Le gestionnaire d’actifs britannique Legal & General Investment Management (Legal & General IM) part à l’assaut du marché espagnol dans le cadre de sa stratégie visant à développer sa distribution « retail » en Europe, rapporte le site spécialisé Funds People. Dans ce cadre, la société de gestion a nommé Pedro Santuy en qualité de responsable du développement commercial pour la péninsule ibérique. L’intéressé avait rejoint Legal & General IM en 2011, officiant en qualité de gérant de portefeuille pour des fonds indiciels. Auparavant, de 2006 à 2011, il a travaillé chez BBVA AM en tant que responsable de la gestion de portefeuilles ETF. Avant cela, il a été gérant de portefeuille chez Gesmadrid, devenu depuis Bankia Fondos.En Espagne, Legal & General IM commercialise déjà une gamme de 16 ETF au format Ucits, domiciliés en Irlande. Il s’agit de quatre ETF actions, cinq ETF thématiques, quatre ETF obligataires et, enfin, trois ETF matières premières. Dans le cadre de ses nouvelles fonctions, Pedro Santuy sera chargé de faire la promotion de ces produits auprès des investisseurs espagnols. Il aura aussi comme mission de travailler à l’enregistrement du reste de la gamme de Legal & General IM en Espagne, tant des stratégies actives que des stratégies passives.
Sumitomo Mitsui Trust Group (SuMi Trust) a fusionné ses activités de gestion d’actifs retail et institutionnelle, rapporte Citywire. La nouvelle entité, Sumitomo Mitsui Trust Asset Management (SMTAM), deviendra la principale société de gestion d’Asie avec 550 milliards de dollars d’encours sous gestion. Elle a été lancée le 1er octobre. Avant cela, les clients institutionnels de SuMi Trust étaient gérés par Sumitomo Mitsui Trust Bank, tandis que les clients retail étaient la responsabilité de SMTAM.
Le gestionnaire d’actifs britannique Aviva Investors vient de nommer Susan Schmidt en qualité de responsable des actions américaines. Basée à Chicago, l’intéressée est rattachée à David Cumming, directeur des investissements en charge des actions. Susan Schmidt, qui compte plus de 25 ans d’expérience dans la gestion d’actifs, arrive en provenance de la société de gestion Westwood Holdings Group, où elle a officié pendant trois en tant que gérante de portefeuille senior en charge des actions de petites et moyennes capitalisations américaines.
Ian Spreadbury, gérant de portefeuille obligataire bien connu des investisseurs, va prendre sa retraite à la fin de l’année après une carrière de plus de trente ans dans le secteur de la gestion. Sajiv Vaid deviendra ainsi gérant principal des fonds Fidelity MoneyBuilder Income et Fidelity Extra Income, après avoir été cogérant de ces stratégies pendant trois ans, selon un communiqué publié ce 1er octobre. Kristian Atkinson sera cogérant, aux côtés de Sajiv Vaid, des fonds Fidelity MoneyBuilder Income et Fidelity Short Dated Corporate Bond. Peter Khan devrait de son côté être cogérant du Fidelity Extra Income Fund. Tim Foster et Claudio Ferrarese auront la responsabilité du Fidelity Strategic Bond Fund et du Fidelity Funds (SICAV) Flexible Bond Fund.Ian Spreadbury, qui a rejoint Fidelity International en 1995, a joué un rôle central dans la croissance de la gestion obligataire de la société qui affichait 65 milliards de livres sous gestion à fin septembre 2018. L'équipe obligataire internationale de Fidelity compte désormais 69 professionnels de l’investissement.
Le fonds de pension californien CalPERS va procéder à un examen de sa décision, il y a dix ans, de réduire son exposition aux actions américaines afin d’accroître son portefeuille d’actions internationales compte tenu de ses performances inférieures à celles de ses pairs qui sont restés davantage investis dans les actions américaines, rapporte le site spécialisé newsmakers. «Je pense qu’il est bien de revoir notre affirmation initiale et notamment la question centrale de savoir si nous devons oui ou non avoir un biais domestique», a indiqué Elizabeth Bourqui, la responsable des investissements du fonds de pension à l’occasion d’un comité d’investissement.L’examen de ce redéploiement éventuel du portefeuille actions a déjà commencé mais l'évaluation exhaustive n’interviendra pas avant 2020, date à laquelle CalPERS fera un examen complet du portefeuille.
Thomson Reuters a annoncé ce 1er octobre avoir bouclé la vente à un consortium dirigé par la société américaine de capital-investissement Blackstone Group d’une participation majoritaire dans sa division Financial & Risk (F&R). Le groupe d’informations avait accepté en janvier de céder à Blackstone une participation de 55% dans sa principale division. Reuters conserve 45% de F&R, rebaptisée Refinitiv. David Craig, qui dirigeait F&R, en devient le directeur général. Thomson Reuters conserve la division information, Reuters News, ainsi que ses divisions Legal and Tax et Accounting.Le consortium dirigé par Blackstone comprend un fonds de pension, l’Office d’investissement du régime de pensions du Canada (OIRPC ou CPPIB en anglais) et le fonds souverain de Singapour GIC. Cette opération d’environ 20 milliards de dollars constitue la restructuration la plus importante du groupe depuis le rachat il y a une décennie de Reuters Group par Thomson Corp, à l'époque pour 8,7 milliards de livres, soit 17 milliards de dollars au taux de change alors en vigueur.
Quaestio Capital lance son premier fonds éligible au plan d’épargne individuel italien (PIR), le Quaestio – PIR Small Cap, rapporte Bluerating. Il s’agit d’un fonds de droit italien investi en actions de petites et moyennes capitalisations italiennes. Le fonds sera coté sur le segment ETFplus de Borse Italiana.
State Street Global Advisors vient de recruter Matteo Andreetto en tant que managing director senior et responsable de l’activité SPDR ETFs pour l’Europe, le Moyen-Orient et l’Afrique.L’intéressé vient de Stoxx (groupe Deutsche Börse) où il était CEO et responsable Index Services. Avant cela, il a occupé des postes à responsabilité dans les activités marchés de capitaux de différentes banques (UniCredit, Bank of America, Merrill Lynch et Goldman Sachs). Basé à Londres, Matteo Andreetto sera rattaché à Rory Tobin, responsable mondial de SPDR ETFs. Il aura comme mission de développer, diriger et mettre en place tous les aspects de la stratégie de l’activité ETF dans la zone EMOA.
Le gérant obligataire Pimco a annoncé ce 1er octobre le lancement du Pimco GIS Global Investment Grade Credit ESG Fund. Ce nouveau fonds constitue la dernière stratégie disponible sur la plateforme ESG de Pimco. Il permet aux investisseurs d’accéder à la l’une des stratégies phare de Pimco axée sur le crédit investment grade international (18,9 milliards de dollars sous gestion) tout en prenant en compte les enjeux sociaux et environnementaux. Le Pimco GIS Global Investment Grade Credit ESG Fund vise à maximiser le rendement total en investissant dans le crédit investment grade de qualité tout en ayant un impact social positif. Le style d’investissement conjugue analyses top-down et bottom-up, guidées par des tendances tant cycliques que séculaires, et met l’accent sur la diversification. Ce nouveau fonds est géré par la même équipe que le Pimco GIS Global Investment Grade Credit Fund, à savoir Mark Kiesel, CIO Global Credit, ainsi que Mohit Mittal et Jelle Brons, tous deux Gérants de portefeuilles, en collaboration avec Mike Amey, responsable des stratégies ESG. Le cadre ESG de Pimco, qui, souligne un communiqué, «tire profit du processus d’investissement fondamental de Pimco et des ressources employées depuis plusieurs dizaines d’années pour la gestion des portefeuilles d’obligations mondiales», s’articule autour de trois éléments : exclusion, évaluation et engagement. Les sociétés dont les pratiques ne sont pas en ligne avec certains principes de durabilité sont exclues des portefeuilles ESG de Pimco. Les entreprises sont également évaluées selon leur historique en matière de critères ESG, et celles qui disposent des meilleures pratiques en la matière sont privilégiées. Concrètement, l'équipe entre en collaboration avec les sociétés, les encourage à améliorer leurs pratiques ESG et à amorcer des changements sur le long terme. Le nouveau fonds sera disponible dans différentes classes d’actions et devises.
Le gestionnaire d’actifs britannique Ashmore, spécialiste des marchés émergents, vient de lancer un nouveau fonds actions dédié à l’Indonésie dont la vocation est de saisir les opportunités d’investissement dans le pays, a appris Citywire Selector. Baptisé Ashmore Indonesia Sicav, ce nouveau véhicule est géré par l’équipe actions de la société, qui gère déjà des stratégies mondiales, régionales ou dédiées à un seul pays. La sélection des valeurs s’appuiera sur des recherches sur le terrain, indique le site d’information britannique.
L’assureur britannique Prudential a annoncé, ce 1er octobre, la nomination de Mike Evans en qualité de président de sa filiale de gestion d’actifs et d’assurance vie M&G Prudential, dont la scission est prévue prochainement. L’intéressé rejoint le conseil d’administration de M&G Prudential avec effet immédiat.Mike Evans, qui compte 36 ans d’expérience dans les secteurs de l’épargne et de la gestion d’actifs, a précédemment officié en tant que président de Hargreaves Lansdown et président de ZPG. Au cours de sa carrière, il a également travaillé en tant que directeur des opérations chez Skandia UK, qu’il avait rejoint en 1986, puis comme administrateur non-exécutif du groupe d’assurance Esure et comme administrateur senior indépendant de Chesnara. Il est actuellement président du conseil d’administration de la société Just Eat.« La nomination de Mike Evans est la dernière étape en date dans le cadre du projet de scission de M&G Prudential du groupe Prudential, qui se traduira par la coexistence de deux sociétés cotées séparément », indique l’assureur britannique dans un communiqué. La nomination de Mike Evans a été approuvée par la Prudential Regulation Authority (PRA) et la Financial Conduct Authority (FCA). « D’autres nominations au sein du conseil d’administration de M&G Prudential seront annoncées en temps voulu », précise Prudential.
Allianz Global Investors (AllianzGI) a recruté Stéphanie Carbonneil en qualité de responsable des « trusts » d’investissement (« head of investment trusts ») à la suite du départ de Melissa Gallagher en juillet, a appris Investment Week. Basée à Londres, la nouvelle recrue sera rattachée à Adam Gent, responsable des segments « retail » et « wholesale » pour le Royaume-Uni et l’Europe du Nord. Stéphanie Carbonneil arrive en provenance d’Amundi où elle était responsable de la distribution pour le Royaume-Uni, l’Irlande et la Grèce. Avant cela, elle avait officié en qualité de « business development manager » pour l’activité dédiée aux « trusts » d’investissement chez Schroders.Au sein d’Amundi, Stéphanie Carbonneil est remplacée par Philip Philippides, son responsable des ventes ETF, produits indiciels et smart beta pour le Royaume-Uni et l’Irlande, a appris Investment Week.
Les ventes au détail se sont contractées en août en Allemagne pour le deuxième mois consécutif, laissant penser que la consommation, moteur de la croissance de la première économie d’Europe, a connu quelques ratés pendant la période estivale. Cet indicateur a baissé de 0,1% en termes réels après un recul (révisé) de 1,1% en juillet, a annoncé ce matin l’Office fédéral de la statistique. Les économistes interrogés par Reuters prévoyaient en moyenne une progression de 0,4% en août. Sur un an, les ventes au détail ont augmenté de 1,6%, soit davantage que la hausse de 1,5% anticipée par les économistes.
State Street Global Advisors (SSGA), la division de gestion d’actifs de State Street Corporation, a annoncé hier la nomination de Matteo Andreetto au poste de Senior Managing Director, responsable de l’activité SPDR ETF pour l’Europe, le Moyen-Orient et l’Afrique (EMEA), prenant effet immédiatement. Sous la direction de Rory Tobin, responsable mondial de l’activité SPDR ETF de State Street Global Advisors, il sera basé à Londres, où il aura pour mission de développer, diriger et exécuter tous les aspects de la stratégie commerciale SPDR ETF dans la région. Avant de rejoindre State Street, Matteo Andreetto a travaillé chez STOXX (Groupe Deutsche Börse), ainsi que Unicredit, Bank of America Merrill Lynch et Goldman Sachs.
« Disclosure » (divulguer, dévoiler). Voici un jargon qui devient de plus en plus nécessaire aux investisseurs institutionnels. Ces derniers ont besoin de données objectives sur les émetteurs dont ils achètent les titres et dettes. La TCFD (Task Force on Climate Disclosure), groupe d’experts du climat sous l’égide du G20, avait publié en juin 2017 une série de recommandations ambitieuses pour que les entreprises présentent leur exposition au risque climatique, vu comme un risque systémique. Cet effort devant notamment profiter aux investisseurs institutionnels. C’est dans cet esprit que le Medef, la Fédération Française de l’Assurance (FFA) et l’Association Française de la Gestion Financière (AFG), ont ouvert un dialogue devant permettre aux entreprises de mieux comprendre les exigences de reporting. « Nous avons voulu que les entreprises s’approprient les enjeux de reporting environnemental et s’inscrivent dans les obligations des investisseurs », a expliqué hier Gilles, ancien DG de Legrand et président de la nouvelle commission transition écologique et économique du Medef qui s’exprimait hier lors d’un débat au Medef. « Nous espérons un résultat visible dans le reporting extra-financier des entreprises dès 2019 » Après une année d’échange, un premier document a été présenté. Une version qui ne vise pas à appliquer dans son intégralité les recommandations de la TCFD mais « d’en extraire les informations essentielles » et de commencer à développer des méthodologies robustes. La seconde étape sera une application plus complète des recommandations sur une base volontaire. « Nous espérons que ce cadre de reporting sera utilisé par un maximum d’acteurs, avec un résultat visible dans le reporting extra-financier des entreprises dès 2019 », a déclaré Bernard Spitz, président de la FFA. Pour l’heure, le document propose quelques questions clés telles que : qui sont les responsables des questions liées au climat au sein de l’entreprise ? A qui reportent-ils au sein du comité exécutif ou du comité de direction ? Une cartographie des sites vulnérables de l’entreprise a-t-elle été réalisée ? Expliquer les impacts des risques et opportunités identifiés sur les activités de l’entreprise et sa chaîne d’approvisionnement ? Dans la mesure du possible, donner des ordres de grandeur chiffrés des impacts financiers… 5 indicateurs de performance demandés « Nous rencontrons en bilatéral 50 émetteurs par an. Ce cadre devrait faciliter ce travail » Pour ne pas rester sur des déclarations d’intentions, 5 indicateurs de performance ont été retenus pour que l’investisseur puisse mesurer la démarche environnementale de l’entreprise. Pour le secteur de l’énergie, il est demandé aux entreprises de publier les émissions de CO2 scope 1 et 2, les émissions estimées pour les postes significatifs du scope 3 pour les producteurs d’énergie fossile primaire ; le montant et la part du chiffre d’affaires et/ou EBITDA issu de la production d’énergie renouvelable et de produits ou services bas carbone ; les dépenses réalisées en faveur de la transition bas carbone (ex. CapEx et investissements R&D) ; répartition des réserves par type et facteurs d’émission associés (indications sur les potentielles futures émissions) ; utilisation ou non d’une valeur interne du carbone et ordre de grandeur retenu. « Nous rencontrons en bilatéral 50 émetteurs par an, qui apparaissent dans les grands risques de notre bilan, indique Philippe Dutertre, directeur au sein de la direction des investissements et du financement chez AG2R La Mondiale. Ce cadre devrait faciliter ce travail et permettre de mieux comprendre la trajectoire d’adaptation de l’entreprise pour être en-dessous d’un réchauffement de 2 degrés ». Par exemple, Total s’engage à fournir des données claires sur sa stratégie sans submerger les investisseurs d’indicateurs. Le but est moins de fournir des données du passé sur l’impact des entreprises sur l’environnement que de présenter les stratégie d’adaptation des entreprises, les risques et les opportunités liées au changement climatique. « Nous sommes dans un monde en mutation, nous préférons établir un dialogue où l’entreprise explique sa stratégie climat et la façon dont elle s’organise pour répondre à un monde décarbonné », explique Emmanuel Martinez, directeur Environnement groupe, Société Générale. Le gouvernement salue cette démarche qui permettra aux législateurs d’avoir un retour d’expérience et de mieux calibrer la réglementation à venir, alors que la commission européenne a présenté en mai dernier son plan d’action pour la finance durable avec un système européen de classification unifié (« taxinomie »), et des obligations de communication d’informations des investisseurs. « Avec cette initiative, nous allons pouvoir montrer que dans un État membre les acteurs économiques s’emparent du sujet pour enrichir le dialogue », se réjouit Jérôme Brouillet, chef du bureau de la stabilité financière, de la comptabilité et de la gouvernance des entreprises, DG Trésor au Ministère de l’Economie et des Finances. « Le texte devrait être adopté avant les élections législatives en mai 2019 », ajoute-t-il. D’autres défis seront à relever : étendre le sujet à l’ensemble des critères ESG et non plus à la seule question du climat comme sous-catégorie de l’environnement. Les questions de biodiversité, d’accès à l’eau, mais aussi de gouvernance et de conditions de travail importent autant. « Il faudra également évangéliser les PME et pas seulement le CAC40 », soutient Geoffroy Roux de Bézieux, président du Medef. TV
Si le Royaume-Uni et l’Union européenne ne parviennent pas à s’entendre sur un accord de libre échange, il pourrait en coûter chaque année aux entreprises européennes jusqu'à 14 milliards de livres sterling (15,8 milliards d’euros) de droits de douane, a déclaré aujourd’hui le ministre britannique du Commerce, Liam Fox. «Si nous n’avions pas d’accord avec l’Union européenne, cela serait aussi très nuisible pour le commerce européen. Les entreprises européennes auraient à payer des droits pour avoir accès au marché britannique, peut-être à hauteur de 14 milliards de livres par an», a-t-il dit sur la BBC TV. «Il est dans l’intérêt de chacun que nous parvenions à un accord et que nous le fassions aussi vite que possible», a ajouté le ministre.
Two co-founders of the data and analysis firm Quantalys, Jean-Paul Raymond and Vincent Weil, have become the majority investors to launch the advising and distribution platform Investisseur Privé, independently of Quantalys, which is investing marginally in the new project. The idea is to unite all services related to financial and wealth management on a single site. The platform, which has financial investment advising (CIF) and insurance brokerage licenses, is initially offering all of the possible savings products: life insurance with steered management (five possible investor profiles); freely-managed life insurance (with the support of Quantalys for 48,000 funds), in partnership with Generali; securities or PEA accounts, in partnershipw ith Bourse Direct; diversification solutions (123 IM, Alto Invest, Credit.fr, Uwine, etc.), real estate investment (Perl, Novaxia, Foncières et Territoires, La Française); employee savings (PEE) or corporate treasury; wealth management audits and retirement balance sheets, and legal and tax advising or wealth engineering (with 30 partner experts).The platform offers a multitude of analysis tools to understand and assist the “private investor” client, of any profile: aggregation of accounts (manual or automatic), to allow an overall view of wealth; simulators (savings, projects, retirements, taxation, succession) to allow for portfolios to be optimised, even from other offers; quick and simplified control panels for situations in case of major issues; regular reporting; simplified communications and/or personalised alerts of major moments for wealth management, etc.The platform will collect payment via subscriptions to the premium service (EUR17 per month; EUR170 per year), its share of management fees for mandated life insurance (0.4% plus the 0.8% received by Generali), and commissions from funds distributed through it on the basis of their performance (measured by Quantalys) and their consistency with the results of advising algorithms. The platform will offer pre-selection of 400-500 funds (out of the 48,000 rated by Quantalys), with the very best in each allocation (for example, US equities).The project has recently raised EUR1.7m from retail investors.
The Liechtensteinische Landesbank (LLB) on 28 September announced that it has completed the merger of its activities in Austria, following its acquisition of the Austrian Semper Constantia Privatbank Aktiengesellchaft. With this operation, the volume of activities for Liechtensteinische Landesbank (Österreich) rises to EUR21bn. The Austrian activity has 220 employees, and serves not only the Austrian market, but also those of central and eastern Europe, Italy, and Germany, a statement says.The new entity is led by Bernhard Ramsauer, chief financial officer GernScheider and chief operating officer Selim Alantar. At the end of 2017, LLB announced the acquisition of Semper Constantia Privatbank for EUR185m (CHF210m at current rates), saying that it was aiming to become the top wealth manager in Austria.As of 30 June 2018, trading volumes for the LLB group totalled CHF62.9bn.
The Swiss startup Seba Crypto, founded by two former UBS managers, has raised CHF100m (EUR88.1m) to create a bank offering crypto-currency services to businesses and investors, while also extending traditional banking services to companies in this new sector. The Swiss firm BlackRiver Asset Management, the Hong Kong-based Summer Capital, and Singapore, Malaysian, Chinese and Hong Kong investors are among the shareholders in Seba. The firm has also applied for a banking license from Finma, the Swiss federal market surveillance authority, to manage crypto-assets and crypto-currencies.
@page { size: 8.27in 11.69in; margin: 0.79in }p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; background: transparent }VontobelAsset Management has appointed StéphaneMatile to the newly-created position of head of partnerships inSwitzerland, to strengthen the development of its activities in thisarea. Assets related to this activity total over CHF10bn.Matilehas over 17 years of experience in the finance sector. He hadpreviously worked at Robeco SAM, where he was responsible forSwitzerland and wholesale clients.
@page { size: 8.27in 11.69in; margin: 0.79in }p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; background: transparent }a:link { color: #000080; so-language: zxx; text-decoration: underline }Theindependent wealth management firm Rouvier Associés, the Swiss armof the eponymous French firm, based in Lausanne, has recruitedJean-Philippe Roguet as client adviser. Roguet is an experiencedspecialist in client advising, who has worked at UBS and CreditSuisse, among others.TheSwiss firm, which began its activities in 2014, manages a total ofabout CHF1.5bn in four Sicav funds.
At a time when the company has recently celebrated its 20th anniversary, Stéphane Corsaletti, chairman of the board at ABN AMRO Investment Solutions, discusses the evolution of the business model for its multi-management platform. The director also explains the recent transfer of its management activities to Candriam, and the reasons for this operation. Corsaletti also gives details of various development projects in Europe, via the creation of a new sales team, and his desire to open the platform to new distributors.
@page { size: 8.27in 11.69in; margin: 0.79in }p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; background: transparent }Ina week when the US Federal Reserve has expressed a desire to continuegradually increasing its prime interest rate, investors havepreferred to remain on their toes. Equity funds finished the week to26 September with outflows of USD3.3bn, while bond funds postednegative net flows of USD4.7bn, the highest of the past 14 weeks,according to a weekly survey by Bank of America Merrill Lynch, basedon data from the flow evolution monitoring specialist EPFR Global.Inequity funds, all geographical regions finished the week in negativeterritory, but in generally modest amounts. In Europe, where theprospects of an out-of-control Italian budget gave investors a chill.European equity funds posted net outflows of USD0.4bn, continuing anearly uninterrupted series of negative flows in the past six months.Emerging market equity funds also posted outflows, but these were notpanicked, and only totalled USD0.5bn. US and Japanese equity fundsalso finished the week with modest outflows of USD0.9bn and USD0.2bn,respectively.Inbonds, investment grade (IG) bond funds posted net outflows ofUSD3.3bn, the highest since December 2016. High yield bond funds alsosaw outflows, but these totalled only a net USD0.3bn. It has alsobeen observed that emerging market debt funds have returned toinvestors’ good books, with net inflows of USD1.5bn, the highest ofthe past six months. Between March 2016 and May 2018, only USD16 haveleft emerging market funds for every USD100 invested, analysts atBofA Merrill Lynch find. In other words, there is “No EMergency,”according to BofA Merrill Lynch analysts.
Le directeur commercial institutionnel d’Haas Gestion Cyril Fridman, effectuait dans les allées de Patrimonia son dernier salon sous les couleurs de la société de gestion détenue par le groupe DLPK, a appris NewsManagers.En effet, ce dernier s’apprête à rejoindre les rangs de la direction des partenariats d’AG2R la Mondiale, en tant que responsable commercial. Après 4 années passées à développer le marché institutionnel pour Haas Gestion, il a décidé de rejoindre directement un institutionnel pour s’occuper plus particulièrement du marché des sociétés de gestion et des family office.Un retour aux sources en quelque sorte pour Cyril Fridman qui avait déjà officié sur ce marché de 2006 à 2014 chez Assurance Épargne Pension du Groupe BNP Paribas Cardif. Avant cela, il avait fait ses premières armes dans le conseil, chez Salustro Reydel (2005-2006) et à la Financière SRI (2001-2005). Il était en poste chez Haas gestion depuis janvier 2015.Cyril Fridman est titulaire d’un DESS Banque Finance de l’Université Paris Nanterre et d’une Maîtrise de Banque et Finance et du diplôme d’ingénieur Maître en Finance de l’Université de Cergy-Pontoise.
Paris émerge comme le centre de transactions financières favori d’Europe continentale, plusieurs banques et sociétés de gestion parmi les plus importantes au monde ayant choisi de déplacer leurs activités de Londres à Paris dans le sillage du Brexit, rapporte le Financial Times. BlackRock et JPMorgan Chase devraient rejoindre Bank of America et Citigroup dans cette avant-garde, selon des sources proches de leurs réflexions. « Si vous demandez à la plupart des professionnels du secteur, le choix numéro un est Paris », dit le patron d’une grande banque d’investissement, ajoutant que les coûts du travail sont désormais aussi faibles qu’au Royaume-Uni. Une autre raison importante pour choisir Paris est la sophistication des régulateurs français, qui depuis longtemps supervisent les activités de dérivés et d’opérations complexes de BNP Paribas et Société Générale. BlackRock envisage même de désigner Paris comme son siège paneuropéen, selon deux sources proches du dossier. Son bureau pourrait ainsi être multiplié par six à 200-300 collaborateurs dans un an ou plus.
À l’occasion du salon Patrimonia, organisé à Lyon jeudi et vendredi, la société de gestion Extend AM a annoncé la commercialisation d’un nouveau FCPR en partenariat avec Sunny AM. Baptisé Extend Sunny Oblig Foncier, ce fonds proposera une double allocation. En effet, 50 % de la gestion est déléguée à Sunny AM, qui gérera une poche d’investissement investie dans des obligations cotées émises en euro et conservées jusqu’à échéance. Les 50 % restant seront évidemment gérés par Extend AM et investis sur le développement de PME non cotées dont l’objectif est la reprise/création de fonciers d’exploitation dans le secteur de l’hôtellerie et la réalisation d’opérations immobilières en France et en Europe. “Nous avons choisi de nous associer à Sunny AM car nous souhaitions un produit très peu volatil et assez décorrélé des marchés, afin de pouvoir toucher la clientèle des CGP, des gérants privé et des gérants de fortune”, indique Jean-Marc Palhon, président d’Extend AM. Extend AM mise également sur la liquidité du produit qui autorisera les investisseurs à rentrer et sortir à tout moment et proposera une valorisation bi-mensuelle. “Nous espérons pouvoir collecter entre 300 et 400 millions d’euros à horizon 5 ans”, précise Jean-Marc Palhon, qui souhaite que la spécialisation du fonds dans l’hôtellerie fasse de ce nouveau FCPR un concurrent direct aux SCPI. “L’objectif de performance est de réaliser chaque année entre 100 et 150 points de base supplémentaires par rapport à la moyenne des SCPI”, ajoute-t-il. Par ailleurs, le fonds est actuellement en phase de référencement auprès de plusieurs assureurs : Apicil, Generali et Spirica.
Galpal Gestion a annoncé ce 28 septembre le changement de dénomination de son fonds actions Valeurs Croissance Rendement, renommé Gaspal Croissance Dividendes. Cette nouvelle dénomination permettra de donner plus de visibilité aux investisseurs sur la stratégie de gestion du fonds, souligne un communiqué. L’approche, qui demeure identique depuis la création du fonds, se fonde sur une analyse approfondie de la capacité des sociétés cotées de la Zone Euro à verser des dividendes.La stratégie privilégie la pérennité et la croissance des dividendes, plutôt qu’un rendement élevé. Il en résulte une sélection de sociétés au modèle économique solide, dirigées par des équipes de qualité, explique un communiqué. Le portefeuille est ainsi construit autour de trois poches : les dividendes élevés, la croissance importante des dividendes, et enfin, le fort potentiel de croissance des dividendes.Depuis sa création, le 9 mai 2008, Gaspal Croissance Dividendes (IC) a progressé de plus de 77 % contre, à titre de comparaison (le fonds n’est pas soumis à un indicateur de référence), 23 % pour l’Eurostoxx 50 (dividendes nets réinvestis).
Alors que sa société vient de fêter son vingtième anniversaire, Stéphane Corsaletti, président du directoire d'ABN AMRO Investment Solutions, revient sur l'évolution du modèle économique de sa plateforme de multi-gestion. Le dirigeant explique les raisons d'être du récent transfert de ses activités de gestion à Candriam et détaille également ses différents projets de développement en Europe, via la création d'une nouvelle équipe commerciale, et l'ouverture de sa plateforme à de nouveaux distributeurs.