Convictions Asset Management a annoncé le 14 février le recrutement d’Edoardo Chiozzi Millelire qui sera en charge du développement international. La société de gestion entend ainsi «renforcer son développement international en Europe, principalement au Benelux, en Suisse et en Italie».Edoardo Chiozzi Millelire travaillait précédemment chez KBL-Richelieu, en charge de la clientèle internationale.
SwissLife Immobilier et Viveris Reim annoncent le lancement de l’OPCI SwissLife Dynapierre, support d’investissement original à dominante d’immobilier non coté. Viveris Reim gèrera la SPPICAV (Société de Placement à Prépondérance Immobilière à Capital Variable) composée à 60% maximum d’immobilier, à 30% maximum d’actifs financiers et à 10% minimum de liquidités. L’administration de biens des immeubles sera réalisée par SwissLife Immobilier, en charge de la gestion du patrimoine immobilier du Groupe Swiss Life.L’OPCI a d’ores et déjà été intégré dans l’offre d’unités de compte de SwissLife Assurance et Patrimoine. SwissLife Dynapierre sera proposé par l’ensemble des réseaux Swiss Life, y compris SwissLife Banque Privée dans le cadre de contrats d’assurance vie ou de compte-titres. Codes Isin : FR0010956904 (part B) et FR0010956912 (Part C)
Dans un communiqué publié lundi 14 février, portant sur le développement de son activité en Europe et l’élargissement de sa gamme de produits, Amundi ETF a fait état d’un encours de 5,3 milliards d’euros à fin décembre 2010, soit une croissance de près de 60% sur l’année - contre 24% pour le marché européen. L’an dernier, près de 300 enregistrements et cotations de ses produits en France, Allemagne, Pays Bas, Italie et Suisse ont été réalisés, avec également 29 lancements. Au total, la gamme de la société compte 94 ETF couvrant les principales classes d’actifs : actions, obligations, monétaire et matières premières.Amundi ETF se présente comme le 3ème plus important émetteur en Europe, indique l'établissement.
Hubert Auriol, triple vainqueur du Paris Dakar, créateur du Rallye Raid International «Africa Race» et ex-directeur général du Pôle Sports Mécaniques d’Amaury Sport Organisation (Paris-Dakar, Enduro du Touquet), rejoint Calao Finance comme conseiller aux investissements, a annoncé, lundi 14 février, la société de gestion. L’ancien pilote doit apporter son expertise dans le domaine du sport, de la communication et du management au sein de l’équipe de gestion des fonds de capital investissement, qui interviennent dans les secteurs des hautes technologies, du luxe, du sport et de la distribution spécialisée.
Le dernier fondateur d’Apax encore en activité, le Français Maurice Tchénio, transmet ce mardi 15 février la présidence de la société à Eddie Mizrahi, rapporte Les Echos. Il ne se retire toutefois pas totalement du métier puisqu’il gardera la responsabilité du suivi de création de valeur et de sortie du portefeuille des fonds existants ainsi que la présidence de la gérance d’Altamir Amboise. Maurice Tchénio va aussi s’atteler à une autre mission: le lancement de sa nouvelle fondation AlphaOmega, née de l’idée d’appliquer son expérience au secteur caritatif
Les dividendes et rachats d’actions versés l’an dernier par les entreprises du CAC40 ont progressé de 10% par rapport à 2009 pour atteindre 38,8 milliards d’euros, selon la lettre Vernimmen.net, rapporte Les Echos. Les entreprises du CAC40 devraient verser un montant record de quelque 40 milliards d’euros de dividendes en 2011 (au titre de l’exercice 2010) à leurs actionnaires, selon les estimations des analystes, soit une augmentation de 14% par rapport à l’année précédente, selon les données de FactSet retraitées par PrimeView.
Oubliée la crise financière chez Oddo AM. La société de gestion se tourne résolument vers l’avenir avec son nouveau plan de développement courant jusqu’en 2014, qui prévoit un doublement des encours en quatre ans."Nous sommes convaincus que notre développement doit passer par l’ouverture du passif à l’international», estime Bertrand Levavasseur, responsable de l’international chez Oddo AM. Dans cette perspective, la collecte nette sur le marché français devrait progresser de 50% sur quatre ans alors qu'à l’international, elle devrait pouvoir être augmentée dans de très fortes proportions. En 2010, la collecte nette s’est élevée à 1,1 milliard d’euros, dont pour la première fois, 50% à l’international, relève Bertrand Levavasseur. Le projet prévoit d’ores et déjà 26 recrutements (juridique, marketing, services clients, vente, middle office) avec un effort particulier sur les ventes à l’international. L’équipe de 9 personnes dirigée par Bertrand Levavasseur pourrait ainsi compter une quinzaine de personnes d’ici à la fin de l’année. Jusqu’ici surtout mis en œuvre depuis Paris, le développement à l’international va désormais entrer dans une deuxième phase, la délocalisation, avec par exemple l’installation d’un bureau de représentation en Allemagne, à Francfort. Le développement à l’international repose sur quatre marchés clés: la Suisse, l’Allemagne, l’Italie pour l’Europe et Dubai au Moyen-Orient. La constitution des équipes est en cours, notamment pour la Suisse avec un commercial à Zurich épaulé par deux personnes à Paris, ou encore pour l’Italie, à Milan, avec deux vendeurs senior assistés d’un commercial junior. La Belgique et le Luxembourg continueront d’être couverts à partir de Paris tandis que l’Espagne, où Oddo est déjà présent à Madrid, devrait être dotée d’une antenne dans les six prochains mois. Egalement au programme, mais peut-être un peu plus tard, les Pays-Bas. Au Moyen-Orient, où Oddo est présent depuis environ quatre ans, «la société commence à avoir des résultats», remarque Bertrand Levavasseur qui précise toutefois que la clientèle potentielle est surtout constituée d’institutionnels haut de gamme susceptibles d’intégrer une allocation en euro dans leur portefeuille. Le point d’entrée privilégié sur tous ces marchés reste les «midcaps» et les convertibles, puis la gestion alternative, exclusivement auprès d’une clientèle de professionnels, institutionnels comme les caisses de retraite, ou distributeurs, comme les banques privées ou encore les multi-gérants.
«Le projet Orsay est quasiment arrivé à son terme», a indiqué le 14 février à NewsManagers Jean-Philippe Taslé d’Héliand, directeur général délégué du nouvel ensemble regroupant Oddo AM et Banque d’Orsay. «C'était d’ailleurs l’une des conditions préalables à cette acquisition. Compte tenu de la proximité culturelle de la Banque d’Orsay, il nous semblait que l’intégration de la banque serait relativement facile à gérer sur une période limitée, en l’occurrence six mois environ», relève-t-il.Pari tenu. Les questions clés liées à l’intégration, qu’il s’agisse du redéploiement des équipes ou de la rationalisation des gammes, ont pour la plupart été réglées et il ne reste «plus» qu'à exécuter les différentes bascules : comptable, systèmes, OPCVM, et bien entendu, l’intégration des équipes. En termes d’organisation, la direction générale du nouvel ensemble consolidé, comme indiqué par L’Agefi (17 janvier 2011), sera bien assumée par l’ex-directeur général de la Banque d’Orsay, Guido Mundt, les deux directeurs généraux délégués restant en place, à savoir Thierry Deheuvels et Jean-Philippe Taslé d’Héliand. La nouvelle structure comptera environ 120 personnes, dont 85 pour Oddo AM et 35 pour Orsay. Outre le renforcement des parts de marché en France, l’opération va aussi permettre à Oddo AM d'élargir son offre à la gestion alternative avec deux produits Orsay, à savoir Orsay Arbitrage Actions (avec un encours de quelque 140 millions d’euros), Orsay Active Long/Short (15 millions d’euros). Un troisième produit que la banque d’Orsay gérait pour compte propre va être aménagé pour la clientèle. Il s’agit d’un hedge fund domicilié à Dublin et spécialisé dans l’arbitrage de fusions/acquisitions. Le fonds sera doté en fonds propres maison avant ouverture à la clientèle. Orsay apporte également dans sa besace deux autres fonds actions qui viennent compléter l’offre d’Oddo en raison de leur approche opportuniste, Orsay Développement Large Cap (110 millions d’euros d’encours) et Orsay Opportunités Monde (30 millions d’euros). L'étiquette Orsay ne devrait pas subsister sur ces fonds mais elle sera maintenue sur les produits de gestion alternative, à l’exception peut-être du fonds «merger arbitrage», afin de bien marquer la reconnaissance de l’expertise d’Orsay dans ce domaine. «Nous disposons désormais d’un modèle économique solide car il s’appuie sur un actif bien réparti entre classes d’actifs et un passif bien réparti également par typologies de clientèle», estime Jean-Philippe Taslé d’Héliand. Du côté des classes d’actifs, Oddo offre désormais une palette de sept classes d’actifs avec chaque fois si possible un fonds phare, par exemple Oddo Avenir Europe (avec un encours de quelque 1,15 milliard d’euros) pour les moyennes capitalisations européennes. La nouvelle structure, qui pesait environ 13 milliards d’euros fin 2010 avec l’apport de 2 milliards d’euros de la Banque d’Orsay, a aussi ouvert de nouvelles perspectives de croissance. Avec l’aide du cabinet Bain, Oddo a mis au point un nouveau plan de développement qui prévoit un doublement des encours sur quatre ans. Dans cette perspective, le développement à l’international devrait jouer un rôle central (lire par ailleurs).
Se fondant sur le dernier rapport remis à la CNMV, Expansión rapporte que la tour madrilène Edificio España du fonds Santander Banif Inmobiliario n’était plus valorisée fin décembre qu’à 215 millions d’euros alors qu’elle avait été achetée en juin 2005 à Metrovacesa pour 277 millions.
Le capital-investisseur CVC Capital Partners a pris contact avec plusieurs banques d’investissement pour soit introduire en Bourse soit vendre le groupe papetier catalan Torraspapel, acheté au koweitien KIO en 1999, rapporte Cotizalia. A l'époque, CVC avait payé 312 millions d’euros avec 264 millions de dette.
Le 14 février, The Blackstone Group a annoncé le recrutement de Martin Donnelly comme managing director de son bureau australien de Sydney. Il prend la tête du développement ainsi que du suivi de clientèle pour l’Australie et le bassin du Pacifique chez Blackstone Alternative Asset Management (BAAM, 33 milliards de dollars d’encours dans le monde au 31 décembre 2010).L’intéressé était en dernier lieu deputy chief executive chez ING Investment Management Australie (depuis 2007), après avoir été director of institutional business chez Barclays Global Investors. Il sera chargé d'élaborer des solutions sur mesure pour faire face à une demande croissante des investisseurs qui se détournent de plus en plus des produits traditionnels.
Le 31 janvier, Investec Asset Management a lancé deux nouveaux compartiments de sa sicav coordonnée GSF Luxembourg, le fonds obligataire de dette émergente en monnaie locale Investec GSF Emerging Markets Local Currency Dynamic Debt et le fonds de devises émergentes Investec GSF Emerging Markets Currency. Ces deux produits sont gérés par l’équipe dette émergente que dirige Peter Eerdmans et peuvent prendre des positions longues et courtes, le premier sur la dette des 23 pays les plus liquides, le second sur les monnaies de 36 pays émergents.Le portefeuille du EM Local Currency Dynamic Debt (LU0565898722) comprendra entre 15 et 25 positions actives longues et courtes. Son indice de référence estle JPM GBI-EM Global. Le droit d’entrée est de 5,26 % et la commission de gestion de 1,50 %.Le EM Currency Fund (LU0565900726), dont le gérant principal est Werner Gey van Pittius, affiche un droit d’entrée de 5,26 % et une commission de gestion de 1,20 %. Il aura entre 10 et 20 lignes actives et utilisera le JP Morgan ELMI+ comme indice de référence.
Parmi les boutiques de la galaxie Legg Mason, aux côtés de Wamco, Royce, Batterymarch ou Permal, figure Brandywine Global Investment Management (32 milliards de dollars d’encours fin 2010) qui met en œuvre des stratégies actions et obligataires, ces dernières représentant environ 22,8 milliards de dollars. La gamme de ce gestionnaire comprend notamment des fonds d’obligations gouvernementales, dont le produit irlandais Global Fixed Income Fund (*), qui a drainé en net 92 millions de dollars depuis début avril 2010. Le bureau parisien de Legg Mason a l’intention de mettre en avant ce produit qui a affiché un effet de marché positif de 13,56 % sur les deux ans au 31 décembre, contre 3,85 % pour son indice de référence, le Citigroup World Government Bond Index.David F. Hoffman, managing director et gérant de portefeuille, a expliqué à Newsmanagers que ce fonds «de conviction plutôt que de pondérations conformes à l’indice» se focalise avec une approche de type value sur les obligations d’Etat du monde entier notées «catégorie investissement» et qui offrent les rendements réels les plus élevés… mais pour de bonnes raisons (Australie) plutôt que pour de mauvaises (Grèce). En outre, Brandywine Global IM gère activement l’exposition aux devises sous-évaluées au moyen de contrats à terme (currency forwards) à la fois pour protéger le capital et augmenter la performance. Au demeurant, l'équipe de gestion couvre au moins en partie les risques de change pour n’extraire que le rendement.La poche «émergents» est plafonnée à 10 %, ce qui différencie le fonds de Brandywine Global IM d’un de ses grands concurrents (Ndlr : Franklin Templeton). Ce produit est par exemple exposé en Asie à la Corée du Sud, à la Malaisie, au yuan chinois - au travers de contrats à terme spécifiques sans livraison physique («non deliverable forwards») -, en Europe à la Hongrie et au Brésil. Cela posé, actuellement le portefeuille est surpondéré sur le dollar, long en duration, tandis que les valeurs européennes pèsent environ 15 %, dont le tiers en titres britanniques et des positions à plus courte échéance sur la Suède, la Norvège ou la Pologne.Les positions sont choisies en fonction d’une approche simple : chaque pays est traité comme s’il s’agissait d’une action. Le taux de rotation se limite à 50 % pour les obligations de même que pour les monnaies, même si ces derniers temps il s’est situé à 100 % pour les changes. (*) Code isin : IE00B19Z4J92 /IE0033637442 Actif net : 431 millions de dollars au 10 février 2011
GLG Partners vient de lancer une version au format Ucits III de son hedge fund domicilié aux îles Caïman, le portefeuille «North American Opportunity», rapporte Investment Week.Le nouveau portefeuille long/short, le GLG North American equity Alternative Ucits fund, est géré par John Gisondi, responsable des actions nord-américaines. John Gisondi se propose d’investir en priorité dans des moyennes et grandes capitalisations liquides, en utilisant une analyse «bottom-up».
En 2010, les fonds commercialisés en Europe ont enregistré des souscriptions nettes de 283,6 milliards d’euros (hors fonds monétaires), selon les dernières statistiques de Lipper. Il s’agit du niveau le plus élevé depuis 2005 où la collecte nette était ressortie à 371 milliards d’euros. Les sociétés de gestion transfrontières ont représenté 79 % de cette activité, soit 222,7 milliards d’euros. Celle qui a enregistré les plus importantes souscriptions nettes est Franklin Templeton, avec 31,4 milliards d’euros, devant Allianz/Pimco (20,5 milliards) et Carmignac (16,9 milliards). Concernant les fonds actions, qui ont enregistré des souscriptions nettes de 83,2 milliards d’euros en Europe au total, c’est Deutsche Bank qui se distingue avec une collecte nette de 8,3 milliards d’euros. Mais cela est principalement dû à sa gamme d’ETF dbx-trackers. Parmi les gestionnaires actifs, Aberdeen fait course en tête avec des entrées nettes sur les fonds actions de 7,1 milliards d’euros, grâce au succès de ses produits marchés émergents, Asie et monde. Sur 2010, ce sont néanmoins les fonds obligataires qui ont tiré la collecte, avec 126 milliards d’euros de souscriptions nettes. Mais Lipper note un revirement de tendance en décembre, où ces fonds ont accusé des rachats nets de 6,7 milliards d’euros, alors que les fonds actions engrangeaient 83,2 milliards.Parmi les tendances de 2010, Lipper souligne également l’appétit pour les fonds d’allocation ou à rendement absolu, qui ont enregistré des souscriptions nettes de 22,9 %, soit une hausse de 60 % par rapport à l’année précédente.
Dans une lettre envoyée à une douzaine de députés la semaine dernière, Dominique Cerutti, le président directeur général de Nyse Euronext en Europe, a vanté la fusion avec Deutsche Börse qui renforcerait la dimension européenne et l’influence d’un ‘global player’ dans les marchés de capitaux», rapporte L’Agefi. «La consolidation des marchés régulés au sein du marché intérieur est la conclusion logique des intentions législatives de l’Union européenne», souligne le dirigeant de Nyse Euronext.Du côté des députés, tout en soulignant que la concentration de ces activités est dans la logique économique, on sera attentif à ce que les Américains n’exportent pas leur réglementation en Europe. «La concurrence, précise l’un d’entre eux, qui avait été l’objectif de la directive MIF, ne peut se faire que sur un moins-disant réglementaire», note le quotidien.
Division multigestion de BNP Paribas Investment Partners, Fundquest a redistribué en interne la gestion de la gamme Select qui était assurée par Paul Kim et Richard Timberlake, partis chez LVAM remplacer Tom Caddick et Toby Vaughan, qui ont rejoint pour leur part le Santander, rapporte Fund Strategy.Concrètement, FundQuest a confié les fonds concernés à une équipe de cinq personnes issues de Fortis Investments. Ainsi, Pankaj Shah, head of portfolio management chez FundQuest UK, reprend le CF FundQuest Select Income fund tandis que Jim Snow, gérant de portefeuille senior, reprend le CF FundQuest Select fund, un produit issu de la fusion des fonds CF FundQuest Global Select et Select Opportunities.
Le Financial Times Fund Management constate que les investisseurs activistes font leur grand retour. Le journal cite notamment l’intervention d’Edward Bramson au sein de F&C AM, les pressions de Laxey Partners sur Alliance Trust, etc. «La crise a créé un environnement favorable pour les activistes. Les entreprises sont de plus en plus enclines à écouter et agir sous l’impulsion d’actionnaires constructifs», indique Paul Harrison, principal et directeur général de Hermes Focus Asset Management.
Henderson Global Investors se propose de fusionner deux fonds ISR, le Henderson Global Care Growth fund (225 millions de livres d’encours) et le Henderson Industries of the Future Fund (107 millions de livres).Le fonds issu de cette fusion, qui devrait intervenir à la mi-mai, sera géré par Tim Dieppe, qui pilotait déjà les deux stratégies thématiques. La gamme de produits ISR comprendra désormais The Industries of the Future fund (le fonds issu de la fusion), le Global Care UK Income fund et le Henderson Global Care Managed fund.
Selon L’Agefi, le London Stock Exchange a fait migrer sa principale plateforme boursière vers un système plus rapide, mettant fin aux problèmes techniques de sa précédente technologie. La migration de son principal système d'échange vers une technologie développée par Millenium le rend plus rapide et plus attractif pour les hedge funds, précise le quotidien.
Selon le quotidien qui se réfère à l’association des producteurs d’aciers du pays, la demande d’acier au Vietnam augmentera d’environ 10% en 2011 pour atteindre 6,9 millions de tonnes. Les coupures d’électricité et la dévaluation de la devise locale ont eu un effet négatif sur la production et pourrait conduire à une augmentation des tarifs, souligne également le journal.
Interrogé par le quotidien, le président de la BCE estime que l'économie réelle a surpris positivement ces derniers mois, non seulement en l’Allemagne mais dans l’ensemble de la zone euro. «A la BCE, nous n’avons pas partagé les craintes de voir ‘une double récession’, même si nous avons tenu un discours prudent», relève-t-il. Il ajoute qu’il appartient à toute banque centrale d'éviter des effets de « second tour » lors d’un choc de prix sur les matières premières. «Il faut que les différents agents économiques et les partenaires sociaux ne s’imaginent pas que la bonne inflation à prendre en compte est celle qui vient de cette hausse abrupte des prix de l'énergie», ajoute-t-il.
Le fonds d’investissement va acquérir le spécialiste américain des services de santé Emergency Medical Services pour environ 3 milliards de dollars. A 64 dollars par action, le prix de l’offre est inférieur de 9% au cours de clôture vendredi. Le fonds canadien Onex, qui détient 31% du capital, a indiqué qu’il soutenait l’opération.