L’actualité (lancement, levée de fonds, nouveaux produits) des start-up qui utilisent les nouvelles technologies pour proposer des services innovants dans le domaine de la finance.
Voilà que les banques et les grands distributeurs avancent à grand renfort d’investissements dans le paiement mobile, comme l’illustrent les expériences à grande échelle de Lyf Pay. Si les investisseurs se ruent sur les classes d’actifs de l’économie « réelle », on propose aux consommateurs de se détacher du passage en caisse et du ticket. Le digital s’impose à tous, y compris pour déclarer ses impôts, tant l’usage des outils informatiques est censé aller de soi. Notamment chez les jeunes. Or on a vu les difficultés des lycéens pour naviguer sur « Parcoursup », le site national d’orientation conçu pour être « intuitif ». Une étude CSA Research égratigne la part du mythe du tout internet : 21 % des citoyens abandonnant une démarche parce qu’il leur faut utiliser internet étaient, l’an dernier, des jeunes nés il y a une vingtaine d’années, en pleine gloire d’internet.
TransferWise a obtenu un compte de règlement en euros auprès de la Banque de Lituanie, ce qui lui permet d’accéder directement à l’infrastructure de paiement en euros. Les virements en euros se feront via son compte de règlement et seront instantanés grâce à l’adhésion au nouveau système de paiement SEPA Instant de la fintech spécialiste du transfert d’argent international à bas prix. Ce dernier rend possible des virements en quelques secondes, 24h/24 et 7j/7. En avril, TransferWise avait déjà annoncé détenir un compte de règlement auprès de la Banque d’Angleterre et être membre direct du FPS Payments Scheme (FPS).
TransferWise a annoncé mercredi avoir obtenu un compte de règlement en euros auprès de la Banque de Lituanie, ce qui lui permet ainsi d’accéder directement à l’infrastructure de paiement en euros. Les virements en euros se feront via son compte de règlement et seront instantanés grâce à l’adhésion au nouveau système de paiement SEPA Instant de la fintech spécialiste du transfert d’argent international à bas prix. Alors qu’il fallait environ un jour ouvrable pour que l’argent arrive à destination, ce dernier rend possible des virements en quelque secondes, 24h/24 et 7j/7.
La société de gestion Inter Invest Capital vient de céder sa participation dans Contextor, éditeur de logiciels de Robotic Process Automation (RPA), dans le cadre du rachat par SAP.
L’assureur chinois Ping An vient mener un tour de table au profit de l’incubateur allemand de fintech FinLeap, créé en 2014. Ping An a apporté 40 des 41,5 millions d’euros levés par la société. Si la valorisation de FinLeap n’est pas divulguée, elle tournerait autour de 300 millions d’euros, selon des sources citées par Bloomberg.
Casino a annoncé ce lundi son entrée au capital de Lyf Pay à hauteur de 5% pour un montant non divulgué. Cette opération entraîne une dilution paritaire chez les actionnaires majoritaires BNP Paribas et Crédit Mutuel qui se retrouvent avec près de 42% du capital chacun. Auchan et sa banque Oney possèdent 5% du capital tandis que Total et Mastercard se partagent le reste.
Dans le cadre de sa participation aux Coupoles Distrib Invest 2018, Leonard de Tilly, fondateur de la fintech Fundshop, détaille pour la rédaction les différents services dématérialisés proposées par sa société et la manière dont ils s'inscrivent dans la stratégie digitale de ses clients. Des services désormais orientés vers la conformité aux nouvelles réglementations, qui ont constitué une vrai opportunité de développement pour Fundshop.
Une étude de l’AMF montre une augmentation du nombre et des montants des projets d'ICO françaises, qui bénéficieront d’un cadre légal et fiscal incitatif.
Wirecard a enregistré au troisième trimestre un bénéfice en hausse de 51% à 97 millions d’euros. Sur neuf mois, le résultat net est en croissance de 48,5% à 250,2 millions d’euros. Le groupe allemand vise pour l’exercice fiscal annuel un bénéfice avant Ebitda compris entre 550 et 570 millions d’euros, soutenu par l’essor du commerce électronique et des paiements numériques. Mais la fintech allemande souffre en Bourse en raison d’inquiétudes sur sa génération de trésorerie. L’action à la Bourse de Francfort clôturait en recul de 5,03% à 149,10 euros, plus forte baisse de l’indice Dax (-0,35%) et l’un des plus forts replis du Stoxx 600 (-0,41%). Adyen, spécialiste néerlandais du traitement des paiements pour des géants du web comme Netflix, Facebook ou eBay, chutait lui aussi, de 9,88%, à 533,80 euros.