Goldman Sachs a levé plus de 1 milliard de dollars auprès de riches individus pour un fonds qui investira dans des sociétés non cotées connaissant une croissance rapide, rapporte le Financial Times. Le fonds, appelé Global Private Opportunities Partners II, fait trois fois la taille d’un fonds similaire monté par la banque en 2011. Il réalisera des investissements minoritaires dans des sociétés de croissance à l’échelle mondiale. Le fonds est proposé aux clients de la division gestion de fortune de Goldman Sachs.
L’un des meilleurs hedge funds sur les actions européennes depuis le début de l’année s’avère être basé aux Etats-Unis, dans le Connecticut, s’étonne le Wall Street Journal. Il s’agit de Lucerne Capital, géré par Pieter Taselaar et Thijs Hovers au sein de Lucerne Capital Management. Le fonds gagne 23,8 % entre janvier et fin mai. Alors que la plupart des hedge funds actions européenne s’installent en Europe pour être proches des sociétés dans lesquelles ils investissent, Lucerne affirme avoir un meilleur accès aux entreprises en étant basé aux Etats-Unis. Selon Jonathan Larken, directeur marketing de la firme qui gère 500 millions de dollars, les dirigeants des sociétés de taille moyenne que Lucerne couvre se déplacent aux Etats-Unis, ce qui signifie que la maison de gestion obtient des têtes à têtes avec la direction, alors que s’ils étaient basés à Londres, ils seraient assis dans un auditorium pour rencontrer les entreprises.
Le gestionnaire d’actifs américains State Street Global Advisors (SSgA) a nommé Michael Ho, un « managing director » senior, au poste nouvellement créé de directeur des investissements en charge des actifs alternatifs, rapporte Pensions & Investments qui cite un porte-parole de la société. L’intéressé supervisera une équipe qui gère les stratégies de hedge funds. Au 31 mars 2015, les actifs alternatifs sous gestion de SSgA s’établissent à 140 milliards de dollars. Auparavant, Michael Ho était directeur des investissements en charge des actions marchés émergents et des stratégies global macro chez SSgA.
Le gestionnaire d’actifs britannique Schroders vient de lancer le fonds Schroders ISF Emerging Multi Asset Income, son premier fonds multi classes d’actifs de génération de revenus centré sur les marchés émergents, rapporte Citywire Global. Ce nouveau véhicule sera géré par Aymeric Forest et Iain Cunningham, qui assurent déjà la gestion du fond Schroders ISF Global Multi-Asset Income, lancé en 2012 et dont les encours s’élèvent actuellement à 6 milliards d’euros. Ce nouveau produit investira dans une large gamme de classes d’actifs et de secteurs d’activités dans l’ensemble des marchés émergents de la planète. Pour l’heure, le fonds est enregistré en Autriche, en Allemagne, au Luxembourg, en Espagne, en Suisse et au Royaume-Uni. A cette date, il n’est pas encore disponible sur le marché français.
La société de gestion Algebris Investments (2,5 milliards de dollars d’encours) vient de recruter Simon Peters, un ancien de Pimco, en tant que gérant de portefeuilles pour ses stratégies actions cotées, avec des responsabilités pour les investissements en Europe et dans la région Europe, Moyen-Orient et Afrique. Il sera basé à Londres, sous la direction de Davide Serra, associé-fondateur d’Algebris. « Simon jouera un rôle déterminant dans le développement de nos fonds phare et de nos nouveaux produits », commente Davide Serra.Simon Peters avait rejoint Pimco en août 2014 pour travailler dans l’équipe de Virginie Maisonneuve, qui avait été recrutée chez Schroders en tant que responsable mondiale de la gestion actifs pour diversifier l’offre de la maison et qui a quitté la société tout récemment. Par ailleurs, Algebris a annoncé la nomination de Massimo Massimilla en tant que CEO d’Algebris Italy. Il se transférera donc à Milan où la société vient d’ouvrir un bureau. Massimo Massimilla travaille chez Algebris depuis la création de la société en 2006.Algebris se spécialise dans les actifs liquides (actions et crédit) et dans les actifs privés italiens (dette privée et private equity).
Le gestionnaire d’actifs écossais Aberdeen Asset Management (Aberdeen AM) s’est associé à Hymans Robertson, un cabinet de conseil spécialisé dans les retraites et la gestion du risque, pour bénéficier et proposer sa technologie en ligne, GO, dans le cadre d’une nouvelle initiative visant à aider les particuliers à répondre à leurs objectifs d’épargne. La solution GO est une solution technologique, conçue grâce à l’expertise actuarielle et technologique de Hymans Robertson, qui analyse les plans d’épargne de 400.000 particuliers, combinant plus de 2 milliards de livres d’actifs conseillés en 2014. Aberdeen AM entend s’appuyer sur cette solution pour développer un service en ligne qui sera accessible à une vaste gamme d’investisseurs particuliers au Royaume-Uni.
Rathbone Unit Trust Management a annoncé une réduction de ses frais sur l’ensemble de sa gamme multi-classes d’actifs, rapporte le site spécialisé Investment Week. Les frais de gestion annuels vont ainsi passer de 75 points de base à 50 points de base à compter du 1er août. Le total des frais sur encours va également diminuer en raison de ces modifications de tarification. A compter du 1er octobre, tous les fonds de la gamme pourront aussi inclure des grosses capitalisations en direct. Ils pourront aussi investir dans d’autres fonds, ce qui devrait diminuer encore les coûts. Le total des frais sur encours du Rathbone Total Return devrait ainsi passer de 1,51% à 1,13%. Pour le Strategic Growth fund, le TFE tombe à 1,18% contre 1,54% précédemment, et pour le Enhanced Gowth fund, il sera à 1,50% contre 1,92%.
Odey Asset Management va confier son fonds Continental European (217 millions de livres) à l’ancien gérant de Waverton Oliver Kelton, rapporte Investment Week. Le gérant actuel Feras Al-Chalabi pourra ainsi se concentrer sur sa stratégie long/short. Oliver Kelton a rejoint Odey AM en mars, apportant avec lui son fonds Waverton European.
Rothschild a nommé avec effet immédiat Peter Hindle en qualité de «director» pour diriger une nouvelle équipe au sein de son équipe de gestion de fortune à Manchester, rapporte Reuters. L’intéressé arrive en provenance du groupe Credit Suisse, à Manchester toujours, où il occupait le poste de «vice president» et travaillait depuis plus de huit ans. Peter Hindle sera rattaché à Helen Watson, responsable de la gestion de fortune au Royaume-Uni chez Rothschild.
La Française vient de signer un accord de distribution avec l’italien Invest Banca, rapporte Bluerating. Cet accord permettra à la clientèle retail et institutionnelle de la banque italienne d’accéder aux fonds de la société de gestion française, qui compte plus de 50 milliards d’euros d’encours sous gestion.
Banca Patrimoni Sella & C. vient de recruter Ferdinando Buonaccorsi en tant que nouveau dirigeant pour la région Centre-Nord de l’Italie, qui comprend notamment la Toscane, rapporte Bluerating. L’intéressé vient de Banca Monte dei Paschi di Siena où il était general manager du réseau de conseillers financiers. Avant, il a travaillé pour Fideuram, Sanpaolo Invest et Banca della Rete.
Selon des informations de Fondsprofessionell, Michael Grüner a été nommé en avril co-responsable commercial pour la région Europe, Moyen-Orient et Afrique (EMOA/EMEA) d’iShares. Il travaille aux cotés de Fergus Slinger. Michael Grüner avait été nommé en octobre 2014 directeur de la clientèle retail et privée de la même région.
La société d’investissement Van Eck Global a lancé deux nouveaux ETF sur les actions aurifères destinés aux investisseurs suisses et cotés sur le SIX Swiss Exchange (SIX). Selon L’Agefi suisse, le Market Vectors Gold Miners Ucits ETF réplique la performance quotidienne de l’indice sous-jacent NYSE Arca Gold Miners Index (GDMNTR).
Confrontés à des taux durablement bas, les investisseurs institutionnels ont été conduits à repenser entièrement leurs allocations d’actifs stratégiques, en réajustant ou en modernisant les techniques utilisées. Dans une étude menée auprès d’investisseurs institutionnels (*) et reprise partiellement dans L’Agefi Hebdo ce jeudi 11 juin, la société de gestion Aberdeen AM, en partenariat avec le cabinet de conseil Captéo, s’est intéressée aux nouvelles techniques d’allocation d’actifs et aux outils à leur disposition pour mener à bien cette entreprise. Avec un constat à la clé : les institutionnels ont bien conscience que l’approche d’hier n’est plus valable et qu’il est nécessaire de bien maîtriser son allocation stratégique en termes de modélisation, d’anticipation, de révision régulière de suivi de sa délégation. De fait, l’utilité des stratégies et instruments en question ne fait aucun doute. Mais de là à les considérer comme la panacée, il y a un pas que beaucoup ne franchissent pas. Pour parvenir à ces conclusions, l’enquête d’Aberdeen s’est tout d’abord intéressée à l’allocation d’actifs des investisseurs qui prend en compte la composition du passif, dans le cadre d’un processus ALM, afin de déterminer combien investir et dans quel type d’actifs. Pour ce faire, l’allocation utilise notamment des outils mathématiques qui se basent sur des anticipations de rendement et de risque à long terme, sur des rendements historiques, des prévisions macro-économiques, des règles d’évaluation du passif et des hypothèses de corrélation entre les actifs. «Ces outils permettent de simuler des chocs via des stress tests, et d’en mesurer l’impact sur les bilans et comptes de résultat sous la forme de projections de rendement et de volatilité» relève l'étude qui note qu'à partir de la théorie moderne de portefeuille et des concepts de frontière efficiente et de portefeuille optimal, des modèles mathématiques ont été développés de plus en plus sophistiqués. «Les investisseurs étudient ou appliquent déjà ces nouvelles techniques d’allocation pour mieux appréhender la volatilité des marchés, protéger leurs portefeuilles contre les risques de perte en capital et atteindre leurs objectifs de rendement.Pour générer des revenus réguliers à court terme et répondre à leurs contraintes de passif, les investisseurs procèdent à des ajustements en termes d’allocation qui se traduisent par trois principales actions : la sécurisation des performances – en minimisant la volatilité du rendement -, la poursuite de la diversification – pour satisfaire à leur besoin de rendement – et enfin l’augmentation de la gestion déléguée, les gérants étant jugés sur leur capacité à respecter un objectif global de risque du portefeuille mais aussi sur leurs outils de pilotage et de reporting.En pratique, l’allocation cible - établie dans un contexte macro-économique et social difficile et soumise à des contraintes réglementaires voire d’ordre interne à chaque établissement - fait la part belle à la poche taux chez les institutionnels. Elle représente plus des trois quarts des placements de long terme, bien qu’elle soit proportionnellement en baisse (de l’ordre de 2%). Les actifs alternatifs sont en revanche plus nombreux (private equity, infrastructures…). Quant à l’immobilier, généralement géré en direct avec des actifs réels, principalement des bureaux, sa part est stable. Cela étant, au vu du faible intérêt pour les emprunts d’Etat et les obligations investment grade, les investisseurs doivent prendre plus de risque, sans se reporter trop massivement sur les actions, indique l’enquête. Ils s’orientent donc vers les obligations à haut rendement, qui présente un faible taux de défaut et une profondeur de marché, malgré la valorisation élevée et la faible liquidité de ce segment obligataire. Côté actions, les perspectives d’une croissance modérée sont de mise avec des nuances par région. «Les investisseurs privilégient ainsi plus volontiers l’Asie, les Etats-Unis ou les pays émergents par rapport à l’Europe, notamment à cause de la crise de surendettement des acteurs européens», détaille l'étude. Pour construire une allocation stratégique réalisée sur la base de modèles mathématiques propriétaires ou externes, l'étude relève que chaque investisseur a mis en place un mode de fonctionnement conforme à sa taille et à son métier. Avec un «process» proche pour l’ensemble des investisseurs interrogés, basé sur une fréquence de révision annuelle, des comités de suivi mensuels, voire trimestriels et d’éventuels ajustements tactiques en cours d’année, c’est en moyenne une équipe d’environ trois ou quatre personnes qui s’occupe du sujet. Mais l’étude pointe également des institutionnels épaulés par un consultant. Un quart du panel est dans ce cas, et les consultants sont sollicités, soit sur l’ensemble de leur gestion, soit uniquement sur l’allocation d’actifs, note le document.Quant aux outils utilisés par les investisseurs pour définir leur allocation d’actifs stratégique, ils sont très différents d’une maison à l’autre. Deux types d’outils constituent l’essentiel du marché, note l’enquête : les outils « fait maison » et les outils « sur mesure ». Les premiers sont utilisés par 25 % du panel interrogés et les seconds, par 45 %. Une fois pris en compte ceux qui ont recours à l’externalisation (15 %), ces solutions balaient 85 % du marché. Dans le détail, les outils « fait maison » sont principalement des outils déterministes plus ou moins évolués tandis que les outils « sur mesure » sont plus évolués et présentent des modèles déterministes ou dynamiques. Enfin, le choix d’un consultant pour définir son allocation stratégique se présente comme un module quantitatif qui entre en ligne de compte dans les décisions finales, mais qui n’est pas prépondérant. Passer par un professionnel de l’investissement permet de bénéficier de sa large connaissance des marchés et d’outils éprouvés, analyse l'étude.Restait donc à savoir comment ces nouvelles techniques d’allocation d’actifs sont perçues par leurs utilisateurs. Loin d’être consensuel, le sujet a conduit l’étude à distinguer quatre grandes catégories d’investisseurs. Entre convaincus, consensuels, pragmatiques, ou sceptiques. Cela dit, «tous considèrent d’abord les modèles mathématiques comme des outils d’aide à la décision. Autrement dit, leurs résultats en termes d’espérances de rendement et de probabilités d’occurrence dépendent fortement des hypothèses envisagées et des méthodes de calcul retenues», conclut l’enquête, en reconnaissant, dans ce cadre, que l’avantage des nouvelles techniques d’allocation ne paraît à ce jour pas déterminant pour plusieurs institutionnels...(*) Les nouvelles techniques d’allocation d’actifs répondent-elles aux contraintes économiques et financières actuelles ? Une analyse des stratégies d’allocation d’actifs des institutionnels français au regard de l’environnement macro-economique et des techniques de modélisation.Etude réalisée auprès d’investisseurs représentant 20 % du marché et 430 milliards d’euros d’actifs pour compte propre
Pierre de Villeneuve, actuel PDG de BNP Paribas Cardif, a été élu, ce 10 juin, président du Groupement français des bancassureurs pour un mandat de deux ans. Il succède ainsi à Jérôme Grivet, ancien directeur général de Crédit Agricole Assurances nommé récemment directeur général adjoint en charge des finances de Crédit Agricole S.A. Le bureau du Groupement français des bancassureurs est composé de : Frédéric Lavenir (CNP Assurances), vice-président ; Jean-François Lequoy (Natixis Assurances), vice-président ; Philippe Perret (Société Générale Insurance), trésorier ; Alain Schmitter (Assurances du Crédit Mutuel), président du collège « dommages »). Enfin, M. Jean Vecchierini de Matra est délégué général de l’association.
Le fonds de pension de l’agence de l’environnement britannique (EAPF) a sélectionné l’indice bas carbone MSCI World Low Carbon comme indice de référence de son portefeuille d’actions internationales géré passivement. La poche concernée représente autour de 280 millions de livres, soit plus de 10% des actifs du fonds de pension. Le nouveau fonds MSCI World Low Carbon Target Index Fund, qui a pour premier investisseur le fonds de pension, aura pour indice de référence l’indice bas carbone de MSCI. Il sera géré par Legal & General Inestment Management (LGIM).
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } According to Fondprofessionell, the German wealth management boutique Concord Investment Solutions has recruited Olaf Grüneke to become head of sales. Grüneke had most recently been head of the German activities of Alken Asset Management. Before that, he was director of the German market at Sparinvest.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } La Française has signed a distribution agreement with Italy’s Invest Banca, Bluerating reports. The agreement will allow retail and institutional clients of the Italian bank to access funds from the French asset management firm, which has over EUR50bn in assets under management.
The Scottish asset management firm Aberdeen Asset Management (Aberdeen AM) has teamed up with Hymans Robertson, a consulting firm specialised in retirement and risk management, to benefit from and offer its online technology, GO, as part of a new initiative to help retail clients meet their savings goals.The GO solution is a technological solution designed with the technological and actuarial expertise of Hymans Robertson, which analyses the savings plans to 400,000 retail investors, combining more than GBP2bn in assets advised in 2014. Aberdeen AM plans to rely on this solution to develop an online service which will be available to a wide range of retail investors in the United Kingdom.
Rothschild has appointed Peter Hindle as a director to lead a new team for its wealth management business, based in Manchester. He joins Rothschild from Credit Suisse Group AG in Manchester where he was vice president and worked for more than eight years. Peter Hindle joins Rothschild with immediate effect and will report to Helen Watson, head of the company’s UK wealth management business.
Algebris Investments has hired Pimco’s Simon Peters as portfolio manager for public equity strategies with lead responsibility for investments in Europe and EMEA. He will be based in London, reporting to Algebris’ founding partner and CEO, Davide Serra.Simon Peters joined Pimco in August 2014, part of hires aimed at building out the asset manager’s equity offering under Virginie Maisonneuve, then Pimco’s deputy chief investment officer and global head of equities. She left the asset manager some weeks ago.At Algebris, Simon Peters will work closely with Davide Serra and alongside the established investment team overseeing equity and credit strategies. He will assume portfolio management responsibilities as part of his new role and help build out the existing global equity offerings. Davide Serra said; “Simon will play a pivotal role in the development of our flagship and new funds. He is a highly regarded global financial sector expert and he has demonstrated an ability to consistently identify strong stock ideas within the sector”. Algebris equity offerings span a range of strategies, including long only and long/short global financials and a mixed allocation income fund investing in subordinated financial credit and high yielding financial equities globally. Additionally, Massimo Massimilla will move to the firm’s newly open Milan office. As a longstanding senior member of the firm’s investment team, he has been named CEO of Algebris Italy, assuming new responsibilities as it expand its private equity offerings focused on NPL’s in the real estate sector and a new vehicle focused on SMEs across Italy. Algebris is an asset management boutique with USD2.5bn assets under management.
Pioneer Investments has hired Michael Dirstine, CFA, CAIA as senior vice president, institutional business development officer in the U.S. based in Boston. This is a new position.Prior to joining Pioneer, Michael Dirstine was vice president of institutional sales at Eaton Vance. He has also held senior distribution roles at State Street Global Advisors and Putnam Investments.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } According to reports in Fondsprofessionell, Michael Grüner was in April appointed as co-head of sales for the Europe, Middle East and Africa region (EMEA) at iShares. He will work alongside Fergus Slinger. Grüner was appointed in October 2014 as director of retail and private clients for the same region.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } The Lyxor hedge fund index gained 1.2% in May, according to the most recent Lyxor barometer of the alternative asset management industry. Ten out of the 12 indices maintained by the French group finished the month in positive territory. The Lyxor Fixed Income Arbitrage, Lyxor LS Equity Long Bias and Lyxor Global Macro lead with gains of 1.9% last month. This is followed by the Lyxor Special Situations index (+1.55%), the Lyxor LS Equity Variable Bias (+1.36%) and Lyxor Merger Arbitrage (+1.36%). In the month of May, virtually all strategies earned positive returns, with the exception of CTA strategies, which have finished May with losses. The Lyxor CTA Short Term index came in at -3.71%, while the Lyxor CTA Long Term index finished the month of May at -0.95%.
The global hedge fund industry has posted inflows of USD950m in the month of April, after outflows of USD750m in March, according to statistics released by BarclayHedge and TrimTabs Investment. “Investors showed less interest in hedge funds, even though the performance of the industry has improved recently,” says Sol Waksman, president and founder of BarclayHedge. Hedge funds redeemed USD13.8bn in the first four months of 2015, a serious setback compared with the same period in 2014, when they attracted USD65.6bn.”In this context, total assets in the hegde fund industry totalled USD2.490trn at the end of April, compared with USD2.500trn at the end of March.
Les prix à la consommation ont augmenté de 0,2% en mai en France sous l’effet d’une nouvelle hausse des produits pétroliers et des augmentations saisonnières des prix des produits alimentaires et des services dédiés au tourisme, selon les statistiques publiées jeudi par l’Insee. Ils avaient augmenté de 0,1% en avril. Sur un an, leur progression est de 0,3%, un plus haut depuis novembre 2014. L’indice des prix harmonisé IPCH, qui permet des comparaisons avec les autres pays de la zone euro, a progressé le mois dernier dans les mêmes proportions: +0,2% sur le mois et +0,3% sur un an. L’inflation sous-jacente (hors tarifs publics et produits à prix volatils) a augmenté également de 0,2% en mai. Son évolution sur un an s’inscrit à +0,6%, un plus haut depuis février 2014.
La banque centrale de Corée du Sud a abaissé jeudi ses taux d’intérêt en prévision des conséquences négatives de l’actuelle épidémie de coronavirus MERS (syndrome respiratoire du Moyen-Orient) sur l'économie du pays. La banque centrale a réduit son taux de base de 25 points pour le porter à 1,50%, son plus bas niveau historique. Cette baisse des taux est la quatrième depuis août dernier, alors que la quatrième économie d’Asie doit faire face à une chute de ses exportations et à une faible demande intérieure. La Corée du Sud, où 122 cas et neuf décès ont été enregistrés depuis que l'épidémie s’est déclarée le mois dernier, est le pays au monde le plus touché après l’Arabie saoudite.
Les difficultés de la Grèce à conclure un accord avec ses créanciers internationaux n’ont pas eu d’effet de contagion significatif sur le reste de la zone euro, selon une étude publiée jeudi par l’agence de notation Moody’s. «Malgré l’incertitude sur l’issue des négociations en Grèce, la fragmentation financière dans le reste de la zone euro a encore diminué, un signal positif de la capacité de résistance du secteur financier», écrit l’analyste de Moody’s Antoni Garre.