Toute l’actualité de l’Union européenne (élections, lois, réglementations) et l’impact des décisions de la Commission européenne, du Parlement ou du Conseil sur l'économie, les marchés et l'écosystème financier.
«Nous insistions sur l’importance de la transparence et du recours à des autorisations d’exportations [de vaccins]». C’est par ces quelques mots au sein du texte de conclusions adopté à l’issue du sommet européen de jeudi dernier que les Vingt-Sept ont, du bout des lèvres, adoubé la stratégie offensive de la Commission européenne (CE) vis-à-vis de Londres et du laboratoire AstraZeneca. La veille, la présidente de la CE Ursula von der Leyen avait proposé un durcissement du contrôle des exportations de vaccins mis en place début février. Le mécanisme pourrait désormais servir à bloquer les expéditions de doses depuis l’UE vers les Etats tiers jugés coupables d’un manque de «réciprocité» - qui n’exportent pas en retour - ou ceux dont les populations sont plus largement vaccinées que les Européens.
Nous insistions sur l’importance de la transparence et du recours à des autorisations d’exportations [de vaccins]». C’est par ces quelques mots au sein du texte de conclusions adopté à l’issue du sommet européen de jeudi que les Vingt-Sept ont, du bout des lèvres, adoubé la stratégie offensive de la Commission européenne (CE) vis-à-vis de Londres et du laboratoire AstraZeneca. La veille, la présidente de la CE Ursula von der Leyen avait proposé un durcissement du contrôle des exportations de vaccins mis en place début février. Le mécanisme pourrait désormais servir à bloquer les expéditions de doses depuis l’UE vers : les Etats tiers jugés coupables d’un manque de «réciprocité» - qui n’exportent pas en retour - ou ceux dont les populations sont plus largement vaccinées que les Européens.
Les gouvernement hongrois et polonais ont annoncé jeudi saisir la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) afin de contester la base légale du nouveau règlement liant l’octroi de fonds européens au respect de l’État de droit. Le texte autorise, depuis le 1er janvier, la Commission européenne (CE) à suspendre les financements, issus du budget communautaire ou du fonds de relance européen, destinés aux États membres où elle constate une violation de l’Etat de droit, sous réserve d’un vote à la majorité qualifiée du Conseil. L’opposition de Budapest et Varsovie à ce mécanisme de conditionnalité avait constitué un obstacle majeur dans les négociations sur le paquet de relance de l’UE en fin d’année dernière.
Les gouvernement hongrois et polonais ont annoncé jeudi saisir la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) afin de contester la base légale du nouveau règlement liant l’octroi de fonds européens au respect de l’État de droit. Le texte autorise, depuis le 1er janvier, la Commission européenne (CE) à suspendre les financements, issus du budget communautaire ou du fonds de relance européen, destinés aux États membres où elle constate une violation de l’Etat de droit, sous réserve d’un vote à la majorité qualifiée du Conseil.
La vision de la Commission européenne sur la stratégie à adopter pour accompagner la reprise reste à expliciter. Avec de possibles divergences entre pays.
Au vu des prévisions économiques actuelles, la clause dérogatoire du pacte de stabilité devrait rester active l’année prochaine », a annoncé mercredi midi le vice-président de la Commission européenne (CE), Valdis Dombrovskis.
Les banques centrales ne veulent pas se substituer à l’action des pouvoirs politiques en matière de lutte contre le changement climatique ou le creusement des inégalités.
Selon un document interne datant du 26 janvier consulté par Reuters, la Commission européenne compte imposer au gouvernement de Viktor Orban la réforme du code des marchés publics hongrois qu’elle lui réclame de longue date, à laquelle serait conditionné le versement des près de 6,3 milliards d’euros d’aides directes dont Budapest doit bénéficier au titre du plan de relance européen. Dénonçant une «concurrence dans les marchés publics insuffisante en pratique» responsable «d’irrégularités systémiques», le document qui appelle à l’établissement de normes de transparence insiste aussi sur les multiples «lacunes» au sein de la législation hongroise relative aux conflits d’intérêts.
La Commission européenne (CE) entend décidément faire plein usage du pouvoir que lui confère son rôle central dans le processus d’approbation des plans de relance nationaux dans le cadre du fonds de relance européen. Selon un document interne datant du 26 janvier consulté par Reuters, la CE compte imposer au gouvernement de Viktor Orban la réforme du code des marchés publics hongrois qu’elle lui réclame de longue date, à laquelle serait conditionnée le versement des près de 6,3 milliards d’euros d’aides directes dont Budapest doit bénéficier au titre du plan de relance européen.