Profitant de la reprise en fanfare du marché après l'élection française, le groupe de luxe a émis hier 4,5 milliards d'euros afin de préfinancer l'acquisition de Christian Dior Couture.
La nouvelle OAT à 30 ans a suscité un carnet d’ordres record de plus de 31 milliards d’euros, permettant à l'AFT de lever 7 milliards d'euros dans des conditions resserrées.
L’Agence France Trésor (AFT) a réuni un carnet d’ordres de plus de 31 milliards d’euros pour finalement placer aujourd’hui un montant de 8 milliards sur la nouvelle souche d’OAT à 30 ans de maturité 25 mai 2048. La demande a été près de 4 fois plus forte que l’offre initiale et le montant levé 2 fois plus important que lors de la précédente émission d’OAT 30 ans réalisée en 2013. La France a bénéficié de l'élection du nouveau président français en concédant un spread de 12 points de base (pb) par rapport à la souche d’OAT 3,25% mai 2045, soit une prime de seulement 2 pb.
Le segment investment grade a bénéficié de l'émission de 8 milliards d'euros de General Electric, alors que Seb devrait tester l'appétit pour le non-noté.
Conformément au programme de financement de l'État français pour 2017 publié en décembre 2016, l’Agence France Trésor a annoncé hier la création d’une nouvelle obligation, de maturité 30 ans, l’OAT 25 mai 2048. Cette nouvelle obligation sera émise par syndication dans les prochains jours, en fonction des conditions de marché et elle sera abondée par la suite afin de répondre à la demande des investisseurs et de garantir sa liquidité. Les chefs de file mandatés pour cette opération sont BNP Paribas, Citigroup, HSBC, JPMorgan et SG CIB. L’ensemble des SVT fera partie du syndicat.
Conformément au programme de financement de l'État français pour 2017 publié en décembre 2016, l’Agence France Trésor a annoncé ca matin la création d’une nouvelle obligation, de maturité 30 ans, l’OAT 25 mai 2048. Cette nouvelle obligation, dont les caractéristiques seront annoncées ultérieurement, sera émise par syndication dans les prochains jours, en fonction des conditions de marché et sera abondée par la suite pour répondre à la demande des investisseurs et pour garantir sa liquidité. Les chefs de file mandatés pour cette opération sont BNP Paribas, Citigroup, HSBC, JPMorgan et SG CIB. L’ensemble des SVT fera partie du syndicat.
Le rendement du Gilt à 10 ans offre une décote d'environ 120 points de base par rapport à celui des Treasuries américains à niveaux d'inflation équivalents.
General Electric a levé mercredi 8 milliards d’euros sur le marché obligataire au travers d’une émission multitranches. Il s’agit du plus gros placement «reverse yankee», c’est-à-dire d’une entreprise américaine émettant en euros, depuis Coca-Cola en février 2015. Le livre d’ordes a atteint 22 milliards d’euros au total pour les quatre lignes à 5 ans, 8 ans, 12 ans et 20 ans.
Le Conseil des ministres a approuvé hier l’ordonnance visant à moderniser le cadre juridique des émissions obligataires, une réforme prévue dans la loi Sapin 2 de décembre 2016. En «modernisant en particulier les modalités de constitution et de fonctionnement de la masse des obligataires», le gouvernement estime que «cette réforme facilitera le financement des entreprises». L’ordonnance simplifie les modalités de convocation, de quorum et de prise de décision au sein de l’assemblée des obligataires en prévoyant la possibilité d’une consultation écrite lorsque le contrat d’émission le stipule. Elle permet également, lorsque l’émission d’obligations est réservée à des investisseurs qualifiés, d’organiser contractuellement la représentation de la masse des obligataires. Le décret d’application de l’ordonnance est en cours d’examen au Conseil d’Etat.
Pour sa dernière réunion du quinquennat de François Hollande, le Conseil des ministres a approuvé ce matin l’ordonnance présentée par le ministre de l’Economie et des Finances visant à moderniser le cadre juridique des émissions obligataires. Cette réforme était prévue dans la loi Sapin 2 de décembre 2016. « Une grande part du cadre juridique relatif aux émissions d’obligations est restée inchangée depuis les dernières réformes d’ensemble que sont un décret-loi de 1935 et une réforme de 1966 », explique le compte-rendu du Conseil des ministres. Ceci rendait le droit français « désuet et insuffisamment adapté aux pratiques internationales, ce qui a conduit une partie des émetteurs français, notamment des émetteurs publics, à émettre des obligations en droit anglo-saxon ».
La Caisse d’amortissement de la dette sociale (Cades) a officialisé hier la nomination à la présidence de son conseil d’administration de Jean-Louis Rey. Ce dernier remplace Patrice Ract Madoux qui assurait cette fonction depuis près de 18 ans. La nomination de Jean-Louis Rey a été actée par un décret du président de la République publié la semaine dernière. Entre 2013 et 2017, il a été directeur de l’Acoss (Agence centrale des organismes de Sécurité sociale) qui pilote le réseau de collecte des cotisations sociales et gère la trésorerie des différentes branches de la Sécurité sociale. Le nouveau président prendra ses fonctions le 15 mai prochain.
La Caisse d’amortissement de la dette sociale (Cades) a officialisé ce matin la nomination à la présidence de son conseil d’administration de Jean-Louis Rey. Ce dernier remplace Patrice Ract Madoux qui assurait cette fonction depuis près de 18 ans. La nomination de Jean-Louis Rey a été actée par un décret du président de la République publié la semaine dernière. Enarque (promotion, Jean Monnet 1990), Jean-Louis Rey a été nommé inspecteur général des affaires sociales en avril. Entre 2013 et 2017, il a été directeur de l’Acoss (Agence centrale des organismes de sécurité sociale) qui pilote le réseau de collecte des cotisations sociales et gère la trésorerie des différentes branches de la sécurité sociale. Auparavant, Jean-Louis Rey a consacré l’essentiel de sa carrière à la direction de la sécurité sociale au ministère de la Santé et a été nommé adjoint au directeur en 2006. Le nouveau président prendra ses fonctions le 15 mai prochain.
Le spread entre les rendements à 10 ans de l’OAT française et du Bund allemand est tombé sous le seuil des 45 points de base (pb) hier pour la première fois de l’année, au lendemain du débat entre Marine Le Pen et Emmanuel Macron et à quelques jours du second tour de l’élection présidentielle. Il a reculé de près de 20 pb depuis deux semaines. A 0,82%, le rendement de l’OAT 10 ans n’excède plus que de 4 pb et de 25 pb ceux des titres d’Etat belges et néerlandais de même maturité, alors qu’il avait atteint respectivement près de 20 et 50 pb quelques jours avant le premier tour. L’Agence France Trésor en a profité pour placer ce matin 8 milliards d’euros d’OAT de maturités mai 2027, 2030 et 2036 à des niveaux de taux moyen pondéré respectifs de 0,81%, 1,07% et 1,49%.
Le spread entre les rendements à 10 ans de l’OAT française et du Bund allemand est tombé sous le seuil des 45 points de base (pb) ce matin pour la première fois de l’année, au lendemain du débat entre Marine Le Pen et Emmanuel Macro et à quelques jours du second tour de l’élection présidentielle. Il a reculé de près de 20 pb depuis deux semaines. A 0,82%, le rendement de l’OAT 10 ans n’excède plus que de 4 pb et de 25 pb celui des titres d’Etat belges et néerlandais de même maturité, alors que le spread français face à ces deux pays avait atteint respectivement près de 20 et 50 pb quelques jours avant le résultat du premier tour de l’élection française.
Ils conservent des positions neutres après le resserrement des spreads consécutif aux résultats du premier tour de l'élection présidentielle française.