Depuis le 1er janvier, les clients de l’assureur-vie Allianz Lebensversicherungs-AG (Allianz Leben) ont la possibilité de choisir des fonds développement durable, des produits de gestionnaires externes et des ETF pour leurs contrats d'épargne-retraite en unités de compte. La liste en a été publiée le 3 février.Dans la première catégorie figurent le fonds Allianz RCM Global Sustainability – A – EUR, un produit «best-in-class» ainsi que les fonds ISR Allianz Euroland Equity SRI – A – EUR, Pioneer Funds Global Ecology A, Sarasin OekoSar Equity – Global – A – EUR et Sarasin Sustainable Bond EUR, qui sont gérés en fonction de critères environnementaux, sociaux et gouvernementaux.Par ailleurs, Allianz Leben a ouvert sa gamme à trois fonds DWS (DWS Top Dividende, DWS Vermögensbildungsfonds I et DWS Deutschland) ainsi qu’au fonds Aberdeen Global Emerging Markets Equity.De plus, l’offre s'élargit aux ETF avec l’insertion dans la liste de quatre produits ComStage, les ComStage ETF DAX® FR, ComStage ETF EURO STOXX 50® FR, ComStage ETF S&P 500 et ComStage ETF MSCI World TRN.
Le pôle Asset and Wealth Management (AWM) au sein de la division PCAM (Private Clients and Asset Management) de la Deutsche Bank a réalisé en 2010 un produit net de 3,9 milliards d’euros, en progression de 1,2 milliard d’euros ou 46%, par rapport à l’année précédente. Une partie de ce gain (646 millions d’euros) est liée aux acquisitions de Sal. Oppenheim/BHF. Sur l’ensemble de l’année, AWM a dégagé un bénéfice avant impôts de 100 millions d’euros, dont une perte de 368 millions d’euros liée aux acquisitions de Sal. Oppenheim/BHF. En 2009, le résultat imposable s'était inscrit à 200 millions d’euros. Au 31 décembre dernier, les actifs sous gestion d’AWM s'élevaient à 873 milliards d’euros, en hausse de 27 milliards par rapport à fin septembre 2010. Les seuls actifs sous gestion de la partie Asset Management ont progressé de 17 milliards d’euros, sous le triple impact des taux de change, de l’effet marché et d’une collecte nette de 4 milliards d’euros.
Le 3 février, Standard Life Investments (SLI) a annoncé que sa stratégie Global Absolute Return Strategies portfolio (GARS, lire notre article du 29 janvier 2010), lancée en novembre 2005 et qui a déjà levé 8 milliards d’euros, est désormais disponible sous forme de sicav au Royaume-Uni (où il était commercialisé sous forme d’unit trust depuis 2008), en Allemagne, au Danemark, en Espagne, en Finlande, en Irlande, au Luxembourg, en Norvège, aux Pays-Bas et en Suède.Ce produit a réalisé sur les trois dernières années (au 31 décembre 2010) une performance brute annualisée de 8,62 % avec une volatilité de 7,5 %. Son objectif consiste à surperformer de 500 points de base l’euribor 6 mois.
Selon l’Agefi, le conseil en immobilier CB Richard Ellis vient de lancer avec GFI Group en Europe une plateforme, PropertyMatch, sur laquelle les investisseurs peuvent échanger des parts dans des fonds immobiliers. Ce portail de marché secondaire existe depuis deux ans au Royaume-Uni.
Standard Life Investments a fait enregistrer son fonds Global Absolute Return Strategies (GARS) dans la plupart des pays d’Europe continentale. Compartiment de la sicav luxembourgeoise de la société de gestion, le produit est désormais disponible au Danemark, en Finlande, en Allemagne, en Irlande, au Luxembourg, aux Pays-Bas, en Norvège, en Espagne et en Suède. La version sicav est aussi agréée au Royaume-Uni, où un unit trust existe depuis 2008. La stratégie GARS, lancée en novembre 2005, cherche à dégager un rendement absolu similaire à ce que l’on pourrait attendre des actions sur le long terme, mais avec moins de risques, au travers d’une allocation multi-actifs et multi-marchés. Elle est gérée par 24 professionnels de l’investissement et représente 8 milliards d’euros gérés pour le compte de 331 clients institutionnels.
Jupiter a annoncé le 3 février que sa sicav luxembourgeoise Jupiter Global Fund était désormais enregistrée aux Pays-Bas et au Portugal. Cette évolution est une nouvelle illustration de la volonté de développement de Jupiter au-delà de ses principaux marchés que sont l’Allemagne, la France et la Suisse.Le nombre de compartiments disponibles au travers de la sicav luxembourgeoise est passé de sept il y a trois ans à quatorze actuellement. Les actifs sous gestion de la sicav s'élèvaient à 1,1 milliard de livres au 31 décembre 2010.
Les actifs sous gestion du groupe américain de gestion d’actifs Eaton Vance s'élevaient à 188,7 milliards de dollars au 31 décembre 2010 contre 185,2 milliards au 31 octobre.Les encours en actions ont progressé à 113,7 milliards de dollars contre 109,1 milliards alors que le fixed income s’est contracté à 42,3 milliards de dollars contre 54,2 milliards précédemment.
Le bénéfice distribuable de The Blackstone Group pour 2010 est ressorti à 702 millions de dollars, dont 239 (+ 12 %) au quatrième trimestre, contre 479 millions pour l’année précédente tandis que la perte aux normes GAAP se sont contractées à 370 millions de dollars contre 715 millions, après charges nettes liées à l’introduction en Bourse et aux acquisitions. A fin décembre, les actifs sous gestion rémunérés (fee-earning assets under management) tout comme l’encours total ont atteint de nouveaux records avec respectivement 109,5 milliards (contre 96,1 milliards) et 128,1 milliards de dollars.Durant l’exercice 2010, Blackstone a engagé environ 10 milliards de dollars de nouveaux investissements dans ses différentes activités. Au 31 décembre, le groupe disposait de 30 milliards de dollars de «poudre sèche» disponibles pour des investissements.
Le groupe américain Ameriprise Financial a fait état pour le quatrième trimestre 2010 d’un résultat net de 305 millions de dollars contre 237 millions un an plus tôt. Sur l’ensemble de l’année, le bénéfice net affiche un bond de 55% à 1,1 milliard de dollars.Ameriprise souligne dans un communiqué qu’au quatrième trimestre 2010, les activités Advice & Wealth Management et Asset Management ont représenté 54% du résultat d’exploitation avant impôts contre 30% un an plus tôt. Les actifs sous gestion du pôle Asset Management ont fait un bond sur l’année de 88% à 457 milliards de dollars. Cette progression significative, liée à l’acquisition de Columbia Management et à l’effet marché, a été malgré tout amputée par de la décollecte. Dans la partie «retail», Threadneedle, dont les actifs sous gestion ont progressé de 8% à 106 milliards de dollars, a enregistré une collecte significative si bien que la décollecte nette a reflué à 290 millions durant le trimestre sous revue. Du côté institutionnel, la décollecte nette s’est élevée à 5,7 milliards de dollars, dont 4,7 milliards de portefeuilles d’assurances. Dans le pôle Advice & Wealth Management, les actifs de la clientèle «retail» se sont accrus de 12% sur un an à 329 milliards de dollars.
L’investisseur activiste Edward Bramson a remporté sa bataille pour le contrôle de la société de gestion britannique F&C, dont il détient 17 % du capital via sa société Sherborne Investors. Ses résolutions visant à se placer à la tête de la société ont en effet été massivement approuvées par les actionnaires lors de l’assemblée générale extraordinaire du 3 février qui avait été convoquée à sa demande.Dans le détail, 65 % des actionnaires ont voté en faveur du départ de Nick MacAndrew, président et administrateur de la société et 61 % pour le retrait de Brian Larcombe en tant qu’administrateur. Dans le même temps, 70 % des actionnaires se sont prononcés en faveur de la nomination d’Edward Bramson en tant qu’administrateur, lequel devrait être désigné nouveau président de F&C. Enfin, 54,7 % et 70,8 % des actionnaires ont respectivement choisi de nommer Ian Brindle et Derham O’Neill comme membres du conseil d’administration.Le total des votes sur les cinq résolutions ont représenté plus de 80 % du capital émis de F&C.C’est en plein mois d’août que Sherborne Investors, qui se définit comme une société d’investissement spécialisée dans le redressement des entreprises, avait annoncé l’acquisition de 5 % de F&C. Cette participation a par la suite été élargie jusqu’à représenter 17 % du capital environ. Et fin décembre, Sherborne avait demandé la tenue d’une assemblée générale extraordinaire afin de limoger la direction actuelle.
Selon Hedge Week, Frontier Investment Management a annoncé un renforcement de sa gamme de fonds multi-classes d’actifs avec le lancement du IFDS Frontier Map Cautious Fund. Le nouveau fonds, qui devrait être lancé le 9 février prochain, devrait comprendre huit classes d’actifs, à savoir les actions internationales, les obligations internationales, les actions émergentes, les obligations émergentes, l’immobilier international, les matières premières, les hedge funds et les managed futures. L’allocation de ce fonds devrait proposer aux investisseurs une moindre volatilité des rendements que le fonds diversifié. La proportion du Cautious fund investie dans les classes d’actifs obligataires sera en conséquence sensiblement revue à la hausse.
Récemment, HSBC a fait enregistrer par la CNMV deux produits, HSBC MSCI World ETF et HSBC MSCI Turkey ETF. Le gestionnaire a indiqué à Funds People qu’il compte commercialiser cette année une série d’ETF supplémentaires en Espagne. Ils répliquent des indices obligataires et d’actions.
Le Santander déclare pour 2010 un bénéfice net en baisse de 8,5 % sur 2009 à 8,18 milliards d’euros et une détérioration de 1,6 point de son coefficient d’exploitation à 43,3 % contre 41,7 %. Le «core capital» s’affiche à 8,8 % contre 8,6 %.Le bénéfice net de la division assurances et gestion d’actifs s’est accru de 15,2 % à 462 millions d’euros.Pour leur part, les actifs gérés dans des fonds d’investissement ont augmenté en un an de 7,9 % à 113,51 milliards d’euros, tandis que l’encours des fonds de pension se tassait de 3 % à plus de 10,96 milliards d’euros (lire notre article du 5 février 2010).
Selon Asian Investor, Harvest Global Investments (dans laquelle la Deutsche Bank détient une participation de 30 %) vient de recruter Choy Peng Wah en qualité de vice chairman et CEO de Harvest à Hong Kong à compter du 14 février.Choy Peng Wah est actuellement directeur général adjoint chez Fullerton Fund Management à Singapour.
Selon L’Agefi suisse, une étude réalisée par la société de conseil Etops vient contredire l’idée prédominante en Europe selon laquelle Genève est le site le plus attrayant pour les hedge funds en Suisse. Au contraire, la société estime qu’avec Zoug et Pfäffikon, la région zurichoise «se démarque nettement de Genève» comme place financière de choix pour l’établissement de gérants d’actifs ou de hedge funds. En effet, la région zurichoise concentre quelque 40% des investisseurs suisses susceptibles d’investir dans les hedge funds, comparé à 30% pour Genève, argumente la société de conseil, elle-même basée à Pfäffikon.
Selon L’Agefi suisse, Martin Gut est depuis le début de l’année le nouveau directeur de l’activité institutionnelle de BlackRock en Suisse. Il était auparavant responsable des relations avec les grands clients institutionnels en Suisse chez Credit Suisse, où il avait auparavant dirigé pendant dix ans l’activité de «Bond Trading» du Crédit Suisse.
Le secteur suisse de la gestion d’actifs et des fonds de placement s’est bien développé en 2010 et envisage l’avenir avec optimisme. «Cette année, il conviendra de viser et de mettre en oeuvre de manière résolue de nouvelles améliorations des conditions cadres», souligne la Swiss Funds Association (SFA, l’organisation professionnelle représentative de l’industrie suisse des fonds de placement) dans un communiqué.Fin 2010, précise le communiqué, 7191 placements collectifs de capitaux étaient autorisés à la distribution publique en Suisse (6502 l’année précédente), dont 1400 (1343 auparavant) fonds de droit suisse. «Le marché suisse des fonds de placement et de la gestion d’actifs s’est bien redressé après la crise financière, et se trouve à nouveau sur les rails. Certes, il présente encore un potentiel de progression, d’autant plus marqué que la confiance des investisseurs n’a pas été complètement rétablie. Mais la Suisse est bien équipée pour relever brillamment les défis à venir», estime Martin Thommen, président de la SFA, cité dans le communiqué.L’association relève que ses interventions constantes en vue de corriger la directive sur les gestionnaires de fonds d’investissement alternatifs (directive AIFM) se sont également révélées payantes: comparée au texte initial, la version finale comportant des améliorations pour la Suisse et ses gestionnaires d’actifs. Les autorités helvétiques compétentes doivent maintenant appliquer le plus rapidement possible les mesures requises, en étroite collaboration avec les associations professionnelles.Dans le cadre d’OPCVM IV, le remplacement du prospectus simplifié par le nouveau Key Investor Information Document (KID) revêt une importance centrale pour la Suisse. «Nous nous engageons afin que l’introduction du KID pour les organismes de placement collectif en valeurs mobilières (OPCVM) des acteurs suisses du marché intervienne parallèlement au marché européen. Cela doit également être vérifié pour les fonds suisses ouverts au public, qui requièrent toutefois davantage de temps. En outre, certaines adaptations de la loi fédérale sur les placements collectifs de capitaux (LPCC) s’imposent afin de parvenir à l’amélioration, visée par le législateur, des conditions réservées aux placements collectifs de capitaux helvétiques», indique Matthäus Den Otter, directeur de la SFA.A noter enfin que le nombre de membres de l’association a encore progressé de 10% en 2010 pour compter 171 établissements. Parmi les nouveaux membres actifs figurent notamment Aberdeen AM Switzerland, Dexia AM Luxembourg SA, Genève, Jabre Caital Partners SA, Genève, LGT Capital Partners SA, Pfäffikon, Partners Group et Reyl AM SA, Genève.
L’Agefi rapporte que le Crédit Mutuel CIC a annoncé avoir fusionné ses trois filiales spécialisées dans le capital investissement au sein d’une entité unique, CM-CIC Capital Finance. La société pourra prendre des participations d’un à 100 millions d’euros au capital des entreprises, précise le quotidien.
Richmond Park Capital (RPC), la maison mère de Richmond Park Partners, va racheter la société de multigestion alternative Olympia, détenue par Sagard Private Equity Partners et les collaborateurs et dirigeants d’Olympia CM, précise un communiqué publié vendredi 4 février. Ces derniers se sont engagés à demeurer au sein du groupe une fois cette opération finalisée après approbation des autorités réglementaires.RPC précise qu’elle compte aider l’actuelle équipe de direction d’Olympia CM - qui gère aujourd’hui autour de 1,5 milliard d’euros - à développer son activité notamment en s’appuyant sur les atouts de son processus d’investissement, en élargissant sa gamme de produits et en renforçant son approche marketing. Les conditions de l’opération n’ont pas été divulguées.
En 2010, l’encours de JPMorgan Asset Management en France s’est accru grâce aux souscriptions nettes de 260 millions de dollars pour ressortir à 4,5 milliards de dollars.Interrogée lors du de la conférence annuelle de JPMAM le 3 février, Karine Szenberg, directeur général de JPMAM en France, a indiqué à Newsmanagers que la part des institutionnels dans l’encours de la maison a atteint désormais 36 % contre environ 30 % fin 2009.Les produits qui se sont le mieux vendus en 2010 sont ceux d’actions émergentes, de ressources naturelles, d’obligations «flexibles» et de dette émergente.Pour 2011, JPMAM devrait surtout porter son effort commercial sur le fonds obligataire de stratégie mondiale (JPM Global Strategic Bond fund, un produit «meilleures idées»), sur la dette émergente en monnaie locale et sur les émergents, surtout le Brésil et le Moyen-Orient/Afrique.Avec l’acquisition de Gavea par la filiale Highbridge (lire notre article du 2 novembre 2010), la maison compte aussi promouvoir le private equity brésilien et latino-américain, de même que sur la stratégie «leveraged loans» de Highbridge. Il devrait aussi y avoir une stratégie de matières premières du même Highbridge, sous forme coordonnée, et un produit d’arbitrage de fusions au second semestre.
Selon nos informations, Sébastien Barbe va quitter Rothschild & Cie Gestion. Le responsable emblématique du pôle obligataire de la société de gestion qui avait été nommé il y a quelques jours gérant de la maison après avoir occupé la fonction de directeur de la gestion de taux, profiterait d’une opportunité extérieure lui permettant d'élargir son domaine de compétence. Toujours selon nos informations, la fonction qu’il occupe actuellement devrait être également revue de façon à ce que la gestion des fonds «convertibles Europe» dont il avait la responsabilité à côté de la gestion des fonds obligataires purs revienne dans le giron «Actions» et «Diversifiés», sous la responsabilité directe de Didier Bouvignies et Philippe Chaumel, respectivement directeur de la gestion et co-responsable de l’allocation d’actifs et de la gestion des portefeuilles actions et diversifiés.En termes de gestion, du côté des fonds d’obligations convertibles, Krystell Agaesse, co-gérante depuis 4 ans, devrait assurer la transition. Un recrutement serait également en cours pour renforcer le pôle en question. Quant au pôle obligataire pur, il se concentrerait désormais sur la gestion des fonds Etats euro, Credit euro ainsi que des mandats assurantiels en restant sous la responsabilité de l'équipe actuelle composée de Christophe Peyraud, Emmanuel Petit et Julien Boy. Enfin, dans l’attente du recrutement d’un directeur de l'équipe obligataire et monétaire - les rôles et responsabilités au sein du pôle Monétaire restant inchangés -les équipes devraient reporter directement à Didier Bouvignies.
La plate-forme indépendante d'épargne salariale et retraite Debory Eres a indiqué avoir atteint les 500 millions d’euros d’encours sous gestion dans ses OPCVM d'épargne salariale. Deux nouvelles sociétés de gestion, Edmond de Rothschild Asset Management et Comgest, sont désormais présentes dans les offres de la plateforme lancée en 2007 et rejoignent Actis Asset Management, Carmignac Gestion, DNCA Finance, Financière de l’Echiquier, la Financière Tiepolo, Montpensier Finance, Sycomore Asset Management, Tikehau Investment Management, Tocqueville Finance et UFG-LFP.
Le groupe PlaNet Finance a annoncé le 3 février la conclusion d’une alliance stratégique avec la société de gestion d’actifs en microfinance responsable responsAbility. Cette alliance va prendre la forme d’une prise de participation de responsAbility dans PlaNIS. Autrement dit, les deux parties veulent instaurer une coopération de long terme qui devrait déboucher sur la mise en place de processus d’investissement pleinement intégrés, permettant à PlaNIS de renforcer sa présence au plan local et d’accroître les synergies entre responsAbility et le Groupe PlaNet Finance. Les modalités financières de l’opération n’ont pas été divulguées.Cette prise de participation dans PlaNIS, qui opèrera sous le nouveau nom de PlaNIS responsAbility SAS, est la conséquence naturelle d’un partenariat fructueux débuté en 2005, explique un communiqué de Planet Finance. L'équipe de 15 analystes financiers et responsables d’investissement de PlaNIS, partenaire privilégié de responsAbility, est en relation avec 77 institutions de microfinance réparties dans 25 pays, principalement en Asie centrale, dans le Caucase, en Asie, en Amérique latine et en Afrique de l’Ouest, représentant un portefeuille d’encours de prêts de 179 millions. de dollars. Cette expertise conjuguée à l’ouverture imminente de bureaux locaux de représentation à Lima (Pérou), à Nairobi (Kenya) et en Inde, permettra à responsAbility d’offrir aux partenaires et emprunteurs locaux des services directs et des processus d’investissement efficients et intégrés. L’un des principaux objectifs de ce partenariat vise à réduire les coûts de transaction, comparativement élevés au sein de l’univers d’investissement. Les institutions de microfinance et les investisseurs devraient bénéficier de gains d’efficacité. En outre, le groupe Planet Finance et ses partenaires développeront des synergies positives avec responsAbility, notamment en matière de structuration et développement de produits d’investissement sociaux. A fin décembre 2010, responsAbility gérait un portefeuille de 900 millions de dollars répartis dans 344 institutions et 65 pays.
La Commission européenne a annoncé la réouverture aujourd’hui dans cinq pays des registres nationaux de permis d'émission de CO2, deux semaines après avoir suspendu les transactions spot sur ce marché en raison de vols. Les registres de la France, de l’Allemagne, de la Slovaquie, des Pays-Bas et de la Grande-Bretagne redémarrent leurs activités habituelles ce matin, a annoncé l’exécutif européen.
Le fonds d’investissement réfléchit à une vente cette année de l’enseigne française de déstockage discount qu’il a rachetée en avril 2007, a indiqué à Reuters Pascal Stefani, le gérant à Paris d’Advent International. L’enseigne avait atteint près de 165 millions de chiffres d’affaires en 2010 contre 83 millions en 2006. Advent International vient juste de vendre la chaîne allemande de mode Takko au fonds Apax Partners.
La société d’investissement américaine pense lancer la levée de fonds pour son prochain fonds immobilier, Blackstone Real Estate Partners VII, cette année. Le véhicule pourrait atteindre la mêmetaille que celui mis sur pied en 2008, soit dix milliards de dollars. Celui-ci, BREP VI, est actuellement investi à 70%.
Le Crédit Mutuel CIC a annoncé avoir fusionné ses trois filiales spécialisées dans le capital investissement au sein d’une entité unique, CM-CIC Capital Finance. La banque mutualiste explique que la nouvelle société, née du rapprochement de CIC Finance, CIC Banque de Vizille et IPO, conservera ses implantations en province à Lyon, Nantes, Strasbourg, Lille et Bordeaux, en plus de son siège à Paris. CM-CIC Capital Finance interviendra sur l’ensemble des métiers du financement en haut de bilan, à savoir le capital risque, le capital développement, le capital transmission, le conseil et l’ingénierie financière. La société pourra prendre des participations d’un à 100 millions d’euros au capital des entreprises. «CM-CIC Capital Finance compte plus de 2,6 milliards d’euros investis en France et à l’international», rappelle la banque.
Le gendarme financier américain a indiqué avoir lancé des poursuites à l’encontre de six consultants soupçonnés d’avoir alimenté des fonds alternatifs en informations privilégiées. Quatre d’entre appartiennent au secteur technologique, employés par Apple, AMD, Dell ou encore Flextronics.