Le groupe BPCE a annoncé hier la nomination de François Riahi au poste de directeur général en charge des finances, de la stratégie et des affaires juridiques, en remplacement de Marguerite Bérard-Andrieu qui va quitter l'établissement bancaire. La banque mutualiste indique dans un communiqué que François Riahi, qui est actuellement coresponsable de la banque de financement et d’investissement (BFI) de sa filiale Natixis, prendra ses nouvelles fonctions le 1er janvier. Compte tenu de la nomination de François Riahi, Marc Vincent devient l’unique responsable de la BFI de Natixis, dont les deux hommes partageaient la responsabilité depuis février 2016, à partir du 2 janvier. «Marguerite Bérard-Andrieu (...) a souhaité poursuivre une nouvelle opportunité professionnelle à l’extérieur du groupe à compter de janvier prochain», fait savoir BPCE.
Le ministère du Travail a annoncé mercredi des mesures pour faciliter le travail détaché en France tout en menaçant les entreprises qui violent les règles d’une double sanction assortie, dans le pire des cas, d’une suspension d’activité. «A partir du moment où on a ‘cranté' dans le droit européen: 'à travail égal, salaire égal’, les dispositions protectionnistes sont beaucoup moins, et dans l’esprit, et dans la forme, et dans la mise en œuvre, justifiées», précise l’entourage de la ministre du Travail, Muriel Pénicaud.
La croissance des salaires a ralenti au troisième trimestre après un pic de deux ans touché sur la période avril-juin, montrent des données publiées hier par Eurostat qui ne devraient guère plaire à la Banque centrale européenne (BCE), avide de tout signe suggérant une poussée inflationniste. Les salaires ont augmenté de 1,6% sur un an après un gain de 2,1% au deuxième trimestre, qui marquait la plus forte progression depuis le premier trimestre 2015. Le coût horaire du travail, lui, a progressé de 1,6% au troisième trimestre, contre 1,8% au deuxième, qui constituait la plus forte hausse depuis le premier trimestre 2016.
L’Association française des banques (AFB) a annoncé hier la signature d’un accord d’intéressement de branche, à l’unanimité des organisations syndicales du secteur. L’initiative fait suite à la loi de juillet 2015 permettant aux branches professionnelles de conclure des accords d’intéressement de branche. «L’accord conclu par l’AFB apporte ainsi aux banques, qui n’ont pas encore d’accord d’intéressement et plus spécifiquement celles de moins de 50 salariés, la possibilité de mettre en place un dispositif d’intéressement clé en main, qu’elles peuvent adapter à leurs objectifs et spécificités», indique un communiqué.
La croissance des salaires a ralenti au troisième trimestre après un pic de deux ans touché sur la période avril-juin, montrent des données publiées mardi par Eurostat qui ne devraient guère plaire à la Banque centrale européenne (BCE), avide de tout signe suggérant une poussée inflationniste. Les salaires ont augmenté de 1,6% sur un an après un gain de 2,1% au deuxième trimestre, qui marquait la plus forte progression depuis le premier trimestre 2015. Le coût horaire du travail, lui, a progressé de 1,6% au troisième trimestre, contre 1,8% au deuxième, qui constituait la plus forte hausse depuis le premier trimestre 2016.
L’Association française des banques (AFB) annonce mardi la signature d’un accord d’intéressement de branche, à l’unanimité des organisations syndicales du secteur. L’initiative fait suite à la loi de juillet 2015 permettant aux branches professionnelles de conclure des accords d’intéressement de branche.
Dans une note publiée hier, l’Insee confirme la hausse de l’emploi dans la fonction publique en 2016. Fin 2016, la fonction publique employait 5,67 millions de salariés y compris les bénéficiaires de contrats aidés, soit 20.400 de plus qu’un an auparavant (+0,4 %). Les effectifs augmentent davantage hors contrats aidés (+0,5 %), car ces derniers diminuent. Dans la fonction publique de l’État, l’emploi augmente de 1%. L’emploi diminue en revanche dans les collectivités locales (-0,4%). Pour ce qui concerne la fonction publique hospitalière, c’est une hausse de 0,2% qui est enregistrée.
Dans une note publiée ce lundi, l’Insee confirme la hausse de l’emploi dans la fonction publique en 2016. Fin 2016, la fonction publique employait 5,67 millions de salariés y compris les bénéficiaires de contrats aidés, soit 20.400 de plus qu’un an auparavant (+0,4 %). Les effectifs augmentent davantage hors contrats aidés (+0,5 %), car ces derniers diminuent. Dans la fonction publique de l’État, l’emploi augmente de 1%. Les deux tiers de cette augmentation proviennent des effectifs des ministères chargés de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche (+1,8 %). L’emploi diminue en revanche dans les collectivités locales (-0,4%). Pour ce qui concerne la fonction publique hospitalière, c’est une hausse de 0,2% qui est enregistrée.
Le décret permettant aux employeurs de modifier les motifs d’un renvoi après la notification de la lettre de licenciement, une mesure vivement critiquée par les organisations syndicales, a été publié dimanche au Journal officiel. Il précise que dans les quinze jours suivant la notification du licenciement, le salarié peut demander à l’employeur des précisions sur les motifs énoncés dans la lettre de licenciement. L’employeur dispose ensuite lui aussi de quinze jours après la réception de la demande du salarié pour y répondre, «s’il le souhaite».
La croissance des salaires outre-Manche a légèrement accéléré sur les trois mois à octobre, mais le nombre de personnes sans emploi a de nouveau augmenté, témoignant de la prudence des employeurs face au Brexit. Le nombre de personnes ayant un emploi a reculé de 56.000 sur ces trois mois, plus forte baisse depuis la mi-2015, selon les chiffres publiés mercredi par l’Office national de la statistique. Il s’agit de la deuxième baisse consécutive. Les salaires, primes comprises, ont progressé de 2,5%, après +2,3% sur trois mois à fin septembre. Mais la hausse reste inférieure à l’inflation (3,1% en novembre).
La croissance des salaires outre-Manche a légèrement accéléré sur les trois mois à octobre mais le nombre de personnes sans emploi a de nouveau augmenté, témoignant d’une prudence accrue des employeurs sur fond d’incertitudes concernant le Brexit. Le nombre de personnes ayant un emploi a reculé de 56.000 sur ces trois mois, plus forte baisse depuis la mi-2015, selon les chiffres publiés mercredi par l’Office national de la statistique (ONS). Il s’agit de la deuxième baisse consécutive.
L’Observatoire des métiers de la banque (OMB) a publié hier la première étude sectorielle sur l’intelligence artificielle (IA), qui montre que tous les niveaux de la banque et tous les échelons hiérarchiques sont concernés. Les initiatives sont particulièrement nombreuses dans les métiers support et de traitement des opérations. L’étude relève cependant que l’IA est encore à des couches superficielles et qu’il reste du temps pour se positionner sur les transformations en profondeur.