C’est le montant, en milliards de dollars, de l’émission obligataire réalisée la semaine dernière par Bristol-Myers Squibb. Il s’agit du placement obligataire le plus important depuis le début de l’année dans le monde, et la plus grosse opération depuis l’émission de 27 milliards de dollars de Comcast pour le rachat de Sky en octobre 2018. L’opération vise à refinancer une partie du prêt relais d’un montant de 33,5 milliards mis en place par BMS pour l’acquisition de Celgene. Le groupe a déjà obtenu 8 milliards de crédits bancaires. Les neuf tranches obligataires ont des maturités d’un an et demi à 30 ans pour des coupons de 2,55 % à 4,25 % pour les sept tranches à taux fixe.
A près de 120% du PIB, sa croissance à un rythme effréné a de quoi inquiéter. Certains pays les plus fragiles pourraient être affaiblis par un arrêt du financement de marché.
Bristol-Myers Squibb a lancé mardi l'émission obligataire destinée à refinancer le crédit relais de 33,5 milliards de dollars (près de 30 milliards d’euros) mis en place lors de l’acquisition de Celgene. Le montant de l'émission devrait avoisiner les 21 milliards de dollars, ce qui en ferait la plus grosse opération de l’année et la cinquième plus importante de l’histoire. Le groupe pharmaceutique avait indiqué la semaine dernière qu’il emprunterait au total 29 milliards de dollars pour financer l’opération, et qu’il avait déjà obtenu des crédits bancaires de 8 milliards. L'émission est divisée en neuf tranches, dont trois à taux variables (1,5, 2 et 3 ans de maturité). La maturité des tranches à taux fixes va de 3 à 30 ans. Barclays, Credit Suisse, Morgan Stanley et Wells Fargo dirigent le placement.
Déjà très actif, le marché obligataire reçoit un soutien supplémentaire de poids. Bristol-Myers Squibb a lancé aujourd’hui l'émission obligataire destinée à refinancer le crédit relais de 33,5 milliards de dollars mis en place lors de l’acquisition de Celgene. Le montant total de l'émission devrait avoisiner les 21 milliards de dollars, ce qui en ferait la plus grosse opération de l’année et la cinquième plus importante de l’histoire. Le groupe pharmaceutique avait indiqué la semaine dernière qu’il emprunterait au total 29 milliards de dollars pour financer l’opération et qu’il avait déjà obtenu des crédits bancaires de 8 milliards de dollars.
Les obligations de bonne qualité bénéficient de la recherche de rendement de la part d’investisseurs toujours prudents. Ces flux portent la performance de la classe d’actifs.
Le groupe Perial a annoncé jeudi 2 mai l’augmentation du prix de la part de sa SCPI PF Grand Paris. Il passe de 492 eurosà 510 euros, soit une hausse de 3,6%. «Cette majoration reflète la bonne gestion de la SCPI PF Grand Paris depuis la réouverture de son capital au mois d’octobre 2017, et la revalorisation de son patrimoine constaté en fin d’année 2018", explique la société dans un communiqué. Les autres conditions de souscription de parts demeurent inchangées, à savoir une commission de souscription élevée de11,4 %, soit 58,14 euros prélevés par partsur le prix de souscription (prime d'émission incluse). En 2018, la SCPI du marché a réalisé un volume d’acquisitions de 176 millions d’euros en 2018 dont 82,4% sur le périmètre du Grand Paris. Elle a réalisée une collecte de plus de 106 millions d’euros et offertun rendement de 4,40% nets.La capitalisation de la SCPI atteignait704 millions d’euros à fin mars.
L’Italie a émis facilement mardi un total de 6,5 milliards d’euros en obligations à 5 et 10 ans, quelques jours après la décision de S&P de laisser sa note de crédit inchangée à BBB. L’opération, soutenue par d’importants montants de dette arrivant à échéance, a reçu une demande de 1,5 fois supérieure au montant prévu et émis. L’obligation à échéance en août 2029 a obtenu un rendement de 2,59%, légèrement inférieur au niveau des enchères de 2,61% du mois précédent, à un plus bas depuis avril 2018. L’obligation due en juillet 2024 a été vendue avec un rendement brut de 1,72%, contre 1,71% lors de la dernière enchère à fin mars. L’Italie a également placé une obligation à taux variable à un rendement brut de 1,77%, contre 1,83% il y a un mois.
L’Italie a émis facilement ce matin un total de 6,5 milliards d’euros (7,3 milliards de dollars) en obligations à 5 et 10 ans, quelques jours après la décision de S&P de laisser sa note de crédit inchangée à BBB. L’opération, soutenue par d’importants montants de dette arrivant à échéance, a reçu une demande de 1,5 fois supérieure au montant prévu et émis.
Après avoir fait craindre une suspension du paiement du coupon, la direction du sucrier allemand a assuré qu'elle respecterait ses engagements cette année, provoquant de vifs à-coups sur les titres.