La néobanque Revolut annonce le lancement en France ce mercredi de Revolut Junior, présentée comme «une nouvelle application de gestion de l’argent conçue pour les enfants de 7 à 17 ans», destinée à «promouvoir l'éducation financière des jeunes par le biais d’outils et adaptés», indique le communiqué. Les comptes sont gérés par un parent ou un tuteur légal, à partir de leur propre application Revolut. Ce service est déjà disponible au Royaume-Uni. Il inclut une carte Revolut Junior conçue pour l’enfant.
Après moult discussions, reports et délais afin de retarder l’entrée en vigueur de l’authentification forte généralisée pour les paiements en ligne au 31 décembre 2020, c’est la crise sanitaire qui donne un nouvel argument à l’industrie du paiement pour réclamer un sursis supplémentaire. L’association Payments Europe, qui réunit les acteurs de l’industrie de la carte, banques, prestataires de services et réseaux de paiement…, défend opportunément l’intérêt des marchands focalisés sur leur survie économique et veut éviter qu’une application à des dates différentes selon les Etats membres aboutisse à un rejet de ces transactions, entamant encore davantage leur chiffre d’affaires. Harmonisation demandée.
La politique de taux zéro s’invite dans le monde virtuel. Plus particulièrement dans Animal Crossing, le jeu vidéo de Nintendo qui met en scène des personnages dans un village qu’il faut faire évoluer en temps réel. La série a sa monnaie, les clochettes, qu’il est possible d’acheter contre de vrais dollars, et de déposer dans la banque de Nook. Celle-ci vient de diviser par 10 son taux d’intérêt, à 0,05 % seulement. Nintendo souhaiterait ainsi dissuader les spéculateurs qui, en déposant des clochettes sur leur compte puis en trafiquant l’horloge de leur console, engrangeaient des intérêts indus. Pour aller chercher du rendement, il leur faudra remplir des missions plus risquées. A quand le passage à l’assouplissement quantitatif et à la monnaie hélicoptère ?
Visa, Keolis, CIC et Nevers Agglomération vont lancer, à partir de lundi, un service de paiement sans contact innovant dans les transports urbains, selon un communiqué commun. Keolis déploiera à Nevers (Nièvre, 58), au sein du réseau de transport urbain Taneo, une solution de paiement sans contact à bord des bus. Le déploiement de ce service a été avancé au 11 mai pour pallier l’impossibilité de vente de billets à bord due à la pandémie de Covid-19. D’autres villes se sont déjà dotées de cette technologie de paiement sans contact dans les transports, comme Lyon, Singapour, Madrid et New York.
Le groupe de BTP et de concessions Vinci a annoncé mercredi que sa filiale autoroutière Cofiroute avait levé 950 millions d’euros à l’issue d’un placement d’obligations à 11 ans, largement sursouscrit, «près de trois fois», a indiqué Vinci dans un communiqué, ajoutant que les conditions sur le marché du financement étaient «en nette amélioration par rapport aux conditions qui prévalaient au début de la pandémie». Ces obligations arrivant à échéance en 2031 portent un coupon annuel de 1%. L'émission permet à Cofiroute «d’allonger la maturité moyenne de sa dette dans d’excellentes conditions», a souligné Vinci.
Visa, Keolis, CIC et Nevers Agglomération vont lancer, à partir du lundi 11 mai, un service de paiement sans contact innovant dans les transports urbains, selon un communiqué commun. Keolis déploiera à Nevers, au sein du réseau de transport urbain Taneo, une solution de paiement sans contact à bord des bus.
La plate-forme d’investissement viennoise Bitpanda annonce aujourd’hui son lancement en France. Fondée en 2014 par Eric Demuth, Paul Klanschek et Christian Trummer, elle compte plus de 1,2 million d’utilisateurs en Europe et une équipe de plus de 180 personnes. Agréée DSP2, la fintech permet à ses utilisateurs de trader des bitcoins, des ethereum ou encore de l’or dès 1 euro. Dans les prochains mois, Bitpanda espère se lancer en Turquie et en Espagne.
La néobanque allemande N26a annoncé mardi un quatrième tour de table, de 100 millions de dollars, portant ses levées à un total de 570 millions de dollars, avec la participation de ses investisseurs historiques, dont Insight Venture Partners, Tencent ou encore Allianz X. Cette nouvelle levée de fonds permettra à N26 de continuer à investir dans ses 24 marchés européens et aux Etats-Unis. La fintech se prépare également à se lancer au Brésil, ayant obtenu une licence locale de fintech sur place. Jusqu’à présent, la néobanque concurrente de Revolut a levé plus de 770 millions de dollars. Sa valorisation s’élève à 3,5 milliards de dollars.
La plateforme d’investissement viennoise Bitpanda annonce aujourd’hui son lancement en France. Fondée en 2014 par Eric Demuth, Paul Klanschek et Christian Trummer, elle compte plus de 1,2 million d’utilisateurs en Europe et une équipe plus de 180 personnes.
La néobanque allemande N26annonce aujourd’hui l’extension de sa série D de 100 millions de dollars, la portant à 570 millions de dollars avec la participation de ses investisseurs historiques, dont Insight Venture Partners, Tencent ou encore Allianz X. Cette série D, quatrième tour de financement, avait été lancé début 2019.
Royal Bank of Scotlandva fermer la banque Bó, cinq mois seulement après l’avoir lancée. Dans ses résultats du premier trimestre publiés la semaine dernière, la banque a déclaré qu’elle comptait regrouper Bó avec Mettle, sa banque numérique pour les PME. «RBS mettra fin à l’activité de Bó en tant que marque orientée vers la clientèle. La technologie utilisée dans Bó sera intégrée à Mettle au fur et à mesure de son développement», a expliqué la banque. RBS avait investi 100 millions de livres (114 millions d’euros) dans la banque en ligne, qui devait notamment rentrer en concurrence avec Monzo et Starling. Elle revendiquait seulement 11.000 clients. RBS a annoncé des bénéfices avant impôts de 519 millions de livres au premier trimestre, contre 1 milliard l’an dernier.
Royal Bank of Scotlandva fermer la banque Bó, cinq mois seulement après l’avoir lancée. Dans ses résultats du premier trimestre publiés la semaine dernière, la banque a déclaré qu’elle comptait regrouper Bó avec Mettle, sa banque numérique pour les PME. «RBS mettra fin à l’activité de Bó en tant que marque orientée vers la clientèle. La technologie utilisée dans Bó sera intégrée à Mettle au fur et à mesure de son développement», a expliqué la banque.
Fondé par quatre anciens banquiers, le Groupe Taurus a bouclé une levée de plus de 10 millions d’euros menée par la banque privée suisse Arab Bank Switzerland et intégrant la société immobilière Investis et la fondation Tezos (protocole blockchain français). Pour le groupe Taurus, cet apport en capitaux lui permettra de renforcer son offre de services aux institutionnels (émission, conservation, transfert de cryptoactifs) et de s’implanter prochainement à Paris, à Londres et à Francfort. Taurus a pour objectif de construire une infrastructure robuste et conforme dédiée aux actifs numériques.
Fondé par quatre anciens banquiers, le Groupe Taurus vient de clore une levée de plus de 10 millions d’euros menée par la banque privée suisse Arab Bank Switzerland et intégrant la société immobilière Investis et la fondation Tezos (protocole blockchain français).
Certaines sont sur le point d’émettre leur propre monnaie digitale, d’autres restent au stade de l’expérimentation. Le Covid-19 pourrait changer la donne.
La néobanque Shinea dévoile hier une assurance facturation intégrée à un compte professionnel. «Les retards et défauts de paiements sont source d’angoisses pour les indépendants et ils sont complexe à gérer. Nous avons donc voulu créer un service pour les accompagner dans cette situation, et leur permettre de travailler sereinement, sans se préoccuper de savoir s’ils toucheront l’argent qui leur est dû», a déclaré son PDG, Nicolas Reboud. Quelques entrepreneurs peuvent utiliser le service en version beta, en assurant leurs factures (2 % du montant HT) depuis leur application pro. La néobanque ouvrira son accès à tous dans les prochaines semaines.
Bpifrance et Younited Business Solutions (la division de la fintech Younited Credit) annoncent aujourd’hui le lancement d’une offre de crédit 100 % digitale permettant d’attribuer des « prêts rebonds » de 10.000 à 50.000 euros de l’Etat à des entreprises dans le contexte du Covid-19.