La fintech Kard, qui vient d’annoncer une levée de fonds de 3 millions d’euros, est la troisième néobanque pour ados à se lancer sur le marché français après Xaalys et Pixpay. Les fonds ont été récoltés auprès de business angels tels que Xavier Niel, Francis Nappez, le co-fondateur de BlaBlaCar, et Jean-Pascal Beaufret, conseiller de Goldman Sachs et ex-directeur financier d’Alcatel-Lucent. Destinée au 12-25 ans, l’application bancaire créée par Scott Gordon, Amine Bounjou et Fabien Penso, sera gratuite. La carte sera sans découvert. La start-up parisienne vise la rentabilité dans cinq ans.
Une banque européenne sur dix pourrait disparaître d’ici cinq ans, face à des nouvelles banques digitales plus agiles, selon une étude du cabinet A.T. Kearney portant sur les données de 92 banques européennes sur 10 ans. La clientèle des néobanques a crû de 15 millions de personnes depuis 2011, tandis que les banques traditionnelles ont perdu 2 millions de clients, selon l’étude. 85 millions d’européens seront des clients d’une néobanque d’ici 2023. «Toutes les banques ne survivront pas à la vague de clients attirés par les banques digitales et des produits et services innovants», souligne Simon Kent, directeur des services financiers à A.T. Kearney, sur le site Finextra.
La fintech Kard, qui vient d’annoncer une levée de fonds de 3 millions d’euros, est la troisième néobanque pour ados à se lancer sur le marché français après Xaalys et Pixpay. Les fonds ont été récolté auprès de business angels tels que Xavier Niel, Francis Nappez, le co-fondateur de BlaBlaCar, et Jean-Pascal Beaufret, conseiller de Goldman Sachs et ex-directeur financier d’Alcatel-Lucent.
Une banque européenne sur dix pourrait disparaître d’ici cinq ans à cause de la concurrence des nouvelles banques digitales plus agiles selon les résultats d’une étude du cabinet américain de conseil en stratégie A.T. Kearney portant sur les données de 92 banques européennes sur 10 ans.
JPMorgan a annoncé l’acquisition d’InstaMed, une société américaine spécialisée dans les paiements pour le secteur de la santé, entre patients, prestataires de soins et assureurs. La banque ne dévoile pas le montant de l’opération. Selon CNBC, il s'élèverait à 500 millions de dollars (448 millions d’euros). «Nous avons fait d’importants investissements dans nos activités de paiements au fil des ans et cette acquisition nous donnera un avantage unique dans l’un des secteurs qui connaissent la plus forte croissance», explique Takis Georgakopoulos, le responsable des activités de paiements de JPMorgan.
Facebook a créé en Suisse une nouvelle entreprise de technologie financière orientée sur la blockchain, les paiements, l’analyse de données et l’investissement, montrent les registres commerciaux de Genève. Libra Networks, dont Facebook Global Holdings est actionnaire, a été enregistrée le 2 mai avec pour objectif de fournir des services financiers et technologiques, et de développer le matériel et les logiciels associés. Facebook, dont le réseau social compte plus de 2 milliards d’utilisateurs à travers le monde, n’a pas répondu aux demandes de commentaires sur Libra Networks. Le groupe de Mark Zuckerberg, qui possède aussi les messageries WhatsApp, Messenger et Instagram, fait l’objet d’une attention particulière des autorités en matière de protection des données de ses utilisateurs.
JPMorgan a annoncé l’acquisition d’InstaMed, une société américaine spécialisée dans les paiements pour le secteur de la santé, entre patients, prestataires de soins et assureurs. La banque ne dévoile pas le montant de l’opération. Selon CNBC, il s'élèverait à 500 millions de dollars (448 millions d’euros).
RollingFunds, une plate-forme qui facilite l’accès aux crédits de trésorerie pour les TPE et PME, a annoncé jeudi avoir récolté 1,35 million d’euros pour son premier tour de table. «Incubée» et soutenue par le fonds Truffle Capital, la fintech utilisera ces fonds pour «constituer un réseau de partenaires stratégiques (avec des sites de ecommerce, corporates, franchises, mutuelles et autres institutionnels)», explique-t-elle dans un communiqué.
RollingFunds, une plate-forme qui facilite l’accès aux crédits de trésorerie pour les TPE et PME a annoncé jeudi avoir récolté 1,35 million d’euros pour son premier tour de table. « Incubée » et soutenue par le fonds Truffle Capital, la fintech utilisera ces fonds pour « constituer un réseau de partenaires stratégiques (avec des sites de ecommerce, corporates, franchises, mutuelles et autres institutionnels) », explique-t-elle dans un communiqué.
Invités à répondre à un questionnaire par leurs associations professionnelles, les professionnels des marchés (Amafi), de la gestion d’actifs (AFG, Aspim) et de la blockchain (FD2A) ont affirmé leur intérêt pour les « security tokens ». Pour les 127 réponses exploitables (sur 148), 79% ont jugé pertinente la définition actuelle de ces « instruments financiers enregistrés sur une blockchain », a expliqué le cabinet Gide, associé à l’initiative avec les sociétés Woorton, ConsenSys et PwC.
Binance, l’une des plus importantes plates-formes d’échange de crypto-monnaies au monde, a annoncé début mai s’être fait dérober pas moins de 7.000 bitcoins par des hackers, soit plus de 40 millions de dollars. La plate-forme basée à Hong Kong a précisé que l’attaque était limitée à son hot wallet (directement connecté à Internet), qui détient 2 % de l’encours total de bitcoins de Binance. Mais que les victimes se rassurent, la crypto-bourse a d’ores et déjà indiqué qu’elle utiliserait son Safu (secure asset fund for users) pour compenser la perte. Ce fonds, créé en juillet 2018, reçoit 10 % des commissions de transactions de Binance pour couvrir ce type d’incidents. A condition qu’ils ne se multiplient pas…
La Banque de France a invité le directeur de l’autorité de régulation de Singapour à s’exprimer sur l’évolution des nouvelles technologies dans la finance.
Le fonds Vision Fund de Softbank injecte 800 millions de dollars (712 millions d’euros) dans la fintech britannique Greensill, selon l’agence Bloomberg, qui cite une source proche. L’investissement valorise 3,5 milliards de dollars Greensill, qui fournit des financements de la chaîne d’approvisionnement des entreprises. C’est plus du double qu’il y a un an, lorsqu’elle avait levé 250 millions de dollars auprès de General Atlantic. Cette nouvelle levée va notamment permettre à la fintech londonienne d’accélérer son entrée récente au Brésil, et ses projets sur d’autres marchés, dont la Chine et l’Inde. Greensill, cofondée en 2011 par Lex Greensill, un ancien banquier de Morgan Stanley, concurrence les banques traditionnelles, qui fournissent souvent un fonds de roulement à un nombre limité de grands comptes.
Bank of America envisagerait de dissoudre sa coentreprise de traitement des paiements qu’elle a créée avec First Data et de développer sa propre activité pour gérer les transactions entre consommateurs et commerçants, indique le Wall Street Journal. Cela permettrait à la banque de renforcer son contrôle sur ces activités de gestion des paiements pour les commerçants, susceptibles d’assurer un flux régulier de commissions à chaque transaction. Aucune décision définitive n’a été prise sur le partenariat, qui expire en juin 2020. L’action First Data perdait 4% à 24,50 dollars à Wall Street en réaction à ces informations. La société fait l’objet depuis janvier d’une offre publique d’achat de Fiserv d’un montant de 22 milliards de dollars.
Le fonds d’investissement technologique de l’opérateur télécoms investit dans la fintech Raisin, a-t-il annoncé jeudi. Orange a rejoint la levée de fonds en Série D de la fintech basée à Berlin, spécialisée dans l’épargne et l’open banking, d’un montant de 100 millions d’euros, annoncée en février, aux côtés d’investisseurs déjà présents, tels qu’Index Ventures, PayPal, Ribbit Capital et Thrive Capital. Avec cette levée de fonds, Raisin, créée en 2012, compte se lancer sur deux nouveaux marchés cette année et développer sa gamme de produits d’investissement. Elle collabore avec plus de 75 banques partenaires dans 24 pays, compte plus de 175.000 clients dans 31 pays, pour un total de 12 milliards d’euros de dépôts.
Bank of America envisagerait de dissoudre sa coentreprise de traitement des paiements qu’elle a créée avec First Data et de développer sa propre activité pour gérer les transactions entre consommateurs et commerçants, indique le Wall Street Journal selon des personnes proches du dossier. L’abandon de la coentreprise permettrait à la banque de renforcer son contrôle sur ces activités de gestion des paiements pour les commerçants, susceptibles d’assurer un flux régulier de commissions à chaque transaction. Aucune décision définitive n’a été prise sur le partenariat, qui expire en juin 2020, ajoute le journal.
La néobanque pour ados a levé 3,1 millions d’euros pour son lancement en France à la rentrée. Son objectif : atteindre 100 millions d’euros de revenus récurrents d’ici à cinq ans.
Facebook va installer à Londres son siège mondial pour ses activités de paiement en ligne, qui seront bientôt déployées via sa messagerie privée WhatsApp, a-t-il annoncé mercredi, confirmant une information du Financial Times. Cette décision est une bonne nouvelle pour la capitale britannique qui cherche à rester attractive sur les fintech malgré les incertitudes du Brexit. Selon le quotidien britannique, WhatsApp va augmenter ses effectifs d’un quart en embauchant environ 100 personnes. Le réseau social, qui veut lancer son système de paiements dans plusieurs pays cette année, a privilégié le Royaume-Uni puisque WhatsApp y est plus populaire qu’aux Etats-Unis. Ce service monétaire, expérimenté depuis fin 2018 en Inde, permettra aux utilisateurs de la messagerie d’effectuer des paiements, de la même manière qu’ils échangent déjà messages, photos et vidéos.
Les banques centrales du Canada et de Singapour ont dévoilédans un communiqué commun datant du 2 maiavoir effectué avec succès un paiement transfrontalier à l’aide de la technologie blockchain. Le montant de la transaction n’a pas été révélé. L’Autorité monétaire de Singapour (MAS) etla Banque du Canada ont réalisé ce premier paiement international en utilisant une technologie mis au point avec le cabinet de conseil en gestion Accenture et de la banque américaine JP Morgan. Plus précisément, les deux banques centralesont réussi à relier leurs réseaux de paiements expérimentaux respectifs, construits sur des technologie des registres distribués (DLT)différentes.Le projet Japser estbasé sur la blockchain Corda alors qu’Ubin1 est basé sur Quorum (la blockchain privée de JPMorgan, inspirée d’Ethereum).Les deux projets ont pu être reliésgrâce au mécanisme technique des Hashed Time-Locked Contracts (HTLC). Dans la foulée de ce premier succès, les deux banques ont publiéun rapport conjoint dans lequel elles proposent différentes options pour les systèmes de paiementtransfrontalier. Le rapport décrit notamment les techniques d’implémentation des HTLC et met en lumière les limitations et les difficultés du modèle actuel. «La prochaine vague de projets blockchain des banques centrales progressera plus rapidementà condition d’associer l’exploration technologique et les questions politiques à propos du futur des paiements transfrontaliers», a déclaré dans le communiqué Sopnendu Mohanty, responsable fintech au sein de la MAS.
Facebook cherche à recruter des dizaines d’entreprises financières et de e-commerce pour l’aider à lancer un système de paiement basé sur une cryptomonnaie et adossé à son réseau social, indique le Wall Street Journal. Le groupe chercherait à récolter environ 1 milliard de dollars d’investissements au total et se serait entretenu avec des institutions financières telles que Visa, Mastercard et le spécialiste des terminaux de paiement First Data. Au cœur de ce projet, à l'étude depuis plus d’un an et baptisé Project Libra, se trouve une monnaie numérique que les utilisateurs pourraient s’envoyer entre eux et utiliser pour effectuer des achats sur Facebook et sur internet, selon des personnes proches du dossier citées par le WSJ. O
Microsoft a annoncé que la plateforme Ethereum Quorum développée par la banque d’investissement JPMorgan était désormais accessible via son offre Azure Blockchain Service, destinée à simplifier la gestion de réseaux blockchain de consortiums. La firme a indiqué que Quorum, la plateforme entreprise Ethereum de JPMorgan, était «le premier ledger» disponible sur Azure Blockchain Service. En 2018, Microsoft a lancé son service Azure Blockchain Workbench qui permet aux développeurs de créer et déployer des applications blockchain. A l’automne dernier, le Nasdaq annonçait utiliser la solution afin d’optimiser sa technologie de logiciels de trading et d’externalisation des opérations. Cette annonce intervient quelques jours après qu’Amazon Web Services (AWS), la filiale cloud d’Amazon, a annoncé la disponibilité générale de son offre Amazon Managed Blockchain.