Toute l’actualité des métiers de la banque d’investissement, du trading, des activités de marché equities et fixed income, du corporate finance, et de ses principaux acteurs (Goldman Sachs, JPMorgan, Morgan Stanley, Deutsche Bank, BNP Paribas)
Barclays a engagé une équipe d’analystes actions de la Société Générale. Warren Ackerman va ainsi rejoindre la banque britannique en tant que responsable de la recherche sur le secteur européen de la grande consommation. Il emmène avec lui quatre autres analystes (Laurence Whyatt, Arthur Reeves, Iain Simpson et Erwann Dagorne). Ces recrutements illustrent la volonté de Barclays de se relancer dans les actions. Jes Staley, le directeur général de la banque, a approuvé l’embauche de plus de 50 traders et analystes d’actions depuis l’année dernière, rappelle Bloomberg.
La banque de financement et d’investissement a bien résisté, au deuxième trimestre, et publie un résultat net de 1,16 milliard d'euros, en hausse de 9,3% sur un an.
Après un deuxième trimestre supérieur aux attentes, le numéro un mondial de la gestion de fortune doit contrôler ses coûts et s'inquiète des risques de guerre commerciale.
Morgan Stanley a annoncé ce mercredi un bond de 43% de son bénéfice net au titre du deuxième trimestre, grâce à la hausse de 12% des revenus de son activité de trading et à la progression de 17% de ceux issus de la banque d’investissement (fusions-acquisitions et marchés primaires).
L'emblématique Lloyd Blankfein sera remplacé cet automne à la tête de la banque par son adjoint David Salomon. Charge à lui de mener à bien le plan 2020.
Goldman Sachs a annoncé mardi que Lloyd Blankfein, son PDG depuis 2006, quitterait ses fonctions le 30 septembre et serait remplacé par l’actuel président et directeur général adjoint du groupe, David Solomon, âgé de 56 ans. La banque d’affaires américaine officialise ainsi un processus de succession balisé depuis des mois. David Solomon avait pris le dessus en avril sur un autre prétendant à la succession de Lloyd Blankfein, Harvey Schwartz, qui a quitté la banque.
Le coentreprise de Mitsubishi UFJ Financial Group (MUFG) avec Morgan Stanley a été suspendue du groupe des spécialistes en valeurs du Trésor (SVT) du Japon, après avoir été reconnue coupable de manipulation du prix de contrats futures. La suspension du primary dealer démarre le 18 juillet, a annoncé vendredi le ministère des Finances japonais. Le gendarme nippon des marchés a proposé le mois dernier une amende de 218 millions de yens (1,66 million d’euros) à l’encontre de Mitsubishi UFJ Morgan Stanley Securities, après qu’un salarié de la coentreprise a placé des ordres sur des futures d’obligations à 10 ans de l’Etat japonais sans avoir l’intention de les exécuter.
Le coentreprise de Mitsubishi UFJ Financial Group (MUFG) avec Morgan Stanley a été supendue du groupe des spécialistes en valeurs du Trésor (SVT) du Japon, après avoir été reconnue coupable de manipulation du prix de contrats futures.
Alantra a acquis auprès de KPMG l’activité de «portfolio solutions group», spécialisée dans le conseil aux institutions financières dans les actifs bancaires non performants et non-core (non-coeur), a annoncé hier le groupe financier espagnol. «La finalisation de cette opération reste liée à l’application de la réglementation TUPE1 (texte britannique sur la protection de l’emploi, ndlr), attendue pour début août», précise le communiqué de l’ex-N+1, actif à la fois dans la banque d’affaires et la gestion d’actifs. Une fois réunies, les deux équipes prendront le nom d’Alantra Corporate Portfolio Advisory et opéreront depuis Londres, Madrid, Milan, Athènes, Dublin et Lisbonne.
Alantra a acquis auprès de KPMG l’activité de «portfolio solutions group», spécialisée dans le conseil aux institutions financières dans les actifs bancaires non performants et non-core (non-coeur), a annoncé ce matin le groupe financier espagnol. «La finalisation de cette opération reste liée à l’application de la réglementation TUPE1 (texte britannique sur la protection de l’emploi, ndlr), attendue pour début août», précise le communiqué de l’ex-N+1, actif à la fois dans la banque d’affaires et la gestion d’actifs.
CONVERGENCE. Comme le lui demandait le régulateur européen (Esma), l’Autorité des marchés financiers (AMF) a fixé des plafonds en faisant attention de ne pas « casser » la dynamique sur les contrats de liquidité sur actions. Conformément au règlement européen sur les abus de marché (MAR), le régulateur français avait notifié en février un projet de pratique de marché admise (PMA) encadrant l’usage de ces contrats pour deux ans, en permettant de dépasser les plafonds proposés par l’Esma sous réserve de le justifier. Mais le régulateur européen a estimé en avril que l’absence de limites peut conduire à des excès. Le plafond est donc fixé à 50 % du volume quotidien moyen pour les titres « non liquides », avec justification au-delà de 25 %, et à 25 % pour les titres « liquides », avec justification au-delà de 15%. Bruxelles prévoit d’ailleurs de créer un régime européen, indépendamment de la « tenue de marché ».