P { margin-bottom: 0.08in; } Dodd Kittsley, global head of ETP research at BlackRock, is joining Deutsche Asset & Wealth Management, the Wall Street Journal reports. He will be managing director and head of the ETP strategy for the Americas, according to a spokesperson. The recruitment marks a win for the German group, which is seeking to increase its presence in the United States.
P { margin-bottom: 0.08in; } Société Générale is strenuously denying rumours of a potential sale of its asset management affiliate Lyxor. “It is a strategic asset for the group, and as such, it is not for sale,” the bank says when asked by Les Echos. “We are not selling and we are even potentially buying opportunities that present themselves,” another internal source tells the economic newspaper. According to Les Echos, several causes are driving speculation concerning Lyxor. Firstly, Amundi is seeking to make acquisitions to grow its new ETF franchise, an area in which Lyxor is one of the European leaders. Then, Lyxor has been confronted with a cascade of major departures in the space of two years, including that of its chairwoman, Inès de Dinechin, in February.
Interrogé sur RTL, Michel Sapin, ministre des finances, a indiqué que "le rythme lui-même est modifié (...) nous avons un rythme un peu moins rapide de diminution des déficits que prévu".
Les défauts intervenus sur le marché des obligations d’entreprises à hauts rendements et parmi les banques locales témoignent de la volonté des autorités d’assainir le crédit, estime Philippe Uzan, directeur des gestions chez Edmond de Rothschild AM.
Le taux de chômage sur trois mois à fin février a diminué à 6,9% en Grande-Bretagne, son plus bas niveau depuis cinq ans, contre 7,2% pour les trois mois à fin janvier. Les économistes attendaient une diminution plus faible, à 7,1%. Il passe ainsi sous la barre de 7% qu’avait fixée dans un premier temps la banque d’Angleterre pour envisager un relèvement de ses taux d’intérêt. La BoE a depuis ajusté sa «guidance».
L’inflation annuelle a atteint en mars son plus bas niveau depuis novembre 2009, à 0,5% contre 0,7% en février, selon les chiffres définitifs. Elle se maintient donc bien en dessous de 1%, dans ce que le président de la BCE, Mario Draghi, appelle la «zone dangereuse». Un chiffre qui plaide en faveur de mesures d’assouplissement pour contrer la menace d’une déflation.
La banque centrale canadienne a maintenu à 1% son principal directeur, niveau inchangé depuis trois ans et demi. Elle continue toutefois de surveiller le faible niveau d’inflation et les risques associés pour l'économie du pays.
Le ministre russe de l’Economie a souligné hier l’impact des tensions géopolitiques avec l’Ukraine sur la fuite des capitaux. Selon Alexeï Oulioukaïev, l’activité économique s’est contractée de 0,5% au premier trimestre par rapport aux trois derniers mois de 2013 (+0,8% en glissement annuel). Cette contraction est le reflet d’une «diminution sensible de l’investissement en capital» (-4,8% comparé au premier trimestre 2013).
Selon le président du Parlement européen, les règles sur les déficits devraient faire la distinction entre «les dépenses de consommation de certains Etats et des investissements dans l’avenir d’une économie». Martin Schulz déclare par ailleurs au quotidien allemand que le rachat d’obligations souveraines par la Banque centrale européenne peut faire sens.
A 7,4% au 1er trimestre, la hausse du PIB chinois reste en ligne avec l’objectif annuel de 7,5% affiché par Pékin, mais revient sur ses plus bas de 2009 et 2012. Des mesures ciblées de relance sont attendues, mais pas de plan massif qui irait à l’encontre des réformes en cours.
Le Fonds de prévoyance Kudelski et ses structures s??urs à l’international ont plus que doublé la part de leur poche liquidité au cours de l’année 2013, elle représente maintenant 18,1% du portefeuille global. Les liquidités sont passées de 13,2 millions d’euros à 19,8 millions d’euros. Le fonds de pension a diminué dans le même temps toutes les autres classes d’actifs de son allocation, notamment les produits structurés, dont la part a diminué de 6% à 2,7%. Les obligations suisses passent de 27,3%, l’année passée, à 24,6%. Les actions, en dépit d’une bonne tenue durant l’année 2013, sont à 17,3% (pour les actions en Suisse) et 16,7% (pour l’international). Les poches obligations internationales et immobilier ont diminué en valeur relative, mais ont toutefois augmenté en valeur nominale. Portefeuille du Fonds de pension Kudelski à fin 2013 : 18,1% cash 24,6% obligations suisses 7,7% obligations internationales 17,3% actions suisses 16,7% actions internationales 12,9% immobilier 2,7% produits structurés
La Banque du Canada a maintenu à 1% son principal directeur, niveau inchangé depuis trois ans et demi. Elle continue toutefois de surveiller le faible niveau d’inflation et les risques associés pour l'économie du pays.
L'économie russe s’est contractée au cours des trois premiers mois de l’année, a annoncé le ministre de l’Economie, soulignant l’impact des tensions géopolitiques avec l’Ukraine sur la fuite des capitaux. Alexeï Oulioukaïev a indiqué au Parlement que l’activité économique s’est contractée de 0,5% au premier trimestre par rapport aux trois derniers mois de 2013, même si elle a progressé de 0,8% en glissement annuel. Selon le ministre, la contraction du PIB est le reflet d’une «diminution sensible de l’investissement en capital», en baisse de 4,8% par rapport au premier trimestre 2013.
RenAsset Management a obtenu l’agrément de la Banque centrale d’Irlande pour lancer le 24 avril son fonds investi dans des actions du marché nigérian. Basé à Dublin, le produit Ucits sera géré par Sven Richter, responsable des marchés frontières au sein de la société russe. Sa capacité sera limitée à 50 millions de dollars.
Les gérants inscrits dans les mandats amLeague ne partent pas vraiment d’une feuille blanche. Pas ceux, en tous les cas, invités récemment sur Newsmanagers TV (*) pour détailler les caractéristiques de leur gestion et de leur portefeuille. Pour Arnaud d’Aligny, gérant chez Sycomore AM, le portefeuille amLeague est un quasi clone de Sycomore Europeancap, un fonds de la gamme de la société de gestion. Egalement présent, Laurent Inglebert, analyste-gérant chez Aberdeen AM, a distingué le portefeuille du mandat euro de celui sur l’Europe. Car le fonds de la société de gestion sur la zone euro a largement recours à des valeurs hors benchmark, ce qui est impossible dans les championnats, alors que le portefeuille européen est «en ligne». De fait «l’overlap» est de 60 % dans le premier cas et de 90 % dans le second. En termes de performances, les différences ne s’estompent pas. En l’espace de six mois, les performances entre le portefeuille sur la zone euro et celui sur l’Europe vont du simple au double. «Mais ce constat s’explique surtout par le comportement de certaines valeurs cotées sur le marché suisse comme Astra Zeneca», a expliqué Laurent Inglebert . Invités à s’exprimer sur les classements des mandats, et sur le grand chamboulement aux premières places comme aux dernières, où les quants côtoient les adeptes de la gestion fondamentale, les gérants se sont accordés pour reconnaître que les marchés sont à leur plus haut, se cherchent et hésitent à poursuivre leurs ascension. Dans ce cadre, la baisse de la volatilité aide les gestions quantitatives tandis que pour les gestions fondamentales, Arnaud d’Aligny note une décorrélation nette entre les titres, ce qui donne du grain à moudre aux stocks pickers. Dans cet environnement, les gestions des deux gérants ne sont pas vraiment à la fête sur un horizon de quelques mois. Mais sans contester les difficultés momentanées de leur gestion, Arnaud d’Aligny et Laurent Inglebert ont insisté sur leur vision de long terme, expliquant au passage l’importance au cours du premier trimestre de la sélection sectoriel, géographique et des tailles de capitalisations. «Même si l’on sait que l’on peut passer à côté d’un cycle de gestion, il faut s’en tenir pour l’investisseur, à la typologie de gestion préalable», ont-ils rappelé. Reste ensuite à déterminer les catalyseurs et autres moteurs de performances dont les gérants vont pouvoir profiter. Arnaud d’Aligny en identifie trois : le rebond de l'économie européenne, les introductions en bourse et les fusions-acquisitions. A ce titre, le gérant de Sycomore AM a noté une progression de près de 100 % sur l’Europe, à condition de ne pas oublier le niveau bas d’où elle est partie. «Rapporté à la capitalisation, le volume de transaction est encore inférieur de moitié à ce qu’il était sur les trente dernières années au niveau mondial», a insisté le gérant. «En termes de confiance, ces opérations sont contagieuses, mais il faut être sélectif», a martelé Laurent Inglebert, «car certaines entreprises profitent de valorisations attractives dans leur secteur, ce qui n’est pas partout le cas». Et de donner l’exemple d’entreprises du secteur minier et à l’inverse, de celui de la téléphonie, où les marges sont sous pression et les marchés très régulés. Dans un autre genre, la performance des smalls et midcaps a été saluée, quand bien même la naissance du PEA PME a fait progresser très rapidement certaines valorisations, au point que l’on peut détecter des signes de bulle dans certains secteurs. «Il reste quelques pépites», a indiqué Arnaud d’Aligny, qui a confirmé la présence de ce type de capitalisations dans le portefeuille. Ce n’est pas le cas chez Aberdeen dont le portefeuille affiche un très fort biais «large caps», et n’en a donc pas tiré profit. Enfin, au terme de l’entretien, Antoine Briant, CEO d’amLeague a dressé un panorama sur le mandat «global equities» où les acteurs ainsi que leur profil et leur pari sont variés, aidé en cela par un benchmark large. Il n’en reste pas moins que certains sont restés avec un profil «marché émergents» net dont ils ont pu souffrir, à l’image d’EdRam (-1,01 % en mars). Par ailleurs, des quants cohabitent avec des résultats très différents. Il est vrai qu’ils revendiquent des gestions marquées, de low volatility, risk parity, etc. Résultat, Theam affiche un gain de 1,8 % alors que Ossiam ne progresse que de 0,21 %. Quant aux stocks pickers, ils ont eu eux aussi des fortunes diverses. Notamment Roche-Brune (0,85 %) tandis que le portefeuille d’Allianz GI a mordu la poussière (-1,42 %). (*) cliquez sur ce lien pour lire la vidéo
L’industrie des fonds communs de placements américains, dans son ensemble, à enregistré 39,2 milliards de dollars de flux entrants en mars selon les données publiées par l’agence Morningstar. La catégorie « Core intermediate-term bond funds », qui regroupe les fonds obligataires moyen terme, a contribué positivement à la collecte du secteur le mois dernier en enregistrant des flux entrants (+4,3 milliards de dollars) pour la première fois depuis 11 mois, précise Morningstar.
Le fonds d’investissement Amber Capital, quatrième actionnaire du fabricant de câbles Nexans (avec 5,5 % du capital), s’apprête à écrire aux principaux actionnaires pour leur demander de soutenir son projet de révocation du PDG, Frédéric Vincent, rapporte L’Agefi. Alors même que le siège d’administrateur de Frédéric Vincent n’est pas en renouvellement cette année. Contacté par le journal, Nexans n’avait hier pas encore reçu cette résolution.Si cette résolution était adoptée, elle instaurerait de facto une séparation des fonctions de président et de directeur général, ce qu’avait déjà demandé Amber Capital en novembre dernier. A l’approche de l’assemblée générale de Nexans, le 15 mai prochain, les frondeurs invoquent notamment les mauvais résultats du groupe en 2013, tombé dans le rouge avec une perte nette de 333 millions d’euros, tandis que la marge opérationnelle perdait 0,6 point à 3,6%.
Christopher Arbuthnot a rejoint la société de hedge funds Kennebec Global, basée à Rhode Island, suite à son départ de Manulife Asset Management à la fin de l’année dernière, rapporte Citywire. Il devrait travailler sur un hedge fund long/short.
Le groupe Macif a annoncé la nomination de Philippe Michel Labrosse à la fonction de directeur général de Mutavie, sa filiale Epargne-assurance vie. Philippe Michel Labrosse a rejoint le groupe Macif en septembre 2013 en qualité de directeur du pôle Finance/Epargne regroupant les activités d’Assurance Vie (Mutavie) et bancaires (Macifin’). Il remplace Jean Dit Berthelot, qui a quitté l’entreprise.Auparavant, Philippe Michel Labrosse était président directeur général de la société financière W Finance. Il a également exercé les fonctions de Directeur des Assurances de Personnes pour l’Amérique du Sud (2000-2002), de Directeur général des compagnies d’Assurance Vie, AVIP, Arcalis, Génération Vie (Oddo), de la Retraite Collective et des Partenariats de Prévoyance (2004-2009). Par ailleurs, le groupe a promu Fred Vianas, directeur général de Macif-Mutualité, filiale du groupe Macif en charge des contrats d’assurance de personnes en santé et prévoyance, individuelle et collective. Il succède à Catherine Touvrey qui a été nommée dans l’entreprise directrice général déléguée en charge des métiers du groupe Macif.Fred Vianas est entré dans le groupe en 2010 pour prendre en charge la direction des assurances de personnes collectives et des projets stratégiques de Macif-Mutualité. En 2012, il est devenu directeur général délégué de Macif-Mutualité où il aura la mission d’assurer la direction opérationnelle de la filiale. Il occupe également, depuis janvier 2013, le poste de Directeur du pôle Santé/Prévoyance du groupe Macif, indique un communiqué.
La société de gestion Clay Asset Management, spécialisée dans l’allocation d’actifs et qui a démarré ses activités il y a environ 2 ans et demi, vient de franchir la barre des 200 millions d’euros d’actifs sous gestion. «Nous sommes très satisfaits de cette évolution dans un environnement toujours très difficile», a déclaré à Newsmanagers Cyril Bergé, président et fondateur de la société.Légèrement en avance sur son plan de marche, Cyril Bergé espère s’approcher de la barre des 300 millions d’euros d’ici à la fin de l’année. Alors que la société reste globalement très discrète, fidèle à sa stratégie d’origine qui est de servir une clientèle essentiellement composée d’investisseurs privés fortunés, au total une petite vingtaine de clients. Depuis l'été dernier, une activité de family office complète le dispositif. Cette activité compte désormais quatre clients.Parallèlement, Clay AM souhaite se développer dans la gestion collective avec deux stratégies, Clay Multi-Assets, un fonds d’allocation dont les actifs sous gestion s'élèvent à environ 26 millions d’euros, et Clay New Horizons, un fonds «deep value» dédié aux actions émergentes dont l’encours approche les 4 millions d’euros. Décorrélé des indices émergents, ce dernier fonds affiche des performances comprises entre 0% et 4% depuis le début de l’année avec une faible volatilité. Le fonds phare Clay Multi-Assets a lui progressé de 8,5% l’an dernier pour une volatilité inférieure à 5% et depuis le début de l’année, il affiche un gain de 4,5%.Si l’activité continue d'évoluer favorablement, Clay AM n’exclut pas de nouveau développements dès cette année. Tout d’abord, Cyril Bergé souligne qu’une bonne partie de sa clientèle française est installée en Belgique ou au Luxembourg. Soucieux de rester proche de sa clientèle, Cyril Bergé n’exclut pas de créer une société de gestion au Luxembourg. Last but not least, la société étudie la possibilité de lancer une activité de private equity peut-être dans les prochains mois. Forte actuellement d’une équipe de sept personnes, Clay AM pourrait alors compter un effectif de 8 à 9 personnes d’ici à la fin de l’année.
A Paris, les bonus versés au titre de l’année 2013 progressent nettement pour les traders seniors sur dérivés actions rapporte le journal Les Echos qui cite le dernier recensement du cabinet Vendôme Associés. La rémunération variable de ces professionnels, qui n’avait plus augmenté depuis 3 ans, a plus que doublé atteignant en moyenne 450 000 euros contre 200 000 euros l’an dernier. Sur la même classe d’actifs, les vendeurs séniors ont également vu, dans une moindre mesure, leur prime augmenter passant de 275 000 euros à 400 000 euros. Beaucoup moins heureux, les vendeurs seniors sur produits fixed income (Forex, taux, obligations) ont subi, en moyenne, une baisse de leur bonus de 15% selon le journal Les Echos, qui s’appuie sur des données fournies par le cabinet Hudson. Lequel précise qu’une banque, « traditionnellement généreuse » a contribué très négativement à l’évolution de la moyenne sur un an en réduisant son enveloppe de 80%. En chiffres, les rémunérations variables des vendeurs fixed income seniors, au titre de 2013, varient de 50 000 à 250 000 euros contre une fourchette comprise entre 80 000 et 300 000 euros l’an dernier. Par ailleurs, Les Echos constate un écart grandissant entre les banques anglo-saxonnes et les banques françaises. Seules les premières ayant augmenté le bonus moyen versés à leurs salariés.
Candriam, l’ex-Dexia Asset Management, vient de rejoindre le Forum pour l’Investissement Responsable (FIR) et sera représenté par Isabelle Cabie, sa responsable ISR. Candriam considère que « la prise en compte de critères ESG matériels permet d’identifier des facteurs autres que financiers susceptibles d’influencer la valeur et la compétitivité à long terme d’une entreprise, tout en participant au développement durable de l’activité économique », indique un communiqué .
Jupiter enrichit sa gamme de produits. Le gestionnaire d’actifs britannique va lancer un fonds actions américaines sur les petites et moyennes capitalisations, révèle FT Adviser. Ce nouveau véhicule sera géré par Robert Siddles, l’ancien gérant «small cap» de F&C qui a rejoint Jupiter en janvier 2014.Le produit, baptisé Jupiter US Small and Mid Cap Companies Fund, doit être officiellement lance sur le marché à compter du 12 mai et il adoptera la même stratégique que le Jupiter US Smaller Companies Investment Trust, transféré à de F&C à Jupiter avec l’arrivée de Robert Siddles. Le véhicule investit dans des entreprises dont la taille est comprise entre 100 millions et 5 milliards de dollars et son indice de référence est le Russell 2000 Index.
Aviva Investors étoffe ses équipes. La société de gestion, filiale de l’assureur britannique Aviva, vient en effet de débaucher Mark Versey, jusque-là directeur des investissements de Friends Life, pour le nommer au poste de directeur des solutions clients, révèle FundWeb.L’intéressé reportera à Euan Munro, directeur général d’Aviva Investors. Auparavant, Mark Versey a occupé différentes fonctions chez Axa UK et Morgan Stanley.