Le spécialiste de l’investissement et du trading en ligne Saxo Banque a annoncé le 18 février la nomination de Christopher Dembik en qualité d’analyste financier.Diplômé de Sciences Po Paris et de l’Institut d’Economie de l’Académie des Sciences de Pologne, Christopher a été assistant à la Mission Economique de l’Ambassade de France en Israël avant de prendre, en 2008, la direction du site d’informations et d’analyse du marché des changes Forex.fr qu’il a développé pour devenir un acteur de premier plan du trading Forex en France.
Amundi poursuit sa marche en avant. En 2013, la société de gestion d’actifs, filiale commune du Crédit Agricole et de Société Générale, a dégagé un résultat net de 444 millions d’euros, en hausse de 5,2 % par rapport à 2012. Le résultat net part du groupe s’établit, pour sa part, à 325 millions d’euros, soit une hausse de 5 % sur un an. A l’issue de l’exercice écoulé, son produit net bancaire a connu une progression de 3 %, à 1,43 milliard d’euros. L’an dernier, Amundi a connu un «très bon niveau d’activité», souligne le groupe Crédit Agricole dans un communiqué. De fait, sur l’ensemble de l’exercice 2013, sa collecte nette ressort à 10,3 milliards d’euros. «La collecte est positive sur tous les segments à l’exception des réseaux France», nuance le groupe bancaire. Dans le détail, la collecte nette atteint 15,4 milliards d’euros auprès de la clientèle institutionnelle, des corporates et des distributeurs tiers tandis que les souscriptions nettes s’élèvent à 4,8 milliards d’euros dans les réseaux internationaux, «portés par le dynamisme des joint-ventures asiatiques», précise Crédit Agricole. En revanche, les réseaux en France accusent une décollecte nette de 9,9 milliards d’euros sur l’ensemble de l’année 2013. «Sur ce marché, Amundi a vu sa part de marché augmenter de 0,3 point de pourcentage sur un an pour atteindre 26,9 %», observe toutefois Crédit Agricole.Grâce à cette bonne dynamique en matière de collecte, à l’intégration de la société américaine Smith Breeden au troisième trimestre 2013 (+4,7 milliards d’euros d’encours) et à un effet marché et change positif à hauteur de 22,4 milliards d’euros, les actifs sous gestion d’Amundi s’élèvent à 777,1 milliards d’euros fin 2013 contre 739,6 milliards d’euros fin 2012, soit une progression de 5,1 % en l’espace d’un an.Sur l’ensemble de l’année 2013, après deux années de pertes, le groupe Crédit Agricole a dégagé un bénéfice net de 5,1 milliards d’euros tandis que la structure cotée, Crédit Agricole SA, a enregistré un bénéfice net de 2,5 milliards d’euros.
La SPGP accélère le rythme de ses recrutements. Le 18 février, la société de gestion a ainsi annoncé l’arrivée de trois banquiers «expérimentés» afin d’étoffer son département de gestion privée. De fait, Pierre-Romain Gorot rejoint la société de gestion pour prendre la direction de cette entité. Après avoir commencé sa carrière en gestion de portefeuilles chez Oddo Pinatton en 1996, il a ensuite été nommé directeur associé d’IPEN Group avant d’intégrer la Banque Neuflize en 2001 où il a exercé les fonctions de banquier privé. Depuis 2005, il officiait chez Rothschild & Cie Gestion où il était en charge du développement du segment des clients à haut potentiel.En parallèle, Aymeric Diday intègre La SPGP au poste de directeur de la gestion sous mandat. Après avoir débuté sa carrière chez Neuflize avant de rejoindre le département de gestion privée de Richelieu Finance en 2005, Aymeric Diday, 36 ans, a travaillé pendant sept ans pour Banque Pictet & Cie à Paris où il a développé la gestion sous mandat.Enfin, Bérengère Garand Clavel est nommée gérant privé. Précédemment, elle assurait depuis 2006 le poste de banquier privé chez Rothschild & Cie Gestion pour développer le segment dédié aux entreprises. Elle a démarré sa carrière chez Société Générale à New York au sein du fonds de gestion alternative Amber Fund, avant d’intégrer en 2003 DNCA Finance en gestion collective.
Cheyne Capital Management, une société londonienne de gestion alternative affichant plus de 6,5 milliards de dollars d’actifs sous gestion, vient de lancer un nouveau fonds dédié à la dette immobilière. Baptisé Cheyne Real Estate Credit Holdings Fund III (CRECH III), ce véhicule entend «capitaliser sur la dislocation continue des marchés européens de la dette immobilière et satisfaire la demande croissante pour le financement immobilier», indique la compagnie dans un communiqué.Comme les deux premiers fonds de même nature, CRECH III investira sur les marchés immobiliers européens dits «cœur», à savoir le Royaume-Uni et l’Allemagne à travers une large palette d’instruments (CMBS, senior loans, mezzanine loans, actions et situations spéciales). L’équipe dédiée à l’immobilier de Cheyne Capital Management gère actuellement plus de 2 milliards de dollars à travers des fonds publics et privés.
L’ancien patron de Deutsche Bank, Josef Ackermann, rejoint le nouveau conseil d’administration de la société Renova Management (RMAG), filiale du groupe éponyme contrôlé par l’investisseur russe Viktor Vekselberg, selon un communiqué publié le 18 février. La société, basée à Zurich, veut se focaliser sur la gestion des actifs internationaux du groupe Renova. Il s’agit principalement de la participation de 47% dans le groupe suisse OC Oerlikon et de celle de 31% dans l’entreprise industrielle Sulzer. Peter Löscher, ancien patron de Siemens et membre du conseil de surveillance de Deutsche Bank, dirigera Renova Management et siégera au conseil d’administration. La présidence sera assurée par Viktor Vekselberg. Orit Gadiesh, présidente de la société Bain & Company, et le Russe Vladimir Kuznetsov complètent le conseil d’administration. Pour mémoire, Josef Ackermann avait démissionné fin août de la présidence de Zurich Insurance après le suicide du responsable des finances Pierre Wauthier.
Eri Scientific Beta (une émanation de l’Edhec-Risk Institute) a a annoncé le 18 février la signature d’un partenariat avec Morgan Stanley visant à offrir des solutions innovantes de stratégies Smart Beta à sa clientèle institutionnelle.Ce partenariat permettra à Morgan Stanley d’analyser en profondeur les performances et les risque de l’ensemble des indices Scientific Beta et offre également la possibilité de développer des indices en utilisant toute l’offre de Scientific Bera sur la plateforme http://www.scientificbeta.com/.ERI Scientific Beta espère ainsi se positionner comme le premier fournisseur d’une plateforme smart beta pour aider les investisseurs à comprendre et investir dans les stratégies actions avancées de smart beta.
Le groupe Amundi et le fournisseur d’indices smart beta ERI Scientific Beta ont annoncé le 18 février la signature d’un partenariat stratégique qui conjuguera l’expertise de ERI Scientific Beta dans le développement d’indices smart beta et le savoir-faire d’Amundi dans la réplication d’indices et la construction d’ETF.Le partenariat comprendra notamment la construction de solutions d’investissement passives smart beta et leur promotion auprès d’une très large clientèle institutionnelle.L’offre est développée à partir de l’approche «Smart Beta 2.0", qui permet de concevoir les indices smart beta comme des instruments de contrôle du risque au sein d’une allocation multi-smart beta. Amundi et ERI Scientific Beta vont organiser de concert une série de séminaires en Europe entre avril et mai 2014 afin de présenter les avantages du concept de multi-smart beta et sa mise en œuvre en utilisant les capacités d’Amundi sur les ETF et l’indexation.
L’avenir de l’industrie des hedge funds s’annonce sous de bons auspices. D’après la douzième enquête annuelle publiée par Deutsche Bank portant sur l’investissement alternatif (Alternative Investment Survey), l’encours des hedge funds devraient atteindre le niveau record des 3.000 milliards de dollars d’ici la fin de l’année 2014, contre 2.600 milliards fin 2013, grâce des flux nets entrants significatifs, notamment de la part des investisseurs institutionnels.Selon 400 investisseurs interrogés en provenance de 29 pays, qui représentent 1.800 milliards de dollars d’actifs sous gestion, l’industrie pourrait enregistrer 171 milliards de dollars de souscriptions nettes cette année. Mieux, l’appétit des investisseurs institutionnels pour les hedge funds ne se dément pas. Ainsi, alors que prés de la moitié des investisseurs institutionnels ont augmenté en 2013 leur allocation dans ces fonds, 57 % d’entre eux prévoient de nouveau d’accroître leur investissement dans les hedge funds en 2014. «Désormais, les investisseurs institutionnels représentent les deux tiers des encours de l’industrie, contre environ un tiers avec la crise», observe l’étude. Il faut dire que les investisseurs se montrent particulièrement confiants sur les performances de ces fonds alternatifs. 80 % estiment ainsi que les hedge funds ont bien dégagé des performances meilleures qu’attendu en 2013, après un rendement moyen de 9,3 %. Pour l’année en cours, 63 % des personnes interrogées et 79 % des investisseurs institutionnels tablent sur un rendement d’au moins de 10 % pour leur portefeuille de hedge funds. Les stratégies «equity long short» et «event driven» sont aujourd’hui les plus recherchées par les investisseurs.
Pioneer Investments lance deux fonds non directionnels à liquidité quotidienne. Il s’agit du Pioneer Funds - Long / Short Global Bond, investi sur l’ensemble des marchés obligataires, et du Pioneer Funds - Long/Short Opportunistic Credit, investi sur le marché du crédit.Les deux fonds, de droit luxembourgeois, sont gérés par Thomas Swaney, responsable de la gestion obligataire non-directionnelle aux États-Unis, et Benjamin Gord, gérant de portefeuille au sein de la même équipe.Ces produits viennent compléter la stratégie existante Absolute Return Bond, co-gérée par Tanguy Le Saout et Cosimo Marasciulo. A noter que la stratégie « Absolute Return Bond », disponible depuis 2010 à l’échelle internationale, est lancée aux Etats-Unis.
L’assemblée au cours de laquelle le nouveau président d’Assogestioni, l’association italienne des professionnels de la gestion, sera désigné aura lieu le 26 mars, rapporte Bluerating. Il succèdera à Domenico Siniscalco, qui a démissionné en novembre. Depuis, ses fonctions ont été attribuées momentanément au vice-président Giordano Lombardo, président de Pioneer Investments Management.
Santander Private Banking a recruté quatre personnes, rapporte Bluerating. A Brescia, Ivan Rodari et Mauro Vai ont rejoint l’équipe, en provenance de Banca Aletti, tandis qu’à Milan, Annamaria Zotti et Lorenzo Cappello arrivent en provenance d’Unipol Banca.
Les mois se suivent et se ressemblent pour les gestionnaires d’actifs espagnols. Selon les données publiées par Inverco, l’association espagnole des sociétés de gestion, les fonds de valeurs mobilières ont enregistré une collecte nette positive de 3,66 milliards d’euros au mois de janvier 2014. Sur les treize derniers mois, les souscriptions nettes s’élèvent ainsi à 26,72 milliards d’euros.Portés par cette bonne dynamique, les actifs sous gestion des fonds de valeurs mobilières ont augmenté de 2,6 % par rapport à décembre 2013, ou de 4 milliards d’euros, pour atteindre 157,89 milliards d’euros à fin janvier 2014. Depuis décembre 2012, l’encours enregistre ainsi une progression de 29 %, soit une augmentation de 35,57 milliards d’euros.En parallèle, les SICAV ont connu une progression plus modeste de 0,9 % de leurs encours, pour atteindre 27,57 milliards d’euros.Au total, en tenant compte des fonds et sociétés immobilières et des placements collectifs d’institutions étrangères, les encours globaux du marché espagnol ressortent à 255 milliards d’euros, en progression 1,7 %.
Le fournisseur de services d’administration TMF Group a acquis les 49% du capital de Custom House Global Fund Services, un fournisseur de services financiers au secteur de la gestion alternative, selon un communiqué publié par TMF Group.TMF Group va ainsi pouvoir développer ses activités dans le secteur de la gestion alternative, y compris le capital investissement et l’immobilier.Les actifs sous administration de TMF Group vont désormais s'élever à près de 40 milliards de dollars.
Le fonds de pension californien a annoncé le 18 février l’adoption de nouvelles hypothèses démographiques afin de stabiliser les coûts à un niveau un peu plus élevé et d’assurer la pérennité du fonds durant les prochaines décennies. Le conseil d’administration de CalPERS a en outre entériné une nouvelle allocation d’actifs qui diminue le risque mais maintient la stratégie d’investissement inchangée pour l’essentiel avec un objectif de rendement de 7,5%.Plus précisément, sur la base d’une étude de CalPERS sur les participants au fonds de pension, les hypothèses démographiques prennent en compte un allongement de la longévité de deux ans pour les hommes et d’un an et demi pour les femmes. Les coûts liés à ces nouvelles hypothèses seront étalés sur une vingtaine d’années, la révision à la hausse des contributions, concentrée sur trois ans, représentant un coût estimé à 1,2 milliard de dollars pour l’Etat de Californie.CalPERS, dont les actifs sous gestion s'élèvent à environ 277 milliards de dollars, a par ailleurs fixé des objectifs d’allocation de 47% pour les actions, 19% pour l’obligataire, 6% pour les titres indexés sur l’inflation, 12% pour le capital investissement, 11% pour l’immobilier, 3% pour les infrastructures et les forêts et 2% pour le cash.
Le fonds souverain chinois China Investment Corp. vend ses participations dans l’énergie et les matières premières, tout en cherchant à profiter de la reprise des économies américaine et européenne, rapporte The Wall Street Journal. L’an passé, le fonds de 600 milliards de dollars a cédé des actions de sociétés dans l’énergie pour plus de 1,5 milliard de dollars. De plus, il envisage de vendre des participations directes dans certains actifs comme les projets de sables bitumineux. Dans le même temps, le fonds envisage de transférer sa base nord-américaine à New York (elle est actuellement à Toronto) et d’étendre sa présence à l’Europe. Il prend aussi des positions dans des sociétés américaines et européennes.
A new study of the consequences of a prohibition on commissions and kickbacks received by financial advisers who sell investment products in the major international financial markets highlights the need for greater transparency for investors. The study, “Restricting Sales Inducements: Perspectives on the Availability and Quality of Financial Advice for Individual Investors,” covers efforts by international regulators and legislators to improve the quality of financial advising for investors. It also deals with the solutions proposed or implemented by regulators to palliate the problem of abusive sales and to explore future scenarios of business models for the industry. It finds that in the opinion of 70% of those surveyed, the poorly adapted character of distributor remuneration structures biased in favour of sales volumes or specific products, represent the main case of abusive sales. The three most popular solutions to combat abusive sales which do not involve a prohibition on commissions and kickbacks are the following: 1. Introduce precise standards for the presentation of fees to investors 2. Revise commission structures to remove those which are related to volume sales (progressive commissions) 3. Set uniform commission rates (a percentage of management fees) for all products in a single category
The Investment Management Association (IMA) on February 18 published its report: “The Use of Dealing Commission for the Purchase of Investment Research” which reviews the benefits and challenges of the current model and looks beyond the UK rules to consider the impact of change.The report identifies a number of advantages and challenges inherent in the current model and proposes recommendations for IMA members to further improve current practice in governance and budget-setting.The report identifies a number of potential impediments to the creation of a pure cash market for research including unintended negative impacts on SME research and a raising of barriers to entry for start-up investment managers, which could damage innovation and competition that benefits clients.In particular, the global nature of the market could mean that change led to damage to UK firms and UK competitiveness. Consequently, the IMA stresses that any change of this nature would need to be undertaken on an international basis and the IMA would support the FCA in any work that sought to establish IOSCO as the natural home of the debate.The IMA confirms that it is willing to work with the FCA to assess alternative business models, including a pure cash model, with an open mind. The IMA has proposed “The eight measures of a good regime for research payments” (four of which are client-facing and four market-facing) against which the benefits of the existing model, and any alternatives, can be assessed and compared.
The administration services provider TMF Group has acquired the 49% of capital in Custom House Global Fund Services, a financial services provider for the alternative management sector, according to a statement released by TMF Group. TMF Group will be able to develop activities in the alternative management sector, including the private equity and real estate sectors. Assets under administration at TMF Group will now total nearly USD40bn.
For Islamic finance, new prospects are opening now in North Africa, where regulatory changes are creating a favourable environment for growth in the sector, Standard & Poor’s states in a study published on 18 February entitled “Islamic Finance Could Make Inroads Into North Africa.” However, the growth of this asset class remains limited in this region, where it has yet to prove its added economic value. The competitiveness of Islamic banking products, compared with their conventional counterparts, will be one of the major determining elements in the success of these products in North Africa. After the Arab Spring, the importance of running deficits and a drop in conventional sources of financing, due to more difficult access to finance markets, have led the governments of countries concerned to examine the possibilities offered by Islamic finance. Standard & Poor’s is following these developments in the countries of North Africa, where it rates banks: Egypt, Tunisia and Morocco. These countries have recently takes mesaures to support the growth of Islamic finance. Tunisia and Egypt have set up new regulatory frameworks to issue Sukuk in 2013. Tunisia will issue one Sukuk, aims to attract a new category of investors. In January 2014, the Moroccan Council of Ministers passed a legal framework for Islamic banking operations, forming the foundations for the development of Islamic finance activities.
UBS is requiring independent asset managers to provide proof of taxation for their clients residing in Austria, Liechtenstein, the United Kingdom, countries of Eastern Europe, and Malta, Agefi Switzerland reports. The initiative, which exceeds (or precedes) the regulatory requirements in force, may become a new standard for all Swiss financial intermediaries, and put all actors on an even footing.
The hedge fund industry is to reach a record USD3 trillion by 2014 year end, up from USD2.6tn as of 2013 year end, driven by significant inflows, most notably from institutional investors, predicts Deutsche Bank in its twelfth annual Alternative Investor Survey.This is based on investors’ predictions of USD171 billion net inflows, according to 400 investor entities which participated in the survey, representing over USD1.8 trillion in hedge fund assets.Commitment from institutional investors continues to strengthen - nearly half of institutional investors increased their hedge fund allocations in 2013, and 57% plan to grow their allocations in 2014. Institutional investors now account for two thirds of industry assets, compared to approximately one third pre-crisis, according to the research. Investors are happy with hedge fund performance - 80% of respondents state that hedge funds performed as expected or better in 2013, after their allocations returned a weighted average of 9.3% in 2013. 63% of respondents, and 79% of institutional investors, are targeting returns of less than 10% for their hedge fund portfolios in 2014. Equity long short and event driven are the most sought after strategies.
La grande majorité (90%) des dirigeants du secteur bancaire sont confiants quant à la croissance de leur chiffre d’affaires au cours des trois prochaines années, selon la 17ème édition de l'étude annuelle de PwC auprès des dirigeants, qui intègre les contributions de 133 chefs d’entreprise du secteur dans 50 pays.Le nombre de ceux qui prévoient une amélioration de l'économie mondiale au cours des douze prochains mois a presque triplé par rapport à l’an dernier (56% actuellement contre 19% l’année dernière). Le fait que 52% d’entre eux envisagent d’accroître leurs effectifs au cours de l’année –d’au moins 5% pour la plupart- illustre cette dynamique.L’excès de réglementation, une croissance faible ou négative sur les marchés développés et la réponse des pouvoirs publics aux déficits budgétaires et à la dette représentent les plus grands défis pour les perspectives des dirigeants. Les dirigeants considèrent l’accroissement de leurs parts de marché dans les marchés existants (41%) comme leur principale opportunité de croissance, devant l’innovation de produits et services (35%).
The stress that traders are under in periods of high volatility on the markets reduces their appetite for risk, a study by the neuroscience department at Cambridge university and former trader John Coates show. That could have an effect in prolonging crises. The study has found an increase of 68% in levels of the stress hormone cortisol in a group of City traders in London over eight days during which volatility increased.
The research and data provider S&P Capital IQ on 18 February announced the introduction of several improvements in the area of analysis and surveillance of credit exposure. These improvements include the introduction of new models of credit risk analysis, with short-term, mid-term and long-term data updated daily. “There is a real need for comparable data for most corporate entities worldwide which do not have publicly available data on credit. Many teams dedicated to credit also have resources to analyse and regularly update their exposures,” says David Pagliaro, managing director of S&P Capital IQ, cited in a statement.
State Street Global Advisors (SSgA) is adding to its range of SPDR ETFs. The US asset management firm has launched a new short maturity bond exchange-traded fund (ETF) entitled SPDR Barclays 0-5 Year Sterling Corporate Bond Ucits ETF. The vehicle, which is available for trading on the Xetra platform from Deutsche Börse, allows investors to participate in the performance of corporate bonds denominated in pounds sterling. The underling index of the ETF includes businesses which operate in the industrial, utility and financial sectors, with a maturity of up to 5 years. Only investment grade bonds are included, and the composition of the index is reviewed every month.
The months are lining up for Spanish asset management firms. According to data released by Inverco, the Spanish association of asset management funds, spanish funds posted a net inflows of EUR3.66bn in January 2014. In the past 13 months, net subscriptions total EUR26.72bn. Driven by this positive dynamic, assets under management increased 2.6% compared with December 2013, or EUR4bn, to EUR157.89bn as of the end of January 2014. Since December 2012, assets have risen 29%, or an increase of EUR35.57bn. Meanwhile, Sicavs have risen more modestly, by 0.9% of assets, to a total of EUR27.57bn. Overall, taking into account real estate funds and firms and collective investments in foreign firms, global assets on the Spanish market total EUR255bn, up 1.7%.
Marshall Wace has become one of the top five European hedge funds by the amount of money they have made since launch, a new study by LCH Investments cited by Financial News shows. The top of the rankings is Alan Howard, the founder of Brevan Howard Asset Management. Its flagship fund has made a net gain of USD17.5bn since its launch in 2003. The second is Lansdowne Partners, followed by Egerton Capital and TCI.
BNY Mellon has recruited Imad Abukhlal as its new head for the Middle East and Africa for its asset management unit, Cityire global reports. He joins from Western Asset Management. Abukhlal will be based in Dubai, and will report to PeterPaul Pardi, CEO for asset management in Europe and the Middle East and global head of distribution at BNY Mellon Investment Management.
Cheyne Capital Management, a London-based alternative asset mangement firm with USD6.5bn in assets under management, has launched a new fund dedicated to real estate debt. The vehicle, entitled Cheyne Real Estate Credit Holdings Fund III (CRECH III), is intended to “capitalise on the ongoing dislocation on European real estate debt markets and to meet growing demand for real estate financing,” the firm says in a statement. Like the first two funds of the same nature, CRECH III will invest in European “core” real estate markets, specifically the United Kingdom and Germany, via a wide range of instruments (CMBS, senior loans, mezzanine loans, equities and special situations). The team dedicated to real estate at Cheyne Capital Management currently manages over USD2bn in public and private funds.
The Amundi group and the smart beta index provider ERI Scientific Beta on 18 February announced that they are signing a strategic partnership which will combine the expertise of ERI Scientific Beta in the development of smart beta indices and the expertise of Amundi in the replication of indices and ETF construction. The partnership will include the construction of smart beta passive investment solutions and their promotion to a wide range of institutional clients. The range has been developed on the basis of the «Smart Beta 2.0” approach, which allows for smart beta indices to be designed as risk control instruments within a multi-smart beta allocation.