Axa Investment Managers (Axa IM) has announced that it is planning to add a retail asset class to its fund dedicated to British midcaps: the Axa Framlington UK Mid Cap fund, Investment Week reports. The fund was launched on 4 March, and is aimed at institutional investors for a minimal investment of GBP100,000. The fund will be available to retail investors from the end of second quarter, from a minimal investment of GBP1,000. The fund will have a minimal weighting of 70% to shares from the FTSE 250, and a minimum of 15% to companies of the FTSE 100.
Investment Week reports that Standard Life Investments has sent a letter to its clients to indicate its desire to limit access to its fund dedicated to British small caps, the UK Smaller Companies, from the month of June. The change will bring in a 4% front-end fee for new investors. Management fees may also be raised from 1.5% to 1.6% per year. The fund, launched in 1997, has earned returns of 73.7% in the five years to 18 April, compared with an average of 23.5% for small caps, according to Morningstar.
Allianz Global Investors (AGI) on 26 April issued a warning to its clients and potential investors that its brand name is being used fraudulently by an entity which offers financial services under the name Allianz Global Investors Fund, which offers electronic contacts at the domains allianzglobalinvestorsfund.com, aginvestorsfund.com, and aginvestorfund.com. The telephone number given on these websites does not correspond to any line at AGI.The genuine internet site for AGI is www.allianzglobalinvestors.de, the asset management firm says.
Philip Haddon will be leaving Citywire at the end of May to join the bond team at Schroders, Das Investment reports. He will be in charge of editing fund reports and market analyses; in addition, he will handle the relationship between fund managers and press agencies, as well as public relations.
Les prix de l’ancien sont retombés au point bas du printemps 2009, d’après l’indice S&P / Case-Shiller. L’indice a baissé de 3,3 % sur un an en février en l’absence de facteurs de soutien. Ainsi, les ventes dans l’ancien sont encore faibles malgré une légère progression.
Dans un entretien, le directeur général de Nyse Euronext Duncan Niederauer indique qu’il existe de nombreux moyens d’améliorer l’offre avec son partenaire Deutsche Börse. Les termes de l’offre pourraient bien être améliorés avant l’assemblée générale de juillet. Ce qui pourrait permettre de combler un retard face à l’offre concurrente du Nasdaq. Le dirigeant veut faire preuve de pragmatisme pour convaincre ses actionnaires.
Les statistiques de l’office européen Eurostat publiées mardi révèlent des déficits grec et portugais en décalage avec les objectifs gouvernementaux. Dans ce contexte, Berlin a évoqué la perspective d’une restructuration de la dette grecque sans toutefois la soutenir.
«La Bourse de Paris se mécanise à vive allure» clame le quotidien, qui évoque une étude confidentielle de l’Autorité des marchés financiers indiquant que la moitié des ordres émis sur les titres des sociétés de l’indice phare de la place parisienne sont générés par «trois professionnels du trading de haute fréquence» «à l’identité préservée». Cette technique représente 50 à 60% des ordres aux Etats-Unis, et sans doute 40% en Europe cette année. «De quoi relancer», selon le quotidien, «les débats entre régulateurs face aux risques d’instabilité posés par des outils de négoce qui marchent en roue libre».
L’éditeur de progiciels, qui doit faire face à la concurrence des poids lourds Oracle et SAP, tombe dans l’escarcelle de Golden Gate Capital et d’Infor pour environ 2 milliards de dollars en numéraire. Le deal a été financé en totalité par Credit Suisse, Bank of America Merrill Lynch, Morgan Stanley, Royal Bank of Canada et Deutsche Bank. Détenu à près de 9% par le financier Carl Icahn, Lawson avait recruté Barclays Capital le mois dernier afin de le conseiller sur ses options stratégiques, incluant une éventuelle cession. «C’est un bon prix pour Lawson. L’action a beaucoup grimpé avant l’annonce de cette offre alors que des rumeurs faisaient état de l’entrée en lice possible d’un autre acquéreur», a commenté Mark Schappel, analyste chez Benchmark. Cette opération, qui devrait être bouclée au troisième trimestre, suit de près l’acquisition début avril d’Epicor Software et d’Activant Solutions par Apax Partners.
Le fonds de capital investissement va racheter Smart Modular Technologies dans le cadre d’une transaction qui valorise le fabricant brésilien de puces informatiques à 645 millions de dollars. Silver Lake a déjà réalisé des investissements dans Skype ou Seagate Technology. Barclays Capital est le conseiller financier de l’opération tandis que JPMorgan et UBS apportent des capacités de financement.
Selon la Fédération française des sociétés d’assurance, les cotisations collectées sur le premier trimestre de l’année s’élèvent à 37,3 milliards d’euros, soit une baisse de 13%. Il s’agit du quatrième mois consécutif de recul, une tendance qui n’avait pas été observée depuis deux ans. Les versements sur les supports euros ont fortement diminué avec 32 milliards d’euros collectés (-16%).
Le fonds d’investissement a accru sa participation dans la biotech suisse à plus de 6% la semaine passée. Le groupe basé à New York, qui s’efforce de convaincre Actelion de se mettre en vente après que ce dernier a essuyé plusieurs échecs sur sa gamme de produits, était déjà le principal actionnaire. Elliott a proposé une liste de six personnes au conseil d’administration et plaide pour une démission du PDG à l’occasion de l’assemblée générale des actionnaires le 5 mai.
Le déficit budgétaire de la Grèce a atteint 10,5% du PIB en 2010, selon les statistiques d’Eurostat publiées pour l’ensemble de la zone euro. C’est plus que la dernière estimation (9,6%) de l’Union européenne et du FMI, et bien au-delà de l’objectif initial de 8% que s'était fixé le gouvernement. Même chose pour le déficit portugais, publié à 9,1% au lieu des 8,6% annoncés. Eurostat relève par ailleurs que la crise financière a coûté 43,8 milliards d’euros en 2010 aux Etats de la zone euro, soit 0,48% de leur PIB cumulé.
Le taux Euribor 3 mois a été publié mardi à 1,361%, contre 1,356% la veille. Il retrouve ainsi ses niveaux d’avril 2009, à la faveur de la récente hausse des taux directeurs de la Banque centrale européenne.
Montagu Private Equity, annonce le succès de la clôture de sa quatrième levée de fonds (Montagu IV) pour un montant de 2,5 milliards d’euros. Montagu IV rassemble des investisseurs de types et d’origines géographiques très diversifiés. Les fonds de pension, compagnies d’assurances et fonds souverains en provenance des Etats Unis, d’Europe, du Moyen Orient et d’Asie ont notamment augmenté leurs engagements.
Lors de son assemblée générale du 15 avril, l’association allemande VuV des gestionnaires de fortune indépendants s’est prononcée à la majorité pour accepter l’adhésion de family offices. Ces derniers se verraient octroyer le statut de membres extraordinaires et n’auraient ni droit de vote ni possibilité d’influer sur la stratégie de l’association.Actuellement, le VuV compte environ 200 membres, c’est-à-dire environ la moitié des gestionnaires de fortune indépendants du pays. Ses adhérents gèrent environ 60 milliards d’euros.
A compter du 1er août, Andreas Witzani, membre du directoire de la société de gestion de fonds immobilier Volksbanken Immo, deviendra directeur général de Raiffeisen International Fund Advisory (RIFA), filiale créée en 1998 de Raiffeisen Capital Management (RCM, 31,5 milliards d’euros dont 29 milliards sou gestion), et sera chargé de la coordination de la distribution institutionnelle et à l’international (hors Europe centrale et orientale), ce qui correspond à un encours de 21 milliards d’euros.Actuellement, les deux directeurs généraux de RIFA sont Matthias Bauer et Gerhard Aigner, les dirigeants de RCM.
Raiffeisen International Fund Advisory (RIFA), filiale de Raiffeisen Capital Management (RCM), devrait accueillir dès le mois d’août Andreas Witzani au sein de son directoire. Il sera responsable de l’activité des fonds à l’international et à destination des institutionnels.
A l’occasion de la quatrième table ronde amLeague-Newsmanagers, les asset managers représentés (*) sont revenus sur leurs façons de gérer dans des périodes tourmentées comme cela a été le cas ces dernières semaines. De leur côté, les investisseurs institutionnels (**) se sont exprimés sur la gestion flexible comparée à une gestion «pure». En dépit de ses atouts reconnus, la première est délaissée au profit de la seconde, pourtant plus exposée dans des marchés chahutés. L’apport des «asset managers», en termes de conviction dans leur gestion a également été abordée ainsi que les contraintes qui les pénalisent, liées aux ratios d’emprise auxquels sont soumis les investisseurs institutionnels. Pour finir, asset managers et institutionnels se sont entretenus sur l’intérêt de l’investissement socialement responsable dans la gestion. Si son intérêt n’est pas remis en cause, il doit néanmoins bénéficier d’améliorations, notamment à l’international.Interrogés sur la gestion qu’ils mènent dans des périodes difficiles, Marie-Thérèse Baillargeon (Ecofi) et Bruno Fine (Roche-Brune) ont fait remarquer que de telles périodes étaient hélas récurrentes. Aussi partagent-ils manifestement la même optique pour la sélection de valeurs quelle que soit l’environnement : des titres avec des bilans solides et une forte visibilité, pour la première, et des valeurs de qualité générant des cash flows disponibles, soutenant une croissance raisonnée, profitable et autofinancée, pour le second. A cette nuance près, comme le souligne Jean Echiffre (Roche-Brune), que Roche Brune qui participe à deux championnats distincts d’amLeague - l’un où le portefeuille est totalement investi («fully invested»), l’autre où le gérant a droit à de la flexibilité (mandat flexible) - n’a pas deux démarches différentes en la matière, mais une seule. Alors que le mandat «fully invested» chez Ecofi repose sur un style rendement et le «flexible», sur un style croissance, Roche-Brune se cantonne à la sélection de titres et, si elle n’en trouve pas suffisamment, ne remplit pas la poche... A propos du rendement, tous les interlocuteurs sont convenus que, s’il s’agit effectivement d’une problématique intéressante, il faut à la fois du rendement et de la croissance et de la performance. Pour Bruno Fine, la première chose exigée est que la société soit capable de dégager un rendement économique et que le prix auquel on accède à l’actif, c’est-à-dire sa market cap laisse de la place à un rendement économique réel, un «earning yield». Celui-ci doit précéder le dividende.Concernant l’intérêt d’investir sur un fonds flexible, Francis Weber (Réunica) a souligné que confier des fonds flexibles à un grand nombre de gérants équivaudrait pour l’investisseur institutionnel qu’il représente à perdre la maîtrise de l’allocation tactique. De fait, sa maison opte pour des fonds purs.De son côté, Nicolas Pernet (Apicil) s’est arrêté sur les «petits» asset managers comme Roche-Brune en reconnaissant que, voici encore quelques années, des institutions comme la sienne pouvaient non pas subventionner, mais aider de jeunes gérants à émerger. Maintenant, cette tâche devient difficile, a-t-il fait remarquer, ce qui est regrettable dans la mesure où la création en pâtit et éventuellement la gestion de conviction. Cet avis est partagé par Francis Weber pour qui les ratios d’emprise limitent effectivement l’accès à des fonds de petite taille. «Aujourd’hui, le minimum pour un institutionnel de notre taille et même un peu plus petit, est d’avoir à sa disposition des fonds d’un encours de 30 à 40millions d’euros car on ne peut pas se permettre d’avoir des lignes trop petites» a-t-il déclaré.Une partie de la table ronde a également été consacrée à la composante ISR des investissements. A ce titre, les institutionnels ont reconnu que l’approche ESG (Environnement Social Gouvernance) était une demande forte de leurs administrateurs. Cela dit, lles stratégies développés au sein des maisons peuvent être sensiblement différentes. Chez Réunica, le choix d’une approche globale a été fait «tous nos portefeuilles étant notés par transparence par une société spécialisée», explique Francis Weber, qui précise que la note obtenue, relative au benchmark, est plutôt bonne, et «permet ainsi de donner des indications aux gérants».Aussi appréciable qu’elle puisse paraitre, l’approche ESG peut néanmoins poser des problèmes à un gérant si l’univers d’investissement qui paraît intéressant aujourd’hui ne présente pas une note extra-financière de qualité. Reste pour Francis Weber que le mandat de l’intéressé est clair : faire de la performance avant de disposer d’un portefeuille idéalement noté en ESG. Ces critères extra financiers intéressent aussi beaucoup des sociétés de gestion comme Roche-Brune ou Ecofi Investissements. La première est notamment impliquée dans le domaine de la gouvernance. L’entreprise a également signé les UN PRI (United Nations Principles of Responsible Investment). Quant à la seconde, elle est filiale du Crédit Coopératif et a fait noter l’ensemble de ses portefeuilles. Marie-Thérèse Baillargeon souligne cependant que si la notation des portefeuilles ne pose aucune difficulté en Europe, la tâche est plus ardue à l’international «parce qu’un grand nombre de sociétés ne sont pas notées du tout». Pour sa part, Nicolas Pernet a insisté sur l’importance de l’ISR pour son groupe. «Apicil est parti sur l’engagement actionnarial au niveau de la retraite, et la prévoyance en a fait de même», a-t-il expliqué. Mais ce n’est pas la seule démarche. Apicil a également une vieille culture au niveau du capital-risque, ce qui revient à investir quasiment à l’origine de la création des entreprises, et de faire de l’ISR. «Nous allons notamment créer de l’emploi visible, et non pas fournir en capitaux des mégastructures internationales dont ne sait pas absolument pas ce qu’elles font, quelle que soit leur note», a-t-il conclu. (*) Ecofi Investments Marie-Thérèse Baillargeon, directeur de la Gestion Actions Europe,: Christophe Couturier, CEO, Roche-Brune Asset Management Bruno Fine, président fondateurJean Echiffre, directeur général délégué (**) RéunicaFrancis Weber, directeur financier. ApicilNicolas Pernet, responsable Gestion Retraite. amLeagueVincent Zeller, directeur Antoine Briant, CEO
Dans une notification à la SEC (form N-1A) datée du 15 avril, Neuberger Berman annonce son intention de lancer d’ici au troisième trimestre deux fonds d’actions : le Neuberger Berman Global Equity Fund, chargé à 1,51 % (part A) et le Neuberger Berman Global Thematic Opportunities Fund, dont le TFE (Total frais sur encours) est de 1,61 % (parts A).Le Global Equity Fund, très diversifié, sera géré par Benjamin Segal et investira principalement dans des grandes capitalisations du monde entier, avec en période normale un minimum de 80 % placés en actions.Le Global Thematic Fund sera géré par Anthony Gleason, Alexandra Pomeroy, William Hunter et Richard Levine qui sélectionneront d’abord des thèmes porteurs puis identifieront des valeurs sous-évaluées susceptibles de profiter de ces thématiques.
Depuis avril 2009, le Allianz NFJ Small Cap Value Fund était déjà fermé aux nouveaux investisseurs, rapporte The Wall Street Journal. Maintenant qu’il a continué à grossir et qu’il atteint 8,2 milliards de dollars, ce qui en fait le plus grand fonds value de petites capitalisations, Allianz Global Investors Distributors a notifié à la SEC son intention de le fermer aussi dès que possible aux plans d'épargne-retraite (les 401 (k), 457s, les 403(b), les schémas de participation aux bénéfices, les régimes à contribution définie et les 529).Le fonds affiche une performance de presque 20 % sur les 12 mois au 21 avril, contre une moyenne de 14,3 % pour les fonds value de petites capitalisations, d’après Morningstar. Et, sur les cinq ans au 21 avril, le fonds a généré une performance de presque 7 % par an contre 3 % pour ses pairs.