L'assureur suisse Zurich Insurance a annoncé mardi qu'il avait engagé Mario Greco, l'administrateur délégué de son homologue italien Generali, et que celui-ci prendrait ses fonctions de directeur général en mai.
Sogecap vient de poser ses cartons dans la Tour D2 dont l’institution est propriétaire. La filiale d’assurance-vie de la Société Générale loge enfin l’ensemble de ses 1 200 collaborateurs sur près de 13 726 m2
Twitter a nommé Leslie Berland au poste de directeur du marketing. Elle était auparavant vice-president executif de la publicité, du marketing et des partenariats numériques chez American Express. Elle avait rejoint le groupe de services financiers en 2005. Cette nomination intervient à la suite de l’annonce, en début de semaine, du départ de quatre dirigeants du site de communication.
Selon un récent sondage réalisé à l’échelle mondiale par Natixis Global Asset Management, les investisseurs institutionnels estiment qu’il est difficile de trouver des solutions de diversification au sein des classes d’actifs traditionnelles. Plus de la moitié d’entre eux (54 %) déclarent que la corrélation entre les actions et les obligations est trop élevée pour que ces actifs constituent des sources de performance distinctes. L’enquête révèle également que les investisseurs institutionnels accordent une importance nouvelle aux actifs dits « alternatifs » au sein de leurs portefeuilles, afin de maximiser le couple rendement/risque - la priorité première des institutionnels pour 2016. « Dans le marché actuel, l’allocation d’actifs traditionnelle est devenue un jeu à somme nulle », explique John Hailer, Directeur distribution internationale et Chief Executive Officer de Natixis Global Asset Management, Amériques et Asie. Une démarche d’investissement intégrant les nouveaux postulats des marchés financiers est donc nécessaire. Parallèlement aux actifs traditionnels de type actions et obligations, les investisseurs institutionnels s’orientent vers une palette plus large d’actifs non corrélés.» Les deux tiers (66 %) des investisseurs institutionnels estiment qu’une hausse des allocations en actifs non corrélés (capital-investissement, dette privée et hedge funds compris) constitue un moyen efficace d’atténuer les risques. Près de la moitié (49 %) déclare qu’il est essentiel d’investir dans des titres alternatifs pour surperformer les marchés. Parmi les 660 investisseurs institutionnels ayant répondu à ce sondage Natixis Global AM figurent des fonds de pension privés, publics et d'État, des fonds souverains, des compagnies d’assurance, ainsi que des fonds de dotation et des fondations gérant collectivement plus de 35 milliards de dollars d’actifs. Ces établissements se disent préoccupés par leur capacité à financer leurs engagements dans un marché volatil à faible taux. Pour relever ce défi, ils adaptent leurs stratégies d’investissement, leur démarche en matière de gestion des risques et leurs opérations commerciales, afin de mieux répondre à leurs obligations à court et à long terme. Quatre-vingt-quatre pour cent des établissements déclarent que le contexte de taux et de rendements faibles constitue leur plus grande préoccupation en termes de gestion des risques, suivie par la recherche de performance (82 %) et le financement des engagements à long terme (72 %). Près de sept sur dix (68 %) indiquent que la réalisation de leurs objectifs de croissance et la satisfaction des besoins de liquidité à court terme représentent de véritables défis pour leur organisation. « Ces résultats illustrent le dilemme des investisseurs institutionnels, contraints de remettre en question leurs techniques traditionnelles de gestion de portefeuille pour mieux répondre aux défis d’un environnement financier toujours plus complexe et chahuté », explique Christophe Point, Directeur de Natixis Global AM Distribution France, Suisse Romande et Monaco. « Ils sont conscients qu’il leur faut repenser leur mode de construction de portefeuilles, pour en maximiser la diversification et ainsi réduire les risques ». Attentes en matière de performances dans un univers actif/passif Si les coûts de gestion figurent au premier rang des préoccupations des institutionnels et si un grand nombre d’entre eux feront davantage appel à des stratégies passives pour certaines classes d’actifs, ils continuent à privilégier les stratégies de gestion active dans leur quête de rendement global. Actuellement, 64 % des investissements des institutionnels sont gérés de manière active et 36% de manière passive. 58 % des investisseurs déclarent qu'à long terme, les investissements actifs surperforment les placements passifs. Et 67 % précisent que les facteurs économiques, l'évolution des politiques monétaires et la volatilité des marchés favoriseront les gestionnaires actifs au cours des 12 prochains mois. Pour la majorité des investisseurs institutionnels, la gestion active est génératrice d’alpha (87 %), elle permet d’accéder aux classes d’actifs non corrélées (77 %) et de tirer parti des mouvements de marché à court terme (71 %). « Préoccupés par la hausse des corrélations entre les classes d’actifs et les risques sous-jacents -notamment dans un contexte de marché incertain - davantage d’investisseurs institutionnels sont à la recherche de gérants véritablement actifs, qui répondent à leur besoin de performances décorrélées des soubresauts des marchés financiers», ajoute Christophe Point. « Ils mêlent de plus en plus gestion active et gestion passive dans leurs portefeuilles, conscients des avantages respectifs de ces stratégies ». Besoins croissants d’innovation en matière de gestion sous contrainte de passif Les établissements sont dans leur grande majorité préoccupés par la réalisation de leurs objectifs à long terme et recherchent des solutions plus innovantes en matière de gestion sous contrainte de passif. Parmi les institutionnels 72 % se disent préoccupés par leur capacité à financer leurs engagements à long terme, et 68 % déclarent que la gestion de l’incertitude des besoins de financements liée à l’accroissement de l’espérance de vie constitue un véritable défi. Même si près de trois quarts des établissements (73 %) estiment disposer des outils permettant de gérer leurs engagements, 78 % déclarent rechercher des solutions plus innovantes et adaptées aux marchés actuels en matière de gestion sous contrainte de passif, contre 60 % en 2014, ce qui représente une hausse significative. « Dans la mesure où la population vieillit et la longévité augmente, la sous-estimation des besoins de financement futurs constitue un risque majeur pour les investisseurs institutionnels » ajoute John Hailer. « Ils expriment une demande croissante d’amélioration des produits leur permettant de mieux gérer leurs engagements à long terme. Les résultats de notre enquête montrent que l’innovation en matière de gestion sous contrainte de passif n’est pas au niveau des exigences des investisseurs institutionnels. » Intégration des stratégies ESG De nombreux investisseurs institutionnels (64 %) déclarent que la création d’alpha s’avère de plus en plus difficile. La moitié considère désormais les investissements intégrant des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) comme une source de performance potentielle et 51 % déclarent que les évaluations ESG leur permettent de limiter les risques susceptibles de défrayer la chronique. La plupart des investisseurs institutionnels (95 %) intègrent dans une certaine mesure les stratégies ESG. 41% d’entre eux le font, principalement, parce que cette obligation figure dans le mandat de leur fonds. À propos du sondage Le sondage « Global Institutional Investor » de Natixis Global Asset Management se base sur des études menées sur le terrain dans 29 pays. Les entretiens ont été effectués en ligne en octobre 2015 auprès de 660 hauts responsables du secteur de l’investissement institutionnel. Les conclusions sont publiées dans un nouveau livre blanc intitulé Smart Money Never Sleeps, publié par le Durable Portfolio Construction Research Center de Natixis Global AM. Pour en télécharger un exemplaire, consultez le site http://durableportfolios.com.
Interview de Benoist Lombard, Président de la Chambre nationale des conseillers en gestion de patrimoine (CNCGP), destinée aux Prix des Coupoles Distrib Invest récompensant notamment l’association la plus influente dans la promotion de la profession.
Soucieuse de sortir de son relatif anonymat et de se rapprocher de ses clients finaux, la société de gestion Aviva Investors France s’apprête à se doter de nouveaux locaux plus dignes de son standing. «Nous allons quitter nos locaux de la rue de la Pépinière pour aller au 14, rue Roquépine» (dans le 8ème arrondissement), a dévoilé à NewsManangers Jean-François Boulier, président du directoire d’Aviva Investors France. Ce déménagement devrait intervenir mi-mai.» Cette initiative s’inscrit dans le cadre d’une stratégie plus globale, la société de gestion souhaitant placer l’année 2016 sous le signe des clients. «C’est extrêmement important pour une société comme la nôtre qui a été à ses débuts un département d’Aviva de se mettre dans la perspective d’avoir de nombreux clients, a expliqué Jean-François Boulier. Cette nouvelle tendance change la culture d’entreprise, les habitudes de travail, le niveau de qualité requis et, aussi, l’accueil des clients». A ce titre, les nouveaux locaux d’Aviva Investors France disposeront «d’un accueil direct des clients avec un dispositif efficace pour recevoir nos hôtes et nos clients», indique le dirigeant. «C’est un projet important pour l’entreprise, a ajouté Jean-François Boulier. Ce déménagement traduit notre volonté de donner la priorité aux clients. Cette orientation a déjà fait évoluer le niveau d’exigence tant au niveau des équipes de gestion que du reporting, domaine dans lequel nous avons investi pour adapter et faire évoluer nos outils de reporting.»
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } The Scottish asset management firm Baillie Gifford has opened an office in Hong Kong, its first location in Asia, the specialist website Asian Investor reports. As a part of the move, Angus Macdonald, previously head of legal affairs at the group, has left Edinburgh to take up a role as chief operating officer at the new structure. He is replaced in his former position by Alastair MacLean, who joined the asset management firm on 4 January 2016. Rita Xiao has joined Baillie Gifford in Hong Kong from Stirling Finance, a consulting firm based in Hong Kong, specialsied in pensions. Recruitments will follow. At the beginning of April, the Hong Kong office is expected to have four employees, following the arrival of an administrative director in March, and a head of marketing in April. Baillie Gifford is not starting out with a blank page. The asset management firm has been serving Asia since 1989, and has a team of eight people responsible for Asian clients. Out of a total of USD175bn in assets under management, USD15bn came from Asian clients, largely pension funds and distributors. The decision to open an office in Asia aims to meet the expectations of clients who wish for the asset management firm to have a local presence on the continent, says David Henderson, partner and CEO at Baillie Gifford Asia (Hong Kong) in an interview with Asian Investor.
Le conseil d’administration de l’association Finansol a approuvé la nomination de Jean-Pierre Lefranc, directeur financier de la Fondation de France, en tant que président du Comité du label Finansol, et Isabelle Guénard-Malaussène, présidente-fondatrice de Finance@Impact, aux fonctions de vice-présidente. «Nous nous engageons à ce qu’au travers du Comité de labellisation, la marque Finansol continue de permettre au grand public de distinguer les placements solidaires des autres placements, en cela qu’ils contribuent réellement et de façon transparente au financement d’activités génératrices d’utilité sociale, sociétale ou environnementale», ont-ils déclaré. Elus pour un mandat de 3 ans, ils succèdent à Guy Courtois, qui a quitté la présidence du Comité du label Finansol après 12 ans à sa tête. «C’est la première fois qu’un duo préside le Comité», a indiqué Isabelle Guénard-Malaussène à la rédaction d’Instit Invest.
Roche-Brune AM annonce la nomination de Stéphane Fraenkel, qui rejoint la société de gestion au poste de responsable de la gestion pour les actions internationales. Son arrivée intervient dans le cadre du lancement d’un fonds d’actions internationales, précise le communiqué. L’intéressé a débuté sa carrière comme ingénieur dans la haute technologie et s’est ensuite tourné vers la finance et plus particulièrement la gestion d’actifs, d’abord chez Oddo Securities au sein de l’équipe d’analystes financiers « sell side », comme responsable du pôle technologique, puis chez Flinvest pendant 10 ans, en tant que dirigeant mandataire social et co-gérant d’un fonds de stock-picking d’actions européennes. Stéphane Fraenkel est membre de la Société Française des Analystes Financiers (SFAF) et diplômé CIIA (Certified International Investment Analyst).Roche-Brune AM est intégré au pôle multi-boutiques Primonial Investment Managers du groupe Primonial. L’encours de la société de gestion est passée de 60 à 286 millions d’encours sous gestion en 2015.
Détourner les assurés des fonds en euros, enrichir la gestion de l’actif général et piloter finement les plus-values : les assureurs nourrissent une autre approche des trackers.
En matière d’externalisation d’activités critiques ou importantes, les contraintes issues de Solvabilité II s’appliquent à l’assureur délégant et par voie de conséquence à son prestataire délégataire.
Laurent Bodin, gérant du cabinet Cèdre Finance, interroge Sébastien Lagarde, gérant du fonds Mandarine Europe Microcap, un fonds dédié aux entreprises européennes de plus petites tailles, sur sa stratégie d'allocation, sa méthode de sélection de titres et les risques inhérents à la classe d'actifs couverte.
Les quelque 176 délégués mutualistes d’Unéo se sont prononcés sur un futur partenariat entre la mutuelle militaire et le groupe d'assurance mutualiste Covéa. Résultat du vote et détails sur le projet.
Le fonds d’investissement indépendant Capzanine vient de s’inviter au tour de table de la Fintech Finance Active en acquérant 25% de son capital, ont annoncé les deux sociétés. Cette opération doit permettre «d’accompagner la stratégie de développement» de Finance Active, une société fondée en 2000 et spécialisée dans la gestion de la dette et des placements, la gestion du risque de change, la gestion des cautions-garanties et la prospective financière. Le montant de l’opération n’a pas été dévoilé.L’entrée au capital de Capzanine intervient au moment où «Finance Active met les bouchées doubles pour accélérer son développement». De fait, la Fintech prévoit de doubler son chiffre d’affaire afin de passer de 17,1 millions d’euros à 35 millions d’ici 2018, dont 30% en l’international, en combinant croissance interne et croissance externe. A l’international, Finance Active ne part pas d’une page blanche, comptant déjà 6 filiales à l’étranger et 10.000 utilisateurs à travers le monde. Pour accélérer son développement, la société compte également étoffer significativement ses effectifs, tablant sur l’embauche d’une trentaine de collaborateurs par an. Pour l’heure, Finance Active redouble d’efforts pour étoffer et diversifier son offre. La société vient ainsi de lancer une nouvelle plateforme pour les entreprises, baptisée Fairways. Ce nouvel outil doit permettre «aux décideurs financiers un pilotage actif de leurs engagements et risques financiers sur la dette, le change et les garanties, à grande échelle».
Invesco vient de recruter Paola Lupi en tant que « wholesale client service manager » en Italie. L’intéressée travaillait auparavant chez BlackRock, où elle occupait des fonctions d’assistance et de support pour la clientèle institutionnelle et retail et était chargée de la commercialisation et de la distribution de fonds. Ce recrutement au sein de l’équipe services clients intervient après le renforcement de l’équipe commerciale et de celle dédiée au marketing en Italie. A la fin de l’année dernière, Invesco avait en effet recruté Alessandro Rongo en tant que marketing manager pour son équipe marketing en Italie dirigée par Rita Schirinzi. Plus tôt dans l’année, avait embauché Alessandro Patruno comme chargé de relations avec la clientèle senior pour le marché italien,
Accorder à la Chine le statut d’économie de marché menacerait la quasi-totalité des 330.000 emplois du secteur européen de la sidérurgie, quels que soient les mécanismes de sauvegarde mis en œuvre par l’Union européenne, a estimé mardi Axel Eggert, le directeur général d’Eurofer, la fédération européenne de l’acier. Cet avertissement intervient au lendemain de l’annonce par Tata Steel de 1.050 suppressions de postes supplémentaires en Grande-Bretagne.
La traditionnelle conférence des investisseurs de BNP Paribas Investment Partners s’est tenue début janvier à Paris. Au cœur des préoccupations, les nombreuses divergences géographiques et sectorielles, et le manque de visibilité certain sur les émergents. William de Vijlder, directeur de la Recherche économique du groupe BNP Paribas, et Thierry Créno, Responsable France Multi Asset Solutions de BNP Paribas AM, livrent leurs perspectives pour l’année 2016.
La finance et l’œnologie ont-elles des points communs ? Pour Guillaume Jourdan, un spécialiste des grands vins qui a fondé Vitabella, il existe des convergences. « Contrariant », il recommande de s'intéresser à certains vins délaissés et, comme un gérant, préconise le « stock picking » fin pour sélectionner le bon millésime. A la place du potentiel de hausse, il évoque le potentiel de vieillissement et un retour à certains fondamentaux.
La CRPN a pour objectif d'optimiser le suivi de son analyse obligataire. Etienne Stofer, son directeur, indique que ce chantier devrait aboutir à l'été prochain. Par ailleurs, l'institution, qui détient 4 milliards d'euros d'encours sous gestion, est en train d'achever sa réflexion pour reconfigurer la poche petites et moyennes capitalisations.
Le gestionnaire d’actifs britannique Baillie Gifford a annoncé, ce 18 janvier, que John MacDougall, actuellement gérant en charge des actions internationales, sera promu associé («partner») en mai 2016, rapporte Investment Week. La promotion de John MacDougall intervient alors qu’il avait démissionné de son poste de gérant du «trust» d’investissement Baillie Gifford Shin Nippon en octobre pour être remplacé par Praveen Kumar. John MacDougall avait également abandonné à Praveen Kumar la gestion du fonds Japanese Small Companies alors qu’il venait d'être promu au poste de gérant actions internationales. En parallèle, la société de gestion a également annoncé que Tim Garratt, directeur en charge du départment Clients, sera lui aussi promu associé. Enfin, Peter Hadden, associé au sein du département clients en charge des clients nord-américains, a pris sa retraite après 15 années passées en qualité d’associé.
ORPI France est une structure coopérative ayant pour vocation le pilotage d’un réseau comprenant 1250 agences ORPI sur tout le territoire. Jusqu’ici baptisé SOCORPI, l’organisme, qui gère 5 millions d’euros de trésorerie, a récemment fait évoluer sa gouvernance.
La mutuelle d’assurance Saint-Christophe est spécialisée dans la couverture de l’enseignement privé, des institutions religieuses, mais également du secteur humanitaire et caritatif.
De sa dizaine d’années passées au sein du groupe Crédit Lyonnais à la découverte de structures de taille plus modeste dans le secteur des services, Guillaume Charlemagne a pu varier ses environnements de travail. Aujourd’hui, secrétaire général d’Orpi, il loue l’aspect « démocratie participative » de la coopérative. Parcours d’un chasseur passionné par le gaullisme et grand amateur de sport.
Le président et directeur général de BlackRock, Laurence Fink, estime dans une interview au Wall Street Journal que les marchés financiers iront « bien » cette année, malgré les turbulences de ce début d’année. Pour lui, les marchés traversent une « période de correction » et le font « rapidement ». « Pourrions-nous assister à une érosion supplémentaire à court terme ? », se demande-t-il ? « Bien sûr », répond-il. Mais « sur 12 mois, je pense que les marchés iront bien, et seront probablement à un niveau plus élevé que ce qu’ils sont actuellement ».
La rédaction d’Instit Invest vous présente la 2ème édition du Guide des investisseurs institutionnels 2015/2016. Parmi les 5 catégories référencées (retraite, assurances, mutuelles, fondations et fonds de dotation, entreprises et banques), retrouvez les encours, les coordonnées des personnalités clés de la gestion financière, les partenaires de gestion privilégiés, mais aussi les critères de sélection.