Moskitos, l'éditeur de Crosscut, plateforme d’intégration et de gouvernance de la data et des APIs (interface de programmation applicative), a annoncé ce 27 juin avoir levé 2,5 millions d’euros en série A, principalement auprès du fonds de capital-risque CapHorn Invest, qui fait ainsi son entrée au capital de la société française. Cet afflux de nouveaux capitaux garantit à Moskitos une poursuite de sa croissance et une gouvernance autonome pour ses co-fondateurs. Moskitos, qui compte actuellement 25 collaborateurs, a pour objectif de doubler ses effectifs d’ici un an.
A la suite du départ de son gérant actions Thierry Le Clerq, qui a rejoint Mandarine Gestion courant juin, Allianz Global Investors (AllianzGI) a décidé de nommer Cécile Hanna à la tête de trois fonds actions européennes dont il avait la charge, a appris Citywire Selector. Cécile Hanna, qui travaille chez AllianzGI depuis 2013, reprend ainsi la gestion des fonds Allianz Actio France, Allianz Actions France et Allianz Finance Actions France.
Le gestionnaire d’actifs Lazard Asset Management (Lazard AM) a récemment annoncé le recrutement de Shen Than en qualité de « managing director » à Hong Kong. Dans le cadre de ses fonctions, l’intéressé se concentrera sur la distribution à travers toute l’Asie et devra contribuer au développement de l’activité de gestion d’actifs dans la région.Shen Tan, qui compte plus de 18 ans d’expérience, était précédemment « managing director » chez Capital Group, en charge plus particulièrement de l’activité institutionnelle en Asie hors Japon. Auparavant, il a été associé (« partner ») et responsable mondial des ventes pour Income Partners Asset Management. Au cours de sa carrière, il a également occupé des fonctions commerciales chez Pyramis Global Advisors, Deutsche Asset Management et Schroders.
Le gestionnaire d’actifs américain J.P. Morgan Asset Management (J.P. Morgan AM) vient de renforcer son équipe en charge des stratégies beta (« Beta Strategies ») en Asie avec deux nouvelles arrivées à Hong Kong. Ainsi, Albert Chuang a ainsi rejoint le bureau de Hong Kong en qualité de gérant de portefeuille au sein de l’équipe « Quantitative Beta Strategies Investment » de la société de gestion. Il se concentrera sur la recherche quantitative, le développement de modèle et la gestion de portefeuille pour les stratégies « strategic beta » et les stratégies de primes de risques alternatives (« alternatives risk premia »). Il assurera également la gestion de portefeuilles pour des clients institutionnels.Précédemment, Albert Chuang a passé cinq années au sein du bureau de Londres de J.P. Morgan AM, en charge de la gestion de portefeuille et de la recherche quantitative. Avant cela, il avait travaillé pendant deux ans à New York au sein de l’équipe dédiée aux solutions multi classes d’actifs de J.P. Morgan AM.Par ailleurs, Jason Leung a été nommé spécialiste d’investissement (« Investment Specialist ») au sein de l’équipe « Beta Strategies » en Asie, également basé à Hong Kong. Il se concentrera principalement sur les capacités d’investissements systématiques et de primes de risque de la société de gestion. Il arrive en provenance de JPMorgan Private Bank où il occupait déjà le poste de spécialiste d’investissement senior. Avant de rejoindre J.P. Morgan AM en 2014, il a travaillé pendant 10 ans chez Citi Global Markets en qualité de structureur de solutions multi classes d’actifs.
Cinq banquiers privés de Julius Baer viennent de rejoindre l’antenne des Bahamas de la banque privée genevoise Gonet & Cie. Patrick Feuz et Jean-Marc Fellay étaient à la tête de l’implantation de Julius Baer aux Bahamas. Patrick Feuz devient président exécutif de Gonet Bank & Trust. Pour sa part, Jean-Marc Fellay, précédemment responsable des opérations (COO), devient directeur général de l’antenne de Gonet à Nassau.Julius Baer perd également Matthias Krull, un chargé de clientèle particulièrement performant spécialisé sur la clientèle vénézuélienne. Selon des sources internes, Matthias Krull était à la tête de quelque 600 millions de dollars. Mais parmi ces fonds d’origine vénézuélienne, figurent, selon des sources internes, des capitaux émanant de personnes politiquement exposées (ou PEPs) qui pourraient attirer des ennuis à Julius Baer. La Finma exige en effet des sociétés de gestion qu’elles s’assurent de l’origine des fonds détenus par de telles personnes, afin d'éviter notamment d'éventuels problèmes de blanchiment..
Jacquie Lowe, jusque-là responsable de la distribution au Royaume-Uni chez Aberdeen Standard Investments (ASI), va quitter son poste au troisième trimestre pour faire une pause dans sa carrière, rapporte Investment Week. Elle sera remplacée par Noel Butwell. Jacquie Lowe a passé 30 ans chez Standard Life Investments, qui a fusionné avec Aberdeen Asset Management l’année dernière, où elle a occupé plusieurs postes à responsabilité. Elle avait été nommée responsable de la distribution au Royaume-Uni en septembre 2017, rattachée à Campbell Fleming, responsable mondial de la distribution. Contacté par Investment Week, ASI a précisé que Jacquie Lowe restera à son poste jusqu’au bouclage de la cession de Phoenix Group au troisième trimestre. Pour sa part, Noel Butwell a rejoint Standard Life en 2003 et il est actuellement directeur de la distribution pour les retraites et l’épargne au Royaume-Uni.
Sur son exercice à fin mars 2018, Liontrust Asset Management (Liontrust AM) a enregistré des souscriptions nettes de 1 milliard de livres, soit plus du double du montant de l’année précédente qui était de 482 millions. « Il s’agit de la huitième année consécutive de collecte nette », souligne John Ions, le directeur général de Liontrust AM. Dans ce contexte, les encours sous gestion ont augmenté de 61 % pour atteindre 10,5 milliards de livres. Et depuis le début du nouvel exercice, les encours ont encore gonflé pour s’établir à 11,3 milliards au 25 juin.John Ions observe que l’équipe « investissement durable », qui a rejoint la société le 1er avril, a drainé 500 millions de livres et affiche des encours de 3 milliards. Et depuis début avril, Liontrust a levé 214 millions de livres pour le lancement de trois fonds gérés par l’équipe obligataire mondiale, également nouvellement constituée.Le renforcement des équipes concerne aussi l’activité commerciale. Liontrust annonce le recrutement de Frank Doyle en tant que responsable de l’activité institutionnelle. Cet ancien d’Investec Asset Management rejoindra la société en septembre.Les revenus se sont établis à 77 millions de livres, en hausse de 49 %, grâce notamment à 4,5 millions de frais de performance. Le bénéfice avant impôts de Liontrust AM est ressorti à 12,3 millions, soit une progression de 53 % sur un an. Le bénéfice ajusté avant impôts s’élève quant à lui à 27,4 millions, en augmentation de 59 %.
BlackRock vient de liquider le fonds BSF European Credit Strategies après la baisse des actifs en dessous du niveau requis pour un fonctionnement économiquement viable de la stratégie alternative Ucits, rapporte le site spécialisé Citywire. Les encours du fonds lancé en 2011 s’inscrivaient à environ 40 millions d’euros.Selon une note aux actionnaires dont Citywire a eu connaissance, le fonds sera fermé le 17 juillet prochain. Avant dernier (sur 73) dans la catégorie des Alt Ucits - Bond Strategies, il a perdu plus de 10% sur trois ans en euro, à comparer à une perte moyenne des fonds de la catégorie de 0,1% sur la même période.
La société de gestion luxembourgeoise Assenagon Asset Management lance une nouvelle stratégie, Credit Opportunity Plus, à destination des investisseurs institutionnels mais également des particuliers. Le fonds entend tirer parti des opportunités sur le marché boursier avec un objectif de rendement de 4,5% par an. Le fonds, qui sera géré par Stefan Magerl, Michael Hünseler et Jan Hennig, investira notamment dans des obligations d’entreprises du monde entier, avec une notation d’au moins «B-" ou «B3» tout en utilisant des dérivés de crédit. Si l’action d’un émetteur semble sous-évaluée par rapport à son obligation, le fonds pourra acheter des options call sur l’action de l’entreprise.
Selon nos informations, la société de gestion Opportunité Luxembourg vient d’acquérir la clientèle d’Aurea Finance Company, une société de gestion luxembourgeoise créée en 1994 par Henri de Crouy Chanel, qui a mis un terme à ses activités réglementées suite à ce rachat. Contactée par la rédaction, Catherine Wajsman, senior partner du groupe Opportunité, a révélé son ambition de poursuivre cette stratégie d’acquisition dans les mois et années à venir.Afin d’assurer le suivi de la clientèle transférée, Opportunité Luxembourg a recruté Stéphanie Weisse qui occupait le poste d’administrateur délégué depuis quelques années au sein d’Aurea Finance Company.Créé en France il y a 36 ans, le groupe Opportunité est également présent en Belgique et au Luxembourg, où il connait sa plus grosse expansion depuis plusieurs années. Avec cette acquisition, la première depuis le rachat en 2006 de la société SLF, devenue depuis Opportunité Luxembourg le groupe souhaite renouer avec sa gloire passée."Nous sommes ravis d'être en contact avec une clientèle nouvelle de grande qualité, se félicite Catherine Wajsman. Désormais, notre ambition est d’acquérir d’autres sociétés de qualité dans les mois et années à venir pour poursuivre notre renaissance.»
La société d’investissement immobilier cotée Eurocommercial Properties N.V. a annoncé, ce 27 juin, son entrée en Bourse sur le marché secondaire de l’Euronext Bruxelles. La société avait dévoilé son intention d’une entrée en Bourse sur le marché secondaire en juin dans le cadre de son engagement à long terme dans l’immobilier belge. « Grâce à cette cotation, Eurocommercial vise à accroître sa visibilité en Belgique en tant qu’investisseur majeur dans des centres commerciaux de haute qualité », indique Eurocommercial dans un communiqué. Cette opération doit également « permettre aux investisseurs belges l’accès direct à l’un des investisseurs européens les plus expérimentés dans l’immobilier commercial et donnera à Eurocommercial l’opportunité d’élargir et de diversifier d’avantage son actionnariat ».La société n’émettra aucune nouvelle action, précise-t-elle, et conservera sa présence sur son marché principal, Euronext Amsterdam, où elle est entrée en bourse en 1991. Les actions de la société sont cotées sous forme de certificats de dépôt au porteur, pour lesquels un certificat de dépôt représente dix actions nominatives ordinaires. Eurocommercial affiche un actif total de 4 milliards d’euros en Belgique, en France, en Italie et en Suède.
Omnes Capital et Ilmatar Windpower ont annoncé le lancement d’une joint-venture dédiée à la production d’électricité éolienne dans les pays nordique et baptisée Ilmatar Energy. Dans les cinq prochaines années, Ilmatar Energy a pour ambition de construire et d’exploiter jusqu’à 1000 MW de capacités éoliennes. Ilmatar Energy a déjà acquis son premier projet auprès de Metsähallitus, entreprise appartenant à l'état responsable de la gestion d’un tiers de la surface de la Finlande. Le projet comporte 50 turbines d’une capacité nominale globale de plus de 200 MW. Il est prévu de construire ce projet sans subventions, mais il pourrait également être présenté aux appels d’offres futurs en Finlande.Ilmatar Energy est détenue à 70 % par le FPCI Capenergie 3, fonds de 245 millions d’euros dédié aux énergies renouvelables, géré par Omnes Capital et, à 30 % par Ilmatar Windpower Plc. La société est gérée par Ilmatar Windpower.
Mandarine Gestion has seen an increase of its assets by a “cool EUR1bn,” through a capital and commercial agreement at the end of last year with Arkéa Investment Services, says Marc Renaud, chairman and CEO of Mandarine, at a press conference. The asset management firm now has EUR4bn in assets under management.The contribution includes management at Arkéa which has been outsourced to Mandarine through a master-feeder agreement. The funds which are subject to the agreement are French, European growth and French small cap stocks.At a press conference, Renaud discussed the partnership, which has come nearly 10 years after the creation of the asset management firm. He explained that it is part of the continuity of things. Mandarine Gestion made the choide at the beginning of its adventure to have minority shareholders, who included La Française, La Banque Postale (via AMLab with OFI) and Dassault. When La Française wanted to pull out, Mandarine had a choice between buying up the stake or finding a new shareholder. “We did both, since we had acquired the stake, and then we made a capital increase to bring in Arkéa Investment Services,” Renaud explains.There is no question of additional assets going to Mandarine. However, “we are going to do things together, including creation of products, responses to requests for proposals, development.” Additionally, Arkéa will “seed” Mandarine funds.Meanwhile, Mandarine Gestion is planning to continue its international development, which it considers a core value. This proportion, which had been 40%, has been lowered proportionately with the arrival of Arkéa assets, to a total of 33%. Mandarine is now planning to open an affiliate in Geneva, Switzerland, which comes in addition to the German office, including two people.Mandarine also has a third-party marketer (TPM) in Austria, and one in the United Kingdom. It is continuing to work with La Française, despite the break in their capital relationship, in Sweden, Italy and Spain. Finally, Mandarine covers Belgium and Luxembourg from Paris. Rémi Leservoisier, deputy CEO of Mandarine Gestion, says the firm is also targeting Canada and Australia.In management, Mandarine now has a range of 20 funds, with very different styles and fund managers who “incarnate their management,” says Renaud. Renaud stated that he is interested in finding a project in non-European equities. But to meet the expectations of clients, “it will be necessary to develop a less directional product than we have today.”Finally, Renaud hopes to make his firm one of those with EUR5bn to EUR10bn in assets under management. Meanwhile, since the beginning of the year, the firm has posted inflows of nearly EUR100m.
@page { margin: 0.79in }p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115% }Following thedeparture of equity manager Thierry Le Clerq, who joined MandarineGestion in June, Allianz Global Investors (AllianzGi) has decided toappoint Cécile Hanna as head of three European equity funds forwhich it is responsible, Citywire Selector reports. Hanna, who hasbeen working at AllianzGI since 2013, takes over management of theAllianz Actio France, Allianz Actions France and Allianz FinanceActions France funds.
Kepler Cheuvreux on 27 June announced that it is opening its capital to Atlas Merchant Capital, led by Bob Diamond, and Edmond de Rothschild Equity Strategies (ERES), while BlackFin Capital Partners and their co-investors have sold their stake. This had totalled 23.9% of capital in Kepler Cheuvreux. “These new partners have decided to invest sustainably in the development of the business, and share the strategic vision of Kepler Cheuvreux,” the firm says in a statement.As part of the operation, Atlas Merchant Capital becomes a 19.7% shareholder, while ERES acquires 8% of capital. UniCredit, one of the five partner banks of Kepler Cheuvreux, has increased its stake from 5.2% to 10.3%. The management at Kepler Cheuvreux retains operational control of the business. The management and employees remain the largest shareholders, with 25.5% and 40% of voting rights. The Caisse des Dépôts also remains as a major shareholder in Kepler Cheuvreux, with a stake of 5.2%. Lastly, the remainder of capital is held by four other partner banks: Crédit Agricole CIB (15,1%), Swedbank (6%), Belfius (5,2%) and Rabobank (5%).At the conclusion of the operation, Atlas Merchant Capital and ERES will hold four seats on the supervisory board, which includes 15 members, and on which the five partner banks are represented.
The venture capital firm Bridgepoint yesterday announced that it is signing an agreement with the Groupe Bertrand, a specialist in multi-brand food service, to assist in the development of Burger King in France. The alliance will bring the acquisition of a minority stake by Bridgepoint in the holding company that controls the master franchise in France. The terms of the transaction have not been disclosed.The Burger King master franchise, which was awarded to the Bertrand group in 2013 by Restaurant Brands International, makes the group the representative of the brand in France, and gives it the exclusive rights to open new restaurants in the country, as part of its own network, and in association with a dynamic network of franchises. Burger King France is now the second-largest fast food restaurant chain specialised in hamburgers in France. In 2015, the Groupe Bertrand also acquired the Quick group, and entered a programme to convert Quick restaurants into Burger King restaurants.
p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; } US equity funds were most popular in May, with net inflows of USD20.7bn, the highest since December 2016, according to statistics released by Morningstar. In detail, investors placed USD29.1bn in passively-managed US equity funds, compared with USD18.2bn the previous month. Meanwhile, investors have withdrawn USD8.4bn from actively-managed funds, compared with USD11.4bn in April. Morningstar reports that passively-managed market cap-weighted funds have been much more popular than factoral passive strategies. In the past 12 months, non-smart beta index-based funds, mostly cap-weighted funds, attracted USD130bn while factoral funds saw inflows of about USD44bn. iShares/BlackRock has seen the largest inflows, for the second consecutive month, for active and passive strategies, with a total of USD14.9bn, with USD13.1bn from iShares. Vanguard takes second place, with net inflows of USD10.7bn.
Omnes Capital et Ilmatar Windpower launch joint venture fornordic wind power called Ilmatar Energy Ltd. This joint venture targets further acquisitions of Finnish and other Nordic development stage and construction ready assets. In the next five years Ilmatar Energy aims to construct and operate up to 1000 MW of wind power. Ilmatar Energy has already acquired its first project from Metsähallitus, a state-owned enterprise responsible for the management of one third of Finland’s surface area. The project encompasses 50 turbines with a combined nominal capacity of over 200 MW. The project is aimed to be built without any subsidies but is also well-positioned to participate in the upcoming renewable energy premium scheme.Ilmatar Energy is held 70% by FPCI Capenergie 3, a EUR245 million fund dedicated to renewable energy and managed by Omnes Capital, and 30% by Ilmatar Windpower Plc. The Company is managed by Ilmatar Windpower.
Vanguard filed a preliminary registration statement with the Securities and Exchange Commission for Vanguard ESG U.S. Stock ETF and Vanguard ESG International Stock ETF. The new ETFs will complement Vanguard’s existing FTSE Social Index Fund and are expected to begin trading in September 2018. Vanguard ESG U.S. Stock ETF will seek to track the FTSE US All Cap Choice Index, a market-cap weighted benchmark comprising large-, mid-, and small-cap U.S. stocks screened on specific environmental, social, and governance criteria. Vanguard ESG International Stock ETF’s target benchmark will be the FTSE Global All Cap ex US Choice Index, a market-cap weighted benchmark comprising large-, mid-, and small-cap stocks in developed and emerging international markets (excluding the U.S.) screened on specific environmental, social, and governance criteria. The estimated expense ratios for the new ETFs are 0.12% and 0.15%, respectively, making them among the lowest-cost ESG offerings available to investors.“
p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; } In May, open funds on sale in Italy have seen net redemptions of EUR2.4bn, though they had seen inflows of EUR2.7bn in April. This is the second month of outflows since the beginning of the year, after February, although previous years had been marked by long, uninterrupted series of monthly inflows. Since January, funds still show net inflows of EUR9bn. But this is far off the EUR76.7bn in inflows for 2017 overall. Inflows were penalised most of all by bond funds, which saw outflows in May of EUR3.6bn. Equity funds also saw outflows of EUR157m, and money market funds had outflows of EUR55m. All other categories are in positive territory, including diversified funds, which have seen inflows of EUR1bn. With the addition of mandated management, which has seen outflows of EUR4.3bn, and closed funds (-EUR207m), outflows have totalled EUR6.9bn in the asset management sector. Assets in open funds have fallen slightly. To EUR1.009trn, and total assets are down to EUR2.064bn. In this less promising environment, the best inflows for the month have been at Morgan Stanley, with EUR504.9bn, followed by Ubi Banca (EUR372m) and Axa IM (EUR338m). However, all major Italian players show outflows, including Amundi. But the heaviest outflows are at Credito Emiliano (-EUR3.7bn), followed by Generali, which continues to see net outflows (-EUR1.4bn), and Schroders (-EUR701.2m).
According to reports received by NewsManagers, the asset management firm Opportunité Luxembourg has acquired clients from Aurea Finance Company, a Luxembourg-based asset management firm founded in 1994 by Henri de Crouy, which following the redemption has discontinued its regulated activities. When contacted by editors, Catherine Wajsman, senior partner at the Opportunité group, revealed that the firm is planing to continue its strategy of acquisition in the coming months and years.To ensure the coverage of transferred clients, Opportunité Luxembourg has recruited Stéphanie Weisse, who had sered as deputy administrator for several years at Aurea Finance Company.The Opportunité group, founded in France 36 years ago, is also present in Belgium and Luxembourg, where it has expanded most rapidly in the past few years. With this acquisition, the first one since the acquisition in 2006 of the SLF company, which has since become Opportunité Luxembourg, the group is now seeking to return to its past glory.“We are delighted to be in contact with new high quality clients now,” says Catherine Wajsman. “Our ambition is now to acquire other high quailty companies in the coming months and years, to continue our rebirth.”
BNP Paribas Securities Services (BP2S), la filiale de métier titres de BNP Paribas, a annoncé jeudi avoir remporté auprès du gestionnaire d’actifs DWS un mandat portant sur des services d’administration de fonds et sur des services de conservation et de banque dépositaire pour les fonds destinés à la clientèle de détail en Allemagne et au Luxembourg. Ce mandat porte sur 240 milliards d’euros d’actifs.
C’est le montant des revenus des investissements directs américains au premier trimestre relevés dans la balance courante des Etats-Unis. Il correspond au rapatriement des dividendes accumulés à l’étranger par les multinationales américaines pour bénéficier des baisses d’impôts ; rapatriement effectué en une seule fois comme la prévoit la loi fiscale (TCJA). Les revenus réinvestis hors des Etats-Unis ont atteint 175 milliards de dollars. Si les entreprises investissent, ce n’est pas sur le sol américain.
Acheter un poulet ou une boîte de conserve coûte trois fois plus cher au Danemark qu’en Roumanie. Plus généralement, les niveaux des prix « varient quasiment du simple au triple parmi les Etats membres de l’UE », indique Eurostat : de 142 % par rapport à la moyenne de l’UE au Danemark à 48 % en Bulgarie. Pour l’électronique grand public, le Français (110 %) débourse plus que tous les autres. Ce n’est rien comparé aux boissons alcoolisées : c’est en Irlande (174 %) et au Royaume-Uni (157 %), pourtant connus pour être des pays gros consommateurs, qu’ils sont les plus chers. Et nettement.
Gigantisme. L’ouverture progressive des marchés financiers chinois aux investisseurs étrangers et leur intégration aux indices financiers mondiaux et « Emerging Markets », fait l’objet de toute l’attention des sociétés de gestion. « La Chine est la deuxième économie au monde, pesant environ 12.000 milliards de dollars, et le troisième marché obligataire en terme de taille », rappellent Aidan Yao et Jim Veneau, respectivement économiste et responsable Asia Fixed Income chez Axa IM. Les statistiques chinoises n’arrêtent pas de donner le tournis. Exemple : Fabiana Fedeli, gérante marchés émergents chez Robeco, explique que les ventes de détail en Chine devraient atteindre cette année le montant de 5.800 milliards de dollars (3.300 milliards en 2000), un chiffre désormais analogue aux achats des consommateurs américains.
L’Union européenne est une zone ouverte. Pour preuve, il suffit de regarder qui détient la dette publique des Etats membres. Dans la moitié d’entre eux, elle est détenue « principalement » par les non-résidents (source Eurostat). Cela peut aller jusqu’à 82 % à Chypre. A l’opposé, quand les domestiques sont prédominants, c’est un maximum de 62 % (Italie). Mieux encore, si on considère que chaque pays membre est un investisseur non résident pour son voisin, on pourrait presque oser dire que l’UE est une zone intégrée.
Dans le sigle ESG, nombreux sont les investisseurs qui considèrent avec attention le E, pour environnement, à la mode en ces temps d’angoisse climatique, quelques-uns le S, pour social, et très peu le G, pour gouvernance. Pourtant, s’il est vrai qu’« il n’est de richesse que d’hommes », comme l’affirmait Jean Bodin, tout commence par là. Or, ce penseur avait beau être français, rares sont encore les institutionnels nationaux, ou d’Europe continentale, qui font de la gouvernance le cœur de leur réflexion sur la valorisation à long terme de leurs actifs. Si bien que, contrairement aux pratiques des pays anglo-saxons, la pugnacité dans les rapports avec les directions des entreprises cotées reste peu valorisée dans les choix d’allocation, et encore moins l’activisme, affligé d’un préjugé défavorable. En France, la discrétion, voire « l’entre soi », demeure la stratégie préférée des investisseurs finaux, l’expression sans détour d’un désaccord demeurant l’exception ; peut-être par crainte de troubler des directions dont personne ne sous-estime la difficulté de la tâche, peut-être pour ne pas encourir le reproche de tomber dans le court-termisme. Mais à mesure que les scandales de gouvernance s’accumulent, cette réalité devient chaque jour moins compréhensible.