A l’occasion de la présentation de ses résultats du premier semestre 2010 (lire par ailleurs), Union Investment a annoncé le lancement d’une gamme de fonds patrimoniaux flexibles et profilés, les PrivatFonds Flexibel, Kontrolliert et Konsequent, avec une souscription initiale minimum de 10.000 euros. Si le gestionnaire ne facture pas de droit d’entrée, il compte une commission de gestion comprise entre 1 % et 1,55 %. Les fonds, gérés activement, sont investis dans une grande variété de classes d’actifs, des options, des certificats et même des fonds tiers.Les nouveaux PrivatFonds existent à chaque fois en version normale et «pro». Le Flexibel et le Flexibel pro sont destinés à des investisseurs désireux de pouvoir exploiter le potentiel des différents marchés, le Flexibel ayant une position neutre en fonds monétaires tandis que le Flexibel pro n’a aucune limitation dans la répartition par classe d’actifs. Pour leur part, le Kontrolliert et le Kontrolliert pro sont axés sur le pilotage de la volatilité, l’objectif étant de générer une performance supérieure à celle d’un portefeuille diversifié classique actions/obligations. Enfin, le Konsequent et le Konsequent pro reprennent pour les particuliers le concept des fonds institutionnels protégés de la gamme Immuno. Avec le Konsequent, les investisseurs acceptent une protection de 97 % de leur mise initiale tandis qu’avec le Konsequent pro, la protection se limite à 90 %. Cela posé, si de nouveaux plus hauts sont franchis durant une période de 12 mois, l’effet de cliquet permet de les capturer pour les périodes suivantes. Dans les deux cas, Union vise pour ces deux produits sur le moyen-long terme une performance supérieure à celle d’un placement sûr à taux fixe.
A fin juin, le nombre d’ETF négociés en Europe avait augmenté de 24 unités en un mois, franchissant ainsi pour la première fois la barre des 1.000 fonds. L’encours a légèrement progressé le mois dernier, avec un gain de 0,4 % à 182,8 milliards d’euros, indique ETFlab (Deka) dans la dernière livraison de son bulletin «Wertarbeit für Ihr Geld».Néanmoins, compte tenu de l'évolution négative des marchés, les ETF d’actions ont accusé une baisse de 3,3 % de leurs actifs sous gestion, à 121,5 milliards d’euros tandis que les ETF obligataires affichaient une hausse d’encours de 10,3 % à 33,8 milliards. Pour les ETF de matières premières, les actifs sous gestion ont augmenté de 6,7 % à 15,2 milliards d’euros.
La société de gestion John Hancock Investment Management Services vient d’annoncer le lancement du John Hancock Disciplined Value Mid Cap Fund. Il s’agit d’une réédition du the Robeco Boston Partners Mid Cap Value Fund, dont la gestion a été reprise par John Hancock en mars (voir NEWSManagers du 29/03/2010). Le portefeuille du John Hancock Disciplined Value Mid Cap Fund est investi à hauteur d’au moins 80 % dans un portefeuille diversifié d’actions de moyennes capitalisations «value» identifiées par Robeco Boston Partners.
Après ses trois premiers fonds obligataires, DoubleLine Capital, la société de gestion créée par Jeff Gundlach après son licenciement par TCW (Société Générale), a notifié à la SEC (Form N-1 A) le lancement prochain du DoubleLine Multi-Asset Growth Fund, un produit d’allocation d’actifs avec quatre classes de parts (A, C, I et N), la classe A étant assortie d’un droit d’entrée maximal de 4,25 % (sauf pour des investissements supérieurs à 50.000 dollars) et la classe C d’un droit d’entrée différé de 1 %. Les quatre classes comportent des commissions de gestion et de sortie de 1 %.Le fonds pourra investir en actions, en obligations, en titres du secteur immobilier, en infrastructures en valeurs liés aux matières premières, en devises et en placements «de court terme et de haute qualité».
State Street Global Advisors (SSgA) annonce qu’elle va arrêter le prêt de titres par un certain nombre de ses fonds obligataires irlandais conformes à la directive OPCVM III ; il s’agit des fonds SSgA World Broad Investment Grade Index; World Government Bond Index; EMU Government Bond Index; UK Government Bond Index; US Corporate Bond Index; US Government Bond Index; Euro Corporate Bond Index; Euro Broad Investment Grade Bond Index et EMU Government Long Bond II. D’après Asian Investors, ces fonds représentaient en juin moins de 1 % des actifs sous gestion de SSgA.
Selon l’Edhec, sept stratégies de hedge funds sur douze, plus les fonds de hedge funds, ont accusé des pertes en juin, les deux plus sinistrées étant le long/short equity (- 1,69 %) et les distressed securities (- 1,01 %). En revanche, les fonds spécialistes des ventes à découvert ont affiché une performance de 4,05 %.Sur le premier semestre, quatre stratégies, plus les fonds de hedge funds (- 1,3 %) ont subi des pertes, la plus importante étant accusée par le long/short equity tandis que les distressed securities et l’arbitrage obligataire signaient des gains respectifs de 4,5 % et 4,4 %.Depuis le début de 2001, les deux stratégies les plus rentables ont été les marchés émergents (11,8 % par an) et les distressed securities (11 %), la moins performante étant la vente à découvert (2,1 %).
Cette semaine, Global X devrait lancer un ETF sur le lithium couvrant les producteurs de lithium et les fabricants de batteries, rapporte The Wall Street Journal. A l’origine de ce projet, le magnat bolivien R. Marcelo Claure, qui cherchait le moyen d’investir largement sur le lithium. Le gestionnaire de hedge funds MC Capital Advisors a donc demandé à Global X Management Co, une société qui crée des ETF, de lancer un fonds sur le lithium. MC Capital fournira le capital d’amorçage pour démarrer l’ETF et percevra la moitié des bénéfices du fonds.Parmi les autres ETF "à la demande» qui seront lancés prochainement figurent des fonds consacrés aux petites capitalisations thaïlandaises, aux producteurs de métaux rares comme le gallium et le selenium, ou des sociétés liées à la pêche.The Wall Street Journal annonce aussi que SummerHaven Investment Management et Mars Hill Partners vont gérer des ETF qui seront lancés respectivement par US Commodity Funds et par AdvisorShares. Le premier sera consacré à des matières premières pour lesquelles le comptant est plus cher que les futures tandis que le second utilisera une stratégie de valeur relative comme un hedge fund.
Pour le premier trimestre, Charles Schwab Corporation a déclaré vendredi un bénéfice net de 205 millions de dollars contre 6 millions au premier et 205 millions également pour avril-juin 2009, de sorte que le bénéfice net du premier semestre ressort à 211 millions de dollars contre 423 millions pour la période correspondante de l’an dernier. Le résultat du premier trimestre et du premier semestre a été affecté par une charge de 120 millions de dollars après impôt liée au règlement d’une class action au civil concernant le Schwab YieldPlus Fund.Les fonds «propriétaires» Schwab et les fonds Laudus affichaient à fin juin un encours de 195,4 milliards de dollars contre 207,6 milliards fin mars et 226,6 milliards un an auparavant tandis que ceux du supermarché de fonds OneSource tombaient à 177,2 milliards de dollars contre 187,4 milliards trois mois plus tôt tout en augmentant par rapport aux 129,2 milliards enregistrés à fin mars 2009.Les souscriptions nettes pour la partie services d’investissement ont porté sur 1,3 milliard de dollars pour avril-juin contre 4,4 milliards au premier trimestre et 3,7 milliards au deuxième trimestre 2009.
Pour son nouveau fonds Blackstone Capital Partners VI LP, Blackstone Group accepte de ne facturer que 1 % de commission de gestion, au lieu de 1,5 %, aux investisseurs qui lui apportent au moins 1 milliard de dollars, rapporte The Wall Street Journal. Initialement, cette ristourne n'était prévue que pour les «commitments» supérieurs à 10 milliards de dollars.Le closing final était programmé pour le 30 juin, mais il aura lieu plus tard pour permettre à certains gros investisseurs potentiels de terminer leur «due diligence».Le fonds a déjà attiré 10,5 milliards de dollars et il devrait dépasser 13 milliards de dollars. L’objectif initial était de 20 milliards de dollars, mais l’objectif a été révisé à 15 milliards après la crise économique de 2008.
A fin juin, l’indice Dow Jones Credit Suisse des hedge funds est ressorti à 418,89 contre 422,45 un mois auparavant. Il a de la sorte accusé une perte mensuelle de 0,84 % contre 2,76 en mai. Sur le premier semestre, il affiche cependant encore une performance de 0,63 %.Cinq des dix stratégies couvertes par l’indice ont été dans le rouge pour juin, la plus forte baisse étant accusée avec 2,07 % par le long/short equity. En revanche, le dedicated short bias affiche une performance de 5,45 %.Pour les six premiers mois de l’année, le plus mauvais score est celui de l’equity market neutral avec une perte de 4,55 %, devant le long/short equity avec 3,22 %. Les stratégies les plus performantes ont été l’arbitrage obligataire (+ 5,52 %) et le global macro (+ 4,20 %).
D’après l’association Apfipp des sociétés de gestion, l’encours des fonds portugais à fin juin sur situait à un peu plus de 15,68 milliards d’euros contre 16,12 milliards fin mai et 17,23 milliards fin décembre. Cela équivaut à des baisses de 2,7 % en un mois de de 9 % sur le premier semestre, même si par rapport à fin juin 2009 les actifs sous gestion se sont accrus de 10,4 %.Pour juin, les remboursements nets se sont situés à 358,3 millions d’euros, portant ainsi les sorties nettes du premier semestre à un peu plus de 1,3 milliard d’euros. Par rapport à juin 2009, les fonds affichent toutefois des rentrées nettes de 1,11 milliard d’euros.Les cinq premières sociétés de gestion par les encours totalisaient fin juin une part de marché de 87,7 % contre 88,6 % fin décembre. Le numéro un est Caixagest, avec 3,76 milliards d’euros et 24 % du marché, devant Santander Asset Management et Esaf-F.I.M., ex-aequo avec 17,4 %. Vient ensuite BPI Gestão de Activos avec 15,4 %, devant Millenium BCP Gestão de Activos, avec 9,9 %.Santander Asset Management et Caixagest sont aussi les gestionnaires qui ont accusé les plus forts remboursements nets depuis le début de l’année, avec respectivement 360,8 millions et 350,9 millions pendant que Privado Fundos enregistrait des souscriptions nettes de 559 millions d’euros.
Selon les calculs d’Interactive Data pour Expansión, 47 % des fonds obligataires zone euro en Espagne sont en perte depuis le début de l’année. Les fonds monétaires ont perdu en moyenne 0,2 % durant le premier semestre.Le fonds le plus sinistré est l’Atlas Renta, un monétaire qui a perdu 17,24 % parce que 42 % de son portefeuille, en mars, était investi sur une obligation grecque. Le meilleur produit a été le fonds obligataire long terme de Caja Madrid, Class C Madrid Bonos, qui a affiché pendant le même temps une performance de 7,62 %, son portefeuille étant principalement investi en obligations d’entreprise.
Edmond de Rothschlid Asset Management (Edram) entame la commercialisation en Espagne du fonds de droit français Saint-Honoré Euro Leaders géré par Marc Helperin et Anthony Penel. Il s’agit d’un fonds d’actions zone euro, avec un biais grandes moyennes capitalisations qui comporte six classes de parts, indique Funds People.
Lyxor Asset Management (société Générale), qui vient de faire admettre neuf ETF à la négociation sur la Bourse de Madrid (lire notre article du 15 juillet) a obtenu de la CNMV le 15 juillet l’agrément de commercialisation pour deux produits supplémentaires spécialistes des matières premières. Il s’agit des fonds Lyxor ETF Commodities CRB (Reuters/Jefferies CRB Index et CRB Non-Energy (R/J CRB Non-Energy Index).Cela devrait porter à 35 le nombre d’ETF Lyxor cotés à Madrid.
OFI Asset Management a annoncé vendredi que le fonds OFI Global High Yield a été absorbé au 30 juin par l’OFI Euro High Yield, ce qui se traduit par l’adoption comme indice de référence du Merrill Lynch Euro Non Financial Fixed & Floating Rate HY (HEAE) en remplacement du JP Morgan Maggie Aggregate Index Euro - High Yield Credit. Ce changement permet de comparer la performance du fonds reformulé à un univers d’investissement plus vaste avec plus de 200 lignes et environ 150 émetteurs. Cet univers est composé principalement d’obligations à haut rendement émises par des entreprises du secteur privé ayant leur siège social dans un pays membre de l’OCDE.Le nouveau fonds, avec un encours de plus de 80 millions d’euros, conservera l’historique de performance du OFI Euro High Yield qui affiche une performance de 28,84% depuis création (du 18/04/208 au 30/06/2010) par rapport aux 19,12 % de son nouvel indice de référence.
Sous l’impulsion de son promoteur, Alma Capital Europe le fonds de private equity Massinissa a bouclé récemment son deuxième closing pour un total des engagements reçus de la part des investisseurs de près de 50 millions d’euros, dont 10 millions apportés par la Banque Européenne d’Investissement (BEI) et 5 millions par Almamed, société basée à Casablanca et contrôlée par Alma Capital Europe avec des partenaires marocains.Le fonds Massinissa, géré par Almamed, a vocation à prendre des participations majoritaires dans des PME marocaines sélectionnées de manière opportuniste dans les principaux secteurs de l’économie, à l’exception du tourisme et de l’immobilier. De plus, Massinissa «reste sensible aux grands principes de gestion socialement responsable et à la défense de l’environnement», indique Alma Capital Europe. Massinissa assume pleinement son rôle d’actionnaire majoritaire tout en cherchant à associer systématiquement le management au capital des sociétés acquises.La présence de la BEI comme «parrain» du fonds Massinissa a convaincu de grands investisseurs institutionnels à s’intéresser au Maroc. La MACIF (Mutuelle d’Assurances des Commerçants et Industriels de France), le groupe Monceau, Prédica (Crédit Agricole Assurances), la MACSF (Mutuelle d’Assurances du Corps de Santé Français), la CAPSSA (Caisse de Prévoyance des Agents de la Sécurité Sociale et Assimilés) et la mutuelle agricole marocaine MAMDA - MCMA figurent parmi les principaux investisseurs institutionnels du fonds.
Le 29 octobre 2010 et le 16 juin 2011, DWS Investments liquidera respectivement le DWS Hedge L/S Global Macro et le DWS Hedge L/S Currency, ses deux derniers hedge funds de droit allemand, a confirmé jeudi soir à Newsmanagers le gestionnaire d’actifs de la Deutsche Bank.De fait, le site de DWS précise que la date limite d’acceptation des dernières souscriptions pour le DWS Hedge L/S Global Macro, lancé le 1er août 2005, était le 30 juin et que l’encours se limite à présent à 0,01 million d’euros. La performance a été de 1,90 % par an depuis le lancement.En revanche, la date de retrait du DWS Hedge L/S Currency que publie la Frankfurter Allgemeine Zeitung n’est pas encore mentionnée sur la fiche du fonds (lancé le 1er juillet 2004), qui affiche un encours de 10,42 millions d’euros. La performance s’est établie à 3,58 % par an.DWS Investments avait déjà liquidé le DWS Invest Dynamic l’an dernier, puis -fin avril 2010- le DWS Hedge L/S Equity Opportunistic et le DWS Hedge L/S Market Neutral. Comme d’autres maisons allemandes, DWS tire la conséquence d’une législation qui complique la commercialisation (avertissement sur les documents, pas d’appel public à l'épargne pour les single hedge funds). De plus, les hedge funds ne jouissent pas d’une bonne image en Allemagne, depuis la controverse sur les «sauterelles».
Au 31 juillet 2012, Allianz Global Investors fermera le fonds Allianz Pimco Genussscheinfonds (anciennement cominvest Genusscheinfonds), qui a été lancé le 16 juillet 2001 et dont l’encours de situe à plus de 130 millions d’euros. De toutes façons, les souscriptions et rachats pour ce fonds de bons de jouissance étaient gelées depuis le 3 mars 2009. Compte tenu de la liquidité très limitée du segment de marché, une dispersion des actifs du fonds ne serait pas possible à des prix convenables tandis qu’une réouverture du guichet des remboursements se traduirait probablement par des rachats supérieurs aux liquidités du fonds. La date de liquidation a été fixée en fonction de l’arrivée à échéance de la plupart des titres figurant encore dans le portefeuille.
L’Association européenne de la gestion d’actifs a publié le 15 juillet un rapport sur les tendances récentes observées en matière de standardisation et d’automatisation des ordres relatifs aux fonds d’investissement reçus par les agents de transfert en Irlande. Le rapport couvre près de 80% du total des volumes d’ordres des fonds irlandais.Le rapport relève notamment que le taux d’automatisation des ordres traités par les agents de transfert s’est élevé à 86% au quatrième trimestre 2009, ce qui souligne le niveau très limité du traitement manuel. Le pourcentage des ordres utilisant des messages «propriétaires» atteint 78% au quatrième trimestre contre 8% pour les ordres réalisés sur la base des messages ISO 20022. L’Efama signale qu’elle publiera à l’automne un rapport sur le marché irlandais des fonds transfrontaliers et qu’elle proposera par la suite deux rapports par an sur les problématiques de standardisation et d’automatisation des ordres.
Selon les estimations de Morningstar, les mutual funds américains ont enregistré en juin des souscriptions nettes de 13,5 milliards de dollars contre des remboursements nets de 13,2 milliards pour mai (lire notre article du 14 juin). De la sorte, les rentrées nettes pour janvier-juin sont ressorties à 166,7 milliards de dollars, soit 24 % de plus que pour la période correspondante de l’an dernier.Malgré la baisse de l’indice MSCI EAFE et les préoccuppation suscritées par la baisse des actions étrangères, les fonds d’actions internationales ont enregistré des souscriptions nettes de 19,6 milliards de dollars pour le premier semestre alors que ceux d’actions américaines subissaient des sorties nettes de presque 17 milliards de dollars.Morningstar souligne que les mutual funds alternatifs, dont beaucoup ont été lancés depuis la crise du crédit, ont enregistré des rentrées nettes record, à l’instar du Pimco Fundamental Advantage Total Return, qui a collecté près de 3,3 milliards de dollars durant les douze mois à fin juin.En revanche, les fonds monétaires ont perdu 790,5 milliards de dollars d’actifs sur les douze mois à fin juin, près de 80 % des sorties étant imputable aux classes de parts institutionnelles.En ce qui concerne par ailleurs les ETF, les souscriptions nettes de juin (9,9 milliards de dollars) ont porté le total des rentrées depuis le début de l’année à 34 milliards de dollars. Les deux fonds affichant les plus fortes souscriptions nettes pour juin ont été le SPDR S&P 500 SPY avec 2,6 milliards de dollars et le SPDR Gold Shares GLD avec 2,1 milliards. Morningstar souligne qu'à par le iShares MSCI Germany Index EWG et iShares FTSE/Xinhua China 25 apparemment utilisés par les investisseurs pour se repositionner dans l’optique de la crise de la dette souveraine en Europe, la grande majorité des ETF-pays (single country ETFs) ont accusé des sorties nettes en juin.