La société de gestion américaine Neuberger Berman vient de nouer un partenariat stratégique avec Intesa Sanpaolo dans le domaine du capital investissement en Italie, annonce un communiqué.Dans le cadre de cet accord, Marco Cerrina Feroni et Fabio Canè, précédemment à la tête des fonctions de Merchant Banking et de Private Equity Operations d’Intesa Sanpaolo, et d’autres membres de leur équipe, ont rejoint Neuberger Berman.Stefano Bontempelli, qui était managing director de l’activité européenne de private equity de Neuberger Berman, fera partie de l’équipe. Les trois associés senior et leur équipe continueront à être basés à Milan et feront partie de la division de private equity dirigée par Anthony Tutrone, responsable mondial du private equity de Neuberger Berman.Cette opération s’inscrit dans le cadre de la stratégie de Neuberger Berman d’élargir géographiquement et de renforcer ses compétences en matière d’investissements.
Comment expliquer l’engouement des gérants d’actifs pour le marché italien de la distribution ? Invité sur Newsmanagers TV à développer quelques idées force figurant dans sa dernière étude sur le marché de la distribution transalpin (lire Newsmanagers du 11/05/2015), Richard Bruyère, président de la société Indefi, a récensé cinq facteurs justifiant ce phénomène. « Il s’agit tout d’abord d’un marché d’une taille substantielle, à la troisième place en Europe pour la détention d’OPCVM par les particuliers », a-t-il indiqué. « Ensuite, c’est un marché en croissance importante en termes de détention de fonds qui résulte de l’inversion du cycle de placement - liée au déclin des produits de court terme comme les comptes sur livrets et superlivrets ». Richard Bruyère a estimé à 150 milliards d’euros sur les trois dernières années les sommes réinvesties sur ces supports. Par ailleurs, le président d’Indefi a évoqué la présence en Italie d’un réseau de distribution performant via les réseaux des «promotori finanziari» et, en quatrième point, l’existence d’un marché retail, offrant des marges confortables pour les asset managers. « Enfin, c’est un marché doté de barrières à l’entrée moindres que pour des marchés concurrents, suisse ou allemands », a conclu Richard Bruyère.Par ailleurs, alors qu’il s’agit d’un marché de distribution directe par nature - via les réseaux - le marché italien est en train d’évoluer vers des modèles plus complexes, plus intermédiés, par le biais des plateformes sous mandats, des fonds de fonds, etc. « De fait, de grands distributeurs parlent à de grands assets managers en disposant de moyens importants qui font le succès de la distribution intégrée », a relevé Richard Bruyère. Interrogé sur les caractéristiques des sociétés de gestion les plus appréciées par les épargnants italiens, notamment en termes de taille et de nature, le président d’Indefi s’est gardé d’opposer gestion hexagonale et anglo-saxonne, en notant de surcroît que chaque asset manager présent sur le marché italien se montre satisfait de ses propres résultats. Reste à savoir quelles classes d’actifs sont les plus recherchées par les épargnants italiens. Sur ce sujet, point d’originalité, a laissé entendre le responsable : le multi asset, les fonds de type «unconstrained bond» - ou fonds flexibles obligataires - et enfin les fonds d’actions internationales représentent à eux seuls la moitié du marché avec des parts de marché respectives de 25 %, 15 % et 10 %. Pour voir la vidéo, cliquez sur le lien ci-contre : http://www.newsmanagers.com/NewsManagersTV/unexpertvousparle.aspx?id=1169
En Europe, c’est en Suisse et en Scandinavie que les banques sont les plus rentables. Alors que les banques scandinaves diminuent leurs coûts grâce à la numérisation, les établissements suisses bénéficient des meilleures marges par clients, grâce aux prix élevés et aux innovations, rapporte L’Agefi suisse. Les établissements bancaires suisses sont «une ancre de stabilité en Europe», selon une étude réalisée par le cabinet-conseil AT Kearney auprès de quelque 100 banques privées et groupes bancaires dans 24 pays d’Europe de l’Ouest et de l’Est.Les auteurs sont arrivés à la conclusion que le secteur bancaire ne se rétablit que très lentement. Il y a certes des signaux positifs, comme la réduction de l’exposition aux risques, qui a pour conséquence une meilleure rentabilité. Mais il y a encore beaucoup à faire pour améliorer les rendements et l’efficacité des coûts. Ce sont surtout les banques suisses qui se démarquent. En comparaison avec d’autres pays, le taux de risque est bas. Le rendement par client a quelque peu reculé (-2%) par rapport à l’année précédente, mais le rendement par collaborateur a augmenté (+1%).
Amundi Immobilier a le vent en poupe. Les encours de la société de gestion du groupe Amundi spécialisée dans l’immobilier, qui ont passé la barre des 10 milliards d’euros au premier trimestre, s’inscrivaient fin avril à plus de 10,5 milliards d’euros, a indiqué la société le 29 mai à l’occasion d’un point de presse. «Opcimmo», l’OPCI grand public d’Amundi Immobilier a largement contribué à cette évolution. Cette solution d’épargne immobilière «simple, accessible, liquide et souple, alliant la sécurité de la pierre à la liquidité de l’OPCVM», est devenue le 1er OPCI grand public sur le marché français en termes d’encours et de collecte. Avec 434 millions d’euros de collecte sur 2014, il a d’ailleurs absorbé 50 % de la collecte globale du marché des OPCI grand public. Cette tendance se confirme sur les premiers mois de 2015. «Opcimmo» vient de franchir, à fin avril 2015, 1,250 milliard d’euros d’encours et a d’ores et déjà collecté 452 millions d’euros, soit déjà plus que sur toute l’année 2014. Ses atouts majeurs: une stratégie d’investissement paneuropéenne et un référencement auprès de nombreux assureurs. Profitant de la qualité des actifs immobiliers diversifiés et de la performance des actions foncières, le fonds affiche une performance nette annualisée depuis son lancement de 5,5%, a souligné Pedro-Antonio Arias, responsable des actifs alternatifs (immobiliers et private equity) d’Amundi Immobilier. Véhicule d’investissement immobilier collectif (de type SPPICAV), Opcimmo est investi à hauteur de 60 % en actifs immobiliers et 40 % en actifs obligataires et monétaires. Son allocation paneuropéenne lui permet d’investir sur les principaux marchés européens, de diversifier les risques et de réduire la volatilité globale du portefeuille. Le fonds vient d’ailleurs d’acquérir 50000 m2 de bureaux à Munich et de prendre une participation dans deux bâtiments à Berlin: un immeuble de bureau et un hôtel. De plus, «Opcimmo» est un des rares OPCI grand public à suivre une approche d’Investissement Socialement Responsable (ISR). A côté du succès commercial d'«Opcimmo», Amundi Immobilier a aussi simplifié son offre de SCPI et développé des solutions d’ingénierie financière appliquées à l’immobilier et des fonds dédiés pour les investisseurs institutionnels. Cela permet à ces derniers d’avoir accès à des investissements uniques et permet aux entreprises de trouver de nouvelles sources de financement à l’instar de ce qui a été réalisé avec Métro ou encore Carrefour. Une stratégie qui s’est avérée porteuse puisqu’Amundi Immobilier a multiplié par deux ses encours depuis 2010, et se retrouve en seconde position en termes d’encours concernant la clientèle patrimoniale (SCPI et OPCI) et n°1 en collecte (depuis 2012) sur la clientèle des particuliers grâce notamment au succès commercial d’ «Opcimmo». Forte de ce succès, Amundi Immobilier compte exporter davantage à l’international ses solutions immobilières tant auprès de la clientèle des particuliers que de celle institutionnelle via ses réseaux partenaires, et étendre ses investissements en Italie, République tchèque, Pologne et Autriche. «En accélérant notre développement à l’international, après être devenu 1er collecteur du marché des particuliers français, nous avons pour ambition de devenir le 1er acteur immobilier en France en visant un encours total de 15 milliards d’euros d’ici trois ans. Nous comptons également poursuivre le développement commercial d’Opcimmo avec un objectif d’encours de 2 milliards d’euros d’ici à la fin de l’année 2015», a indiqué déclare Fathi Jerfel, directeur du métier réseaux partenaires et solutions d’épargne. Fathi Jerfel a par ailleurs indiqué que les actifs sous gestion du groupe Amundi s'élevaient fin avril à 975 milliards d’euros. Autrement dit, l’objectif du groupe des 1.000 milliards d’euros à fin 2016 n’est plus très lointain et pourrait même être atteint avant l'échéance...
Fortement présente au côté des acteurs de l’économie régionale, la Caisse d’Epargne Loire-Centre ajoute un nouvel élément à sa panoplie de produits et services dédiés aux entreprises avec le lancement de Loire-Centre Capital, une société de capital investissement destinée aux grandes entreprises de la région Centre-Val de Loire. Loire-Centre Capital s’adresse prioritairement aux entreprises régionales réalisant un chiffre d’affaires compris entre 15 et 100 millions d’euros. Elle se fixe pour objectif de les soutenir dans deux moments clés de leur vie : la croissance et la transmission. L’apport en capital pourra aller de 150 000 euros à 1 million d’euros par opération. L’intervention de Loire-Centre Capital permettra de conforter les fonds propres, par exemple pour réaliser une opération de croissance externe, investir dans de nouveaux outils de production, multiplier les implantations géographiques, mais aussi préparer la transmission, l’ouverture ou la réorganisation du capital. La participation au capital sera toujours minoritaire, sans mandat social, ni minorité de blocage. Loire-Centre Capital pourra également co-investir avec les autres sociétés d’investissement du Groupe BPCE pour les projets plus importants. Elle est, en effet, adossée à Caisse d’Epargne Développement, la société de capital investissement créée début avril au niveau national par la Caisse d’Epargne.
La société HPC Investment Partners, spécialisée dans les solutions d’investissement dédiées (les produits structurés en l’occurence), dont la création a été annoncée très récemment, démarre sur les chapeaux de roue. « Nous sommes désormais opérationnels et, en quelques semaines, nous avons déjà réalisé une bonne quinzaine de transactions », a indiqué à Newsmanagers, Pierre-Yves Breton, l’un des associés fondateurs de la nouvelle structure.Fort de ces premiers succès, la société, qui a aussi développé son propre site internet et mis en place un système de reporting maison, essentiel dans le contexte actuel de compliance accrue, et signé des accords avec une vingtaine de banques émettrices, réfléchit activement à son développement. Bien entendu, le périmètre de départ est l’Europe, avec la Suisse, dont Pierre-Yves Breton va s’occuper pour la bonne raison qu’il connaît bien ce pays pour y avoir travaillé neuf ans au sein de la Financière Tradition, le Luxembourg, les pays scandinaves, le Royaume-Uni, et bien entendu la France. Mais la société, qui vise essentiellement une clientèle de banques privées, de family offices et de fonds de pension, envisage aussi de se développer très rapidement au-delà des frontières européennes, notamment en Amérique latine. « Nous recherchons d’ores et déjà un vendeur de produits structurés qui pourra couvrir l’Amérique latine, peut-être à partir de New York où notre actionnaire OTCex dispose déjà d’une implantation. La région offre de nombreuses opportunités et nous avons déjà sur place une grande banque émettrice », confie Pierre-Yves Breton. Parallèlement, HPC IP souhaiterait également recruter deux vendeurs pour la couverture européenne, l’un pour les pays scandinaves, l’autre pour les pays germanophones (Suisse et Autriche notamment). Le recrutement de ces trois vendeurs pourrait intervenir avant la fin de l’année 2015. Avec ses associés, ses analystes et ses vendeurs, l’effectif de la société compterait alors environ huit collaborateurs.
La division obligataire d’Invesco a demandé à Rashique Rahman, le nouveau patron des marchés émergents, de participer à la gestion de son fonds de dette en monnaie locale, le Emerging Local Currency Debt fund, dont les actifs sous gestion s'élèvent à 504 millions de dollars, rapporte le site spécialisé Citywire Global. Rashique Rahman a rejoint Invesco dans les bureaux d’Atlanta en décembre 2014, en provenance de Morgan Stanley. Sa nomination sur le fonds de dette est la première mission de ce type depuis son arrivée dans le groupe. Dans sa nouvelle mission, Rashique Rahman s’occupera du fonds aux côtés de Jack Deino et Joseph Portera qui cogèrent le fonds depuis août 2013.
Les 570 sociétés de hedge funds disposant d’un encours d’au moins 1 milliard de dollars contrôlent désormais 2.780 milliards de dollars, soit 92 % des actifs totaux du secteur mondial, montre la dernière étude de Preqin.Le secteur mondial des hedge funds a atteint 3.160 milliards de dollars d’encours à la fin du premier trimestre 2015, mais une part croissante des actifs sont concentrés autour d’un petit nombre de gros acteurs, représentant seulement 11 % du secteur, constate Preqin. Au sein de ce « club des milliardaires », 22 sociétés de hedge funds gèrent au moins 20 milliards de dollars et sont à la tête de 790 milliards de dollars d’actifs. Ces sociétés existent en moyenne depuis plus de 20 ans. Ainsi, la date moyenne de création de ces sociétés est 1992. Ceux qui gèrent entre 1 milliard et 4,9 milliards de dollars contrôlent collectivement 892 milliards de dollars, soit 28 % des actifs. Ces sociétés sont plus récentes, ayant été établies en moyenne en 2001. Au moins 27 % des fonds gérés par les membres du club des milliardaires sont des stratégies actions. Pour les gérants détenant plus de 20 milliards de dollars, environ un quart de leurs fonds sont des fonds multi-stratégies. Les sociétés gérant plus de 1 milliard de dollars sont principalement localisées à New York. Cela inclut 202 d’entre elles, gérant au total plus de 1.000 milliards de dollars. Londres est la deuxième terre d’accueil des grands hedge funds, avec 83 sociétés basées dans la capitale britannique, gérant 363 milliards de dollars. Enfin, la principale société de hedge funds est Bridgewater Associates, avec 169,5 milliards de dollars. AQR Capital Management le suit de très loin avec 64,9 milliards de dollars.
La société de gestion espagnole InverCaixa Gestion vient de nommer Guillermo Viñuales au poste de directeur de la gestion obligataire et David Manso au poste de directeur de la gestion actions, rapporte le site spécialisé Funds People. Tous deux seront rattachés à Carmen Lumbreras qui assume depuis peu la direction conjointe de l’obligataire et des actions, alors qu’elle était précédemment responsable uniquement de la gestion obligataire.Précédemment, Guillermo Viñuales était gérant du fonds FonCaixa Renta Fija Corporativa et responsable de l’analyse crédit d’entreprises. Quant à lui, David Manso était gérant du fonds FonCaixa Bolsa Small Cap Euro et en charge de l’analyse du secteur industriel et des PME. Guillermo Viñuales a intégré InverCaixa en 2008 après avoir débuté sa carrière sur les marchés de capitaux en 2000 chez Morgan Stanley. Pour sa part, David Manso compte plus de 14 ans d’expérience dans la gestion de fonds actions. Par ailleurs, Morningstar annonce qu’Alfonso Gurtubay, ancien directeur obligataire de Barclays Wealth Management en Espagne et José Joaquin Mateos, ancien directeur actions de Barclays WM en Espagne également, ont intégré l’équipe dirigée par Carmen Lumbreras.
Le groupe britannique Old Mutual, maison mère de la société de gestion Old Mutual Global Investors, a annoncé, le vendredi 29 mai, la cession de Skandia Leben AG en Suisse, filiale d’Old Mutual Wealth, au groupe Life Invest Holding AG, détenu par Mutschler Group et le réassureur Hannover Re. Le montant de l’opération n’a pas été dévoilé. Au 31 décembre 2014, Skandia Leben AG affichait 1,3 milliard de francs suisses d’actifs sous gestion et avait dégagé un bénéfice opérationnel avant impôt de 25 millions de francs suisses. La transaction, soumise aux autorités réglementaire compétentes, devrait prendre six mois pour être totalement finalisée, a précisé Old Mutual.
Les investisseurs chinois déversent leur argent dans des petits fonds d’investissement, ce qui constitue un moteur puissant derrière le rally du marché actions, constate The Wall Street Journal. Depuis le début de l’année, 4.153 fonds ont été lancés, attirant l’équivalent de 73 milliards de dollars de la part d’investisseurs. Cela représente une augmentation de 561 % par rapport à la période correspondante de l’année dernière, selon UBS. La China Securities Regulatory Commission indique que le pays compte désormais 6.653 « private-securities investment funds », comme on les appelle, représentant un encours de 1.070 milliards de yuans. Ces fonds ont levé plus d’argent en termes absolus que les mutual funds chinois cette année, selon UBS. Et ce, en dépit du fait que les private-securities funds ont au total seulement un tiers des actifs des fonds actions, selon Z-Ben Advisors.
Allianz Global Investors (AllianzGI) a décidé de fermer son fonds UK Corporate Bond, dont les encours atteignent 10,2 millions de livres, estimant que ce véhicule n’avait pas atteint sa taille critique, rapporte FT Adviser. De fait, la société de gestion juge que « le fonds n’est plus viable commercialement et est aujourd’hui contraint dans ses efforts visant à répondre à sa politique et ses objectifs d’investissements ». Ce fonds était géré depuis 2009 par Ketish Pothalingam. Dans un premier temps, AllianzGI avait envisagé de fusionner ce fonds avant de s’apercevoir qu’une telle démarche était « inappropriée au regard de l’objectif d’investissement bien particulier du fonds ».
Le gestionnaire d’actifs britannique Aviva Investors, filiale de l’assureur Aviva, a nommé James Tothill au poste nouvellement créé de responsable commercial pour la clientèle tierce, rapporte Reuters. A ce titre, l’intéressé sera chargé de construire et gérer les relations de la société avec les parties tierces telles que les plateformes de fonds et les sociétés de recherche. James Tothill sera rattaché à Jeremy Leadsom, responsable « wholesale » pour le marché britannique chez Aviva Investors. Avant de rejoindre Aviva Investors, James Tothill officiait chez Aria Capital où il était responsable des partenariats stratégiques. Avant cela, il avait occupé le poste de responsable des partenariats mondiaux chez Henderson Global Investors.
Le groupe financier asiatique Nomura a lancé à la Bourse de Londres deux ETF actions japonaises au format Ucits : le Nomura JPX-Nikkei 400 Daily EUR-Hedged UCITS Exchange Traded Fund et le Nomura JPX-Nikkei 400 Daily USD-Hedged UCITS Exchange Traded Fund.L’objectif d’investissement des fonds est de suivre la performance des indices JPX-Nikkei 400 Total Return couverts contre le dollar et l’euro, récemment lancés. Ces ETF permettront aux investisseurs européens, auxquels ils sont destinés, de s’exposer aux actions japonaises, tout en réduisant l’impact sur leurs portefeuilles de la dépréciation éventuelle du yen face au dollar ou à l’euro.Les deux ETF font partie de la gamme Next Funds de Nomura représentant 52,7 milliards de dollars d’actifs, offrant une réplication physique d’indices dans différentes classes d’actifs. Ils représentent une étape supplémentaire dans l’expansion internationale des Next Funds sur le marché des ETF au format Ucits, après le lancement en janvier des ETF Nomura Nikkei 225 Euro - Hedged UCITS ETF et Nomura Nikkei 225 UCITS US Dollar -Hedged ETF.
Old Mutual Asset Management, qui gère 224 milliards de dollars d’actifs, vient de nommer Trevedi Tewari au poste de responsable des institutionnels pour le Royaume-Uni et l’Irlande à compter du 1er juin 2015. L’intéressé, qui compte 18 ans d’expérience dans le secteur financier, sera rattaché à Olivier Lebleu, responsable de l’activité international pour Old Mutual AM. Avant de rejoindre Old Mutual, Trevedi Tewari était «director» en charge des relations avec les consultants chez Scottish Widows Investment Partnership.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } Fredrik Nordström has been appointed as CEO of the Swedish fund association Fondbolagens Förening. He will begin in his role on 1 October, and will succeed Pia Nilsson, who will be retiring. Nordström, 47, has served in several management positions in the asset management and retirement sector in Sweden, a statement released on Friday states. Among others, he was CEO of AMF Fonder. At the beginning of the week, Peter Branner, CEO of SEB Investment Management, was elected as the new president of the Swedish fund association Fondbolagens Förening.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } The US asset management firm Neuberger Berman has signed a strategic partnership with Intesa Sanpaolo in Italian private equity, a statement has announced. As part of the agreement, Marco Cerrina Feroni and Fabio Canè, previously head of merchant banking and private equity operations at Intesa Sanpaolo, and other members of their team, have joined Neuberger Berman. Stefano Bontempelli, who had been managing director of the European private equity activity at Neuberger Berman, will be a member of the team. The three senior partners and their team will continue to be based in Milan, and will be part of the private equity division led by Anthony Tutrone, global head of private equity at Neuberger Berman. The operation comes as part of a strategy at Neuberger Berman to extend geographically and increase its expertise in investments.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } Encouraged by the desire shown by the Chinese central bank to take new measures to stimulate the economy to support its objective of GDP growth of 7% in 2015, investors have returned in large numbers to Chinese equities. According to estimates by EPFR Global, funds dedicated to Chinese equities attracted USD4bn in the week to 27 May, a record sum which represents more than double the previous record for weekly inflows, set early in second quarter 2008. This liveliness of Chinese equities, however, represents an isolated phenomenon at the end of this month, as investors are tending to limit their activities as the meetings of the European Central Bank and the US Federal Researve approach in June. Interest in European equities has remained, btu US equity funds have seen further redemptions, with the result that overall, equity funds finished the week ending on 27 May with inflows of about USD4bn. Bond funds show a slight outflow, while money market funds show redemptions totalling about USD3.5bn.
The asset management industry is a well-regulated and well-diversified industry, according to Efama, the European fund and asset management association, which has published a response to the second FSB/IOSCO consultation on the assessment methodologies for identifying non-bank, non-insurer (NBNI) globally systemically important financial institutions (G-SIFIs)."The European regulatory regime within which asset managers (UCITS and AIFM Directives) operate already addresses many of the FSB/IOSCO concerns regarding potential systemic risks; notably in terms of mandatory diversification and strict collateral requirements, counterparty exposure and leverage limits, enhanced reporting and stress-testing requirements for specific AIFs. Also EU legislation for banks (CRD IV) and financial market infrastructures (EMIR) also play a key role in addressing potential systemic risks», according to the professional body. «This EU legislative framework must for this very reason be appropriately considered – and similarly, so do the existing and well-functioning liquidity management tools which allow asset managers to meet redemption requests even during periods of market turmoil», says Efama. “With this response, Efama wishes to address concerns about the business model of asset managers and makes clear how the FSB/IOSCO analysis of contagion channels is not appropriate in the context of the asset management industry”, Peter de Proft, director general of Efama, commented. Unlike other financial institutions, asset managers operate as “agents” in the sole interest of their clients and within the boundaries of an agreed investment mandate. The investments comprising the fund portfolio are legally segregated and entrusted to a depositary, thus severed from the balance sheet of the asset manager, according to the association. The asset management industry regrets that some of the evidence it had previously put forward to illustrate the flaws of the FSB/IOSCO “entity-based” approach has not been considered. EFAMA believes any systemic risk debate should be looked at from the perspective of market activities and products - and their related risks - performed by any financial market actor, and not asset managers uniquely.European asset managers are also not convinced by the approach of designating systemic entities with no indication of the measures deemed to apply. Importantly, Efama would recommend that regulators’ analysis of potential risks from asset management activities be assessed once empirical evidence has been gathered through recently enhanced reporting requirements, which would provide more accurate data supporting a fairer judgement of systemic risks.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } Old Mutual Asset Management, which has USD224bn in assets under management, has appointed Trevedi Tewari has head of institutionals for the United Kingdom and Ireland from 1 June 2015. Tewari, who has 18 years of experience in the financial sector, will report to Olivier Lebleu, head of the global activity for Old Mutual AM. Before joining Old Mutual, Tewari had been director, responsible for relationships with consultants at Scottish Widows Investment Partnership.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } What is the reason for the sudden popularity of the Italian distribution market with asset management firms? Richard Bruyère, chairman of the company Indefi, has identified five factors behind this phenomenon. “Firstly, this is a market of a substantial size, in third place in Europe for ownership of OPCVM fund shares by retail investors,” he says. Next, it is a market with strong growth in terms of ownership of funds, which is resulting in an inversion of the investment cycle, due to the decline of short-term products such as savings accounts and super accounts. Bruyère estimates the sums which have been reinvested in these supports at EUR150m in the past three years. The Indefi chairman also cites the presence in Italy of a distribution network which performs well via the networks of ' promotori finanziari.’ The fourth point is the existence of a retail market which offers comfortable profit margins for asset managers. Lastly, this market has lower barriers to entry than the competing Swiss or German markets,” Bruyère concludes. Although it is a direct distribution market by its nature, via networks, the Italian market is also now in the process of evolving toward more complex models, intermediated more by mandated platforms, funds of funds, etc. The remaining question is what asset classes are most popular with Italian investors. In this area there is nothing new, the head suggests: multi-asset, unconstrained bond type funds, or flexible bond funds, and lastly, international equity funds alone represent half the market, with respective market shares of 25%, 15% and 10%.
Ravi Raju, le patron Asie de la gestion d’actifs et de fortune de Deutsche Bank a indiqué dans un entretien donné à Bloomberg que cite L’Agefi, la possibilité pour la banque de gonfler la part des actifs et des équipes de la division dans la région de 5% à 10% cette année pour doper sa croissance. Pour ce faire, la banque recruterait des gestionnaires de relation client, ainsi que des équipes dédiées à la compliance et au développement technologique. Elle doublerait les effectifs, qui totalisent pour l’heure 800 employés, et concerneraient en priorité la Chine, l’Inde et l’Indonésie. La stratégie 2020 de la banque souligne l’importance de la gestion d’actifs et de fortune dont le bilan doit augmenter de 5% à 10% par an d’ici 2020, en augmentant notamment «de 15% les équipes de gestionnaires de relation client dans les marchés clés». L’an dernier, les actifs sous gestion avaient grimpé de 13% sur un an, pour atteindre à fin décembre 1.000 milliards d’euros.
L’an dernier, BlackRock a enregistré la plus forte hausse d’effectifs des gestionnaires d’actifs en Europe, avec une progression de 13% d’une année sur l’autre à 2.632, rapporte le site spécialisé Fondsnieuws. En Europe continentale, les effectifs sont désormais de 103 en Allemagne, de 39 en Italie, de 38 aux Pays-Bas et de 20 en France.
Christine Dallet, qui a travaillé pendant près de 13 ans chez Credit Suisse España, vient de rejoindre la société de gestion de portefeuille indépendante Patrivalor en qualité d’associée, rapporte le site spécialisé Funds People. L’intéressée officiait précédemment au sein de Credit Suisse Gestion en tant que responsable de l’équipe « Portfolio Management ».
Le gestionnaire d’actifs américain BlackRock vient de renforcer sa force de frappe commerciale en Espagne avec un double recrutement, rapporte le site spécialisé Funds People. La société de gestion a en effet recruté Alvaro Cabeza, jusque-là responsable des comptes institutionnels chez Amundi, au sein de ses équipes de ventes. L’intéressé sera intégré à l’équipe commerciale dirigée par Luis Martin, directeur des ventes pour la péninsule ibérique. Avec ce recrutement, l’équipe commerciale de BlackRock se compose désormais de 11 collaborateurs, dont cinq personnes dédiées à la gestion active et six personnes dédiées à la gestion passive, précise le site d’information espagnol. En parallèle, la société de gestion américaine a renforcé les équipes d’iShares, sa filiale dédiée aux ETF, avec le recrutement de Tania Salvat Navarro, jusque-là gérante de portefeuilles et de sicav chez Banco Alcala. Le département marketing d’iShares s’est également étoffé avec l’arrivée d’Almudena Velicia, qui apportera son soutien à l’équipe dirigée par Lena Ketterle.
Le Fonds Stratégique de Participations (FSP) créé en 2012 par quatre assureurs vie français – CNP Assurances, Prédica (filiale de Crédit Agricole), BNP Paribas Cardif et Sogécap (filiale de Société Générale) – vient de prendre une participation au capital de Zodiac Aerospace, a annoncé le FSP dans un communiqué daté du 1er juin. L’opération s’élève à 350 millions d’euros, soit un peu moins de 4% du capital de cette entreprise française spécialisée dans les équipements et les systèmes aéronautiques. Il s’agit de la troisième opération du FSP, géré par Edmond de Rothschild Asset Management, après des prises de participations de 5,25% du capital du groupe SEB et de 6,5% du capital du groupe Arkema pour respectivement 160 millions et 335 millions d’euros. A l’occasion de cette prise de participation, le FSP a également annoncé avoir été rejoint par deux nouveaux actionnaires, à savoir Groupama et Natixis Assurances qui ont participé à l’entrée dans le capital de Zodiac.
Les réseaux sociaux font partie du quotidien de millions de Français et pourtant, les sociétés de gestion françaises ne semblent pas avoir totalement saisi leur potentiel stratégique. Alban Jarry, spécialiste en stratégies de marques sur les réseaux sociaux professionnels - et par ailleurs directeur Solvabilité 2 et Risques Stratégiques à la Mutuelle Générale - revient sur la présence des maisons françaises sur les réseaux, qu'il juge encore trop timide, et sur les dangers qu'elles courent en investissant pas assez dans les stratégies digitales dédiées.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } Russell Investments has recruited Samantha Sobkowich as director, responsible for sales to institutional investors for Scandinavia, Funds Europe reports. She replaces Sjef Pieters, who left the asset management firm in September 2014, and will report to Mortijn Kuipers, managing director of the Amsterdam office. Before joining Russell Investments, Sobkowich was head of development for Scandinavia and Benelux at Cairn Capital. Before that, she served successively at Tiberius Asset Management and Brevan Howard Asset Management.
Les réseaux sociaux font partie du quotidien de millions de Français et pourtant, les sociétés de gestion françaises ne semblent pas avoir totalement saisi leur potentiel stratégique. Alban Jarry, spécialiste en stratégies de marques sur les réseaux sociaux professionnels - et par ailleurs directeur Solvabilité 2 et Risques Stratégiques à la Mutuelle Générale - revient sur la présence des maisons françaises sur les réseaux, qu'il juge encore trop timide, et sur les dangers qu'elles courent en investissant pas assez dans les stratégies digitales dédiées.
The hedge fund industry has now reached USD3.16tn in assets as of the end of Q1 2015, but a growing proportion of these assets are concentrated among a small pool of large managers. The “$1bn Club”, which now includes 570 managers, represents 11% of the total 5,122 single-manager hedge fund managers across the globe. But these firms command a total of USD2.78tn of industry capital, which amounts to 92% of the total assets in hedge funds.22 fund managers currently handle USD20bn or more in assets under management, and collectively control USD790bn in assets. Members of the Club that manage between USD1bn and USD4.9bn collectively control USD892bn in assets, or 28% of entire industry assets.At least 27% of funds run by members of the Club are equity strategies (41% for managers with between USD1bn and USD4.9bn in assets). For managers with USD20bn or more in assets, almost a quarter of their funds are multi-strategy funds.For members of the Club with USD20bn or more in assets, the average year of establishment is 1992, highlighting the long track record for a large number of these managers. For managers with between USD1bn and USD4.9bn, the average year of establishment is 2001.A total of 202 members of the USD1bn Club are located in New York, and manage over USD1tn between them. London is the second most notable location of managers in the Club, with 83 headquartered there managing USD363bn in assets.Bridgewater Associates still commands the largest amount of assets, with a total of USD169.5bn in assets under management. AQR Capital Management follows this with USD64.9bn in assets.