Comgest a annoncé, ce 18 juillet, le renforcement de son équipe de recherche au Japon avec la nomination à Tokyo de Junzaburo Hyuga en qualité d’analyste sur les actions japonaises. Il vient ainsi renforcer l'équipe de recherche présente au Japon depuis 2008 qui alimente par ses analyses la sélection de titres du fonds Ucits Comgest Growth Japan. Ce fonds, co-géré par Chantana Ward et Richard Kaye, a connu « une forte collecte au cours des douze derniers mois, dépassant récemment le milliard d’euros d’actifs sous gestion et devenant ainsi la cinquième stratégie de Comgest », précise la société de gestion dans un communiqué.Précédemment, Junzaburo Hyuga officiait en tant qu’associé senior chez Global Strategy Consultants où il était chargé d’évaluer les entreprises entrant sur le marché asiatique et les accompagner dans l’amélioration de leurs capacités numériques. Au cours de sa carrière, il a également travaillé pendant plusieurs années chez JPMorgan Chase à Tokyo, après être passé dans la division dédiée aux valeurs mobilières du groupe Rakuten.
Le gestionnaire d’actifs suisse Vontobel Asset Management a annoncé, ce 18 juillet, la nomination de Frank Häusler en tant que nouveau directeur de la recherche macro-économique et « cross-asset » afin de renforcer ses capacités dans la gestion multi classes d’actifs. L’intéressé, qui compte plus de 15 ans d’expérience dans le domaine de l’investissement, arrive en provenance de Marcuard Family Office où il était directeur des investissements et associé (« partner »).
Credit Suisse a annoncé, ce 18 juillet, avoir pris une participation dans la fintech suisse Assetmax, un prestataire de services dans le domaine de la gestion de fortune situé à Zurich et Lugano. Cet investissement a été réalisé via SVC, sa filiale de capital-risque dédiée aux petites et moyennes entreprises (PME). En début d’année, cette structure a été dotée d’un capital de 30 millions de francs suisses destinés à être investis dans les fournisseurs de technologies financières.Fondée en 2013, Assetmax s’est développée pour devenir l’une des principales plateformes informatiques pour les gérants de fortune indépendants et pour les banques. « Elle les décharge ainsi de certaines tâches administratives et répétitives grâce à l’automatisation systématique et à l’externalisation de processus d’affaires, notamment dans les domaines de la conformité et de la gestion de portefeuille », indique Credit Suisse dans un communiqué.Grâce à cet investissement, Assetmax entend poursuivre le développement de sa plateforme et mettre en œuvre des mesures visant à accélérer l’acquisition de nouveaux client.Outre SVC, la fondation de l’innovation de la Banque cantonale de Schwytz ainsi que l’entrepreneur et fondateur de Doodle, Paul Sevinç, ont participé à ce premier tour de financement d’Assetmax.Assetmax est le deuxième investissement dans le secteur des fintech réalisé par SVC, après une première opération réalisée au quatrième trimestre 2017 dans Tradeplus24, une société zurichoise de technologie financière spécialisée dans l’octroi de crédits commerciaux aux PME, précise Credit Suisse.
Le fournisseur d’indices MSCI a annoncé, ce 18 juillet, la nomination de Russell Read en qualité de « managing director » et de responsable mondial des solutions clients. Basé à Londres, il prendra officiellement ses fonctions dans le courant du mois de septembre 2018. Il sera directement rattaché à Laurent Seyer, directeur des opérations et « chief client officier » chez MSCI. Russell Read siègera également au comité exécutif de la société.Dans le cadre de ses fonction, Russell Read sera charger de développer les solutions intégrées de MSCI auprès des clients gestionnaires d’actifs et autres « assets owners » afin de les aider à améliorer leur processus de décision d’investissement.Russell Read arrive en provenance d’Alaska Permanent Fund Corporation où il a officié comme directeur des investissements. Auparavant, il a été directeur des investissements et directeur général adjoint de Gulf Investment Corporation de 2011 à 2015. Plus tôt dans sa carrière, il a travaillé comme directeur des investissements pour le California Public Employees’ Retirement Systems.
Mobius Capital Partners, la société de gestion lancée en mai dernier par le célèbre Mark Mobius, vient de renforcer son équipe d’investissement avec un double recrutement, rapporte Investment Week. Ainsi, Fergus Argyle a rejoint la société de gestion en qualité d’analyste en investissement senior. L’intéressé arrive en provenance de Somerset Capital Management où il a officié pendant quatre ans comme analyste senior couvrant tous les marchés et toutes les régions, mais en concentrant plus particulièrement sur l’Asie du Nord, la Corée du Sud et le secteur des technologies. Avant cela, il a travaillé chez Herald Investment Management, une société de gestion spécialisée dans les secteurs des technologies, des médias et des télécommunications. Dans le cadre de ses nouvelles fonctions, il continuera de couvrir l’Asie du Nord et la Corée ainsi que le secteur des technologies en Asie, en Europe de l’Est et en Amérique latine.En parallèle, Mobius Capital Partners a recruté Usman Ali en tant qu’analyste en investissement. Précédemment, l’intéressé a été analyste en investissement durable, travaillant comme consultant pour East Capital, une société de gestion suédoise spécialisé sur les marchés émergents et frontières, et Degroof Petercam Asset Management. Au cours de sa carrière, il est également passé chez Caravel Management en tant qu’analyste en investissement durable.
Le projet de rapprochement des groupes de protection sociale Malakoff Médéric et Humanis vient de franchir une étape importante. Ce 18 juillet, l’Autorité de la concurrence a en effet donné son autorisation à cette fusion estimant que « l’opération n’est pas de nature à porter atteinte à la concurrence », selon un communiqué. « Les positions des parties sur les marchés concernés étant limitées, l’Autorité a pu écarter tout problème de concurrence et accepter l’opération sans condition », a-t-elle ajouté dans un communiqué.Le rapprochement entre ces deux acteurs de la retraite complémentaire et de l’assurance de personnes donnera naissance au numéro un du secteur, devant AG2R La Mondiale. Malakoff Médéric a réalisé un chiffre d’affaires hors taxes de 4,2 milliards d’euros en 2017 tandis que Humanis a dégagé un chiffre d’affaires hors taxes de 2,4 milliards d’euros sur la même période.
Le groupe américain BNY Mellon a annoncé, le 17 juillet, avoir été choisi par le gestionnaire d’actifs britannique Liontrust Asset Management pour consolider des services externalisés sur les fonds pour sa gamme de produits au Royaume-Uni et en Irlande. Dans ce cadre, BNY Mellon fournira des services de dépositaire, de comptabilité des fonds, de conservateur, des solutions de gestion des risques, du middle office et, enfin, des services d’agent de transfert. Des services auxiliaires seront également proposés couvrant la gestion de trésorerie, les prêts de titres, et les changes.Ce changement de prestataires de la part Liontrust fait suite à sa récente acquisition d’Alliance Trust Investments l’année dernière. De fait, en raison de cette opération, « nous avions des relations avec cinq fournisseurs et sociétés d’asset servicing pour l’ensemble de l’activité de Liontrust », a expliqué Vinay Abrol, directeur des opérations et directeur financier de Liontrust, cité dans un communiqué. « Le passage à un partenaire unique nous aidera à atteindre nos objectifs stratégies », a-t-il poursuivi.
Le gestionnaire d’actifs britannique Somerset Capital Management a lancé le fonds MI Somerset Frontier Markets, un nouveau véhicule domicilié en Irlande et axé sur les marchés frontières, rapporte InvestmentEurope. Ce nouveau produit, qui sera géré activement, reposera sur un portefeuille très concentré de 40 à 50 valeurs. Le fonds investira dans des sociétés qui opèrent principalement dans les marchés frontières d’Asie, d’Europe de l’Est, du Moyen-Orient, d’Afrique et d’Amérique latine. La stratégie sera pilotée par George Birch Reynardson, qui a rejoint Somerset en 2007 et s’est spécialisé sur les marchés frontières depuis 2010. Il sera assisté du gérant de fonds Mark Asquith et de l’analyste senior Kumar Pandit.
Allianz Global Investors (AllianzGI) vient de lancer le fonds Allianz Fixed Income Macro, géré par Kacper Brzezniak et Mike Riddell, ce dernier en tant que gérant de portefeuille adjoint, a appris Investment Week. Ce nouveau fonds obligataire à rendement absolu visera le marché britannique. Le tandem de gérants pourra compter sur l’appui de Ryan Chin, un gestionnaire de portefeuille multi classes d’actifs basé aux Etats-Unis. L’objectif du fonds est de surperformer le cash de 4% à 6% par an.
Le gestionnaire d’actifs BlueBay Asset Management (BlueBay), spécialiste de l’obligataire, a annoncé, hier, la nomination de Gautam Kalani au poste de stratégiste en charge des devises des marchés émergents (« Emerging Market FX Strategist »). Basé à Londres, il rejoint ainsi une équipe de cinq stratégistes dédiés aux marchés émergents, rattachée à Timothy Ash et Graham Stokc, « Senior Sovereign Strategists » chez BlueBay. Dans le cadre de ses fonctions, Gautam Kalani sera chargé d’analyser et de façonner les positions mondiales sur les devises des stratégies d’investissement de BlueBay sur les marchés émergents.Gautam Kalani officiait précédemment en tant que stratégiste au sein de l’équipe de recherche marchés émergents de Deutsche Bank.
HANetf, la plateforme européenne de distribution d’ETF en marque blanche, a annoncé, ce 18 juillet, la nomination d’Alistair Currie en qualité de « manager », responsable de la recherche produits et de la stratégie. Rattaché à Nik Bienkowski, co-directeur général de HANetf, l’intéressé supervisera la recherche de fonds, l’analyse des marchés financiers et la stratégie dans le cadre du développement des produits ETF, de la distribution et des solutions marketing.Alistair Currie compte plus de 10 ans d’expérience dans la gestion d’actifs, dont quatre années sur le marché des ETF. Avant de rejoindre HANetf, il a officié chez Invesco PowerShares, où il était en charge de l’analyse du marché, du reporting aux investisseurs et de la supervision de la gamme de produits ETF. Au cours de sa carrière, il est également passé chez Standard Life Investments.
Au moins trois cadres supérieurs ont récemment quitté MarkhamRae, une société de gestion alternative londonienne, qui a sous-performé ses pairs et a vu ses trois plus gros investisseurs retirer près de 300 millions de dollars, rapporte Reuters. Le directeur de la distribution, Kerry Duffain, Cameron Christie, un associé, et Janos Hawkins, gestionnaire principal de portefeuille systématique, sont tous partis en juillet, selon les déclarations de la Financial Conduct Authority (FCA) britannique.Par conséquent, le cabinet ne compte plus que huit employés inscrits à titre de gestionnaire de portefeuille ou de négociateur principal auprès de la FCA, comparativement à 14 en juillet 2017.Le principal investisseur, BNP Paribas, et un régime de retraite du gouvernement britannique ont tous deux retiré leurs liquidités l’année dernière, en raison de la sous-performance du fonds. Ce dernier compterait seulement 99 millions de dollars d’actifs contre un pic à 600 millions en 2015.
La Banque européenne d’investissement (BEI) mettrait en péril ses activités au niveau mondial en investissant en Iran après la décision des Etats-Unis de rétablir des sanctions économiques contre la république islamique, a déclaré mercredi le président de la BEI, rapporte l’agence Reuters. Werner Hoyer a précisé que tout en soutenant les efforts de l’Union européenne pour sauver l’accord sur le contrôle du programme nucléaire iranien de 2015, la BEI «ne pouvait pas jouer un rôle actif» en Iran.La BEI craint qu’une coopération avec l’Iran menace sa capacité à lever des fonds sur les marchés américains et se traduisent par des conséquences durables pour ses activités. La BEI a une dette obligataire de 500 milliards d’euros.Les Européens, qui cherchent à maintenir la circulation des capitaux en direction de l’Iran malgré les sanctions américaines, ont décidé d’autoriser la BEI à soutenir des investissements en faveur d’entreprises européennes opérant dans la république islamique. Rien n’oblige la BEI à se conformer à ce souhait des instances européennes.
Le gestionnaire d’actifs alternatifs Carlyle cherche à levers un fonds de 4 milliards de dollars pour investir dans des actifs pétroliers et gaziers en dehors de l’Amérique du Nord, rapporte le Financial Times. Bien que la majorité des investissements en capital-investissement dans le secteur se concentre aux Etats-Unis, l’équipe de Carlyle basée à Londres recherchent des opportunités en Europe, en Afrique, en Amérique latine et en Asie. Selon deux sources proches du dossier, Glenn Yougkin, co-directeur général du groupe, et Marcel van Poecke, futur président de la division énergie, ressources naturelles et infrastructures, ont déjà rencontré des investisseurs. Contacté par le Financial Times, Carlyle s’est refusé à tout commentaire.
La Financière de l’Echiquier (LFDE) a annoncé la nomination de Stéphane Van Tilborg au poste de patron pays pour le Benelux, effective depuis le 9 juillet 2018. Basé à Bruxelles et à Paris, il pilotera le développement de LFDE dans la zone auprès d’une clientèle de banques, assureurs et investisseurs institutionnels. Il travaillera sous la responsabilité directe de Christophe Mianné, directeur général de La Financière de l’Echiquier. Avec ce recrutement, la société de gestion entend accélérer son développement au Benelux, « un marché stratégique pour la Financière de l’Echiquier, de plus de 500 millions d’euros d’actifs sous gestion », indique Christophe Mianné, cité dans un communiqué. Présente en Belgique et au Luxembourg depuis 2004, LFDE y commercialise l’essentiel de sa gamme de fonds. Avant de rejoindre LFDE, Stéphane Van Tilborg, qui compte plus de 20 ans d’expérience, était en charge du développement chez Carmignac Gestion en Belgique auprès de clients des secteurs bancaire et de l’assurance. Il a démarré sa carrière en tant que conseiller économique et financier auprès de Business Europe, puis rejoint en 1998 PricewaterhouseCoopers comme conseiller en stratégie et organisation, et Deloitte en 2004. De 2007 à 2014, il développe son propre cabinet de conseil et accompagne une clientèle issue notamment des secteurs de la gestion d’actifs et de l’assurance.
The head of the new Spanish socialist government of Pedro Sanchez has announced the creation of a new tax on banks which aims specifically to finance retirement, as social security is suffering from a severe deficit in Spain, AFP reports. “We are imposing a tax on the financial sector with the aim of supplementing social security contributions, and supporting the public pensions system and the dignity of our elderly persons,” he has announced to members of parliament.Sanchez came to power on 1 June, following a vote which punished his predecessor, the conservative Mariano Rajoy, largely with the support of the radical leftist Podemos party. He did not provide any details about the concrete terms of the future tax. In late 2017, social security debt, largely due to pension payments, totalled nearly EUR27.4bn. Demographic changes have resulted in an increase in pensions as a proportion of the state budget, from 21.6% to 29% of total spending, over 10 years.
CPR Asset Management early this month bid farewell to a major figure at the group. Philippe Weber, head of research and strategy, who joined Amundi in 1990, has retired. He had been popular for his knowledge of politics at central banks. Before CPR AM, he served successively as an economist at the French ministry of external commerce (1985-1990) and the ministry of tourism (1981-1985).Laetitia Baldeschi, who had served with him, has been appointed as sole head of research and strategy at CPR AM. The team, including a total of three strategists, has also welcomed Bastien Drut from Amundi. Drut is author of several boods on the subject of the economics of football, with one recent book entitled “Mercato: l'économie du football au XXIe siècle” (Mercato: The Economy of Football in the 21st Century). He began his career in 2008 at Crédit Agricole Asset Management, which became Amundi in 2010, as part of the strategy team. He was responsible for questions relating to the bond market, forex, and monetary policy. Drut is a graduate of the Ecole Centrale de Lyon (2008), ENSAE (2008), and the Paris School of Economics (2008). He also holds a doctorate in economics from the Université Libre de Bruxelles and the Université Paris Ouest Nanterre La Défense (2011).
p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; background: transparent none repeat scroll 0% 0%; } Unofi Gestion d’Actifs has acquired “The Cloud City,” a complex with 12,800 square metres of office space in Villeneuve d’Ascq, off plan, on behalf of Notapierre. The Cloud City includes two five-floor buildings, and 500 square metres of open terrace areas. The development includes 340 parking spaces and will be located in front fo the metro station “4 Cantons Stade Pierre Mauroy.” The Cloud City will have a BREEAM Very Good environmental rating, a statement says. The operation has been carried out by the BNP Paribas Real Estate Transaction regional investment department, which advised the vendor and the buyer. B&C France has assisted Unofi with the investment.
Société Générale on Tuesday, 17 July announced the appointment of Claire Calmejane as director of innovation at the group. She will report to Frédéric Oudéa, CEO, from 3 September 2018. She will also be a member of the board of directors at the group.Calmejane will work to “continue to spread a culture of innovation and to identify new businesses and services for clients. She will be responsible for investments in internal and external startups, continuing oversight and partnership activities with the external ecosystem, to promote the emergence of disruptive innovation, and for benefiting from technologies and data management to allow Société Générale to offer its clients the banking services of tomorrow”, Société Générale says in a statement.Calmejane, an IT engineer and graduate of EPITA with a Master HEC degree, began her career in 2006 in the Technology Transformation department at Capgemini Consulting, where he assists companies, and particularly financial institutions, with their technological and digital transformations. She contributed to a study of the digital transformation at major groups led by MIT in 2011, and joined the London office of Capgemini to lead the digital centre for the financial services sector. She was recruited in 2012 by Lloyds Banking Group as head of digital delivery of online services, and then as director of innovation, and set up the innovation labs and Digital Academy at that firm. She had hitherto been director of risk transformation at Lloyds Banking Group.
The head of the new Spanish socialist government of Pedro Sanchez has announced the creation of a new tax on banks which aims specifically to finance retirement, as social security is suffering from a severe deficit in Spain, AFP reports. “We are imposing a tax on the financial sector with the aim of supplementing social security contributions, and supporting the public pensions system and the dignity of our elderly persons,” he has announced to members of parliament.Sanchez came to power on 1 June, following a vote which punished his predecessor, the conservative Mariano Rajoy, largely with the support of the radical leftist Podemos party. He did not provide any details about the concrete terms of the future tax. In late 2017, social security debt, largely due to pension payments, totalled nearly EUR27.4bn. Demographic changes have resulted in an increase in pensions as a proportion of the state budget, from 21.6% to 29% of total spending, over 10 years.
The Swiss asset management firm Vontobel Asset Management on 18 July announced that it has appointed Frank Häusler as its new director of macroeconomic and cross-asset research, to reinforce its multi-asset class management capacities. Häusler, who has over 15 years of experience in investment, joins from Marcuard Family Office, where he had been chief investment officer and partner.
Comgest on 18 July announced that it is adding to its research team responsible for the Comgest Growth Japan fund, with the appointment of Junzaburo Hyuga as equity analyst. Comgest has had a research team in Japan since 2008. Hyuga, based in Tokyo, will work alongside Chantana Ward and Richard Kays, co-managers of the Comgest Growth Japan UCITS fund, domiciled in Ireland. The fund has seen “strong capital inflows in the past 12 months, which recently exceeded EUR1bn in assets under management,” Comgest says in a statement.Hyuga had previously been a senior partner at Global Strategy Consultants, where he was responsible for evaluating the viability of companies entering the Asian markets, and assisting companies to develop digital expertise. Over his career, he also worked for several years at JPMorgan Chase in Tokyo, and at the securities division of the Rakuten group.
The bank Raiffeisen Suisse, with assets under management totalling CHF210bn, on 18 July announced that Patrik Gisel, its CEO, has decided to resign with effect from the end of 2018, and to leave the third-largest Swiss banking group. “He hopes in this way to put an end to public debate about him personally, and to protect the reputation of the bank,” Raiffeisen Suisse says in a statement. In the trial of his predecessor, Pierin Vincenz, Gisel was the subject of repeated criticism due to his role under Vincenz at the time.Vincenz was released in mid-June, after 15 weeks of preventive detention. He is suspected of personal gain as part of acquisitions made by the financial companies Aduno and Investnet, an affiliate of Raiffeisen which he was head of. A criminal procedure for disloyal management has been initiated against him, and is still in progress. “By stepping down, I hope to help to settle the public debate about my person and the bank, and to protect the reputation of Raiffeisen,” Gisel, who has had operational responsibility for Raiffeisen Suisse since October 2015, explains in a statement.The board of directors at Raiffeisen Suisse confirms that “neither the enforcement procedure by the financial market supervisory authority, closed in June 2018, nor the preliminary results of the independent investigation in progress about the «Vincenz era” implicate Gisel from a legal standpoint. The Swiss bank also says that “its integrity is not subject to any doubt.”To ensure a smooth transition, Gisel will continue to serve until the end of 2018. “The board of directors at Raiffeisen Suisse has immediately launched the succession process,” the banking group states.
Le gestionnaire d’actifs norvégien Skagen a décidé de fermer définitivement son fonds Skagen Credit en raison de son incapacité à attirer les investisseurs, a appris Citywire Selector. La société de gestion a obtenu le feu vert de l’autorité de supervision financière norvégienne le 19 juin pour liquider ce fonds. Au moment de sa fermeture, le fonds Skagen Credit affichait modestement 12 millions d’euros d’actifs sous gestion. Domicilié en Norvège, il était géré par Ola Sjöstrand depuis son lancement en mai 2014.
… de dollars. L’excédent commercial de la Chine sur les Etats-Unis a atteint le montant record de 28,97 milliards de dollars en juin (24,58 milliards en mai), selon les chiffres chinois collectés et agrégés par Reuters. Pour le premier semestre, le solde commercial bilatéral a atteint 133,76 milliards de dollars, contre 117,51 milliards pour la période correspondante de 2017. Les exportations chinoises vers les Etats-Unis ont augmenté de 13,6 %
Inflexion. Produit d’épargne emblématique de plusieurs générations de Français, l’épargne-logement est entrée sur la voie du déclin. Avec une rémunération nette de 0,70 % et la fin de la prime d’Etat en cas d’acquisition immobilière, le PEL a perdu sur les deux tableaux : le produit d’épargne compétitif qu’il était devenu avec des taux d’intérêt attractifs, et le produit d’accès à la propriété immobilière qu’il n’est plus avec la disparition des droits à prêt. Le PEL a collecté 600 millions d’euros entre janvier et avril de cette année. Ses excédents bruts atteignaient 3 milliards sur la période correspondante de 2017, indique Eric Buffandeau, directeur adjoint des études du Groupe BPCE : « Sachant que les fins d’année sont peu porteuses pour le produit, il pourrait finir 2018 en négatif. » L’économiste souligne que les anciens PEL ouverts avant 2016 et dégageant une rémunération supérieure à 2 % (2,50 % de 2003 à 2015, puis 2 % jusqu’à janvier 2016), eux aussi, ne collectent plus. Pour l’essentiel, les versements sont marqués lors des deux premières années d’une génération de PEL. Par ailleurs, le taux d’épargne des comptes macroéconomiques (le résidu formé par le revenu non consommé) se situe en règle générale autour de 14,5 % du RDB (revenu disponible brut). Au premier trimestre, il a chuté à 13,6 %. Ce recul du début d’année n’est pas inquiétant pour les économistes de BPCE. Il sera momentané et s’explique parun choc de pouvoir d’achat (hausse de l’inflation énergétique) et des hausses de taxes (relèvement de la CSG et de la fiscalité indirecte sur les produits énergétiques et le tabac). Le taux d’épargne devrait finir l’année à 14,3 % du RDB, un taux quasi identique à celui de 2017, selon les analystes de BPCE.