Moody’s a maintenu la note « AAA stable » de la dette publique des Etats-Unis. Pour l’heure, des trois grandes agences de notation, seule S&P a dégradé les Etats-Unis en 2011 à « AA+ ». Mais Moody’s prévient : les inégalités de revenus croissantes aux Etats-Unis sont une considération sociale clé qui peut affecter le profil de crédit du pays à travers plusieurs critères de notation aussi bien institutionnels, économiques que fiscaux. Les inégalités croissantes rendent politiquement plus difficile le redressement de la dynamique budgétaire à moyen terme. Avec les monumentaux déficits budgétaires fédéraux prévus au cours des prochaines années, les Etats-Unis sont prévenus.
Deux fois l’an, le Trésor américain publie son rapport sur les politiques de changes des partenaires commerciaux des Etats-Unis. Ces six derniers mois, le yuan s’est déprécié de 9 %, annulant une bonne partie des effets des hausses de taxes sur les importations chinoises décidées par Donald Trump. Cette fois encore, le Trésor n’accuserait pas la Chine de manipulation de sa devise. Mais le secrétaire au Trésor, Steven Mnuchin (photo), serait prêt, dit-on, à passer outre l’avis de ses services. La dernière labellisation « manipulateur » remonte à 1994 et concernait… la Chine.
Dégradation. Jour après jour, la dette souveraine italienne s’éloigne de ses homologues du clan « Périphériques » dans laquelle elle était classée il y a encore quelques mois avec l’Espagne et le Portugal, pour se rapprocher de la mal notée, la Grèce. Quelque 250 points de base (pb) séparaient les rendements à 10 ans italien et grec début avril, reflétant les différences de notes accordées par les agences de notation à chacun des deux pays. L’écart s’est réduit à 85 pb ces derniers jours. Le jugement du marché est sans appel. Il exprime sa conviction que la politique budgétaire de Rome va conduire les agences de rating à dégrader la dette publique italienne. Deux économistes de Natixis, Camille Neuville et Cyril Regnat, en sont eux aussi convaincus : « Au vu du ton agressif adopté par le gouvernement italien envers ses engagements européens, l’issue la plus probable est une dégradation de la note de l’Italie à BBB-, avec ‘outlook’ stable », écrivent-ils dans une note. Ils envisagent un spread Bund-BTP jusqu’à 400 pb pour le scénario le plus défavorable. Moody’s et S&P donnent leur verdict fin octobre 2018, Fitch en mars 2019.
Les investissements directs étrangers (IDE) mondiaux ont chuté de 41 % au premier semestre de l’année. Ils sont passés de 800 milliards de dollars (six premiers mois de 2017) à 470 milliards. Explication de la Cnuced qui publie ces chiffres : cette chute est due en majeure partie aux rapatriements aux Etats-Unis des bénéfices accumulés à l’étranger par les filiales des entreprises américaines. Bref, c’est la conséquence de la réforme fiscale de Donald Trump.
Smithson, la nouvelle société d’investissement cotée (investment trust) de Terry Smith, a levé 822,5 millions de livres (935 millions d’euros) à l’occasion de son introduction à la Bourse de Londres, bien au-dessus de l’objectif initial officiel de 250 millions de livres et de la cible révisée à 600 millions. Smithson bat ainsi le record pour ce genre d’opération, détenu par Patient Capital. La société d’investissement de Neil Woodford avait levé 800 millions de livres il y a trois ans. Le nouveau fonds sera géré par Simon Barnard et Will Morgan. Terry Smith, connu pour ses stratégies d’investissement stock picking, sera chief investment officer. Il investira dans des sociétés small et midcaps, trop petites pour intégrer Fundsmith Equity, le fonds amiral de Terry Smith. Ce dernière gère actuellement 14 milliards de livres.
Smithson, la nouvelle société d’investissement cotée (investment trust) de Terry Smith, a levé 822,5 millions de livres (935 millions d’euros) à l’occasion de son introduction à la Bourse de Londres, bien au-dessus de l’objectif initial officiel de 250 millions de livres et de la cible révisée à 600 millions. Smithson bat ainsi le record pour ce genre d’opération, détenu par Patient Capital. La société d’investissement de Neil Woodford avait levé 800 millions de livres il y a 3 ans.
Le gestionnaire d’actifs canadien Fiera Capital a annoncé, ce 16 octobre, la nomination avec effet immédiat de Kanesh Lakhani en qualité de directeur général de sa division européenne. Basé à Londres, l’intéressé sera en charge de l’élaboration et de la mise en œuvre de la stratégie de la société, de ses nouvelles initiatives, des recrutements ainsi que du développement de l’activité et des ventes en Europe. Kanesh Lakhani remplace Jayne Sutcliffe, ancienne directrice générale de la division européenne de Fiera Capital.Avant de rejoindre la société de gestion canadienne, Kanesh Lakhani était « managing director » en charge de la distribution pour la région EMEA (Europe, Moyen-Orient et Afrique) et l’Asie chez First State Investments, poste qu’il a occupé pendant plus de sept ans. Avant cela, il a officié pendant près de 14 ans chez State Street Global Advisors où ses dernières fonctions ont été celles de « senior managing director » et responsable de l’activité pour le Royaume-Uni et le Moyen-Orient. Au cours de sa carrière, il a également occupé des postes à responsabilité chez Barclays Global Investors et Russell.
Le gestionnaire d’actifs néerlandais Kempen Capital Management (Kempen) vient de renforcer son équipe basée au Royaume-Uni avec deux recrutements à des postes nouvellement créés, rapporte le site Investment Europe. Alastair Greenless a ainsi été nommé stratégiste en investissement senior tandis que Craig Stevenson arrive en qualité de directeur des relations avec les consultants. Tous deux ont rejoint Kempen au début du mois d’octobre, selon leur profil LinkedIn.Dans le cadre de ses nouvelles fonctions, Craig Stevenson se concentrera sur la présence de Kempen auprès des investisseurs institutionnels outre-Manche, étant en charge de développer la distribution des stratégies de gestion fiduciaire et d’investissement discrétionnaire via les consultants en investissement. L’intéressé, qui compte 20 ans d’expérience, était précédemment responsable des institutionnels et des relations avec les consultants chez Old Mutual Global Investors.Pour sa part, Alastair Greenless travaillera étroitement avec institutionnels qui sont clients de solutions fiduciaires de Kempen au Royaume-Uni. Avant de rejoindre Kempen, il était consultant en investissement senior chez Willis Towers Watson.
Jupiter a lancé ce 16 octobre le fonds Jupiter US Equity Long Short, un compartiment de la sicav Jupiter Global Fund. Géré par Darren Starr, gérant de hedge funds qui a rejoint en avril dernier l’activité dédiée aux stratégies alternatives liquides en pleine croissance de Jupiter, le fonds cherchera à générer un rendement absolu sur une période glissante de trois ans, indépendamment des conditions de marché.Le fonds Jupiter US Equity Long Short constituera un portefeuille concentré de 40 à 60 actions d’entreprises basées ou exerçant la plupart de leurs activités aux États-Unis. Le fonds détiendra des positions longues et des positions courtes, offrant la possibilité de se protéger contre les périodes baissières des marchés, tout en cherchant à réduire la corrélation avec la performance globale des marchés et à limiter la volatilité mensuelle des rendements du portefeuille. L’exposition nette du fonds aux actions sera normalement d’environ 25% de l’actif net, tandis que l’exposition brute sur les actions devrait avoisiner les 200%.Darren Starr, qui a la double nationalité américaine et britannique, dispose de plus de 10 ans d’expérience dans la gestion de portefeuilles actions US long-short chez UBS, SAC Global Investors et Caxton. Darren est basé à Londres.
Tellworth Investments, une boutique de gestion appartenant au groupe multi-boutique anglais BennBridge, va lancer le fonds LF Tellworth UK Smaller Companies, qui sera géré par Paul Marriage et John Warren.Le lancement du fonds, qui se présente sous la forme d’un véhicule OEIC (fonds britannique) aura lieu en novembre et s’appuie sur la stratégie d’investissement développée par les deux gérants à Cazenove Capital et Schroders. Il investira dans les entreprises britanniques cotées dont la capitalisation boursière varie entre 50 millions et 2 milliards de livres sterling. Le portefeuille sera constitué de 40 à 60 positions et appliquera un processus de sélection bottom-up. Avant de fonder Tellworth Investments, Paul Marriage et John Warren ont géré le fonds Schroder UK Dynamic Smaller Companies. Tellworth Investments gère également une stratégie de performance absolue sur le marché britannique dont les encours avoisinent les 500 millions de livres sterling.
Crux Asset Management (Crux AM), la société fondée en 2014 par Richard Pease, vient de nommer Lord Howard of Penrith président. L’intéressé était précédemment administrateur indépendant senior de Schroders, après avoir été administrateur non exécutif depuis 2008. Il a aussi été directeur des investissements de Beazley entre 2013 et 2015. Il était président de Tarchon Capital Management et a passé plusieurs années en tant qu’adjoint du président de Lehman Brothers en Europe jusqu’en 1997. Il a aussi été associé en charge de l’obligataire international chez Phillips & Drew. Lord Howard of Penrith succède à Charles Ferguson, qui devient administrateur non exécutif de Crux AM.
Le gestionnaire d’actifs britannique Schroders a annoncé, hier, avoir pris une participation minoritaire dans Qwil Messenger, la première start-up fintech à avoir rejoint son programme international de collaboration avec des start-ups technologiques, baptisé Cobalt. Qwil Messenger est une plate-forme de messagerie sécurisée qui permet aux entreprises et à leurs clients de communiqué directement via une application. La start-up avait rejoint le programme Cobalt en mai dernier. « Cet investissement formalise la relation de Schrodiers avec Qwil et souligne l’engagement du groupe à fournir des solutions innovantes de gestion d’actifs et de fortune à ses clients », explique la société de gestion dans un communiqué. De fait, le programme Cobalt a été lancé pour permettre à des start-ups dont les solutions sont tournées vers les secteurs financiers de collaborer avec Schroders pour soutenir leur développement et aider à relever les défis actuels du secteur.
Troisième trimestre en demi-teinte pour les activités de gestion de Morgan Stanley. Le pôle « Investment Management » de la banque américaine a en effet subi une décollecte nette de 6,8 milliards de dollars, après une collecte nette de 5 milliards de dollars au trimestre précédent. A l’issue des neuf premiers mois de l’exercice 2018, la décollecte nette s’élève ainsi à 19,7 milliards de dollars.Dans le détail, au cours du troisième trimestre, Morgan Stanley Investment Management (Morgan Stanley IM) a enregistré une collecte nette de 3 milliards de dollars sur les produits de long terme. A l’inverse, ce pôle a enregistré 9,8 milliards de dollars de sorties nettes sur les produits de liquidités.Dans ce contexte, ses actifs sous gestion ou sous administration s’établissent à 471 milliards de dollars à fin septembre 2018, en baisse de 1% par rapport à fin juin 2018 mais en hausse de 5% par rapport à fin septembre 2017.Les revenus nets du pôle « Investment Management » ressortent à 653 millions de dollars à fin septembre 2018, en repli de 5% par rapport à fin juin 2018 et en baisse de 3% sur un an. Son bénéfice net s’établit à 80 millions de d’euros, en recul de 23% d’un trimestre sur l’autre et en chute de 30% sur un an.A l’issue des neuf premiers mois de l’exercice 2018, ses revenus nets atteignent 2,06 milliards de dollars, en progression de 6% par rapport à la même période de 2017. Son bénéfice net, quant à lui, s’élève à 311 millions de dollars, en progression de 11% sur un an.Le pôle « Wealth Management » a connu une trajectoire bien différente. A l’issue du troisième trimestre 2018, ses revenus nets s’établissent à 4,4 milliards de dollars, en hausse de 2% par rapport à fin juin 2018 et en progression de 4% sur un an. Son bénéfice net trimestriel atteint 913 millions de dollars, en 4% par rapport au deuxième trimestre 2018 et en progression de 31% par rapport au troisième trimestre 2017.Sur neuf mois, les revenus nets de cette activité s’inscrivent à 13,1 milliards de dollars, en croissance de 5% sur un an. Son bénéfice net atteint 2,7 milliards de dollars, en progression de 34% par rapport à la même période de 2017.
La gestion d’actifs de Goldman Sachs poursuit sa marche en avant. Au cours du troisième trimestre 2018, le pôle « Investment Management » de la banque américaine a en effet réalisé une collecte nette de 21 milliards de dollars, après 18 milliards de dollars au trimestre précédent. Dans le détail, les produits de long terme ont enregistré 13 milliards de dollars de souscriptions nettes tandis que les produits de liquidité ont capté 8 milliards de dollars de flux nets entrants.Dans un tel contexte, les actifs sous supervision de Goldman Sachs Investment Management (Goldman Sachs IM) s’établissent à 1.550 milliards de dollars, en hausse de 2% d’un trimestre sur l’autre et en progression de 6% par rapport au troisième trimestre 2017. Outre l’effet collecte nette, Goldman Sachs IM a pu compter sur un effet de marché positif à hauteur de 16 milliards de dollars, a précisé la banque américaine dans un communiqué.A l’issue du troisième trimestre 2018, Goldman Sachs IM a dégagé 1,7 milliard de dollars de revenus nets, en recul de 8% par rapport à fin juin 2018 mais en hausse de 12% sur un an. A l’issue des neuf premiers mois de l’exercice 2018, les revenus nets s’élèvent au niveau record de 5,32 milliards d’euros, en croissance de 17% sur un an.
BlackRock a accusé des sorties nettes de 3,1 milliards de dollars au troisième trimestre 2018, selon ses résultats trimestriels publiés mardi. Cette décollecte est principalement liée à des sorties d’investisseurs institutionnels, qui se sont élevées à 24,8 milliards de dollars. En termes de classes d’actifs, les rachats ont surtout concerné les stratégies actions, avec des dégagements de 17,3 milliards de dollars, et la gestion monétaire (-14,6 milliards d’euros). iShares continue en revanche de collecter : l’activité ETF de BlackRock a enregistré des souscriptions nettes de 33,7 milliards de dollars sur le trimestre.A fin septembre, les encours de BlackRock s’élèvent à 6.400 milliards de dollars, en hausse de 8 % sur un an. Cela inclut 28 milliards d’encours nets liés aux transactions stratégiques.
Au cours des huit dernières années, DZ Privatbank, qui loge les activités de banque privée des banques populaires et des banques coopératives, a perdu la moitié de ses clients mais a presque doublé ses actifs sous gestion, rapporte l’agence Bloomberg. Les actifs sous gestion s'élèvent désormais à plus de 18 milliards d’euros pour quelque 30.000 clients, à comparer à un encours de 10 milliards d’euros et environ 50.000 clients au début de l’année 2011, a indiqué à Bloomberg Stefan Schwab, président du directoire de DZ Privatbank.Depuis le début de l’année 2018, la banque privée a enregistré une collecte nette de 650 millions d’euros. Le patrimoine géré par client est passé de 200.000 euros à 600.000 euros en l’espace de huit ans, a souligné Stefan Schwab, ajoutant que cela reflétait la stratégie de la banque de se concentrer sur des mandats plus importants. DZ Privatbank espère franchir la barre des 20 milliards d’euros d’ici deux ans.
Le gestionnaire d’actifs allemand Greiff Capital Management, basé à Fribourg, a annoncé, le 15 octobre, la nomination de Marc Schnieder en tant que gérant de portefeuille senior. L’intéressé, qui a officiellement pris ses fonctions le 1er octobre 2018, sera responsable de plusieurs mandats, y compris un mandat d’allocation prévu pour novembre.Marc Schnieder, qui compte plus de 10 ans d’expérience en tant que gérant de portefeuille, a officié dernièrement chez W&W Asset Management en Allemagne. Avant cela, il a été responsable des clients très fortunés (« high net worth) au sein d’une société de gestion d’actifs basée à Stuttgart, après avoir occupé des postes à responsabilités chez DZ Bank.
La banque privée allemande Merck Finck vient de recruter deux banquiers privés senior : Heiko Spitz et Andreas Schumacher qui seront basés à Cologne. Heiko Spitz prendra ses fonctions le 1er janvier prochain tandis que Andreas Schumacher entrera en fonction le 1er avril 2019. Tous deux seront rattachés à Frank Hoppe, le patron de l’implantation de Cologne.Heiko Spitz travaillait précédemment chez Bankhaus Sal. Oppenheim où il sera resté pendant dix-huit ans et où il était dernièrement conseiller senior pour la clientèle fortunée. Andreas Schumacher exerçait ses talents chez Commerzbank à Cologne en qualité de conseiller clientèle senior dans la division gestion de fortune.
Union Investment a annoncé ce 16 octobre le lancement, dans le courant du premier trimestre 2019, d’un fonds d’infrastructures international à destination des investisseurs institutionnels. Avec ce nouveau fonds, élaboré en coopération avec Mercer Private Markets, Union Investment entend proposer une stratégie internationale diversifiée dégageant des rendements élevés, souligne un communiqué.Le fonds investira en priorité en Europe de l’Ouest et en Amérique du Nord, dans les secteurs entre autres de l'énergie, de la communication, du traitement des déchets ou encore des transports.
Georg Kayser a rejoint l'équipe de distribution institutionnelle de Deka Bank le 1er octobre dernier. Plus précisément chargé de la distribution des ETF, il est rattaché à Matthias Kowallik, responsable de la clientèle institutionnelle des caisses d'épargne et des établissements financiers de Deka Bank. Avant de rejoindre Deka Bank, l’intéressé a travaillé pendant une douzaine d’années chez Get Capital, une société de gestion indépendante dédiée à la clientèle institutionnelle, basée à Mönchengladbach. Il était depuis novembre 2014 responsable de la gestion de portefeuille.
Le gestionnaire d’actifs espagnol Trea Asset Management (Trea AM) vient d’élargir sa gamme de produits en enregistrant auprès du régulateur local, la CNMV, le fonds Trea Balanced, rapporte le site spécialisé Funds People. Il s’agit d’un véhicule mixte axé principalement sur les obligations européennes dont l’indice de référence est composé à 70% par la rentabilité de l’indice obligataire allemand à trois ans et à 30% par le Stoxx 600. Ce nouveau fonds a possibilité d’investir jusqu’à 30% de son encours sur des actions, principalement de sociétés européennes. Le solde peut être investi dans des obligations publiques ou privées, y compris des dépôts et des instruments monétaires. Les émetteurs proviennent principalement des pays de l’OCDE avec une duration moyenne inférieure à 5 ans.
La Sicav luxembourgeoise Indépendance et Expansion, gérée par la société de gestion Stanwahr, a été enregistrée à la commercialisation en Espagne début octobre, a appris NewsManagers.Deux compartiments actions de petite et moyenne capitalisation s’appuyant sur une gestion value et qualité composent la Sicav : France Small, qui a été rouvert aux souscriptions début septembre, et Europe Small. La Sicav Indépendance et Expansion est gérée par William Higgons, président de Stanwahr ainsi qu’Audrey Bacrot, Arthur Marle et Victor Higgons, tous trois gérants analystes.Stanwahr est détenue par la société de droit français Evalfi, appartenant à la famille Higgons.
Société Générale a annoncé ce 16 octobre la nomination de Anne Marion-Bouchacourt en tant que responsable pays du groupe pour la Suisse et CEO de SG Zürich, une entité qui regroupe les activités Corporate & Investment Bankingt (SG CIB), Asset Management (Lyxor AM), SGSS et les Global Transaction & Payment Services. La nouvelle responsable sera basée à Zurich, rattachée à Thierry d’Argent, responsable des relations clients et de la banque d’investissement du groupe. Elle reste membre du comité directeur du groupe. Anne Marion-Bouchacourt, qui a pris ses fonctions le 1er octobre, remplace Hugues de La Marnierre qui prend la direction générale de Société Générale en Chine. Elle a pour mission de développer les activités du groupe sur le marché suisse, notamment dans les secteurs de la banque privée et de l’asset management.
Christian Trixl, jusqu’ici responsable pays de Columbia Threadneedle Investments pour la Suisse rejoint le groupe Amundi, a appris le site spécialisé finews. Christian Trixl travaillait depuis 2005 chez Columbia Threadneedle Investment en qualité de responsable pays Suisse. Il prendra ses fonctions chez Amundi début janvier 2019. Il prend la succession de Marius Würgler, qui a récemment rejoint Swiss Life Asset Managers en qualité de responsable ventes et marketing.