The US group State Street on 27 June announced that it has been appointed by F&C Asset Management (F&C) to provide middle office outsourcing services, on about GBP106bn in assets. State Street will provide services for the global operations of F&C and its affiliate Thames River Capital, including services for investment operations, securities custody, fund accounting, administrative services, securities lending, and clearance services, the latter of which will be provided by IFDS, a joint venture of State Street and DST Systems. Under the agreement, 102 employees of F&C in London and Edinburgh will be transferred to State Street. State Street provides middle office services on over USD7.1trn in assets for clients worldwide.
L’opérateur boursier reprend les actifs de la société de conseil Kingsbury International, dont le célèbre baromètre économique mensuel PMI de Chicago développé en lien avec l’Institute for Supply Management. L’opération a été conclue pour un montant en millions de dollar à un chiffre. Elle comprend également un versement lié à la performance.
Des problèmes techniques ont à nouveau perturbé hier les cotations de la Bourse de Paris. L’indice CAC 40 a été suspendu pendant trois quarts d’heure à la mi-journée et le service d’internalisation des ordres a été désactivé temporairement. Certains ordres passés via ce service sur des titres L’Oréal, LVMH, Total et Unilever ont été annulés.
Le retour de l’aversion pour le risque plombe les obligations notées au mieux BB+. La semaine dernière, les investisseurs ont demandé des remboursements pour 3,5 milliards de dollars, un record. Mais la classe d’actifs présente encore l’avantage d’offrir un rendement relativement élevé.
Il s’agirait selon le quotidien d’un des plus importants projets de l’année dans le domaine du lancement de hedge funds. L’une des plus riches familles chinoises serait sur le point de mettre la main sur le fonds spécialisé dans l’énergie mis en vente par RAB Capital. Le gestionnaire alternatif londonien a fait part la semaine dernière de son projet de renoncer à la cotation sur le marché alternatif du LSE, l’AIM, sur fond de retraits massifs. La famille Choi, d’origine de Hong Kong et à la tête du conglomérat Sunwah, souhaiterait bâtir ainsi un important pôle de gestion alternative en visant 1,5 milliard de dollars sous gestion fin 2011 contre 300 millions dans le fonds aujourd’hui.
Le déficit budgétaire allemand pourrait tomber sous les 30 milliards d’euros l’année prochaine, contre 31,4 milliards prévus par le gouvernement, dans la mesure où les rentrées fiscales devraient être plus importantes qu’initialement prévu, indique le journal qui cite des sources proches du ministère des finances. BNP Paribas prévoit une croissance de 2% en 2012 et un déficit en baisse à 1,8% du PIB.
Nicolas Sarkozy a confirmé les modalités d’un plan français pour la participation des banques et des assurances européennes à la résolution de la crise grecque. Cette confirmation intervient alors que des discussions sur le plan de sauvetage de la Grèce sont en cours à Rome avec des représentants du lobby bancaire Institute of International Finance (IFF) et du Comité économique et financier de la zone euro. Ce plan français de «rollover» sur la dette grecque serait au menu de ces discussions, indique Reuters. Le président français a confirmé que les créanciers privés pourraient échanger leurs titres de dette grecque contre des titres à 30 ans à des taux équivalents à ceux des prêts de soutien européens, plus une indexation sur la croissance économique de la Grèce. Il a dit espérer que les partenaires européens de la France accepteraient ce plan mais qu’il était prêt à le modifier pour obtenir leur accord.
La Chine aura du mal à atteindre son objectif prévoyant de ramener l’inflation sous la barre des 4% cette année, a implicitement admis, pour la première fois, le Premier ministre Wen Jiabao.«La situation économique de la Chine restera cette année parmi les meilleures du monde, avec une croissance économique au-delà de 8-9% et un indice des prix à la consommation contrôlé à moins de 5%», a dit Wen Jiabao.
Dans le cadre d’un contrat d’entreprise, intégré dans l’accord collectif d’entreprise du 5.7.1994, l’OPAC 38 a mis en place un régime de retraite surcomplémentaire à prestations définies (art. 39 du code général des impôts) confié en gestion à un assureur. Suite aux perspectives financièrement excessives de cet engagement, l’OPAC 38 a décidé, à partir de l’année 2004, de fermer progressivement ce régime, à échéance de 2013, et de mettre en place un régime à cotisations définies (art. 83 du CGI) destiné à assurer un régime de retraite surcomplémentaire plus maîtrisable dans le temps et dont les droits resteront attachés au salarié. En pratique, la prochaine disparition du régime à prestations définies sera très pénalisante pour les salariés disposant d’une ancienneté significative, et partant à la retraite dans les prochaines années, du fait de la montée en puissance très progressive du régime à cotisations définies. Afin d’atténuer cet effet de baisse du niveau global de rente, entre la fin des prestations du régime en cours de fermeture, et un niveau de complément significatif assuré par le régime à cotisations définies, il a été décidé de mettre en place un complément de retraite additif aux régimes existants. Ce complément s’applique à tous les salariés faisant valoir leur droit à la retraite, et disposant du régime général à taux plein. Il est à noter que le suivi de ce contrat sera assuré par adding pour le compte de l’OPAC 38. Ce suivi intégrera notamment, le calcul des rentes à chaque départ, la validation des capitaux constitutifs, la valorisation annuelle des engagements actuariels, le suivi de la gestion financière et de la revalorisation. Pour lire l’avis complet: cliquez ici
Directeur du métier titres de Société Générale Securities Services (SGSS), Alain Closier décline pour NewsManagers les grands axes stratégiques de ses activités. En tant que numéro deux européen, SGSS s'appuie sur sa base domestique européenne pour se développer à l'international.
Rothschild Private Banking & Trust a annoncé le 24 juin les nominations de Marco Schaller en qualité de responsable «Service Management & Offering Development» à compter du 1er décembre 2011, et d’Andreas A. Bickel en tant que responsable de l’allocation stratégique et du conseil en Suisse au 1 septembre. Tous deux seront basés à Zurich pour exercer ces fonctions nouvellement créées.Andreas A. Bickel, qui travaillait précédemment chez Goldman Sachs, s’occupera entre autres de la clientèle très fortunée («ultra high net worth») et du fonds de pension de Rothschild Bank AG. Marco Schaller travaillait précédemment chez UBS. Les actifs sous gestion de Rothschild Private Banking s’élèvent à 12 milliards d’euros.
Lesley-Ann Morgan, qui a passé 18 ans chez le consultant Towers Watson, en dernier lieu comme senior investment consultant et head of the client delivery group, a été recrutée par Schroders pour occuper le poste nouvellement créé de senior strategist au sein de l'équipe global strategic solutions.
Stoxx Limited vient d’annoncer le lancement de l’iStoxx Europe Minimum Variance. Ce nouvel indice utilise la théorie moderne de portefeuille de Markowitz pour créer un portefeuille hypothétique, long-only et optimisé en termes de risque qui sélectionne et pondère les composants du Stoxx Europe 600 de manière à ce que la variance attendue du portefeuille soit limitée. L’indice iStoxx Europe Minimum Variance servira de référence pour un ETF d’Ossiam, la société de gestion spécialisée sur les ETF détenue à 51 % par Natixis Global Asset Management. «La méthodologie de l’iStoxx Europe Minimum Variance, initiée par l’équipe recherche et investissement quantitatifs d’Ossiam, associe les meilleurs attributs de la gestion passive et quantitative», indique Fabien Dornier, directeur des investissements de la société de gestion.
Tout récemment, Bruno Julien, directeur général de Tocqueville Finance, annonçait à Newsmanagers l’arrivée prochaine d’un directeur du développement, un poste nouvellement créé. Selon nos informations, il s’agit d’Eric Tajchman, qui rejoint la société de gestion française ce lundi.L’intéressé a passé plusieurs années chez ING Investment Management, dont une partie en France, en tant que directeur général délégué et responsable des équipes commerciales parisiennes. Depuis 2007, il avait rejoint la Haye où il était senior strategic partners director à l'échelle européenne et s’occupait des clients importants de la société de gestion. Chez Tocqueville, il chapeautera la distribution française, européenne et le marketing, soit 12 personnes. L’une de ses missions sera de développer la vente des fonds à l’étranger. Bruno Julien souhaite en effet faire de l’international un levier important de croissance. Sachant que son objectif est de doubler les encours de la société, de 2 milliards d’euros actuellement, à 4 milliards, à un horizon 2015.
Selon nos informations, Philippe Sabbah, qui avait quitté Threadneedle début juin, va rejoindre Robeco Gestions à Paris. Il devrait être nommé directeur général chargé du développement commercial. Chez Threadneedle, Philippe Sabbah dirigeait le bureau de Paris depuis 2007, après avoir été responsable de la clientèle institutionnelle de JPMorgan Asset Management à Paris.Pour mémoire, Robeco Gestions avait vu partir son directeur général, Arnaud Perrier, en février 2010. L’intéressé avait rejoint Jean-Louis Laurens, son ancien président, chez Rothschild & Cie Gestion, pour occuper le poste de directeur commercial et marketing. Il avait été suivi, un an plus tard, par Lionel Deny, qui était commercial institutionnel chez Robeco Gestions.
Annoncé pour la fin 2010, le fonds d’investissement franco-chinois promu par la Caisse des Dépôts et la China Development Bank n’a pas encore été lancé, rapporte Les Echos. Les deux institutions publiques, en discussion depuis plus d’un an, sont d’accord pour apporter chacune 75 millions d’euros à ce véhicule dédié à la promotion des PME françaises sur le marché chinois, et à celle des entreprises de l’empire du Milieu sur le sol hexagonal. Elles sont aussi d’accord pour ouvrir ce véhicule à des tiers et porter sa taille à 250 millions d’euros d’ici à un an. Mais la gouvernance et le mode de décision au sein de la structure est encore en pourparlers entre les deux partenaires.
Les autorités de contrôle ayant validé le projet, un nouveau groupe bancaire est né. Celui de Quilvest Wealth Management annoncé le 9 décembre 2010 (cf. Newsmanagers du 05/05/2010), bâti à partir de la fusion des activités de gestion de fortune de la Compagnie de Banque Privée et du groupe Quilvest. En chiffres, le tout pèse 10 milliards d’euros d’actifs en gestion et en conservation, et emploie 270 personnes au total. L’ensemble prend corps à partir de trois entités dans trois pays distincts, à savoir Quilvest Switzerland Ltd. à Zurich, Quilvest Banque Privée à Paris et Compagnie de Banque Privée S.A. à Luxembourg. Si une opération de cette nature va naturellement conduire à quelques changements dans l’organisation, l’heure n’est toutefois pas à une refonte de l’ensemble des expertises au sein du groupe. «En clair», explique Stéphane Chrétien, président du directoire de Quilvest Banque Privée, «il n’est pas question de repenser les compétences, mais plutôt de permettre à chaque établissement de se nourrir des expertises des autres». Concrètement, Paris qui gère 3,2 milliards d’euros dont deux milliards issus des investisseurs institutionnels et le solde en gestion privée, va renforcer son «leadership» auprès des investisseurs institutionnels. Une activité entamée il y a une dizaine d’années, et construite à partir des points forts de Quilvest sur les produits de taux. Via notamment les produits monétaires et de trésorerie de sa gamme Saint-Germain. «L’objectif stratégique», relève Stéphane Chrétien, «consiste néanmoins à étoffer notre gamme à destination de ces investisseurs en leur proposant des fonds actions. En outre, nous avons vocation à dépasser les frontières de l’Hexagone pour élargir notre clientèle». En matière de fonds actions, la société ne part toutefois pas d’une feuille blanche puisqu’elle dispose d’ores et déjà d’un fonds actions avec l’Europe comme univers d’investissement. «Cependant», reconnait Stéphane Chrétien, «ce fonds qui repose sur une gestion de conviction et de gestion du risque est encore jeune, et ne dispose donc pas d’un track record suffisant pour séduire de nombreux investisseurs». Par ailleurs, dans un autre genre, l'établissement réfléchit actuellement à l'élaboration d’un fonds obligataire reposant sur des titres à haut rendement et à celle d’un fonds investi en obligations convertibles.Quant aux ambitions internationales de Quilvest Banque Privée, elle repose sans surprise - dans l’immédiat - sur son offre de fonds à base de produits de taux. Celle-ci sera présentée à des institutions comme des sociétés de réassurance luxembourgeoises ou des entreprises suisses dans le cadre de leur gestion de trésorerie. Simultanément, des acteurs sur le marché belge et allemands sont aussi inscrits sur le radar de l'établissement.Bien évidemment, cette ambition exige des moyens supplémentaires. Aussi la force commerciale de la maison, actuellement composée de quatre personnes dans l’Hexagone, doit être doublée dans les années qui viennent. «Simultanément», précise Stéphane Chrétien, «l’implantation locale d’une force commerciale - en projet - permettrait de couvrir plus facilement le marché belge et luxembourgeois». Concernant le deuxième «cœur» de Quilvest à Paris - la clientèle privée en l’occurrence composée de familles fortunées, chefs d’entreprise, etc - l'établissement ne compte pas modifier ce qui a fait sa force selon lui : des valeurs proches de celles d’un family office, ainsi que l’alignement des intérêts des clients sur ceux des actionnaires de la banque, «qui souscrivent également certains produits proposés», insiste Stéphane Chrétien. Sur le plan de la gestion maintenant, la constitution du nouveau groupe va entrainer quelques changements concernant l’architecture ouverte de l'établissement. «Concrètement», explique le patron de la banque à Paris, «la sélection des fonds internationaux va être réalisée à Luxembourg qui dispose d’une forte expertise. Mais compte tenu de la spécificité du marché français avec une forte présence de sociétés de gestion indépendantes», ajoute-t-il, «nous allons garder à Paris la maitrise de la sélection de fonds de droit français». Enfin, toujours dans ce rapport de réciprocité des expertises, Paris va pouvoir «s’inspirer d’expériences luxembourgeoises via des fonds fermés – que proposent des banques dépositaires – destinés à des familles fortunées dans le cadre d’une organisation patrimoniale plus efficace».
Legg Mason vient de recruter Eric Simonnet en tant que responsable de la distribution Benelux. Basé à Paris, il s’occupera des activités de vente et de distribution de fonds auprès des distributeurs tiers, notamment des intermédiaires financiers, gestionnaires d’actifs, gérants de fonds de fonds, banques et plateformes de distribution haut de gamme, en Belgique, aux Pays-Bas et à Luxembourg. Dans ces trois pays, Legg Mason distribue ses fonds depuis 2004.Eric Simonnet vient d’Oddo Asset Management où il était dernièrement responsable de la distribution Benelux (depuis juin 2008), après y avoir été commercial auprès des conseillers en gestion de patrimoine indépendants. «L’arrivée d’Eric reflète nos fortes ambitions et nous continuerons à renforcer nos équipes en Europe Continentale», commente Vincent Passa, directeur de la distribution France, Monaco et Benelux.
Selon La Tribune, le groupe de protection sociale Pro BTP souhaite accélérer son développement sur le marché de l'épargne entreprise. L’activité d'épargne salariale va être pilotée par RegardBTP, le teneur de comptes du groupe qui assurera également le développement commercial sur ce marché. En outre, la filiale de gestion d’actifs, Gestion BTP, a été absorbée par Pro BTP Finance qui gérera dorénavant les fonds d'épargne salariale de la filière du BTP, précise le quotidien.
Pour expliquer son succès en épargne salariale - 88,6 milliards d’euros encours sous gestion au 31 décembre 2010 dont 4 milliards d’encours supplémentaires pour le seul second semestre 2010 - Amundi avance que l’innovation produit et la mobilisation des réseaux constitués de 2 banques d’investissement et 4 enseignes commerciales ont contribué à sa réussite, rapporte La Tribune.La société de gestion a ainsi lancé plusieurs produits bien dans l’air du temps avec un fonds qui allie forte protection en capital et recherche de performance, un fonds totalement flexible ainsi qu’un Perco qui offre à la fois une garantie en capital et une phase de distribution de revenus sur le modèle de l’assurance-vie .Les outils Internet ont aussi été récemment remaniés. Enfin, la société a mis l’accent, côté distribution, sur les indépendants en ayant formé 1.200 courtiers et conseillers en gestion de patrimoine indépendants aux mécanismes de l'épargne d’entreprise.
Pour expliquer son succès en épargne salariale - 88,6 milliards d’euros encours sous gestion au 31 décembre 2010 dont 4 milliards d’encours supplémentaires pour le seul second semestre 2010 - Amundi avance l’innovation produit et la mobilisation des réseaux constitués de 2 banques d’investissement et de 4 enseignes commerciales, rapporte La Tribune.La société de gestion a ainsi lancé plusieurs produits bien dans l’air du temps avec un fonds qui allie forte protection en capital et recherche de performance, un fonds totalement flexible ainsi qu’un Perco qui offre à la fois une garantie en capital et une phase de distribution de revenus sur le modèle de l’assurance-vie .Les outils internet ont aussi été récemment remaniés. Enfin, la société a mis l’accent, côté distribution, sur les indépendants en ayant formé 1.200 courtiers et conseillers en gestion de patrimoine indépendants aux mécanismes de l'épargne d’entreprise.
Avec pour objectif de combler le déficit de fonds propres dont souffrent les jeunes entreprises innovantes, et de contribuer à créer et développer un environnement économique favorable aux entreprises innovantes à fort potentiel de croissance, le Fonds National d’Amorçage (FNA) a été lancé vendredi 24 juin. Doté de 400 millions d’euros, il ne financera pas directement des entreprises mais investira dans 15 à 20 fonds d’amorçage gérés par des équipes de gestion professionnelles et qui réaliseront eux-mêmes des investissements dans de jeunes entreprises innovantes en phases d’amorçage et de démarrage. CDC Entreprises, pour le compte du FNA, aura une approche d’investisseur de long terme recherchant la rentabilité de ses investissements, précise un communiqué. Les fonds, souscrits par le FNA, viseront notamment les entreprises des secteurs technologiques définis par la stratégie nationale pour la recherche et l’innovation : la santé, l’alimentation et les biotechnologies, les technologies de l’information et de la communication, les nanotechnologies et les écotechnologies. Le FNA réalisera des investissements dans des fonds d’amorçage pendant une période de quatre ans.A noter que des critères pour la sélection des fonds et des équipes de gestion ont été établis. Il s’agit de :La qualité de l’équipe de gestion (expérience d’investissement à l’amorçage, capacité d’accompagnement de jeunes entreprises),La capacité démontrée à accéder à un flux suffisant de créations d’entreprises innovantes, Le dimensionnement adapté du fonds et de l’équipe de gestion, La capacité à mobiliser des cofinancements privés dans le fonds aux côtés du financement apporté par le FNA,La pertinence de la stratégie d’investissement du fonds au regard de la stratégie du FNA, Une rémunération fixe raisonnable de l’équipe de gestion au regard des pratiques du marché et une rémunération variable conditionnée provenant d’une partie de la plus-value finale dégagée par le fonds, L’application des meilleures pratiques en matière de gouvernance, de transparence et de déontologie,L’application des meilleures pratiques en matière d’information des souscripteurs du fonds et l’engagement à répondre aux besoins spécifiques du FNA.
La société de gestion de Hong Kong Quam Asset Management vient de recruter Simon Potter en qualité de directeur pour exercer la fonction nouvellement créée de responsable du développement du portefeuille de produits alternatifs, rapporte Asian Investor.Simon Potter travaillait précédemment chez Triple A Partners à Hong Kong. Les actifs sous gestion de Quam AM s'élevaient fin mars à environ 80 millions de dollars.
Selon Money Marketing, F&C Management envisage une refonte de ses gammes qui pourrait déboucher sur l’abandon de la marque Thames River. Interrogé, F&C a indiqué vouloir recruter un nouveau responsable du marketing mais précisé qu’aucune décision n’avait été prise à ce stade concernant l’avenir de la marque Thames River.