Cholet Dupont AM vient d’annoncerla création d’un fonds actions internationales. Baptisé Atlas, le FCP peut investir dans les actions émises par des sociétés originaires de tout pays et de toutes tailles, «afin de bénéficier d’une exposition maximale à la croissance mondiale», explique la société dans un communiqué. Le fonds a pour indice de référence le MSCI World € Net Total Return, constitué des plus grandes sociétés cotées des principales économies, en particulier les Etats-Unis, le Canada, l’Australie, le Japon et l’Europe (Royaume-Uni inclus). « La création du FCP Atlas, qui fait suite au lancement fin 2017 d’un fonds de valeurs européennes Mid cap, s’inscrit dans notre stratégie de développement d’une offre haut de gamme dans la gestion action, destinée à positionner Cholet Dupont comme acteur indépendant de référence», explique dans un communiquéGaël Dupont, président directeur général de Cholet Dupont AM. L’équipe de gestion du FCP Atlas investit dans les sociétés dont les activités sont pérennes et recherchent durablement la création de valeur pour l’actionnaire. Elle attache une importante particulière à la capacité qu’ont les sociétés à augmenter régulièrement le dividende sur de longues périodes, indépendamment du contexte économique. Pour identifier les meilleurs investissements de long terme, parmi un univers de plus de 6.000 entreprises, l’équipe s’appuie également sur une analyse quantitative des tendances boursières afin de constituer un portefeuille de titres « reconnus par le marché », précise la société.
Trusteam Finance est désormais opérationnel sur Allfunds, rapporte Funds People Italia. Les parts institutionnelles de trois fonds seront distribuées sur la plate-forme en Italie: Trusteam Optimum B, Trusteam Roc B et Trusteam Roc Europe B. «Notre présence sur la plate-forme d’Allfunds représente pour nous une étape très importante pour le développement du marché Italie», commente Stefano Franchi, en charge du développement pour l’Italie de Trusteam.
Credit Suisse a annoncé trois recrutements dans le domaine des investissements à impact et la finance durable à Singapour, Zurich et Londres. Ces recrutements s’ajoutent à celui de Daniel Wild, qui a récemment rejoint le département Impact Advisory and Finance (IAF) de la banque en tant que responsable mondial Environmental, Social and Governance (ESG) Strategy, comme annoncé en avril. James Gifford a intégré Credit Suisse à Singapour au poste nouvellement créé de responsable de l’Impact Advisory. Ilest chargé de conseiller les clients privés de Credit Suisse au niveau mondial et d’aider la banque à stimuler son leadership en matière d’impact ainsi que les initiatives de développement de ce secteur, explique un communiqué. Il a rejoint Credit Suisse après avoir travaillé pour UBS, où il était responsable de l’investissement à impact au sein de la division Wealth Management. En 2004, il a créé les Principes des Nations Unies pour l’investissement responsable (PRI), qui a fait partie de l’Initiative financière du Programme des Nations Unies pour l’environnement (UNEP FI). Les PRI, qui comptent aujourd’hui plus de 2.250 signataires, dont Credit Suisse, représentent plus de 85.000 milliards de dollars d’actifs sous gestion. En 2014, James Gifford a en outre développé et mis en place un programme commun de placement à impact pour les family offices à l’Université de Harvard et à l’Université de Zurich, qui est devenu le premier programme mondial d’étude des investissements à impact pour les membres de la nouvelle génération au sein des familles. Il est titulaire d’un doctorat en sciences économiques axé sur l’efficacité de l’engagement des actionnaires pour améliorer la performance d’entreprise en matière de durabilité. Guillaume Bonnel a rejoint la banque à Zurich en tant que responsable des produits durables et à impact (Head of Sustainable and Impact Products). Il est responsable de la gestion de l’offre de placements.durables et à impact, ainsi que du développement de services de formation et de conseil pour des produits associés. Il était auparavant chez Lombard Odier, où il occupait le poste de responsable des investissements à impact depuis octobre 2016. En juillet, il a été annoncé que Helen McDonald rejoignait Credit Suisse à Londres en tant que responsable « Foundations and Impact Advisory Services » au Royaume-Uni, un poste nouvellement créé dans le cadre duquel elle s’occupe d’institutions à but non lucratif et conseille les clients britanniques dans la réalisation de leurs objectifs en matière d’investissements durables et à impact. Helen McDonald a quitté UBS, où sa dernière fonction a été celle de responsable des organisations caritatives, des fondations et de l’investissement social. Auparavant, elle a travaillé chez Goldman Sachs, SG Warburg Securities et Kleinwort Benson Investment Management. Elle a également été membre du comité de placement du Trinity College d’Oxford pendant quatre ans. Basée à Londres, Helen McDonald est rattachée à deux entités : à l’équipe Private Banking RoyaumeUni, dirigée par Christian Berchem, CEO de Credit Suisse Royaume-Uni, qui fait partie de la division International Wealth Management, et au département IAF, dirigé par Marisa Drew. « Ce groupe de responsables va (..) nous aider à réaliser plus rapidement notre objectif de jouer un rôle de premier plan dans le développement de ce secteur et dans sa capacité à exercer un impact positif à large échelle », a commenté Marisa Drew, CEO du département IAF, citée dans le communiqué.
Premier semestre très problématique pour Banque Syz. Alors qu’elle est en train de revoir son organisation dans le cadre de son plan de succession, la banque privée a fait état d’une perte de 10,6 millions de francs pour les six mois à fin juin alors qu’elle avait terminé le premier semestre 2018 sur un bénéfice, certes modeste, de 1,2 million de francs. La banque a pourtant réalisé des économies substantielles et réduit ses charges d’exploitation de près de 16 millions de francs à un peu moins de 80 millions de francs. Ce qui n’a pas suffi puisque parallèlement, les revenus d’exploitation ont fortement diminué, en raison notamment du produit des commissions sur les opérations de négoce de titres et les placements, à 72,4 millions de francs contre 99,3 millions de francs au premier semestre 2018. Syz ne publie pas par ailleurs l’évolution de ses actifs sous gestion. Tout au plus peut-on observer qu’après avoir atteint quelque 40 milliards de francs en 2016, les encours ont terminé l’année 2018 à moins de 29 milliards de francs. Syz a installé au printemps dernier un nouveau directeur général, Yvan Gaillard, qui avait rejoint le groupe en 2016 en qualité de chief operating officer (COO). Le fondateur et propriétaire de la banque Eric Syz devrait se concentrer sur la stratégie et les clients. L’un de ses fils, Nicolas Syz, a pris la tête des activités de banque privée. Marc Syz, le fils aîné, a pris la direction des activités dans les investissements privés.
Illimity Bank, start-up bancaire créée par l’ancien ministre Corrado Passera, va avoir sa société de gestion. La banque a confirmé avoir engagé le processus de création et de lancement d’une société de gestion appelée Illimity SGR, qui sera entièrement contrôlée par la banque, a annoncé le groupe dans un communiqué de presse. Une fois les autorisations des autorités compétentes obtenues, Illimity SGR aura pour objet la gestion de fonds d’investissement alternatifs, de type fermé, créés avec des fonds propres et des capitaux d’investisseurs institutionnels. Le premier fonds d’Illimity SGR sera investi dans des créances «unlikely to pay».
BNP Paribas Asset Management fait évoluer sa gamme phare de fonds gérés activement vers une offre 100% durable. Toutes les stratégies de la gamme BNP Paribas Funds appliquent désormais les règles d’intégration ESG de BNPP AM (ESG Integration Guidelines) dans tous les processus d’investissement. «Cette approche d’intégration ESG est adaptée à chaque fonds en fonction des spécificités de sa classe d’actifs et de sa zone géographique», note un communiqué. La mise en œuvre de ces règles d’intégration est supervisée par le comité de validation ESG qui approuve les méthodologies d’intégration ESG proposées par les équipes de gestion. A titre d’exemple, les fonds multi-facteurs, dont 6 ont obtenu le label ISR, doivent avoir un score ESG supérieur de 20% à celui de leur indice de référence et ont pour objectif de réduire de 50% leur empreinte carbone par rapport à leurs indices de référence. En complément du processus d’intégration ESG, tous les fonds de la gamme respectent également la politique “Responsible Business Conduct” de BNPP AM qui reflète les dix principes du Pacte Mondial des Nations Unies ainsi que les politiques sectorielles de BNPP AM.
La société de gestion C-Quadrat a annoncé ce 3 septembre le lancement de deux nouveaux fonds de microcapitalisations (un européen et un global). Leur gestion sera assurée par Sébastien Lagarde, dont l’arrivée avait été révélée par NewsManagers le 21 août dernier. Dans un communiqué annonçant officiellement la nomination de l’ancien gérant de Mandarine Gestion, C-Quadrat indique que l’intéressé reprendra également la gestion d’un fonds d’actions américaines transformé en un fonds actions mondiales ISR. Pour rappel, Sébastien Lagarde a rejoint l’équipe d’investissement pilotée par William Sharp, où ilprendra donc en charge le lancement de troisnouvelles stratégies d’investissement. « Nous sommes très heureux d’annoncer le développement de notre gamme de fonds sur des segments aussi pointus que l’environnement des microcaps et aussi fondamentaux que l’investissement socialement responsable. Depuis sa création, le groupe C-Quadrat a eu à cœur d’intégrer les critères de durabilité dans ses processus d’investissement et a été récompensé cette année par le prix du « Groupe ESG de l’année » par International Investor. », a indiqué dans un communiquéCarlo Michienzi, directeur général de C-Quadrat AM France. Créé à Vienne en 1991, le groupe C-Quadrat Asset Management gère 9 milliards d’euros pour le compte d’une clientèle privée et institutionnelle et se compose de plusieurs sociétés de gestion d’actifs indépendantes spécialisées dans les stratégies quantitatives et discrétionnaires absolute return et total return. Depuis septembre 2018, C-Quadrat AM France commercialise ses propres fonds d’actions et distribue également les autres fonds de la gamme C-Quadrat, notamment ses fonds obligataires, multi-assets et alternatifs.
Sébastien Herzog est nommé directeur des opérations de BlackRock pour la France, la Belgique et le Luxembourg (FraBeLux). Il sera basé à Paris et pilotera la stratégie opérationnelle de BlackRock dans la région sous la direction de Stéphane Lapiquonne, directeur général de BlackRock pour FraBeLux et de Stacey Mullin, directrice des opérations pour la région Europe, Moyen Orient et Afrique. Il prendra également la présidence de la société de gestion alternative de BlackRock en France.
Oddo BHF AM fait évoluer son organisation commerciale sur les marchés hors Allemagne et Autriche. Les efforts de vente seront menés par une double direction : Philippe Vantrimpont est nommé Responsable des ventes en France, en Belgique, au Luxembourg et dans les pays nordiques. Bertrand Levavasseur est nommé Responsable des ventes en Suisse, en Italie, en Espagne et au Moyen-Orient. Il est également en charge des grands comptes et des consultants globaux. Par ailleurs, Bertrand Sance, Managing Director, reste en charge du développement de la clientèle des CGPI en France et en Belgique.
La division Investments, Assets & Wealth Management du Groupe Generali a annoncé l’arrivée de Daniel Roy, en tant que head of business development et M&A. Il est chargé de superviser activement les opportunités de croissance de Generali Investments and Asset Management ainsi que d’évaluer et réaliser les opérations de fusions-acquisitions liées au déploiement de la plateforme multi-boutiques de l’assureur. Il est rattaché à Timothy Ryan, chief investment officer du groupe et directeur général de l’activité de gestion.
M&G Real Estate a nommé Jose-Luis Pellicer au poste de responsable de la stratégie d’investissement et de la recherche. Cette fonction a été récemment créée «pour soutenir les ambitions de la société d’élargir sa gamme de solutions d’investissement et de devenir un gestionnaire immobilier de premier plan sous la direction de son responsable mondial, Tony Brown», écrit l’entreprise dans un communiqué. Jose-Luis Pellicer rejoint le comité exécutif de M&G Real Estate avec effet immédiat. Il sera directement rattaché à Tony Brown. Basé à Londres, il aura notamment pour mission de définir de nouvelles stratégies produits. Avant de rejoindre M&G Real Estate, Jose-Luis Pellicer était responsable de l'équipe de recherche chez Patrizia AG, avant quoi il était chez Rockspring en tant qu’associé et responsable de la recherche pendant 7 ans. Parmi ses fonctions précédentes, Jose-Luis Pellicer a occupé différents postes de direction chez AEW Europe, Goldman Sachs et Deutsche Bank. La branche immobilière affiche des encours de 35,8 milliards d’euros à fin juin.
La banque privée andoranne Andbank est en train de réorganiser sa gestion d’actifs et de faire du Luxembourg sa plateforme de distribution de fonds principale, selon le journal espagnol El Confidencial. Ce dernier indique que depuis mars, Andbank a enregistré cinq fonds profilés, sa gamme de fonds conseillés par Carmignac, JP Morgan AM et Morgan Stanley, ses fonds actions espagnoles, Europe et eurozone, deux stratégies obligataires court terme et internationales en euros et en dollars, ainsi que deux fonds flexibles mixtes. Tous ces produits sont regroupées dans une structure baptisée Sigma InvestmentHouse. Une fois l’ensemble des transferts complétés, les fonds d’Andbank domiciliés au Luxembourg auront un patrimoine cumulé de 650 millions d’euros.
BlackRock vient de recruter Sébastien Herzog pour prendre la direction des opérations en France, en Belgique et au Luxembourg, a appris Les Echos. Sur ce poste nouvellement créé, il sera notamment en charge de la stratégie opérationnelle, de la gestion financière et de la gouvernance. Il répondra à Stéphane Lapiquonne, directeur général de BlackRock pour la région, et à Stacey Mullin, directrice des opérations pour l’Europe, le Moyen-Orient et l’Afrique. Diplômé de l’ESCP Europe, Sébastien Herzog est entré chez AXA dès la sortie de ses études en 1998. Il était dernièrement directeur des opérations, directeur financier et secrétaire général d’AXA IM Real Assets.
Les avoirs déposés et gérés par le groupe Pictet ont augmenté de 9,7% au premier semestre, soit 48 milliards de francs, pour atteindre 544 milliards de francs, selon le dernierrapport semestriel publié par la banque privée genevoise. Le document ne fournit toutefois aucuneindicationsur les entrées nettes au cours du semestre sous revue.. Les revenus d’exploitation ont baissé de 4,9%, passant de1,35milliard de francs à1,28milliard. Un reculdûprincipalement àune diminution des commissions et des revenus du trading. Pour leur part, les charges d’exploitation ont augmenté de 2,4% sous l’effet d’une envolée de près de 15% des frais généraux. En conséquence, le résultat opérationnel semestriel recule de 19% à338,7 millions de francs. Après impôts, le bénéfice net s’inscrit à265,3 millions de francs, en replide 17,4%. Il faut dire aussi que Pictet a créé 160 emplois équivalenttemps plein durant le semestre, dont une centaine en Suisse. Le coefficient d’exploitation s’est détérioré de 5 points à 74%.
Après deux mois de collecte positive, les fonds espagnols ont renoué avec la décollecte en août, accusant des sorties nettes de 243 millions d’euros, selon les données provisoires d’Inverco, l’association espagnole de la gestion d’actifs. La décollecte nette enregistrée depuis le début de l’année dans les fonds espagnols s'élevait à 409 millions d’euros à fin août 2019. Les fonds de performance absolue continuent de souffrir,des rachats de 411 millions d’euros ayant été observés en août. Le segment a accumulé 2,77 milliards d’euros de décollecte depuis janvier. Les fonds en actions internationales ont décollecté 337 millions d’euros le mois dernier tandis que les produits investis en actions espagnoles et les fonds garantis ont respectivement subi des rachats de 86 et 248 millions d’euros. Selon les données d’Inverco, trois catégories de fonds ont tiré leur épingle du jeu en août, l’obligataire avec une collecte nette de 513 millions d’euros, l’obligataire mixte qui a engrangé 481 millions d’euros d’entrées et le monétaire dont la collecte s’est élevée à 19 millions d’euros. Les actifs sous gestion des fonds espagnols ont baissé de 2,97 milliards d’euros pour atteindre 267milliards d’euros fin août.
Kairos est passé du statut de proie à celui de prédateur, rapporte Il Sole 24 Ore. La société de gestion italienne contrôlée par Julius Baer était en vente jusqu’à vendredi dernier. Depuis, le groupe suisse a changé de braquet, annonçant une «collaboration plus étroite» avec la boutique italienne. Yves Robert-Charrue, responsable Europe de Julius Baer et président de Kairos, a fait le point sur la situation lundi à Milan devant la presse. Il a souligné qu’au sein du secteur de la gestion d’actifs en Italie «nous serons activement à la recherche de personnes, talents, pour le développement de l’activité de gestion de fortune ou de la société de gestion, mais aussi de sociétés et s’il y a des occasions d’acquisitions éventuelles, nous les étudierons». «Nous sommes convaincus que Julius Baer est le meilleur propriétaire possible de Kairos parce que cela nous permettra de renforcer notre position sur le marché italien de la gestion de fortune, qui reste l’un des plus attrayants», a-t-il ajouté. Il n’a pas échappé à certains que le changement de stratégie est intervenu quelques jours après que Mediobanca, le principal prétendant, ait mis un terme aux négociations pour l’acquisition de Kairos. Mais Yves Robert-Charrue n’a pas souhaité commenter ce point. Il a annoncé un nouveau plan stratégique d’ici à la fin de l’année, qui sera fondé sur des recrutements et l’ouverture du capital aux salariés. Fabrizio Rindi, déjà président de Kairos Partners, dirigera les opérations. Il a été nommé administrateur délégué par intérim de Kairos et Kairos Partners, à la place de Fabio Bariletti, qui a démissionné.
Goldman Sachs a annoncé lundi 2 septembre la nomination deDominique Wohnlich au poste dedirecteur général de Goldman Sachs Bankbasé à Zurich. Il rejoint l'équipePrivate Wealth Management avec pour objectif de renforcer la clientèle et l’attractivité de laplateforme suisse de réservation, tant pour les clients de liaison que pour les clients couverts localement. «Cette nomination à la tête de l’entreprise renforce notre engagement stratégique envers notre banque suisse et plus largement envers l’EMEA», a commenté dans un communiqué l'établissement bancaire américain. Dominique Wohnlich arrive en provenance deLombard Odier, où il était CEO des opérations de Zurich et membre du comité exécutif global private bankingdepuis 2014. Avant de rejoindre Lombard Odier, il était responsable private equity investments au Credit Suisse. Il a débuté sa carrière chez UBS Wealth Management.
Gresham House vient de recruter Richard Staveley en tant que responsable de son équipe de gestion small cap, rapporte Citywire Selector ce 2 septembre. L’intéressé occupait le poste de gérant small capau sein de la sociétéMajedie Asset Management depuis 2013. Auparavant il a travaillé pendant 7 ans pour River & Mercantile AM (2006-2013) et 5 ans à la Société Générale AM (2001-2006). Il a démarré sa carrière en 1996 chez PwC.
Le spécialiste du private equity Inter Invest Capital a participé aupremier tour de table d’un million d’euros mené parSmart-Services, une société degestion des services généraux pour les PME. L’objectif de la start-up parisienne, créée en 2017, est de poursuivre sa croissance, continuer à élargir son offre de services etdoubler ses effectifs dans les prochains mois.
Après l’ouverture récente d’un bureau zurichois Alpha Financial Market Consulting (FMC) vient d’annoncer le recrutement de deux nouveaux collaborateurs. Roman Aschwanden et Zoë Sheehan ont rejoint l’équipe en place début septembre. «Ces recrutements permettront de répondre encore plus activement à une demande croissante des clients d’Alpha FMC, en particulier des assets managers et caisses de pensions», précise la société dans un communiqué. Roman Aschwanden aura pour mission de développer les services liés aux aspects réglementaires. Il sera également en charge de mettre à disposition des fonds de pension les services développés dans le groupe pour ce type de clientèle. De son côté,Zoё Sheehan s’occupera «d’aider les clients sur les questions liées à l’Investment Technology Practice (PMS/OMS/Risk & Management software’s)», a précisé une porte-parole du groupe. Sous la direction de Nicolas Cherbuin, le bureau zurichois d’Alpha FMC compte désormais 20 collaborateurs. Avant de rejoindre Alpha FMC, RomanAschwanden était CEO de GAM Investment Management (Suisse),de même que COO (responsable d’exploitation) pour l’Europe continentale à Zurich. Auparavant, il a occupé durant 15 ans le poste de responsable de la gestion de portefeuille pour la clientèle privée de GAM à l'échelle mondiale. Il a aussi été CEO de CreInvest, un fonds suisse de hedge funds. Enfin, il a œuvré successivement comme chef de projets globaux, de restructuration et du personnel dans la banque d’investissement d’UBS. Zoё Sheehan a travaillé dans le développement d’outils de gestion de portefeuilles, de trading, de produits de gestion des risques et de la performance. Zoë travaillait ces dernières années pour BlackRock Aladdin Solutions à Londres dans les équipes d’implémentation et de commercialisation. Auparavant, elle a travaillé pour le cabinet de conseilFirst Derivatives à New York. Elle a également travaillé pour la société IHS Markit où elle commercialisait les solutions spécialisées dans les produits dérivés et l’analyse des risques en Europe.
Les développeursde solutions informatiques bancaires et financières Avaloq et Algotrader ont annoncé ce 2 septembre la signature d’un partenariat dans le domaine des dépôts et du négoce de cryptomonnaies. «EnsembleAlgoTrader etAvaloq vont créer un écosystème de gestion d’actifs digital global afin de permettre aux banques et aux autres intermédiaires financiers de se préparer au nouveau changement de paradigme sur l'échange et la garde des cryptomonnaies», explique Algotrader dans un communiqué. Concrètement, le logiciel de négoce d’Algotrader sera intégré à la solutionavaloq.one, afin d’offrir aux clients «un accès à de nombreux émetteurs et négociants de cryptodevises», précise la missive.
Conformément à la loi Avenir professionnel du 5 septembre 2018, l’Autorité des marchés financiers (AMF) a publié, pour la première fois, son index égalité H/F relatif aux écarts de rémunération et de promotion existants entre hommes et femmes au sein de l’institution, et obtenu, sur la base des données 2018, un index égalité hommes-femmes de 98/100. L’index, suivant des modalités fixées par décret, est calculé selon cinq indicateurs distincts : écart de rémunération entre hommes et femmes (niveaux de fonction et âges comparables), écart de taux d’augmentation individuelle, écart de taux de promotion, accompagnement salarial des femmes de retour de congé maternité, représentation des femmes parmi les dix plus fortes rémunérations.
Kairos Investment Management, filiale de gestion d’actifs de Julius Baer en Italie, va réfléchir à des acquisitions dans ce pays, a déclaré lundi à la presse Yves Robert-Charrue, le patron des activités européennes de la banque privée suisse. Julius Baer a annoncé vendredi qu’elle conserverait Kairos, après avoir songé à la vendre en raison de ses piètres performances en 2018. Yves Robert-Charrue dit ne pas être préoccupé par les incertitudes politiques à Rome. Julius Baer prévoit aussi de recruter en Italie pour porter les effectifs de Kairos de 150 à 200 employés. A plus de 9 milliards d’euros, les actifs sous gestion de Kairos ont plus que doublé depuis le début de son partenariat avec Julius Baer en 2013.
Les avoirs sous gestion d’Edmond de Rothschild (Suisse) se sont inscrits au premier semestre en hausse de 2% pour atteindre 130 milliards de francs suisses au 30 juin contre 128 milliards de francs au 31 décembre 2018, «portéspar la reprise des marchés et la progression des avoirs en gestion d’actifs, notamment dans l’activité d’administration de fonds et les gammes de private equity et immobilier», selon un communiqué. Le résultat d’exploitation s’établit à69 millions de francs, en baisse de 9% comparativement au 30 juin 2018. Cette tendance est toutefois à relativiser car le résultat d’exploitation s’inscrit en progression par rapport au second semestre 2018 (44 millions de francs) «grâce à l’évolution de l’offre en banque privée, à la progression des encours ainsi qu’aux activités de crédit et de bilan». Le bénéfice net consolidé atteint40,5 millions de francs au premier semestre 2019, contre44 millions de francs au 30 juin 2018, hors une opération de Sale & Lease back qui avait eu un effet très favorable sur le résultat du premier semestre 2018. A noter enfin que le retrait de la cote d’Edmond de Rothschild (Suisse) S.A. est devenu effectif le 27 août 2019, à la suite du dernier jour de négoce intervenu le 26 août. Le capital-actions de Edmond de Rothschild (Suisse) S.A. sera détenu à 100% par Edmond de Rothschild Holding SA à l’issue de l’ultime opération, à savoir la demande en annulation de toutes les actions au porteur restant détenues par le public en contrepartie du versement aux actionnaires concernés d’une indemnité en espèces égale au prix de l’offre publique d’acquisition, procédure dite de squeeze-out qui a été initiée par Edmond de Rothschild Holding.Cette opération dure généralement de 5 à 6 mois. Dans le même temps, 100% de la participation d’Edmond de Rothschild (France) a été transféré à Edmond de Rothschild (Suisse), simplifiant ainsi la structure juridique du groupe.