p { margin-bottom: 0.08in; } The former head of Merrill Lynch and its head of private banking in Spain (until 2009), Eva Castillo, who has since served on the board of directors at Telefónica, has been recruited as non-executive director fo Old Mutual, Expansión reports. She will sit on the risk, appointment and remuneration committees.
p { margin-bottom: 0.08in; } M&G Investments has launched an inflation-linked corporate bond fund dedicated to private einvestors in Italy, entitled M&G European Inflation Linked Corporate Bond, which is already available in Spain and France. The product will be co-managed by Jim Leaviss, head of fixed income at M&G, and Ben Lord, fund manager.
p { margin-bottom: 0.08in; } According to reports in Il Sole – 24 ore, an agreement between the directors of UniCredit and Jean-Pierre Mustier are at the signature stage. The former director of the investment bank of the Société Générale group would succeed Sergio Ermotti as head of the corporate & investment banking division of the Italian bank. His appointment should be approved at the next meeting of the board of directors at UniCredit, scheduled for 22 February.
p { margin-bottom: 0.08in; } Agefi Switzerland reports that assets under management at the Cantonal Bank of Grisons increased last year by 6.5%, to CHF26.49bn. Net inflows totalled CHF1.78bn. Net profits increased 7.1%, to CHF154.1m.
p { margin-bottom: 0.08in; } Due to costs related to the integration and restructuring after the purchase of ING Bank in January 2010, as well as depreicaiton on goodwill, net profits at the Julius Baer group by IFRS accounting standards in 2010 fell 9% to CHF353m. Excluding these elements, net profits increased 6% to CHF504m. Due to a reduction in gross margins, and partly due to the appreciation of the Swiss franc, the cost-income ratio deteriorated to 65.4% from 63.1%.As of the end of December, assets under management had increased to CFH170bn, up from CFH154bn one year earlier. This increase of CHF16bn is due to CHF14bn in assets from the acquisition of ING Bank, CHF9bn in net inflows, CHF8bn in positive market effects, and a currency loss of CHF14bn due to the devaluation of the euro and the US dollar against the Swiss franc.Net subscriptions represented 6% of AUM as of the beginning of the year, compared with 4% in 2009, largely due to strong inflows from growth markets, particularly Asia, Russia, Central and Eastern Europe, and Latin America, as well as to domestic activities of the German bank.As of the end of 2010, total client assets came to CHF267bn, while savings assets as of the end of December totalled CHF98bn, compared with CHF87bn one year earlier, largely due to CHF7bn in net inflows.
p { margin-bottom: 0.08in; } On 3 February, JPMorgan Asset Management (JPMAM) received a sales license in Germany for the new Emerging Markets Investment Grade Bond Fund, a sub-fund of its Luxembourg Sicav JP Morgan Funds, which was launched on 29 November 2010.As its name indicates, the portfolio is invested in emerging market bonds rated at least BBB-. About 70% of assets are invested in government bonds, and the remainder in corporate bonds, denominated in US dollars or euros.Michael Mewes, head of the fixed income team at JPMAM in Frankfurt, says that more than half of bond issues in these markets are rated investment grade, and that they often have attractive spreads, which makes it possible to earn higher reutrns than from bonds in industrialised countries, which are expected to remain low.The new fund is managed by Pierre-Yves Bareau, CIO for emerging market debt, with Alain Defise (who also came to the firm from Fortis Investments) as co-manager. In Paris on 3 February, Bareau mentioned corporate bonds as among his favourite investments, because emerging market corporates have returns 100 basis points higher than developed countries bonds “with a rating one nothc higher.”
M&G Investments vient de lancer un fonds d’obligations d’entreprises indexées sur l’inflation dédié aux investisseurs privés en Italie, le fondo M&G European Inflation Linked Corporate Bond, déjà commercialisé en Espagne et en France. Le produit est co-géré par Jim Leaviss, respnsable des taux de M&G, et Ben Lord, gérant.
D’après les informations de Il Sole – 24 Ore, un accord entre les dirigeants d’UniCredit et Jean-Pierre Mustier serait sur le point d’être signé. L’ex dirigeant de la banque d’investissement de Société Générale succéderait ainsi à Sergio Ermotti à la tête de la division corporate & investment banking de la banque italienne. Sa nomination devrait être approuvée par le prochain conseil d’administration d’UniCredit programmé le 22 février.
Depuis le 3 février, JPMorgan Asset Management (JPMAM) dispose d’un agrément de commercialisation en Allemagne pour le nouveau compartiment Emerging Markets Investment Grade Bond Fund de sa sicav luxembourgeoise JP Morgan Funds qui a été lancé le 29 novembre 2010.Comme son nom l’indique, ce portefeuille est investi en obligations de pays émergents qui sont notées au minimum BBB-. Environ 70 % de l’encours seront investis en obligations d’Etat et le reliquat en obligations d’entreprise, et libellées en dollars ou en euros.Michael Mewes, directeur de l'équipe fixed income de JPMAM à Francfort souligne que plus de la moitié des émissions sur le marché sont notées investment grade et qu’elles affichent souvent des différentiels de rendement (spreads) attrayants, ce qui permet d’escompter des rendements supérieurs à celui des titres de pays industrialisés, qui devrait demeure faible.Le nouveau fonds est géré par Pierre-Yves Bareau, CIO pour la dette émergente, avec Alain Defise (également un transfuge de chez Fortis Investments) comme co-gérant. A Paris, le 3 février, Pierre-Yves Bareau avait effectivement mentionné les obligations corporate parmi ses placements favoris parce que les entreprises émergentes offrent un rendement de 100 points de base supérieur à celles des pays émergents «pour une note de rating au-dessus».
Selon L’Agefi suisse, les actifs sous gestion de la Banque cantonale des Grisons ont augmenté l’an dernier de 6,5% à 26,49 milliards de francs. La collecte nette s’est élevée à 1,78 milliard de francs. Le résultat net a progressé de 7,1% à 154,1 millions de francs.
Sally Bott quittera le conseil d’administration d’UBS SA à la prochaine assemblée générale. Elle a fait savoir au conseil d’administration qu’après deux ans et demie en fonction, elle souhaite se consacrer à d’autres tâches et qu’elle ne sollicitera donc pas le renouvellement de son mandat le 28 avril prochain, a indiqué UBS le 7 février dans un communiqué. La banque informera «en temps voulu» d’un candidat au remplacement de Sally Bott Bott au conseil d’administration.
Selon les informations du journal suisse Sonntag citées par La Tribune, UBS versera cette année un bonus plus faible à ses salariés. Les bonus au titre de 2010 devraient s'élever au total à 4,3 milliards de francs suisses (3,3 milliards d’euros), contre 4,8 milliards de francs suisses versés pour 2009.
En tenant compte des charges d’intégration et de restructuration d’ING Bank en janvier 2010 ainsi que de l’amortissement des survaleurs, le bénéfice net du groupe Julius Baer aux normes IFRS a diminué en 2010 de 9 % à 353 millions de francs suisses. Hormis ces éléments, le bénéfice net augmenté de 6 % à 504 millions de francs suisses. En raison de la diminution de la marge brute et en partie à cause de l’appréciation du franc suisse, le coefficient d’exploitation s’est détérioré à 65,4 % contre 63,1 %.A fin décembre, les actifs sous gestion avaient augmenté à 170 milliards de francs suisses contre 154 milliards un an plus tôt. Cette hausse de 16 milliards de francs s’explique par les 14 milliards d’encours provenant de l’acquisition d’ING Bank, 9 milliards de rentrées nettes, 8 milliards d’effet positif des marchés et une perte de change de 14 milliards de francs imputable à la dévalorisation de l’euro et du dollar américaine contre franc suisse.Les souscriptions nettes ont représenté 6 % de l’encours en début d’année, contre 4 % pour 2009, notamment grâce à de forts afflux dans les marchés de croissance, particulièrement en Asie, en Russie, en Europe centrale et orientale et en Amérique latine, ainsi que grâce aux activités «domestiques» du groupe en Allemagne.A fin 2010, le total des avoirs de la clientèle ressortait à 267 milliards de francs car les actifs en dépôt atteignaient fin décembre 98 milliards de francs contre 87 milliards un an plus tôt, grâce notamment à 7 milliards de rentrées nettes.
Depuis novembre 2009, les fonds espagnols ont subi sans interruption des remboursements nets. Aussi plusieurs gestionnaires imposent-ils désormais des préavis d’un maximum de 10 jours pour ne pas être contraints de vendre des actifs à des prix sacrifiés et ne pas pénaliser les investisseurs qui restent dans le fonds, rapporte Cinco Días. De tels préavis ont été notifiés à la CNMV ces dernières semaines par Bansabadell Inversión et Ahorro Corporación Gestión, notamment.
Carnegie Fonder, la société de gestion de la banque d’investissement suédoise Carnegie, a décidé le 3 février de mettre un terme à son activité d’ETF pour se concentrer uniquement sur la gestion active au travers de ses fonds.Son activité d’ETF avait été lancée en 2009 par HQ Fonder, qui avait été acquis par Carnegie en septembre 2010 et avait adopté le nom de Carnegie Fonder."Les ETF présentent des synergies limitées avec les autres fonds et n’ont pas atteint une taille critique. Nous avons donc décidé de mettre un terme à ces activités et de nous concentrer sur notre cœur de métier, les fonds gérés activement avec un focus sur la Suède, les marchés émergents et les taux», a expliqué Hans Hedström, président de Carnegie Fonder. D’après le site Internet suédois Privata Affärer, ces ETF représentaient moins de 1 pour 1.000 des encours sous gestion de la société. Dans ce cadre, les fonds suivants vont être fermés et retirés du marché Nasdaq OMX Stockholm AB : HQ OMX Double Long ETF, HQ OMX Double Short ETF, HQ Verkstad ETF, HQ Fastighet ETF, HQ Finans ETF, HQ Material ETF et HQ NASDAQ 100 ETF.
Le groupe suédois SEB (Skandinaviska Enskilda Banken) affiche pour 2010 un bénéfice d’exploitation de 11,1 milliards de couronnes contre 4,35 milliards l’année précédente.Pour sa part, le bénéfice d’exploitation de la division gestion de fortune (banque privée et clients institutionnels), est ressorti à 1,65 milliard de couronnes contre 1,14 milliard, avec une hausse des rentrées nettes à 26 milliards de couronnes contre 17 milliards pour la banque privée et une stabilité à 31 milliards pour les clients institutionnels. Le coefficient d’exploitation s’est amélioré à 62 % contre 69 %.Sur l’ensemble de l’année, l’encours moyen a augmenté de 7 % grâce à des souscriptions nettes de 54 milliards de couronnes contre 41 milliards ainsi qu'à l’effet de marché positif. L’encours total a atteint un nouveau record de 1.321 milliards de couronnes à la fin du quatrième trimestre contre 1.271 fin septembre et 1.275 milliards un an auparavant. Sur ce total, les fonds d’investissement représentaient fin décembre 41 %, contre 44 % pour les clients institutionnels (hors fonds monétaires) et 15 % pour la banque privée (hors fonds monétaires).Toujours à la fin du quatrième trimestre, les fonds d’actions représentaient 40 % des actifs des fonds SEB, contre 23 % pour les fonds obligataires, 16 % pour les fonds diversifiés et 21 % pour les fonds alternatifs.
Le 24 janvier 2011, la BaFin allemande et la FMA autrichienne ont délivré leur agrément de commercialisation en Allemagne et en Autriche de six compartiments de sa sicav coordonnée luxembourgeoise Merrill Lynch Investment Solutions (MLIS).Il s’agit des «newcits» AQR Global Relative Value UCITS Fund (LU0562189042), Boyer Allan Asian Long-Short UCITS Fund (LU0511125394), Graham Capital Systematic Macro UCITS Fund (LU0556497740), Theorema European Equity Long-Short UCITS Fund (LU0517905021), Zweig-Dimenna US Long-Short Equity UCITS Fund (LU0517905021) et York Asian Event-Driven Fund (LU0532509808).Ces produits (tous en parts institutionnelles euros) portent à dix le nombre des compartiments de MLIS.
Le fonds fermé d’immobilier résidentiel Wohnen in Deutschland 01 est le premier produit commercialisé en Allemagne par Bouwfonds Real Estate Investment Management (Bouwfonds REIM), une filiale du néerlandais Rabobank. Bouwfonds REIM est installée à Berlin depuis 2006 et contrôle un portefeuille de près de 10.000 logements qui ont été dans un premier temps acquis par l’intermédiaire de fonds de droit néerlandais, rapporte Fondsprofessionell.Le nouveau fonds détient des actifs d’un total de 26.500 mètres carrés dans des régions «stables» d’Allemagne (Hambourg, Göttingen, Neuss et Reutlingen) pour 39,7 millions d’euros. La souscription minimale est fixée à 15.000 euros et la distribution annuelle est de 5 %, avec une échéance à 14 ans.Bouwfonds commercialise déjà depuis trois ans en Allemagne le produit néerlandais Bouwfonds European Residential Fonds (BER) qui affiche un encours de 230 millions d’euros.
Arrivé dans le groupe Vontobel lors de l’acquisition de Commerzbank (Suisse), Bernhard Heye a été promu au 1er février chief operating officer de Vontobel Europe AG dont le siège se trouve à Munich. Il remplace richard Zweng, qui a démissionné à fin janvier pour s’installer en Asie avec sa famille.Bernhard Heye a été il y a plusieurs années le secrétaire particulier de Walter Seipp, président du directoire de la Commerzbank.
Depuis le 10 janvier, indique Fidelity International le 3 février, des parts couvertes du risque de change sont disponibles également pour le Fidelity Asian High Yield Fund géré par Bryan Collins. Cela permet aux investisseurs qui découvrent les obligations asiatiques à haut rendement de s’aventurer sur ce produit sans supporter les conséquences du choix de la monnaie, indique Andreas Schmid, directeur de la distribution auprès des banques privées et des gestionnaires de fortune chez Fidelity Allemagne.Les nouvelles classes de parts de ce fonds dont la monnaie de référence est l’euro sont Fidelity Asian High Yield A-EUR (hedged), avec pour code Isin LU0575482749, et Fidelity Asian High Yield Y-EUR (hedged), dont le code Isin est LU0575482582.
Désormais, Lutetia Capital, fondée par Fabrice Seiman et Jean-François Comte, affiche 100 millions de dollars d’encours, avec deux FCP de droit français, le Lutetia Patrimoine, un produit lancé en novembre 2009 et focalisé sur les fusions-acquisitions annoncées ou anticipées, et le Lutetia Emerging Opportunities, lancé en novembre 2010 et qui a déjà levé une dizaine de millions d’euros.Initialement, Lutetia s’est concentré sur une clientèle de banque privée, de fonds de fonds, de family offices et de caisses de retraite. Depuis une présentation des deux produits le 1er février dans un grand hôtel parisien, avec Jean-François Copé en vedette politique, la société de gestion a manifestement commencé à s’intéresser à la clientèle des Conseillers en gestion de patrimoine indépendants (CGPI), même si, avec une petite douzaine de personnes, elle n’est pas encore équipée pour se lancer «en grand» sur ce créneau, comme le reconnaît d’ailleurs Jean-François Comte, co-président (lire également nos articles du 5 novembre 2010 et de 17 janvier 2011).Les deux fonds correspondent en tous cas à une demande de cette catégorie de clientèle. Ainsi, le FCP Lutetia Patrimoine qui affiche pour objectif une performance absolue régulière de 6 ½ % par an avec une volatilité inférieure à 2 %. Pour ce faire, avec ses 48 lignes de titres, le fonds qui «pèse» 60 millions d’euros présente un taux de rotation de 300 %, couvre systématiquement les opérations réalisées au moyen de futures, et s’impose une perte maximum (maximum draw down) de 0,9 %. Enfin, aucun frais de transfert n’est facturé. Bien que tout récent, le fonds Lutetia Emerging Opportunities (50 lignes avec un taux de rotation visé de 100 %) peut aussi faire valoir quelques atouts, dont le moindre n’est pas qu’il a été conçu et mis en œuvre par Claude Tiramani, qui a été pendant une vingtaine d’années un gérant légendaire chez BNP Paribas. A présent, dans un cadre à taille plus humaine, l’intéressé peut appliquer une politique plus purement «contrarian», susceptible d'être bien accueillie par des CGPI en quête de produits différenciants. Le gérant est actuellement très favorable à la Chine, que les autres commencent à délaisser, mais évidemment au travers d’une sélection rigoureuse de valeurs. Les grands thèmes du fonds actions émergentes sont l’urbanisation et donc aussi l’immobilier (en Chine, certes, mais aussi au Brésil), les infrastructures, la hausse du pouvoir d’achat et de la consommation, ainsi que les services financiers.
A l’occasion d’une rencontre avec Newsmanagers, Paul Joubert, directeur des transactions Europe chez Invesco Real Estate a insisté sur l'évolution importante de son marché ces derniers temps. «Le fait est que les grands investisseurs institutionnels, réintègrent désormais leurs mandats externes et réinvestissent en priorité dans les fonds de leurs maisons respectives». Avec, entre autres, la création de synergies au sein des groupes, quitte à ce que cela soit à l’origine de conflits d’intérêt. Dans ce contexte, le responsable de l’investissement immobilier d’une société indépendante, naturellement pénalisée par ce repli, entend se battre avec ses armes. En l’occurrence, pour Invesco Real Estate, l'échelle paneuropéenne de ses transactions. «Ma vocation n’est pas de servir les grands acteurs sur leurs propres marchés, mais clairement de me positionner comme un «crossborder», explique Paul Joubert, «et donc leur permettre d’accéder à notre plateforme d’investissement paneuropéenne, et à une large diversification dans les portefeuilles.» Une stratégie qui a son sens, les cycles étant loin d'être identiques d’un marché et d’un produit à l’autre, notamment par leur décalage dans le temps. «En fait,» relève Paul Joubert, «les taux de rendement «prime» en matière d’immobilier de bureau dans les différents pays «core» sont très proches les uns des autres en Europe. De l’ordre de 5 %... mais pas toujours au même moment ".Bien évidemment, tout cela peut s’affiner en fonction des spécificités de chaque marché. Compte tenu, par exemple, de sa faible volatilité et de l’absence de pressions à la hausse sur les loyers, assurant une stabilité des locataires, la «poche» allemande peut être affectée en fond de portefeuille pour son rendement stable. En France, depuis 2009, Paul Joubert s’est attaché à acquérir les «plus beaux actifs» possibles et bien situés. «Des actifs que nous n’aurions pas pu acheter en période normale de marché, et qui nous apporteront la performance», explique t-il. A l’inverse, le responsable juge les loyers souvent trop chers en Grande-Bretagne. En effet, le cycle des renégociations des loyers étant de 5 ans, la correction à la baisse n’est pas encore partout terminée, contrairement à la France. D’où une approche précautionneuse du stratège à l'égard de ce marché très volatil. Quant aux pays plus risqués comme la Pologne ou la Tchéquie par exemple, ils sont également plus rémunérateurs (entre 6,25 % et 7 %) et ont donc leur place au sein des portefeuilles gérés par Invesco Real Estate, notamment par leur tendance à suivre les autres marchés avec un décalage dans le temps. Ils offrent donc une certaine prévisibilité mais nécessitent une grande connaissance du marché. Ils apportent la composante «tactique» des fonds une fois réalisée l’allocation globale sur les marchés «core» et optimisent le couple rendement/risque. «D’autres marchés existent auxquels nous sommes très attentifs», précise Paul Joubert, «notamment le marché espagnol qui devrait être à terme très intéressant. Ou encore le marché russe qui présente un grand potentiel par sa taille mais exige un timing parfait. Cela a toujours été un marché de «fenêtres» liées à l’histoire et à la politique», note-t-il encore. «Or, nous sommes peut-être actuellement dans cette phase…" En dépit de sa gamme de 18 fonds -dont certains «spécialisés» investissent exclusivement dans des hôtels ou sur un mono marché-, Paul Joubert affiche, compte tenu de l’internalisation des mandats, une certaine déception à propos du marché institutionnel français. En chiffres, avec 35 milliards de dollars d’actifs immobiliers sous gestion dans le monde, la société qui gère 4,5 milliards en Europe y investit 1 milliard par an et peine à convaincre les investisseurs de l’Hexagone à s’exporter. La faute en partie au faible succès rencontré jusqu'à présent par les OPCI (Organisme de Placement Collectif Immobilier) pour lesquels Invesco nourrit quelques ambitions. A noter toutefois la réalisation en 2010 d’un «club deal» en partenariat avec Ciloger pour des investisseurs français, portant sur l’acquisition en Allemagne de 10 actifs de commerce de première qualité pour un montant de 218 millions d’euros. Reste aussi un canal qui, selon Paul Joubert, semble depuis peu faire preuve de dynamisme : les family offices. A suivre donc.
«Nous avons atteint finalement en six mois l’objectif d’encours que nous nous étions fixé pour dix-huit mois», a indiqué à Newsmanagers Arnaud de Langautier, directeur général d’Amplégest. De fait, l’ensemble de la société de gestion présidée par Xavier Gandrille et qui compte douze collaborateurs (dont un analyste financier, Augustin Bloch-Lainé, arrivé en janvier), affiche désormais 375 millions d’euros d’encours, dont 315 millions pour la gestion privée, le solde étant de la gestion collective sur trois OPCVM de droit français (lire nos articles du 31 mai et du 13 septembre 2010). Amplégest a donc fait encore mieux que ce qu’elle prévoyait à la mi-septembre, alors que les actifs sous gestion s'élevait à 150 millions d’euros..."Avec notre partenaire Invest Securities, précise Arnaud de Langautier, le groupe qui compte plus de 50 personnes est structuré comme une société financière intégrée». Et aux deux activités principales de gestion privée et de gestion de fonds (l’une alimentant l’autre) s’ajoute l’aspect société de bourse et banque d’affaires d’Invest Securities, une société dirigée par Marc-Antoine Guillen et qui détient 40 % du capital d’Amplégest. Interrogé sur la question de savoir si la prochaine étape serait 700 millions d’euros d’actifs pour la fin de l’année, le directeur général ne réfute pas d’emblée cette possibilité, mais souligne «qu’il faudrait pour cela une opération de croissance externe, que nul ne peut exclure… En attendant, Arnaud de Languetier rappelle qu’Amplégest «compte creuser son sillon via sa clientèle-cible constituée à la fois de sociétés de gestion privée, d’institutionnels (multigestion des banques, caisses de retraite…) et de conseillers en gestion de patrimoine». En matière de fonds, la gamme se compose de trois produits : Proactif, un fonds diversifié patrimonial, Multicaps, un fonds actions de la zone euro PEAble avec les meilleures notes Morningstar et Citywire, et Midcaps, un fonds actions de petites et moyennes capitalisations, PEAble également. Fabrice Revol, responsable de la gestion OPCVM, souligne que le fonds Multicaps qu’il gère (52 millions d’euros investis sur 40 à 50 lignes), a déjà séduit des institutionnels par un historique de performance supérieur à 4 ans et sa méthode de gestion disciplinée. «Il s’agit de pratiquer une analyse financière fortement internalisée afin de détecter avant le marché les potentialités des sociétés. Cela permet aussi d’éviter de vendre les belles histoires trop tôt», indique le gérant. A noter que le fonds Multicaps a vocation à évoluer pour devenir un produit «moins France et plus zone euro». La part de la zone euro hors France devrait ainsi passer «de 20% actuellement à 30% environ d’ici un an», précise encore Fabrice Revol.A ce titre, étant donnée l’exigence de la méthode de gestion utilisée, l’équipe a été musclée par le recrutement d’un analyste plus particulièrement en charge des secteurs de l’énergie et de la construction. Un second analyste doit encore la renforcer prochainement.
Jusqu’au 14 juin 2011, Crédit Agricole commercialise le fonds d’investissement de proximité FIP Avenir Décolletage (1). Le fonds qui ambitionne de recueillir 10 millions d’euros a pour objectif d’investir au minimum 60% de son actif dans des PME de l’industrie du décolletage, de la mécatronique (2) et de la mécanique de précision des régions Rhône-Alpes, Franche-Comté et Provence-Alpes-Côte d’Azur. 60% de l’actif sera investi en titres de petites et moyennes entreprises du secteur tandis que les 40% restant ont vocation à être investis de façon équilibrée entre OCPVM et/ou valeurs mobilières taux et actions. A partir de la sixième année, la société de gestion pourra, le cas-échéant, distribuer au fur et à mesure les produits de cession des actifs en portefeuille aux porteurs de parts. Sauf cas de force majeur, le rachat des parts n’est pas autorisé pendant la durée de vie du fonds. Caractéristiques :Code Isin : FR0010990119Période de commercialisation : jusqu’au 14 juin 2011Commission de souscription : 4%Commission de rachat :- 0% à la liquidation du fonds- Aucun rachat n’est possible pendant la durée de vie du fonds, sauf dans deux cas expressément prévu par la loi (invalidité ou décès du porteur ou de son conjoint soumis à une imposition commune) et avec une commission de rachat anticipé de 4%Frais de gestion : 3,50% TTC maximum par an Valeur liquidative (VL) de la part à l’origine : 100 € Minimum de la première souscription : 1 000 € (soit 10 parts)Durée : 8 ans minimum (jusqu’au 15 juin 2019), avec la possibilité sur décision de la société de gestion de proroger la durée de deux fois un an (soit au plus tard jusqu’au 15 juin 2021)
Northern Trust va proposer des solutions de gestion d’actifs, via Northern Trust Global Investments, aux clients institutionnels basés au Benelux (Belgique, Pays-Bas et Luxembourg) depuis son bureau d’Amsterdam, après avoir obtenu l’agrément des autorités néerlandaise et britannique des marchés financiers (Autoriteit Financiële Markten et Financial Services Authority). Jusqu’ici, cette entité offrait seulement des services d’administration.Pour mener ce développement, la société britannique a recruté Gerard van Leusden et Arnaud Bizet, deux anciens de BlackRock à Amsterdam, en tant que directeurs du développement senior. Ils seront chargés à ce titre de bâtir de nouvelles relations en matière de gestion d’actifs au Benelux en se focalisant sur les fonds de pension et les groupes de gestion d’actifs. Ils travailleront aux côtés de Liisa Salojarvi, qui conseille les clients de la région à partir de Londres depuis un certain nombre d’années. Cette initiative s’inscrit dans le cadre du développement en Europe, au Moyen-Orient et en Afrique de Northern Trust Global Investments.
BinckBank a annoncé un bénéfice net corrigé au quatrième trimestre 2010 de 18,1 millions d’euros. Pour l’année 2010, le bénéfice net corrigé année s’élève à 75,2 millions d’euros. Dans son message d’introduction, Koen Beentjes, le président du conseil d’administration de l’établissement a relevé, pour le centre de profit Professionnels, des actifs sous gestion en hausse de 51 %, atteignant 4,4 milliards d’euros, avec un résultat en hausse de 53 %, atteignant 6,8 millions d’euros. Du côté des particuliers, la progression des actifs sous gestion atteint 21 % à 9,74 milliards d’euros. En outre, " les gérants de placements indépendants ont placé une plus grande partie de leurs actifs sous gestion auprès de BinckBank en 2010, et de nouveaux gérants de fonds ont également décidé de placer leurs opérations de courtage auprès de l'établissement,» a déclaré Koren Beentjes qui a aussi confirmé la poursuite de lancements de nouveaux produits en 2011.
Après l'intégration réussie de La Française des Placements, le groupe UFG-LFP vient de conclure un partenariat stratégique avec Cholet-Dupont. Deux opérations qui illustrent bien les deux axes de développement d'UFG-LFP : l'international, tout particulièrement l'Europe, et la gestion privée.
Northern Trust has announced that it will offer asset management solutions to institutional clients across Benelux (Belgium, The Netherlands and Luxembourg) from its Amsterdam office, following regulatory approval from the Dutch Autoriteit Financiële Markten and the UK Financial Services Authority. Regulatory approval for Northern Trust’s international asset management arm, Northern Trust Global Investments (NTGI) supports its strategy to enhance its business across Europe, Middle East and Africa and expands Northern Trust’s product offering for clients across the Benelux region where asset servicing capabilities have been offered from its Amsterdam branch office since March 2006.To support NTGI’s expansion, Gerard van Leusden and Arnaud Bizet have been hired as senior business development directors responsible for building new asset management relationships across the Benelux region with focus on pension funds and asset management groups. They will work alongside Liisa Salojarvi, who has advised NTGI’s Benelux clients from London for a number of years, and will be supported by NTGI’s UK team of relationship managers.Van Leusden and Bizet join from Blackrock, previously BGI, in Amsterdam where they were sales and relationship management directors.
p { margin-bottom: 0.08in; } Money Marketing reports that the head of British retail distribution at JP Morgan AM, Jasper Berens, would like to launch low-cost actively-managed funds, to compete with passively managed funds. JP Morgan AM has already released a product of this type on the British market. If the product is well-received, JP Morgan AM may offer it in continental Europe and the United States as well.
p { margin-bottom: 0.08in; } Christopher Greenwald, director of data content at the extra-financial information specialist Asset4, has left the firm to join the Swiss management firm SAM, as head of Sustainablility Applications & Operations, Responsible Investor reports. Greenwald began in his new role on 1 February. Responsible Investor also reports that the head of research, Pierin Menzli, has left SAM.