L’agence de presse russe RIA a annoncé cet après-midi qu’une visite du Roi Salman d’Arabie Saoudite à Moscou était prévue à la mi-mars. Cette annonce intervient dans un climat de rumeurs persistentes d’une réduction coordonnée de la production de pétrole. Le ministre iranien du pétrole a indiqué ce matin à la télévision que l’Iran était prêt à discuter avec l’Arabie Saoudite au sujet d’une possible réduction de leur production de pétrole alors que dans la même journée, Igor Sechin, à la tête de Rosneft, proposait une réduction d’un million de barils par jour.
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Philippe Larue a été nommé, en janvier 2016, directeur administratif et financier de la Fondation Dauphine. Il a travaillé 25 ans au sein de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Paris dont 8 ans en détachement à la Fondation HEC en tant que responsable financier. Dans le même temps, Mickaël Boussuge a été embauché, fin 2015, aux fonctions de responsable financier de la Fondation HEC, en remplacement de Philippe Larue. Mickaël Boussuge a été consultant durant 5 ans au sein de KMPG France (2006-2009). Il a ensuite rejoint la société Univers Monétique en tant que DAF, avant d’occuper le même poste au sein de Verifone, de 2013 à fin 2015.
Anne Emily, 45 ans, est nommée directeur technique, financier et des risques au sein de MutRé en remplacement de Vincent Régnier. Elle est sous la responsabilité directe de Didier Legrand, directeur général. Diplômée d’EURIA (1994), elle occupait précédemment chez EY France, le poste de directeur associé en charge de l’offre réassurance au sein des activités Financial Services Office. Elle a également travaillé, de 2002 à 2014 chez Partner Reinsurance comme directeur technique, et de 1998 à 2002 en tant qu’actuaire. Anne Emily avait débuté sa carrière en 1994 chez Winthertur.
La nomination de Frédéric Lejeune à la présidence de Robeco à Paris coïncide avec la volonté du groupe batave de redonner un élan à son antenne française. Qui n'en représente pas moins 4,2 milliards d'actifs sous gestion. Fraichement arrivé d'Aberdeen AM, le responsable a commencé à imprimer sa patte. En réorganisant ses équipes et en mettant l'accent sur deux expertises clé selon lui de la maison : la gestion quantitative actions et l'ISR. Mais Frédéric Lejeune prévient. Pas question de collecter sans être profitable...
La nomination de Frédéric Lejeune à la présidence de Robeco à Paris coïncide avec la volonté du groupe batave de redonner un élan à son antenne française. Qui n'en représente pas moins 4,2 milliards d'actifs sous gestion. Fraichement arrivé d'Aberdeen AM, le responsable a commencé à imprimer sa patte. En réorganisant ses équipes et en mettant l'accent sur deux expertises clé selon lui de la maison : la gestion quantitative actions et l'ISR. Mais Frédéric Lejeune prévient. Pas question de collecter sans être profitable...
Pour prouver que leur gestion est véritablement active et justifier ainsi des frais de gestion supérieurs à la gestion indicielle, la plupart des gérants intègrent maintenant dans leurs reportings le calcul de l’active share, un indicateur montrant que la composition d’un fonds est éloignée de son benchmark. Celui-ci doit cependant être associé à d’autres ratios, afin de véritablement éclairer les investisseurs sur le style de gestion d’un fonds.
Le Pôle Finance Innovation en partenariat avec la Société Française des Analystes Financiers (SFAF) annonce la création d’un groupe thématique de réflexion « Analytika » sur les nouveaux enjeux de l’analyse financière et de l’analyse crédit pour mieux contribuer au financement des entreprises.
Le rendement versé par les compagnies d’assurance pour les contrats en euros s’élève en moyenne à 2,3 % en 2015, soit un niveau légèrement en baisse par rapport à 2014. Les assureurs ont néanmoins réussi à préserver la performance de ces produits grâce à la diversification de leur allocation d’actifs et à l’orientation de la collecte vers des contrats en unités de compte.
La société de réassurance, Scor, s’est préparée très en amont à la directive Solvabilité 2 en créant un modèle interne. Même si ce dernier lui permet de mieux affiner le calcul de ses risques, son allocation d’actifs a dû être repensée pour tenir compte des nouvelles exigences prudentielles.
La feuille de route du groupe OFI d’ici à 2020 se précise. Le groupe Macif, actionnaire majoritaire de la société de gestion (à hauteur de 60,9%) souhaite développer l’activité en externe. «L’ambition d’ici 2020 est de compléter l’activité d’OFI par une activité métier. Cela passe par une ouverture en proposant des OPCVM au marché extérieur», explique Jean-Marc Raby, directeur général de Macif. OFI gère 64 milliards d’euros d’encours à fin 2015, dont 60% au titre de Macif et Matmut, et 25,8% au titre d’autres actionnaires. L’objectif d’OFI, fixé en 2013, est d’atteindre 100 milliards d’euros d’encours d’ici fin 2018. A noter que la gestion privée constitue un autre levier à destination de Macif et Matmut pour développer l’encours.
Le réassureur public CCR (Caisse Centrale de Réassurance) a l’intention de filialiser son activité de réassurance de marché, a indiqué aux Echos son président Pierre Blayau. Ce pôle d’activités, qui se distingue des couvertures bénéficiant de la garantie exclusive de l’Etat français (catastrophes naturelles, attentats et actes de terrorisme, responsabilité civile des exploitants de navires et installations nucléaires...) a dégagé 446 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2014, soit environ un tiers du montant global (1,32 milliard d’euros). Les traités non-vie ont représenté sur la même période 77% des encaissements liés à cette réassurance traditionnelle, avec une prépondérance des branches incendie et dommages aux biens et automobile. Pas de cession en vue Pour Pierre Blayau, ce projet de filialisation, qui sera présenté dans les prochaines semaines au conseil d’administration, constitue «une mesure de transparence, de bon sens et d’efficacité». La gestion de ce segment par une entité séparée vise à bien la distinguer, aux yeux du marché, de couvertures garanties par l’Etat de manière parfois illimitée, comme les risques de catastrophes naturelles ou de terrorisme. Une position privilégiée qui lui assure plus de 90% du marché de la réassurance des «catnat» en France et contre laquelle son concurrent Scor bataille devant les instances européennes. Le président de la CCR affirme que cette évolution ne vise en aucun cas à préparer une future cession de l’activité de réassurance de marché mais à «maintenir l’intégrité de CCR sur ses deux métiers». La CCR a réduit depuis 2012 son exposition à la réassurance de marché en se retirant de marchés comme la Thaïlande, l’Australie et la Nouvelle-Zélande pour se recentrer sur l’Europe. Dans une note publiée en juillet dernier, les analystes de S&P soulignaient la position marginale sur le marché et de «suiveur» de la CCR. «La capacité de CCR à influer sur les prix et les conditions des traités est en conséquence très limitée», écrivaient-ils. Le directeur général du réassureur, Bertrand Labilloy, fait néanmoins état d’une amélioration de la qualité du portefeuille l’an dernier grâce à une politique de souscription très sélective.
Ces dernières années, le directeur général délégué d’Agrica Epargne a noté une évolution notable du comportement d’épargne des séniors en quête de revenus complémentaires pour compenser la dégradation des retraites et les besoins liés à la dépendance. Pour l’investisseur institutionnel, cela signifie un allongement de la duration des portefeuilles. C’est d’autant plus vrai pour les régimes de retraite surcomplémentaires. Si les obligations sont privilégiées dans ce contexte, les actions qui dépendant de la solidité du régime ne sont pas oubliées, ni l’immobilier. Jean-Claude Guimiot est critique sur la désensibilisation des portefeuilles, privilégiée dans la gestion pilotée, qui a cours dans l’épargne retraite entreprise.
Selon nos informations, OFI AM serait sur le point de recruter Christophe Frespuech au poste de directeur du développement commercial, en remplacement de Sandrine Toulouse. Ce dernier était, jusqu'à présent, responsable du développement au sein de Swiss Life AM, où il avait la responsabilité des équipes commerciales, des activités d’ingénierie produits et de marketing opérationnel en France. Christophe Frespuech a débuté sa carrière au sein de CPR AM en tant qu’assistant de gestion au sein des équipes de gestion obligataire et diversifiée (1996-1998). Il a occupé ensuite, chez HSBC Asset Management, les postes d’ingénieur produits, investment marketing manager puis de responsable de l’ingénierie produits (1998 -2007). Il a rejoint Lyxor Asset Management en 2007 au poste de marketing manager, avant d'être nommé responsable du marketing et responsable des appels d’offres (2007-2011).
Stefan Raetzer a été nommé gérant du fonds Allianz Aktien Europa à la place de Harald Sporleder. Stefan Raetzer pilotait jusqu'à présent le fonds Allianz Europe Conviction Equity. Selon Citywire, le changement de gérant intervient suite à la modification de la stratégie du produit, qui sera désormais plus concentré en termes de secteurs et inclura davantage de stratégies long terme. Harald Sporleder sera désormais responsable du développement de la stratégie long short.
Le premier groupe de protection sociale français n’entend pas s’arrêter de grandir. Après avoir intégré Réunica, AG2R La Mondiale a engagé de nouvelles discussions en vue d’un rapprochement
Du fait de la volatilité des marchés financiers, l’année 2016 fera figure de test quant à l’appétit réel des épargnants pour l’assurance vie en unités de compte. Test aussi pour l’Eurocroissance, qui ne représente aujourd’hui que 1,7 Md€ d’encours, sur les 1580 Md€ de l’assurance vie.
Si les gestionnaires d’actifs pourront se féliciter du retour à une collecte positive en 2015 de 38,2 milliards d’euros sur le marché français de la gestion collective - la première depuis 6 ans selon les données d’Europerformance SIX Telekurs –tous les acteurs du marché n’en ont pas profité uniformément, Il s’en faut. Trois familles d’établissements sur les quatorze répertoriés par Europerformance ont même subi des décollectes sur l’année… Dans le détail, en matière de collecte sur les fonds de droit français, l’année 2015 aura été celle des filiales de réseaux bancaires. A elles seules, elles ont capté 16,713 milliards d’euros, loin devant les sociétés spécialisées dans la gestion de produits de taux qui ont engrangé 4,896 milliards d’euros. Suivent ensuite les filiales d’assurance et les mutuelles (4,492 milliards), les banques généralistes (4,041 milliards), les spécialistes de la gestion « Actions » (3,816 milliards) et les sociétés spécialisés dans les gestions structurés et indiciels (3,77 milliards d’euros). Un décrochage intervient à ce niveau. Les établissements généralistes indépendants, selon la nomenclature d’Europerformance, ont collecté en net 1,583 milliard d’euros. Ils sont suivis des spécialistes de l’allocation d’Actifs et de la multigestion (539 millions), des spécialistes de la gestion de performance absolue (328 millions), des spécialistes immobiliers (205 millions) et des spécialistes « quants » (170 millions). Les trois derniers types d’établissements suivants s’affichent, pour leur part, en décollecte. Ce sont les spécialistes de la gestion des matières premières (avec des rachats de 103 millions), des spécialistes de la gestion alternative (-141 millions) et, enfin, les banques privées dont la decollecte est impressionnante (-2,069 milliards d’euros). Une étude plus fine permet de trouver les établissements « gagnants » de 2015. Sans surprise, il s’agit des «gros» asset managers. Au premier rang desquels figure Amundi. Toutes classes d’actifs confondues, la filiale de gestion d’actifs du Crédit Agricole aura engrangé +12,8 milliards d’euros sur ses fonds de droit français l’an dernier, et enregistré une progression de 10% de ses encours, dont le total s’affiche à 191,1 milliards d’euros. Deux expertises ont été fortement contributrices : le monétaire (+4,9 milliards) et les gestions multi-asset non benchmarkées et d’arbitrage (+3 milliards d’euros). A noter que la force du groupe Amundi réside aussi dans les capacités de ses différentes sociétés de gestion. Qui se sont également illustrées l’an dernier. CPR Asset Management a affiché une progression sur chacune de ses expertises sur l’année, et a capté une collecte de près de +4,2 milliards d’euros. De fait, les encours ont enregistré une progression de plus de +35% ce qui porte les actifs sous gestion à 17,8 milliards d’euros. Autre acteur dans le giron du groupe Amundi, BFT Investment Managers a, pour sa part, collecté +3,9 milliards d’euros sur ses expertises, précise Europerformance. L’enseigne enregistre de fait une croissance annuelle de ses encours (de +26%) pour un total d’actifs sous gestion de 19,1 milliards d’euros.Toujours parmi les plus importants collecteurs en net sur des fonds de droit français, Natixis AM figure affiche 6,33 milliards de souscriptions nettes. Essentiellement grâce à sa gestion monétaire (+5,9 milliards d’euros collectés). Les fonds de droit français investis en actions ont subi, pour leur part, des flux sortants de 1,1 milliard d’euros, note Europerformance. Du côté des filiales de réseaux bancaires, tous les acteurs n’ont cependant pas autant brillé. BNP Paribas Asset Management par exemple a, comme l’an passé, subi des rachats nets. De 274 millions d’euros. Ces derniers sont toutefois mesurés, relève Europerformance. Le gestionnaire a enregistré d’importants résultats de collecte sur les gestions «Actions» (+672 millions d’euros) et de Performance Absolue (+1,2 milliard d’euros). Ces flux captés par les gestions de long terme ont limité l’impact des rachats de la gestion de produits structurés (-1,2 milliard d’euros) et des gestions d’Obligations (-1,2 milliard d’euros). Au total, BNP PAM affiche une légère progression d’encours (+1,5%), pour un total d’actifs sous gestion de 54,1 milliards d’euros. En revanche, Federal Finance Gestion a fortement décollecté en net. Les rachats atteignent 699 millions, toutes les expertises du gestionnaire ayant subi des sorties nettes - hormis pour les fonds Actions. L’enseigne affiche à la fin du mois de décembre 7,6 milliards d’euros d’actifs gérés. Cela étant, c’est bien La Banque Postale AM qui fait figure d’exception, avec des rachats nets de 2,746 milliards d’euros. Dans les faits, les sorties sur les monétaires ainsi que ceux des classes de long terme n’ont pas été compensés par le segment des fonds Obligations. Ce dernier aura néanmoins réussi à attirer des flux d’investissement de 258 millions d’euros. Par ailleurs, avec des souscriptions nettes de 4,4 milliards d’euros, Lyxor Asset Management figure également parmi les plus importants collecteurs en 2015. Ses encours ont progressé de près de +12,5% sur l’année, à 46,3 milliards d’euros. La collecte s’est surtout portée sur les ETFs calés sur des indices de marchés d’actions. Cette gamme aura collecté +4,7 milliards d’euros, loin devant les souscriptions nettes sur les produits indiciels cotés des marchés obligataires, à +1,1 milliard d’euros. En revanche, la gestion structurée aura subi des sorties nettes (-1,5 milliard d’euros). A noter que la part des actifs gérés en ETFs a progressé chez Lyxor (+18%) et rassemble 40,8 milliards d’euros.Parmi les rétablissements spectaculaires en matière de collecte d’une année à l’autre, Groupama Asset Management se distingue. Après avoir subi des rachats l’an dernier, l’assureur a enregistré des flux entrants sur la plupart de ses expertises. Surtout sur ses gestions de taux (+1,3 milliard d’euros). « A 14,2 milliards d’euros, les avoirs sous gestion de l’enseigne ont bénéficié d’un peu plus de +1,7 milliard d’euros de flux de collecte », relève Europerformance qui relève une progression de l’encours de +17,5% en 2015.Sans avoir affiché les collectes les plus fortes, certains établissements traditionnellement dans la lumière auront plutôt réussi leur année. C’est le cas pour DNCA Finance par exemple, dont les expertises restent plébiscitées par bon nombre d’investisseurs, indique Europerformance. En 2015, l’enseigne a récolté +863 millions d’euros de flux de collecte, permettant au gestionnaire d’enregistrer une croissance de ses encours de 18%. Les actifs sous gestion passent ainsi 8,6 milliards d’euros pour la gamme de droit français. Autre société de gestion sous les projecteurs : Oddo Meriten Asset Management. Dans le détail, la société de gestion a enregistré une collecte nette de +839 millions d’euros, l’an passé. Ce résultat s’explique en grande partie via des souscriptions nettes sur sa gamme de fonds Obligations (571 millions d’euros). En revanche, la gestion Actions a subi des rachats, même si ces derniers auront eu tendance à se résorber par rapport à l’an dernier. Avec 11,3 milliards d’euros sous gestion pour ses fonds de droit français, Oddo Meriten Asset Management a enregistré une progression d’encours de +18,5% en 2015.Enfin côté décollecte désormais, hormis La Banque Postale AM, notons qu’Edmond de Rothschild Asset Management aura enregistré des sorties nettes parmi les plus fortes du marché. Elles s'élèvent à 1,6 milliard d’euros sur ses fonds de droit français, à l’origine d’un repli de ses encours de 16,6%, à 11,3 milliards d’euros.
Depuis un an, Macif et Matmut se sont engagés à travailler ensemble pour faire de leur structure commune, Sferen, un groupe prudentiel au sens de Solavbilité 2. Conformément à la transposition de la directive par l’ordonnance du 2 avril 2015, les directions générales des deux entités ont jusqu’au 31 décembre 2017 pour remettre leur copie. Un délai dont les deux partenaires comptent finalement profiter.
Un renvoi d’UBS devant un tribunal parisien ne devrait pas avoir lieu avant plusieurs mois, au terme de la clôture de l’instruction, a indiqué mardi 26 janvier à l’agence d’information suisse AWP une source judiciaire française. Le groupe bancaire est accusé de blanchiment aggravé de fraude fiscale par la justice française. Après la fin de la période d’instruction, qui pourrait se terminer d’ici deux à trois semaines, «va s’ouvrir une phase de plusieurs semaines au cours de laquelle le parquet financier formulera son avis motivé par écrit sur la suite à réserver au dossier d’instruction», a précisé la source judiciaire. Ce n’est qu'à l’issue de cette phase, qui peut légalement durer 3 mois, que le juge d’instruction, après avoir laissé un mois supplémentaire aux parties pour formuler des observations, peut décider de renvoyer, ou non, UBS devant le tribunal de Paris», a-t-elle rappelé. Cette précision intervient alors que, selon le quotidien Les Echos, UBS AG devrait être renvoyée devant le tribunal correctionnel de Paris dans deux ou trois semaines au maximum.
Twitter a nommé Leslie Berland au poste de directeur du marketing. Elle était auparavant vice-président exécutif de la publicité, du marketing et des partenariats numériques chez American Express. Elle avait rejoint le groupe de services financiers en 2005. Cette nomination intervient à la suite de l’annonce, en début de semaine, du départ de quatre dirigeants du site de communication.
D'un point de vue géopolitique, quels sont les risques à prendre en compte pour un investisseur, ou une société ? Un monde qualifié "d'apolaire" a remplacé le monde "bipolaire" d'avant la chute du mur de Berlin, estime Pascal Boniface, Directeur de l’Institut de relations internationales et stratégiques (IRIS). Une sorte de désordre mondial où les acteurs ont du mal à s'entendre sur les dossiers les plus chauds, tels la Syrie ou l'Ukraine. Le terrorisme global, qui frappe désormais n'importe où, doit être pris en compte par les sociétés et les investisseurs. Qui ne sont pas toujours bien armés pour comprendre ces problématiques, car le monde de la finance travaille sur un temps court.