 devises et plusieurs centaines d'émissions obligataires d'émetteurs variés. Les risques de défaut seront limités par la priorité donnée aux émetteurs supranationaux comme les banques de développement.
La banque privée allemande Metzler veut développer son expertise dans la gestion des retraites. Depuis le 1er avril, la banque privée dispose d’un nouvelle entité dédiée, Metzler Pension Management, qui devrait lui permettre de se positionner comme un spécialiste reconnu des régimes de pension d’entreprises, souligne un communiqué. En plus des véhicules déjà disponibles comme les fonds de pension ou les Contractual Trust Arrangements (CTAs), Metzler souhaite proposer à l’avenir des services de conseil et proposer notamment des stratégies d’investissement dédiées pour les engagements de retraite en utilisant par exemple la gestion sous contrainte de passif (ALM) ou la structuration des allocations d’actifs stratégiques. Metzler Pension Management répond aussi à la demande croissante de la clientèle qui, parallèlement à la gestion des actifs et des risques professionnels, souhaite également disposer d’une offre de conseil en matière de retraite. Le communiqué souligne que la nouvelle entité travaillera en étroite collaboration avec Metzler Asset Management.Les dirigeants de la nouvelle entité sont Christian Remke, responsable Front Office, Martin Thiesen (ex-DWS spécialiste de la gestion ALM)), responsable Middle Office, et Steffen Beltz, responsable Back Office.
Universal-Investment a annoncé, ce 12 avril, le recrutement de Marcus Kuntz en qualité de responsable des ventes à l’international avec pour mission de se concentrer sur les gestionnaires d’actifs internationaux basés en Europe. Dans cette perspective, Marcus Kuntz va constituer une équipe basée à la fois au Luxembourg et à Francfort et qui compte déjà deux collaborateurs.Marcus Kuntz a plus de 18 ans d’expérience dans la vente de services et les relations clientèle, principalement au sein de State Street Bank à Francfort et à Zurich, dernièrement en qualité de responsable «Asset Manager Solutions» pour l’Europe continentale et responsable des ventes pour la Suisse.
La société de gestion Prime Capital, basée à Francfort et spécialisée dans les investissements alternatifs, vient de recruter Benjamin Sauveur en qualité de responsable «Client Solutions» au sein de l'équipe en charge de la région germanophone (Allemagne, Autriche, Suisse), rapporte le site spécialisé Fondsprofessionell. Dans ses nouvelles fonctions, Benjamin Sauveur, basé à Francfort, aura pour mission d'élargir la base de clientèle de la société de gestion et de promouvoir les stratégies d’investissement alternatives liquides de Prime Capital. Il est rattaché à Andreas Kalusche, membre du directoire.Benjamin Sauveur a plus de douze ans d’expérience dans la distribution de fonds. Avant de rejoindre Prime Capital, il travaillait à la Bremer Kreditbank, après des passages chez Delta Lloyd Asset Managementr, Ökoworld et Pictet Asset Management à Genève et Londres.Les actifs sous gestion de Prime Capital s'élèvent à plus de 10 milliards d’euros.
Private investors are increasingly interested in private equity and real estate, and BNP Paribas Wealth Management is planning to benefit from that. “In the past 12 months, we have seen a growing appetite on the part of our clients for private equity and private real estate. In this continuing low interest rate environment, investors are seeking diversification in their investments and double-digit returns on their portfolios. In 2018, our objective is to raise nearly EUR1bn,” says Claire Roborel de Climens, head of private and alternative investments at BNP Paribas Wealth Management.“The private funds which we are planning to launch in the next six months will allow clients to be involved as actors in the real economy in Europe, Asia and the United States, where highly-performing companies still have strong potential for growth, and where it is also possible to deploy real estate strategies with creation of value. These strategies meet demand from our clients, and for BNP Paribas Wealth Management represent an area of differentiation, which supports the growth of activities,” it says.Before launching its offensive, BNP Paribas Wealth Management has been able to confirm interest in alternative asset classes, through a study. Private equity and private real estate funds represent on average the largest asset class for private investors, with 16.3% of their portfolios, which are then made up of 15.8% cash and 15.3% equities, according to the “BNP Paribas Wealth Management 2018 private investment study.“ Additionally, 50% of high net worth investors indicate that they are prepared to invest up to USD500,000 in private equity and/or private real estate funds in 2018, and 40% of potential investors are likely to invest in these asset classes in the near future. More than one third of them use these investments to balance out their global portfolios, and a similar percentage are oriented to this asset class by their private bankers.The study, “Etude investissements non cotés BNP Paribas Wealth Management 2018,” was undertaken by Scorpio Partnership for BNP Paribas Wealth Management was based on responses from 337 high net worth individuals in nine countries in Europe, Asia and the Gulf, with at least USD5m in investable assets.
Last year, claims to the mediator at the French financial regulator, the Autorité des marchés financiers (AMF), continued to be dominated by the two leading subjects of past years: speculative trading and employee savings, the mediator says in its 2017 annual report, published on 12 April. Employee savings cases rose last year to 211, from 186 in 2016. Cases of early release (22% of applications) and difficulties in assignation (19%) are the most frequent problems. Although real efforts by market-makers have been seen in the areas of legibility and accessibility of PEE, risks of confusion and misunderstanding persist for employees. At a time when the Pacte law is being debated, particular attention is being paid to the evolution of PERCOs, on which topic the regulator is currently formulating recommendations to the professional authorities.Applications for legal action related to Forex have been steeply reduced and have amplified the decline already observed in 2016. With 55 cases received which name licensed companies (while 43 cases were referred to the French prosecutor, as the companies were illegal), this represents a decline of 50% compared with the previous year, in which the impact of the mobilization of the regulator to combat this phenomenon can be observed. In this light, 2017 has seen the planned rollout of the Sapin II law, which prohibits advertising of the most toxic products. However, the 27 particular cases received relating to investment in diamonds reveal a possible transfer of this attempted fraud. No professionals in the sector had been authorised by the AMF to date, as they are now required to be since May 2017, and so the mediator was not able to intervene, as these court referrals were to criminal court.a
p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; } The ERES III fund from Edmond de Rothschild, and its partner Palladium Equity, a US venture capital fund, on 12 April announced that they have sold the US company Prince International, a maker of specialty mineral products, to the US venture capital fund American Securities, in late March 2018. ERES III, a minority private equity, multi-sector and multi-region fund of the Edmond de Rothschild platform, is reported to have brought in EUR300m, and to have completed its first exit les than 18 months after its final closing. The round of fundraising at entry to ERES III has allowed Prince to acquire Erachem (a company specialised in Manganese), extending its portfolio of products and clients, and doubling the size of the business. As planned at the time of investment, through the integration of Erachem, significant synergies have been generated for Prince. Additonally, the company has made an additional acquisition in Europe, and has benefited from the rebound in the US oil and gas sector. In order to capitalise on this positive dynamic, a mandate to sell was given to Goldman Sachs in third quarter 2017. Following a competitive bidding process, the US private equity fund American Securities emerged as the buyer of Prince on 20 March 2018, Edmond de Rothschild says in a statement.
p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; } Groupama AM is launching G Fund – Absolute Return Bonds, a multi-asset class absolute return bond fund, with the objective of outperforming the capitalised Eonia, via investment in bond and money market instruments, whose distribution will be optimized to achieve the investment objective. The asset management firm is adding to its range of uconstrained funds. The management team deploys directional or arbitrage strategies, respecting an annual maximum volatility target of 5% on international interest, credit or currency markets. Long and short positions on instruments may be held. The unconstrained investment strategy is dynamic and flexible, and exploits all drivers of performnace in the bond universe, via three different types of approach: directional, relative value, and insurance. Without structural directional bias, the fund aims to generate value in all market configurations. The management team integrates a global risk budget defined for each driver of performance and stop loss activation on each strategy. Julien Moutier and Laurent Pommier are co-managers of the fund. “Demand on the part of our clients for absolute return bond funds has brought in over EUR500m in inflows in two years for our G Fund Alpha Fixed Income fund. With the launch of G Fund Absolute Return Bonds, we are capitalising on the quality of our management to offer a new investment building brick,” says Thierry Goudin, director of development.
La boutique de gestion Capitulum Asset Management, que vient de créer l’ancien responsable de la gestion chez LBB-Invest (depuis intégrée dans le groupe Deka), lance, en partenariat avec Union Investment, deux stratégies de taux, Capitulum Weltzins-Invest Universal, un fonds obligataire international dédié aux devises locales, avec sa variante offrant une couverture taux et devises Capitulum Renenstrategie optimiert Universal. Les deux stratégies proposent des parts pour les investisseurs institutionnels et les investisseurs privés.Le fonds se caractérise notamment par une diversification très marquée dans l’allocation cible à tous les niveaux avec plus de 70 devises et plusieurs centaines d'émissions obligataires d'émetteurs variés. Les risques de défaut seront limités par la priorité donnée aux émetteurs supranationaux comme les banques de développement.
p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; } Union Investment has announced the acquisition of a realty complex in Mannheim, with 20,000 square metres. Campusimmobilie Elements, is 98% leased to 20 companies in different sectors. The sale price has not been disclosed. The operation has been made on behalf of the dedicated fund Union Campus Nr. 1, launched jointly by Union Investment and Investa Capital Management (ICM).
Fideuram - Intesa Sanpaolo Private Banking and the shareholders of Morval Vonwiller Holding SA – having obtained the required authorisations of the competent supervisory authorities – have announced the completed acquisition of the Swiss group, including Banque Morval SA. By means of this acquisition, Intesa Sanpaolo is reinforcing its own presence on the international private banking markets through its own division (already operational in Lugano, London and Luxembourg) and benefiting from the expertise of the Morval Vonwiller group. Four members of the Zanon di Valgiurata family (founders of Morval Vonwiller Holding SA) remain as minority shareholders, maintaining key positions and active roles in the group’s operational management. The operation is a first step in realising the strategy outlined in the 2018-2021 Business Plan of the Intesa Sanpaolo Group: to become one of the first five private banks in Europe and the second in the Eurozone in terms of assets under management, with the objective of a net inflow of assets under management of € 55 billion in 2021. The acquisition of the Swiss group, which will become part of Intesa Sanpaolo’s Private Banking division, marks the start of the creation of the European private banking hub, which will be based in Switzerland; the London subsidiary will also report to this hub, in line with the international growth of Fideuram – Intesa San Paolo Private Banking, which is already under way.
WisdomTree Investments, an exchange-traded fund and exchange-traded product sponsor and asset manager, announced yesterday that it has completed its previously announced acquisition of ETF Securities’ European exchange-traded commodity, currency and short-and-leveraged business, which includes USD17.6 billion of assets under management as of 10 April 2018. With the addition of ETFS, WisdomTree’s AUM has increased to approximately USD63.4 billion globally as of 10 April 2018. The acquisition elevates WisdomTree to the 9th largest ETP sponsor globally and the largest global independent ETP provider based on AUM, with significant scale and presence in the US and Europe, the two largest ETP markets. Consideration for the acquired business was USD253 million of cash and stock consideration equivalent to 30 million shares of WisdomTree common stock, representing total consideration of USD523 million based on the market close on 10 April 2018. The cash portion of the purchase price was funded with USD53 million of balance sheet cash and USD200 million from a newly raised term loan.
BlackRock has posted net inflows of long-term assets in first quarter of USD55bn, with positive net inflows to index-based strategies and to active strategies, the US asset management giant announced on 12 April. iShares index-based funds posted net inflows of only USD34.6bn, compared with USD64.5bn one year previously. Assets under management totalled USD6.320trn as of the end of March, compared with USD6.290trn as of the end of fourth quarter.BlackRock emphasizes that institutional clients have been particularly active in first quarter, largely due to volatility peaks observed in first quarter, exacerbated commercial tensions, and concerns related to the evolution of interest rates. Institutional net inflows totalled USD3bn, which breaks down into slightly over USD7bn in outflows from active strategies, and USD10.4bn in net inflows to passive strategies, including USD17.5bn in net inflows to bonds, partly offset by USD7.2bn in net redemptions from equities.In detail, long-term net inflows have totalled USD57.3bn in the Americas, and USD3.2bn in the Asia-Pacific region, but the activity in the Europe, Middle East and Africa (EMEA) region has brought net outflows of USD5.9bn.In terms of financial results, earnings from consulting activities, management commissions and securities lending in first quarter rose 17%, to USD2.95bn, compared with USD2.52bn one year earlier. The total figure has risen by nearly 16%, to USD3.58bn. Net profits in first quarter total USD1.09bn, or USD6.68 per share, compared with USD859m, or USD5.21 per share, in first quarter 2017.
EG Capital Advisors, a London-based investment firm, has launched its Emerging Markets Corporate High Yield UCITS. The UCITS is a sub-fund of EG Capital Advisors Irish Collective Asset-management Vehicle (ICAV) which is registered with the Bank of Ireland. It will provide investors with access to the EG Capital Advisors Emerging Markets Corporate High Yield strategy, which invests in US Dollar-denominated emerging markets high yield corporate bonds. The EG Capital Advisors Emerging Markets High Yield Strategy was originally established in 2009 and has been operated as a separately constituted fund since 2014. «With some USD500m currently invested in the Strategy globally, investors in the UCITS will be able to draw on the expertise of a stable research team and a proven investment process», according to a press statement.
p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; } Man Group in first quarter posted net subscriptions of USD4.8bn. This brings assets to USD112.7bn as of 31 March 2018, compared with USD109.1bn as of the end of December 2017. Inflows have been particularly positive to alternative solutions (USD3.4bn), with USD2.1bn for total return, while long-only represented USD1.4bn in net inflows. Man Group has also announced that it is continuing to study acquisition opportunities, and that it will repurchase up to USD100m in additional equities.
Mandaté par l’Association for Financial Markets in Europe (AFME), PwC a réalisé une étude sur l’effet des réglementations passées après la crise financière de 2007-2008 sur les activités de marché au sein des banques. Réalisée à partir d’un échantillon de 13 établissements internationaux et publiée hier, l’étude évalue à 37 milliards de dollars le coût induit par ces nouvelles règles, «soit 39% du montant total des dépenses engagées en 2016 au titre des activités de marché». L’essentiel (90%) de cette somme est lié aux exigences de fonds propres et d’endettement. «Entre 2010 et 2016, la réglementation a grevé la rentabilité des fonds propres (avant impôts) de 14 points de pourcentage (de 17 % à 3 %), avant que les banques adoptent des mesures de réduction des risques (désendettement, réduction des coûts ou ajustement de la valeur des actifs portés aux bilans). Après la mise en œuvre de ces mesures, la rentabilité globale des fonds propres (hors charges exceptionnelles) a rebondi à 11 % en 2016», indique également le rapport.
Le Sénat français a créé un délit d’espionnage économique dont seraient exclus les journalistes, les lanceurs d’alerte et les représentants des salariés, à l’occasion de l’examen en commission de la proposition de loi pour protéger le secret des affaires des entreprises. Ce texte voté fin mars par les députés, transpose une directive adoptée par le Parlement européen en juin 2016. Dans son communiqué, la commission regrette que le gouvernement procède à la transposition «par une proposition de loi, sans étude d’impact, à la dernière limite du délai de transposition, en imposant des délais d’examen excessivement contraints». Le texte sera examiné par les sénateurs le 18 avril.
L’Autorité des marchés financiers (AMF) a publié hier une position pour intégrer les orientations de l’Autorité européenne des marchés financiers (Esma) sur la «gouvernance des produits» au titre de la directive MIF 2. Ces orientations détaillent les obligations des producteurs et des distributeurs sur les catégories à prendre en compte pour la définition du marché cible et leur articulation avec la stratégie de distribution. Les prestataires devront désormais se préoccuper de la distribution des produits depuis leur conception jusqu’à leur distribution, tandis que les échanges d’information entre producteurs et distributeurs sont organisés. Les orientations «prévoient toutefois la possibilité pour le distributeur de vendre des produits en dehors de leur marché cible, notamment à des fins de diversification, si la recommandation desdits produits satisfait aux exigences d’adéquation évaluées au niveau du portefeuille du client», explique l’AMF.
La société d’investissement cotée Eurazeo a annoncé hier le bouclage de l’acquisition de 70% de la société de capital-investissement Idinvest Partners auprès de l’Idi. Le prix d’acquisition des titres payé à la conclusion de l’opération s'élève à 230 millions d’euros et valorise Idinvest à 310 millions d’euros. Idinvest conservera son autonomie de gestion avec une équipe de management inchangée, qui continue de détenir 30% du capital. Eurazeo avait annoncé fin décembre dernier l’entrée en négociations exclusives pour racheter le spécialiste du capital-risque, et le 5 février un accord définitif entre les parties.