La Banque des règlements internationaux (BRI) a annoncé jeudi le lancement d’un fonds ouvert destiné aux investissements des banques centrales dans les obligations vertes. Cette initiative «aide les banques centrales à intégrer des objectifs de durabilité environnementale dans la gestion de leurs réserves», selon un communiqué. Libellé en dollar américain, le fonds est de droit suisse et géré par BIS Asset Management, la structure dédiée de la «banque des banques centrales». Il investit dans des obligations notées au minimum A- et qui suivent soit les Green Bond Principles de l’International Capital Market Association (ICMA), soit le Climate Bond Standard publié par la Climate Bonds Initiative.
La banque américaine cote depuis hier son premier fonds indiciel à Londres. Dix autres sont attendus sur le Vieux Continent dans les six prochains mois.
L’Établissement de retraite additionnelle de la fonction publique (Erafp) vient de signer le Tobacco-Free Finance Pledge de l’organisation internationale Tobacco Free Portfolios qui, depuis 2018, appelle les institutions financières du monde entier à se désinvestir de l’industrie du tabac. L’Erafp s’inscrit dans l’objectif de promotion des normes internationales auquel sa charte ISR fait référence.
La banque privée autrichienne Bank Gutmann a annoncé le recrutement de Robert Karas en qualité de responsable des investissements (CIO). Le natif de Vienne a commencé sa carrière dans le négoce des contrats d’options et futures et la gestion de portefeuille à la Bankhaus Berger à Salzbourg. Il a occupé de nombreuses fonctions dirigeantes dans le secteur des hedge funds en Suisse et au Liechtenstein, notamment chez LGT Capital Partners. Il était dernièrement responsable des investissements chez Schoellerbank et Bank Austria. La banque privée fondée en 1922 affiche des actifs sous gestion de 23,3 milliards d’euros à fin juin 2019.
Joachim Häger et Oddo BHF vont continuer de travailler ensemble au cours des trois prochaines années. Selon la presse spécialisée allemande, le groupe franco-allemand a accordé un nouveau mandat de trois ans à Joachim Häger, membre du directoire de BHF Bankresponsable de la gestion de fortune. Joachim Häger est membre du directoire en charge de la gestion de fortune au sein de BHF Bank depuis juillet 2016. Il est également membre du comité directeur de la maison mère, Oddo & Cie. Avant de rejoindre le groupe Oddo BHF, il a travaillé pendant 25 ans pour la Deutsche Bank dont il a dirigé pendant plusieurs années la gestion de fortune. Il a notamment été président du conseil de surveillance de Sal. Oppenheim et de Deutsche Oppenheim Family Office.
Dans ses activités de gestion d’actifs, gestion privée et distribution, le groupe Advenis a enregistré au premier semestreun chiffre d’affairesen hausse de 19,6%, à 17,6 millions d’euros, et ce malgré l’impact de la sortie du Pôle Financier qui a eu un impact négatif de 2,8 millions d’euros. Cette hausse de près de 20% est essentiellement liée à la SCPI Eurovalys, dont la collecte du premier semestre 2019 est près du double de celle du premier semestre 2018. Pour mémoire, le 19 septembre 2019, la société Advenis et la société C-Quadrat Luxembourg ont conclu un accord en vue de la cession par la société Advenis à la société C-Quadrat Luxembourg des 49% du capital et des droits de vote qu’elle détient dans le capital de la société C-Quadrat Asset Management France. Ledit accord a été conclu sous condition suspensive de l’obtention de l’autorisation préalable requise de l’Autorité des Marchés Financiers. Le prix de la cession, hors compléments de prix contractuellement prévus, est fixé à 1,8 milliond’euros. Cette hausse est essentiellement liée à la SCPI Eurovalys, dont la collecte du premier semestre 2019 est près du double de celle du premier semestre 2018. La dégradation de -0,6 million d’eurosde la marge brute à 8,6 millions d’euros résulte de la sortie du Pôle Financier, partiellement compensée par la croissance de la collecte de la SCPI Eurovalys. Le résultat opérationnel courant du pôle Gestion d’Actifs, Gestion Privée & Distribution est néanmoins en progression, de 0,7 million d’euros à 0,9 million d’euros en lien avec les gains de productivité des équipes de conseillers en gestion privée. Au total, le chiffre d’affaires du groupe a progressé de 5% à 34,3 millions d’euros, le résultat opérationnel courant passant de -1,3 million d’euros à -0,5 million d’euros tandis que le résultat net s’améliore de plus de 2 millions d’euros, à -2,3 millions d’euros contre -4,4 millions d’euros au premier semestre 2018 qui avait été grevé par des provisionnements.
Simone Westerfeld va succéder au 1er janvier 2020 à Roger von Mentlen, responsable des activités clientèle privée chez UBS Switzerland, selon un communiqué publié ce 26 septembre.Roger von Mentlen passe le relais après dix années au sein du groupe maisIl reste chez UBS jusqu’en avril 2020 afin d’assurer une transition en douceur. «Le palmarès de Roger von Mentlen inclut notamment le redressement après la crise financière ainsi que la transformation du réseau d’agences», soulignele communiqué. Simone Westerfeld travaillait précédemment à la Banque cantonale de Bâle (BCB). Elle aété nommée en 2018 suppléante du directeur général de la banque cantonaleavant de diriger les activités de la BCB en tant que directrice généraleintérimaire. Elle est également professeur de banque et finance à l’université de St-Gall. Par ailleurs, Martha Böckenfeld rejoint le comité exécutif de la Région Suisse au 1er novembre 2019 et prendrala directiondudépartement Digital Platforms & Marketplaces nouvellement créé. Martha Böckenfeldsera directement rattachée à Axel Lehmann, président d’UBS Switzerland.
La société irlandaise Cafico International, spécialisée dans les services aux fonds et aux entreprises, a annoncé avoir obtenu l’agrément de la Commission de Surveillance du Secteur Financier du Luxembourg pour fournir des services de domiciliation aux fonds. Dénommée Cafico Corporate Services, la filiale fournira également des services de comptabilité, de gestion et d’aide à la conformité. Le bureau luxembourgeois sera dirigé par Rodney O’Rourke, managing director du groupe. Le responsable des opérations sera Scott Mckinlay, et la responsable juridique et de la compliance sera Máiréad Lyons.
Aviva Investors, la branche de gestion d’actifs mondiale d’Aviva plc, a annoncé ce 26 septembrela nomination d’Ed Dixon au poste, nouvellement créé, de responsable Environnement, Social et Gouvernance (ESG) sur les actifs réels. Basé à Londres, Ed Dixon, qui a rejoint Aviva Investors le 16 septembre dernier, sera sous la responsabilité de Melanie Collett, responsable de la gestion d’actifs, Immobilier. Il sera en chargedu programme ESG de la plateforme actifs réels d’Aviva Investors, qui représente 45 milliards de livres sterling et englobe l’immobilier, les infrastructures et la dette privée. Ed Dixon cumule plus de 17 années d’expérience dans le secteur et a récemment occupé le poste de Sustainability Insights Director chez Landsec, où il était responsable de la stratégie de l’entreprise en matière de conception durable, de risque climatique et de transparence de la chaîne d’approvisionnement. Arrivé chez Landsec en janvier 2016, il y a dirigé l’intégration de la stratégie de développement durable de la société représentant 3,6 milliards de livres sterling ainsi que les fonctions de stratégie, recherche et gouvernance. Au cours de sa carrière, il a également occupé des postes chez Mace, Marks and Spencer’s et Simons Group. Ed Dixon est diplômé du programme de Leadership en développement durable de Harvard. Il est également titulaire d’un Executive MBA, obtenu avec mention, de la Cass Business School.
La Banque des règlements internationaux (BRI) a annoncé jeudi le lancement d’un fonds ouvert destiné aux investissements des banques centrales dans les obligations vertes. Cette initiative «aide les banques centrales à intégrer des objectifs de durabilité environnementale dans la gestion de leurs réserves», selon un communiqué. Libellé en dollar américain, le fonds est de droit suisse et géré par BIS Asset Management, la structure dédiée de la «banque des banques centrales». Il investit dans des obligations notées au minimum A- et qui suivent soit les Green Bond Principles de l’'International Capital Market Association (ICMA), soit le Climate Bond Standard publié par la Climate Bonds Initiative.
Le fonds coté Woodford Patient Capital Trust (WPCT) de Neil Woodford a indiqué le 26 septembre qu’il comptait déprécier trois de ses investissements dans des sociétés. Ces écritures réduiront de 3,1% la valeur nette des actifs de WPCT par rapport à la clôture du 25 septembre. Le fonds publiera ses résultats semestriels le 30 septembre.
L’Établissement de retraite additionnelle de la fonction publique (Erafp) vient de signer le Tobacco-Free Finance Pledge de l’organisation internationale Tobacco Free Portfolios qui, depuis 2018, appelle les institutions financières du monde entier à se désinvestir de l’industrie du tabac. L’Erafp s’inscrit dans l’objectif de promotion des normes internationales auquel sa charte ISR fait référence.
A l’occasion de Patrimonia, Natixis Investment Managers International va présenter ce jeudi son annuel Baromètre des conseillers financiers, que Newsmanagers a pu consulter en exclusivité. La société de gestion, qui a reçu 88 portefeuilles de CGP entre juin 2018 et juin 2019, a observé deux principales tendances. D’une part, une réduction générale du risque des portefeuilles, et d’autre part, une entrée en force de l’ISR. Natixis IM a ainsi noté que les CGP avaient réalloué les capitaux de leurs clients vers des fonds plus surs. Les portefeuilles prudents et équilibrés ont augmenté la part de fonds euros, tandis que les profils dynamiques se sont délestés des fonds actions pour sélectionner des fonds flexibles. Les fonds ISR représentent quant à eux désormais 15% des fonds en portefeuille chez les CGP. La société note enfin que les fonds alternatifs demeurent stables, à 8% des encours. Natixis IM a également réalisé un travail comparatif du taux d’allocation des fonds actions dans les portefeuilles des CGP en Europe. Sans surprise, les Français se sont montrés les moins en clin à prendre du risque sur les marchés. La société attribue cet état de fait au mode de financement des projets de vie individuels, en action au Nord, et en obligations d’Etat au Sud de l’Europe. Et, dans le contexte actuel de taux bas, de s’interroger «dans quelle mesure les objectifs financiers que se fixent les investisseurs individuels d’Europe du Sud, peuvent être atteints». Natixis IM a par ailleurs sondé quelques 9100 investisseurs individuels à travers le monde concernant leurs préférences financières. Parmi les principaux enseignements, on observe la poursuite de l’essor des ETF, «soutenu[e] par un contexte de compression des frais et des commissions de gestion». Cependant, il semblerait que beaucoup d’investisseurs aient des conceptions erronées vis-à-vis de ces produits. Selon l’enquête, «63% des investisseurs individuels dans le monde croient que « les fonds indiciels sont moins risqués » ; signe qu’un travail éducatif doit être mené», a prévenu Natixis IM.
Le pas est franchi. Goldman Sachs s’est lancé ce 26 septembre sur le marché européen des ETF. Il a choisi la Bourse de Londres, malgré le Brexit, pour coter son premier fonds indiciel, de type smart beta ,«ActiveBeta US Large Cap Equity ETF». Il s’agit de son flagship déjà commercialisé aux Etats-Unis depuis 2015. La banque américaine, réputée avant tout pour sa gestion active en matière de fonds d’investissement, projette de lancer jusqu’à 10 ETF en Europe dans les six prochains mois. Elle élargira ses places de cotation progressivement en passant par l’Allemagne, l’Italie et la Suisse. Certains de ses produits répliqueront des ETF sur les marchés US, mais d’autres seront construits spécifiquement pour le marché européen. «Nous travaillons à construire un business pour le long terme», a indiqué au Financial Times Michael Crinieri, directeur mondial des ETF chez GSAM. Goldman Sachs est le dernier grand acteur de la banque d’investissement américaine, après notamment JP Morgan, à se lancer sur le marché très concurrentiel des ETF en Europe. Celui-ci, a pour particularité d’être depuis quelques années dominé par les groupes américains comme BlackRock (avec la marque iShares), Vanguard. Invesco ou State Street (avec la marque SPDR). Ces géants n’auront pas mis longtemps à dominer des acteurs très fragmentés en Europe, n’ayant pas su maintenir la dynamique sur leurs parts de marché comme Lyxor ou DWS. Aux Etats-Unis, Goldman Sachs s’est décidé seulement en 2015 à se lancer sur le segment des ETF, un an après JP Morgan. Il y compte une gamme de 19 produits pour des encours de 14 milliards de dollars et compte en lancer encore une dizaine. Son concurrent JPMorgan a lui accéléré en 2018, en entrant sur le marché européen. Le groupe comptait 18 milliards de dollars d’encours sur les ETF fin 2018 au niveau global. Reste à savoir si le marché restera toujours aussi dynamique avec une moyenne de 20% de croissance par an en Europe. En août dernier, alors que pendant 58 mois consécutifs les ETF et ETP cotés sur le vieux continent avaient affiché une collecte positive, ils ont enregistré des flux nets négatifs de 7,86 milliards de dollars, selon le cabinet d'étude ETFGI. Les encours se sont contractés de 2,2% entre juillet et août, passant de 910,34 milliards de dollars à 890,21 milliards de dollars. Sur les huit premiers mois de l’année, les flux restent toutefois largement positifs avec des entrées nettes de 54,89 milliards de dollars.
Depuis l’embellie de la collecte des encours sur le marché de la gestion d’actifs amorcée en 2013 jusqu’à fin 2017, les effectifs des sociétés de gestion de portefeuille ont progressé de 19%, soit une création de près de 3.000 emplois en cinq ans, relève l’Autorité des marchés financiers (AMF) dans une étude publiée ce 25 septembre. Les effectifs déclarés par les sociétés de gestion de portefeuilledans le périmètre retenu par l’AMF, en croissance de 4,4% sur l’année 2018, s’établissent à 17 964 personnes au 31 décembre 2018. L’AMF estime que malgré le contexte économique européen en ralentissement, l’industrie française de la gestion d’actifs connaît un rythme de croissance soutenu, notamment grâce au dynamisme des sociétés entrepreneuriales, mais également à la relocalisation d’activités de plusieurs sociétés de gestion d’actifs à la suite du Brexit. Près de la moitié (47%) des salariés du secteur et du tiers (28%) des gérants sont concentrés au sein des 30 sociétés de gestion les plus importantes en termes d’effectifs, alors queplus des deux tiers (71%) des sociétés de gestion ont un effectif inférieur à 20 personnes.
Prudential a adouci les conditions de la séparation imminente de M&G, en offrant 100 millions de livres de dividendes supplémentaires aux investisseurs. La plus grande société d’assurances britannique a annoncé ce 25 septembre que son gérant et assureur M&G serait séparé en une entité distincte le 21 octobre - 10 jours avant que le Royaume-Uni ne quitte l’Union Européenne. Dans le détail, M&G ne va pas ouvrir son capital via cette transaction. Les actionnaires de Prudential recevront une action M&G pour toute action du groupe détenue actuellement. Ils recevront ensuite l’année prochaine un dividende spécial de 3,85 livres par action, pour un coût de 100 millions de livres.
Le teneur de marché Citadel Securities, qui fait partie desociété de gestion alternative Citadel, a annoncé l’ouverture d’un bureau à Zurich. La nouvelle antenne sera principalement impliquée dans la recherche et l’innovation, précise un communiqué. Le hedge fund du milliardaire Kenneth Griffin, dont les actifs sous gestion s'élèvent à plus de 32 milliards de dollars,est notamment spécialisé dans le trading haute fréquence. Le nouveau bureau sera dirigé par Nicolai Meinshausen qui rejoint Citadel à cette occasion mais qui conseillait la société américaine depuis 2013. Jusqu’ici, Nicolai Meinshausen était professeur de statistique à l’Ecole polytechnique (ETH) de Zurich. Sa mission chez Citadel sera d’accélérer la croissance du hedge fund en utilisant les ressources de l’analyse statistique et du machine learning.
Les fonds obligataires commercialisés dans le monde ont affiché des entrées nettes de 211 milliards d’euros au deuxième trimestre 2019 alors qu’ils avaient attiré236 milliards d’euros au premier trimestre2019, selon des statistiques communiquées par l’association européenne des gestionnaires d’actifs (Efama). Dans un contexte de ralentissement économique, les souscriptions obligataires ont surtout été marquées aux Etats-Unis (117 milliards d’euros) et en Europe (83 milliards d’euros). Ebranlés par la persistance des tensions commerciales, les fonds actions ont de leur côté subi des sorties de 36 milliards d’euros au deuxième trimestre, après avoir enregistré des rachats nets de 22 milliards d’euros au premier trimestre et des souscriptions de 99 milliards d’euros au quatrième trimestre 2018. L’Europe et les Etats-Unis ont affiché des sorties nettes de respectivement 33 milliards d’euros et 28 milliards d’euros qui n’ont pas été complètement compensées par des souscriptions de 18 milliards d’euros au Japon et de 8 milliards d’euros en Chine. Du côté des fonds monétaires, des divergences ont marqué les flux du deuxième trimestre. Aux Etats-Unis, les fonds monétaires ont ainsi attiré 107 milliards de dollars alors qu’en Chine, ils ont affiché des dégagements de 61 milliards de dollars en raison de la baisse des rendements et de la concurrence des produits de gestion de fortune proposés par les banques. Les actifs des fonds ouverts se sont accrus de 1,6% dans le monde pour s’établir à 48.800 milliards d’euros au terme du deuxième trimestre, la collecte nette des fonds représentant 316 milliards d’euros sur la période.
Un panel de la conférence Alfi, au Luxembourg, était consacré aux nouvelles règles sur la distribution transfrontalière des fonds Ucits et AIF adoptées par le parlement européen le 18 avril dernier.
KBL European Private Bankers (KBLepb), qui opère dans 50 villes en Europe, a annoncé ce 25 septembrela nomination de Colin Price en tant que group chief operating officer et membre de l’Authorized Management Committee, sous réserve de l’approbation des autorités réglementaires. Colin Price, qui a 35 ans d’expérience dans le conseil aux grandes entreprises du monde entier sur la manière de libérer pleinement leur potentiel, supervisera un large éventail de fonctions de support, incluant les départements IT, opérations, ressources humaines, marketing et immobilier. Il participera personnellement au succès à long terme du groupe par le biais d’un co-investissement important, précise un communiqué. Ancien associé chez PwC et McKinsey qui a créé sa propre société de conseil en 2014, ColinPrice était auparavant CEO de Heidrick Consulting, une division de Heidrick & Struggles. Il a également été professeur invité à l’Imperial College de Londres et membre associé de la Saïd Oxford, l’école de commerce de l’Université d’Oxford. De nationalité britannique, Colin Price est diplômé en économie, en relations industrielles et psychologie, ainsi qu’en comportement organisationnel. Il est co-auteur de plusieurs ouvrages, dont le plus récentAccelerating Performance: How Companies Can Mobilize, Execute and Transform with Agility. Dans ses nouvelles fonctions, il travaillera aux côtés d'Éric Mansuy, qui a assumé le poste de group COO depuis l’automne dernier et qui est nommé group chief information technology & operations officer, reflétant ses domaines de compétence et relevant de Colin Price. Eric Mansuy, qui a rejoint KBLepben 2014 en tant que group chief information officer, était auparavant chief information officer chez RBC Investor Services. De nationalité française, diplômé de l’Université de Lorraine et de l’IMD Business School, il a occupé plusieurs postes à responsabilité au sein du département informatique de la Banque Internationale à Luxembourg, jusqu’au poste de responsable des services informatiques. « Je connais Colin depuis de nombreuses années et j’ai bénéficié de sa vision stratégique en tant que conseiller de confiance », a dit Jürg Zeltner, Group CEO et membre du Conseil d’Administration de KBLepb, où il a pris une participation importante. « Je suis ravi qu’il ait rejoint l'équipe de Direction de notre Groupe en tant que partenaire à part entière ».
Newronika, une spin-off du centre de recherche neurologique de renommée mondiale Policlinico de Milan et de l’Université de Milan, a annoncé ce 25 septembreune levée de fonds en Série A de 8,4 millions d’euros. L’opération a été menée par Omnes, accompagné des investisseurs existants Innogest et Indaco Venture Partners SGR (« Indaco SGR ») pour le compte des fonds Indaco Ventures I et Atlante Ventures. F3F et un family office ont également participé à la syndication. A noter que Innogest, qui fut parmi les premiers investisseurs de Newronika, a renforcé son investissement pour devenir le principal actionnaire de la société. Newronika a mis au point un système en circuit fermé pour la stimulation cérébrale profonde (SCP), le premier du genre. La technologie sera initialement appliquée aux patients atteints de Parkinson, et d’autres indications pourraient suivre. Cette levée permettra à Newronika de financer sa première étude clinique chez l’homme, d’obtenir le marquage CE et l’approbation IDE de la FDA. « Newronika est la première société à développer un système en circuit fermé pour le traitement de la maladie de Parkinson. La technologie de Newronika est à la pointe de la stimulation cérébrale profonde », a déclaré Lorenzo Rossi, PDG de la société. « Notre solution est jugée indispensable, et particulièrement attendue par la communauté médicale depuis l’invention du premier système SCP par Medtronic, il y a plus de 20 ans. Notre technologie permet d’enregistrer l’activité électrique des noyaux gris centraux et d’adapter la stimulation en temps réel. Ceci change la donne dans le domaine neurologique et ouvre de nombreuses applications potentielles. Nous voulons créer une plateforme d’indications pour notre technologie, allant de la maladie de Parkinson à la lésion cérébrale traumatique, et bien plus encore ».
A l’occasion de Patrimonia, CPR AM va lancer, via sa marque Le Comptoir, la solution gratuite d’allocation «Smart Allocation», dédiée aux CGP utilisateurs d’O2S, une solution conçue par Harvest. Développée en partenariat avec Harvest, Smart Allocation est disponible sur O2S, un logiciel d’agrégation de comptes permettant de définir les profils clients. Conçue en architecture ouverte, sur la base des 100 unités de compte les plus référencées dans les 13 contrats d’assurance-vie majoritairement utilisés par les conseillers, Smart Allocation met à leur disposition cinq portefeuilles modèles d’allocation dont la construction est assurée par CPR AM et correspondant aux cinq profils de risque clients déjà disponibles dans O2S (2 à 6).
Banque J. Safra Sarasin (Luxembourg) SA a annoncé ce 25 septembrel’ouverture d’un bureau à Amsterdam.Le bureau fonctionne comme une succursale de Banque J. Safra Sarasin (Luxembourg) SA et est dirigé par Marvin Kreuger, sous l’autorité de Jules Moor, CEO de Banque J. Safra Sarasin (Luxembourg) SA. Marvin Kreuger et son équipe de banquiers privés expérimentés participent ainsi à la stratégie continue d’expansion des activités de banque privée du groupe. Ils se concentreront désormais sur le développement futur de l’activité sur le marché domestique néerlandais, souligne un communiqué. La Banque J. Safra Sarasin (Luxembourg) SA – Dutch Branch offre une alternative aux clients privés néerlandais fortunés qui ont besoin de solutions sur mesure, d’une attention personnalisée, ainsi que de solutions d’investissement durables, éprouvées et reposant sur de nombreuses années d’expérience.
Encore un départ d’un cadre dirigeant chez UBS. Ellen Bakke, responsable de la stratégie clientèlede la division gestion de fortune en Europe pour le groupe UBS, quitte la société, ont indiqué au site spécialisé finews deux sources bien informées. Ellen Bakke avait pris ses fonctions en janvier dernier, rattachée à la responsable mondiale de la stratégie client, Paula Polito. Ellen Bakke pilotait également les centres d’excellence en Suisse. Après seize années passées au sein du groupe dans différentes fonctions, elle a décidé de quitter UBSpour poursuivre «d’autres intérêts et passions», selon une note au personnel émanant de Paula Polito. Elle est remplacée temporairement par Rainer Hauser, responsable mondial de la gestion de fortune. Ce départ fait suite suite à plusieurs autres défections de cadres à quelques encablures de l’arrivée d’Iqbal Khan à la tête de la gestion de fortune d’UBS, aux côtés de Tom Naratil.
Jérémy Touboul, gérant obligataire chez H2OAsset Management, a quitté la société ainsi que la gestion de plusieurs fonds, a appris Citywire Deutschland. Un départ qui pourrait être lié, diront certains, aux turbulences du mois de juin, période durant laquelle la société de gestion avait subi des retraits massifs. Selon le site, Jérémy Touboul aurait abandonné le navire, rejoint au moment de sa création en 2010, pour raisons personnelles. Durant ses quelque dix années passées chez H2O, Jérémy Touboul a notamment travaillé aux côtés de Bruno Crastes, cofondateur de la société, sur son fonds phare MultiBonds, dont les actifs sous gestion s'élèvent à environ 4,6 milliards d’euros. Il sera remplacé sur ce fonds par Philippine Watteaux, présente chez H2Odepuis sa création, quiprend la responsabilité du fonds. Elle a également été retenue pour gérer le H2OMultiReturns aux côtés du responsable des investissements (CIO), Vincent Chailley.
Mike Corcell, co-gérant du fonds RWC Us Absolute Alpha, quitte RWC. Son co-gérant Alex Robarts va aussi partir après une période de transition. Le fonds continuera à être géré par RWC Asset Management. Mike Corcell avait rejoint RWC en 2009 pour y créer une équipe actions américaines. Il travaillait précédemment pour SAC et pour Threadneedle Investments. Alex Robarts est aussi arrivé il y a 10 ans, ayant travaillé avec Mike Corcell chez Threadneedle. RWC gère 18 milliards de dollars en 2019.
OFI Asset Management a annoncé le recrutement d’Anissa Aitali comme chargée des relations CGPI. Elle rejoint l’équipe constituée par Bertrand Conchon, directeur adjoint des partenariats distribution, au sein de la direction du développement distribution pilotée par Mathieu Caillier. Diplômée de la SKEMA Business School, Anissa Aitali arrive de CBT Gestion chez qui elle était chargée de développement. Elle a également travaillé chez Primonial et ABN Amro Investment Solutions dans le domaine des relations clients.