Retrouvez toute l’actualité en lien avec la hausse des prix (publications de l’Insee, d’Eurostat, de l’indice IPH, du PCE américain) et nos analyses sur les causes de l’inflation, ses conséquences sur l’économie, sur la politique monétaire (BCE, Fed) et sur les marchés (Bourses, marché de taux, devises).
La hausse des taux d’intérêt et une inflation de l’ordre de 6% entraîneront une augmentation de la rémunération des livrets réglementés au 1er février si on se réfère au calcul appliqué par la Banque de France.
La hausse des prix a décéléré plus que prévu dans la première économie européenne en décembre, grâce notamment aux aides du gouvernement. Mais les économistes restent inquiets.
L’inflation en Turquie a diminué plus qu’anticipé par les économistes en décembre à 64,3% en rythme annuel, soit un plus bas de neuf mois, selon les données publiées mardi par l’institut statistique turc. En octobre, l’inflation avait atteint un pic de 24 ans à 85,5% avant de baisser légèrement en novembre (+84,4%). Le repli de décembre s’explique par un effet de base favorable. Il y a un an, l’inflation avait bondi de 13,6%. Sur un mois, l’indice des prix à la consommation a progressé de 1,18%, à un plus bas de 16 mois et plus de deux fois moins qu’attendu par le consensus (+2,7%), qui attendait une inflation de 66,8% sur un an. Les économistes anticipent une baisse de l’inflation cette année à 43,2% en décembre.
L’inflation en Turquie a diminué plus qu’anticipé par les économistes en décembre à 64,3% en rythme annuel à un plus bas de neuf mois, selon les données publiées mardi par l’institut statistique turc. En octobre, l’inflation avait atteint un pic de 24 ans à 85,5% avant de baisser légèrement en novembre (+84,4%). Le repli de décembre s’explique par un effet de base favorable. Il y a un an, l’inflation avait bondi de 13,6%. Sur un mois, l’indice des prix à la consommation a progressé de 1,18%, à un plus bas de 16 mois et plus de deux fois moins qu’attendu par le consensus (+2,7%), qui attendait une inflation de 66,8% sur un an. Les économistes anticipent une baisse de l’inflation cette année à 43,2% en décembre. L’indice des prix à la production a diminué de 0,24% en décembre sur un mois pour une inflation annuelle de 97,72%, selon les chiffres également publiés mardi. Au plus bas depuis près d’un an.
Les dépenses des consommateurs américains (indice PCE) ont augmenté de seulement 0,1% en rythme mensuel en novembre, après +0,9% en octobre et +0,6% en septembre – les économistes anticipaient une hausse de 0,2%. Les données du département du Commerce ont fait état vendredi d’un déplacement de la demande des biens vers les services. Les dépenses de consommation devraient encore contribuer à la croissance du PIB américain sur le quatrième trimestre. L’indice d’inflation PCE a augmenté de 0,1% en rythme mensuel en novembre, après +0,4% en octobre, et de 0,2% pour l’inflation sous-jacente (core PCE), après +0,3% : en rythme annuel, cela porte l’inflation PCE de 6,1% à 5,5%, et l’inflation core PCE de 5% à 4,7%. Il n’est pas sûr que cela suffise à décourager la Fed de porter les taux à des niveaux plus élevés l’an prochain.
Good news is bad news.» La croissance de l’économie américaine a été un peu plus forte qu’estimé précédemment au troisième trimestre, selon la troisième et dernière publication du département du Commerce (Bureau of Economic Analysis, BEA), ce qui a fait chuter les marchés d’actions américaines jeudi. Le PIB des Etats-Unis a augmenté de 3,2% en rythme annualisé par rapport aux trois mois précédents, au lieu d’une croissance de 2,9%. Les dépenses de consommation ont augmenté plus que prévu (2,3% vs 1,7% en deuxième estimation), la croissance des soins de santé et autres services ayant partiellement compensé une baisse des dépenses dans les biens. L’investissement non résidentiel a bondi plus vite aussi (6,2% vs 5,1%). La hausse de l’indice des prix «core PCE» du BEA, très suivi par la Réserve fédérale américaine, a aussi été revue de 4,6% à 4,7%. A plus court terme, les demandes hebdomadaires d’allocations de chômage ont augmenté de 216.000 unités la semaine se terminant le 17 décembre, bien au-dessous des attentes aux Etats-Unis.
La hausse des prix a ralenti en novembre, à 10,1%, à un niveau légèrement plus élevé qu'initialement estimé. Le secteur privé continue à se contracter mais à un rythme plus faible qu'attendu.
La hausse des prix a ralenti en novembre, à 10,1%, à un niveau légèrement plus élevé qu'initialement estimé. Le secteur privé continue à se contracter mais à un rythme plus faible qu'attendu.
Dans un contexte inflationniste, l’indice de performance de l’épargne financière des ménages pourrait renforcer la transparence des portefeuilles des Français et en améliorer la diversification.
Les Bourses européennes ont accéléré en début d'après-midi mardi et Wall Street a ouvert en hausse de plus de 2% après que l'inflation est ressortie inférieure aux attentes aux Etats-Unis.
Le taux d’inflation annuel des Pays-Bas a fortement chuté, à 9,9% en novembre après 14,3% en octobre, grâce aux effets de base d’un mois sur l’autre sur les prix de l’énergie. En outre, la hausse a été modérée pour les vêtements, le logement, l’ameublement et l’équipement ménager. En revanche, les prix des aliments et des boissons non alcoolisées ont augmenté à un rythme record de 15,4%, après avoir gagné 13,8% en octobre. L’inflation sous-jacente annuelle, hors énergie et alimentation, est tombée à 5,6%, après un nouveau record de 6% en octobre. D’un mois à l’autre, l’indice a diminué de 3% en novembre, première baisse depuis mai, après un gain de 1,1% en octobre.
Le taux d’inflation annuel des Pays-Bas a fortement chuté, à 9,9% en novembre après 14,3% en octobre, grâce aux effets de base d’un mois sur l’autre sur les prix de l’énergie : la hausse annuelle passe de 198,7% à 74,4% pour le gaz, de 161,5% à 70% pour l’électricité.