Amundi a recruté Thierry Vallière en tant que responsable des activités de dettes privées, un poste nouvellement créé. Depuis 2010, l’intéressé était directeur financier adjoint du Printemps. Entre 2000 et 2010, il travaillait chez Rothschild où il était directeur exécutif au sein des activités de conseil en financements et restructurations. Il a commencé sa carrière en 1998 dans le cabinet Fiducial en tant qu’analyste dans le département Finance d’entreprises. Le pôle de dettes privées dépend des départements gestions obligataires et gestions spécialisées d’Amundi. Il réunit les forces déjà présentes tant du côté obligataire ou du private equity, précise un porte-parole de la société de gestion.
Solide début d’année pour Carmignac Gestion. Au cours du premier semestre 2015, la société de gestion a en effet enregistré une collecte de 2,8 milliards d’euros, a annoncé Didier Saint-Georges, managing director et membre du comité d’investissement à l’occasion d’une rencontre avec la presse. Grâce à cette performance, ses actifs sous gestion s’élèvent désormais à 56,9 milliards d’euros au 30 juin 2015 contre 50,4 milliards d’euros fin 2014. Didier Saint-Georges a également fait un tour de l’actualité de la société de gestion, évoquant notamment la nomination récente de David Older afin de se renforcer sur les segments de la communication, des technologies de l’information, des médias et d’internet (lire NewsManagers du 2 juillet 2015), ou l’ouverture de son bureau à Zurich en avril (lire NewsManagers du 29 avril 2015). A l’occasion de ce tour d’horizon, Didier Saint-Georges a annoncé l’arrivée récente d’Alexandre Deneuville en qualité d’analyste crédit. Ce dernier a rejoint Carmignac en provenance d’Eiffel Investment où il officiait déjà en tant qu’analyste, selon son profil LinkedIn.Par ailleurs, dans un contexte de crise en Europe en raison de la situation en Grèce, la gestion a décidé de privilégier le marché des changes pour se protéger des risques liés à une éventuelle sortie de la Grèce de la zone euro. A ce titre, dans le cadre de la construction de portefeuille de Carmignac Patrimoine, «nous avons renforcé notre exposition au dollar et au yen au cours du deuxième trimestre», a indiqué Rose Ouahba, gérante taux et responsable de l’équipe obligations internationales. «L’arme des changes nous permet de nous protéger contre un Grexit». En outre, ces marchés très liquides «nous permettent de nous retourner rapidement dans un contexte de fortes incertitudes», a-t-elle ajouté. La gérante a toutefois écarté tout risque de contagion, estimant que, en cas d’aggravation de la crise grecque, «la Banque centrale européenne (BCE) aura une réponse massive pour éviter une remontée des taux et maintenir ses taux d’intérêt à un niveau bas». Parmi les remparts existants face à un risque de contagion de la crise grecque, la société de gestion a cité les réformes structurelles déjà initiées en Europe pour favoriser la reprise économique ou la mise en place de l’Union Bancaire assurant une meilleure gestion des risques. En parallèle, Carmignac a décidé de maintenir une exposition aux emprunts d’Etats périphériques, même si celle-ci a été réduite d’un quart courant mars-avril. Par ailleurs, la société de gestion prône une approche sélective aux secteurs de crédit offrant de la valeur. Enfin, Carmignac reste favorable aux actions, avec un taux d’exposition de 35% actuellement, et en particulier aux actions américaines. Et pour cause. «Même si la Réserve Fédérale (Fed) relève ses taux d’intérêts, elle restera toujours accommodante», estime Rose Ouahba pour qui la normalisation de la politique monétaire de la Fed sera délibérément prudente et graduelle.
La Banque Degroof France a annoncé la nomination de Jean Peyrelevade à la présidence de son conseil d’administration. Damien Bachelot reste président de la Compagnie financière Degroof, la holding du groupe Degroof en France, et François Wohrer, directeur général à la fois de la Banque Degroof France et de la Compagnie financière Degroof, précise un communiqué. Par ailleurs, François Wohrer élargit la composition du Comité de direction de la banque en France avec la nomination de trois nouveaux membres : Véronique Jeannot, Chief Operating Officer (COO) et nouvellement nommée directeur général délégué ; Martine Girardet, Head of Private Banking et enfin Laurence Jodogne, Chief Risk Officer (CRO) - qui y entrera à compter du 1er octobre 2015. Elles rejoignent François Wohrer (CEO), Cyril Kammoun (Head of Investment Banking), Bertrand Manet (Head of M&A Midcap), Lionel Saint Georges Chaumet (Head of Family Office), et Laurence Gouraud (Head of HR)."Ces nominations marquent la volonté du groupe de renforcer son organisation en s’appuyant sur des profils d’une grande richesse, afin d’accélérer son développement commercial dans l’ensemble de ses métiers», explique la banque qui souhaite ainsi favoriser la coordination de l’entité française avec les autres filiales du groupe. Entré en tant qu’associé gérant au sein de la Banque Degroof France depuis janvier 2014, Jean Peyrelevade, est notamment banquier conseil depuis 2004, et a collaboré avec la banque d’affaires Banca Leonardo de 2006 à 2013. Il est administrateur de plusieurs sociétés françaises ou européennes de premier plan comme Bouygues, BG Bonnard & Gardel Holding SA, Saur. Il est également membre du Conseil de surveillance de KLM.Véronique Jeannot a rejoint Aforge Gestion comme directeur général en 2010. Elle a créée en 2007 Ves Conseil et mène différentes missions en tant que consultante indépendante pour des banques d’investissement et des sociétés de gestion. Trois ans plus tôt, elle était directeur général délégué de Louvre Gestion, filiale d’HSBC Private Bank. Laurence Jodogne est directeur général de Degroof Gestion depuis janvier 2011. Auparavant, à compter de 2008, elle exerçait les fonctions de secrétaire général, membre du comité de direction et dirigeant responsable en charge de l’organisation et du contrôle des risques chez KBL Richelieu Gestion. Martine Girardet a rejoint la Banque Degroof France en 2008, en tant que responsable de la Banque privée. Elle était auparavant chez Altra Banque depuis 2003 après avoir été à la Finter Bank pendant huit ans, directeur de la clientèle privée.
Le bitcoin a désormais son fonds, rapporte le Wall Street Journal. Le Bitcoin Investment Trust, qui cherche à suivre le prix de la monnaie virtuelle, a été lancé sur le marché OTCQX le 4 mai. Il est supposé fonctionner comme un ETF, mais, techniquement, ça n’en est pas un. La Securities and Exchange Commission (SEC) est d’ailleurs en train d’étudier la candidature de ce qui pourrait être le premier ETF bitcoin, le Winklevoss Bitcoin Trust. Le Bitcoin Investment Trust est un petit fonds, avec une valeur liquidative de seulement 35,6 millions de dollars fin juin et 1,4 million de parts. Jusqu’à présent, le suivi du prix du bitcoin n’a pas été très régulier et il y a un écart entre le cours de l’action et la valeur des actifs sous-jacents, indique le WSJ qui se montre sceptique au sujet de ce produit.
L’activité Wealth Management de Swiss Life Banque Privée a enregistré une collecte de 1,2 milliard d’euros en 2014, en hausse de 20%. Ce département, qui conçoit pour sa clientèle haut de gamme des produits structurés sur mesure, est composé de 4 personnes experts en ingénierie et structuration de produits. Les produits structurés sont destinés à une clientèle patrimoniale qui souhaite diversifier ses placements et investir dans un produit assorti d’une protection du capital jusqu’à un certain seuil. Deux produits de la gamme se sont particulièrement distingués avec respectivement 348 et 191 millions d’euros de collecte, indique un communiqué.
Si la nature a horreur du vide et les journalistes de la page blanche, les marchés financiers, eux, détestent l’incertitude. Ce qui ne les a pas empêchés, ces derniers jours, d’être servis. En dépit des dernières (bonnes) nouvelles, nul ne sait encore ce qu’il va advenir précisément de la Grèce. A l’intérieur ou hors de la zone euro ? Les journalistes peuvent aisément suivre le mouvement et même coller à l’actualité en ayant recours à la formule consacrée, « à l’heure où nous écrivons ces lignes ». Mais les marchés financiers, eux, n’en ont cure. Mieux vaut prévenir que guérir reste leur mot d’ordre. Moyennant quoi, à l’heure des bilans, juin a été le mois de la plus forte décollecte pour les fonds obligataires depuis juillet 2013, selon une étude de Bank of America Merrill Lynch Global Research. Et les retraits nets ont encore atteint 6,1 milliards de dollars sur les quatre premiers jours de juillet. De là à s’alarmer, il y a encore un pas, semble-t-il. Une étude américaine prédit, chiffres à l’appui, un avenir radieux au secteur mondial de la gestion d’actifs, en mesure d’atteindre 106.000 milliards de dollars à un horizon de quatre ans. Le rapport précise néanmoins que, pour se faire une place au soleil, les sociétés de gestion devront se battre, notamment sur les marchés à forte croissance. A propos de concurrence, un sondage de State Street révèle qu’une écrasante majorité de dirigeants dans les sociétés de gestion s’attendent à ce que le marché des fonds soit perturbé par un acteur extérieur, de la même manière qu’Apple a bouleversé l’industrie de la musique avec l’introduction d’iTunes. Histoire de ne pas être pomme, les sociétés traditionnelles y sont très attentives. Un responsable comme Martin Gilbert à la tête d’Aberdeen AM s’est même dit paranoïaque à ce sujet.Dans l’histoire de la gestion, notamment en France, le mécanisme est rodé et a fabriqué une génération de gérants stars. A l’origine, un « asset manager » pris dans l’étau d’un grand établissement à la gestion benchmarkée met son rêve de gestion libre à exécution et monte sa boutique. Mais parfois, le mécanisme s’inverse. Récemment, Amundi a recruté Laurent Ducoin qui œuvrait il y a un an et demi encore chez Carmignac Gestion avec deux autres gérants. Cette semaine, justement, l’un de ses anciens collaborateurs le rejoint chez Amundi. Mais, comme lui, dans un département où il n’est pas question de gestion indicielle.Carmignac pour sa part continue sa route. Il y a quelque temps, la société de gestion s’enorgueillissait de faire partie du club – fermé en France – des plus de cinquante milliards d’euros d’encours. Avec une collecte de 2,8 milliards d’euros au premier semestre et un effet marché positif, Carmignac Gestion va pouvoir « tangenter » la barre des 60 milliards et tenir à distance ses concurrents directs… Loin de talonner la société de la Place Vendôme, certaines sociétés de gestion seraient-elles tentées de trouver des solutions radicales pour aller plus vite encore dans la course à l’encours ? Sans doute. Ainsi, en France, Auris Gestion Privée et Alexandre Finance viennent de faire alliance. Mais avec un milliard d’euros d’encours pour l’une et 130 millions pour l’autre, la route promet d’être encore longue… Boursicoter, c’est pas chinois… En tout cas, c’est le message que les autorités à Pékin ont fait passer à ceux qui voulaient investir en Bourse. Autant dire qu’elles ont été exaucées au cours du premier trimestre, tandis que la Bourse de Shanghai ne cessait de monter. Mais les arbres ne montent jamais jusqu’au ciel, c’est bien connu. Le marché s’est retourné et l’on atteint désormais les 40 % de baisse par rapport au plus haut atteint il y a quelques mois. Une situation qui inquiète le monde mais ne remet pas en question d’un iota la route des grands investisseurs chinois avisés. En France, avec Indinvest, ils vont être aidés par une plateforme dédiée à leurs investissements indirects dans des PME européennes. En Allemagne, un autre acteur chinois vient de se distinguer. La société de participations chinoise Fosun a ainsi annoncé l’acquisition de la banque privée Hauck & Aufhäuser, avec pour volonté d'être présente sur les principaux marchés européens. Une ambition à prendre très au sérieux. On se souviendra qu’en France Fosun a récemment fait parler de lui en mettant la main sur le Club Med, au détriment de l’homme d’affaires italien Andrea Bonomi. Et au prix d’une bataille homérique. Enfin, parue cette semaine dans un journal américain, une nouvelle que n’aurait pas reniée George Orwell. Dans le futur, les ordinateurs et les algorithmes remplaceront les humains pour réaliser certains écrits habituellement accomplis par les traders, les documentalistes et les conseillers financiers. « Des startups utilisant l’intelligence artificielle pour écrire des articles et autres études cherchent à s’accaparer le travail d'écriture dans les banques et les sociétés de services financiers », est-il précisé. Bigre. Et si d’autres métiers d’écriture étaient visés ? La peur de la page blanche pour le journaliste n’est pas près de disparaître…
Idinvest Partners, spécialiste du financement des sociétés non cotées, a recruté deux nouveaux collaborateurs au sein de son équipe Dette Privée, à savoir Valérie Ducourty et Sorian Abouz. Ces arrivées s’inscrivent dans le cadre du déploiement du fonds Novi 2, un fonds de place porté par les assureurs et la Caisse des Dépôts afin de financer les entreprises, dont Idinvest assure la gestion. Dans le détail, Valérie Ducourty rejoint Idinvest en qualité de directrice d’investissement au sein de l’équipe Private Debt. Son rôle consistera à déployer l’investissement du compartiment dette de Novi 2. L’intéressée a fait l’essentiel de sa carrière en banque commerciale, notamment au sein de Fortis Banque puis d’Arkea Banque Entreprises et Institutionnels (Arkea Banque E&I), avant de participer au lancement et au développement de l’activité «Corporate Lending» au sein de Tikehau Investment Management (Tikehau IM) comme gérante du fonds Novo 2. Elle travaillait chez Tikehau IM depuis novembre 2013, selon son profil LinkedIn. Pour sa part, Sorian Abouz est nommé analyste au sein de l’équipe Private Debt d’Idinvest. Il sera chargé, lui aussi, de déployer l’investissement du compartiment dette de Novi 2. Précédemment, l’intéressé a occupé des fonctions d’analyste en banque commerciale au sein, lui aussi, d’Arkea Banque E&I avant de rejoindre Etamine, société de participation familiale présente dans l’immobilier commercial, la distribution et les petites entreprises innovants.Grâce à ce double recrutement, les équipes d’Idinvest spécialisées sur la dette comptent désormais 11 personnes.
JP Morgan Asset Management veut développer son activité retail en Asie du Sud-Est, notamment en Malaisie, en Indonésie et aux Philippines, rapporte AsianInvestor. Toutefois, plutôt que d’établir une activité, la maison de gestion cherche d’abord à croître via des partenariats.
A la demande de la Commission européenne, la législation belge n’impose plus depuis 2004 un quota minimum d’actions belges dans les fonds d’épargne-pension. Jusque-là, ces fonds devaient obligatoirement investir 30% minimum de leurs actifs en actions belges cotées. Malgré la suppression de cette règle imposant un minimum d’actions belges, les gestionnaires de fonds d’épargne-pension veillent à ce que les actions cotées à la Bourse de Bruxelles conservent une place dans leurs portefeuilles, rapporte L’Echo. Elles restent ainsi présentes notamment dans les fonds d’épargne-pension proposés chez BNP Paribas, Argenta, KBC et Belfius, et même très largement représentées chez Capfi Delen. Avec une part de 29,08%, les actifs financiers belges sont le mieux représentés chez Capfi Delen Pension Fund, devant BNP Paribas Pension Fund (18,8%) et Argenta Pension Fund (16,5%), précise le quotidien belge.
BMO Global Asset Management, la filiale de gestion d’actifs du groupe bancaire canadien BMO Financial, a nommé David Sloper au poste de responsable de la gestion des produits pour l’Europe, le Moyen-Orient et l’Afrique (EMEA), rapporte Reuters. L’intéressé, qui rejoint le comité de direction de la société de gestion, remplace Martin Smith. David Sloper, qui compte 30 ans d’expérience dans l’industrie de la gestion et de l’obligataire, a effectué plus de la moitié de carrière au sein de Bank of Montreal (BMO).
Macquarie Investment Management a nommé Peter Douvos au poste de responsable des relations avec les consultants pour l’Europe, le Moyen-Orient et l’Afrique (EMEA), basé Londres. L’intéressé arrive en provenance d’Invesco Asset Management, où il a travaillé pendant sept ans en qualité, déjà, de responsable des relations avec les consultants. Avant cela, il avait officié chez UBS Global Asset Management, Standard Bank et Fedsure Life.
La société de gestion allemande FPM Frankfurt Performance Management, spécialisée dans la gestion value, a annoncé le 9 juillet la nomination de Peter Smeets au poste de membre du directoire, responsable du développement des activités, de la distribution et du marketing. En outre, la division de la distribution internationale est renforcée avec l’arrivée de Martin Lehmann en qualité de directeur des ventes. «Avec ces nominations, FPM souligne la volonté de la société de poursuivre ses objectifs stratégiques et de se développer à l’international», souligne un communiqué. Peter Smeets connaît bien FPM puisqu’il a présidé le conseil de surveillance de la société entre 2002 et 2008 et qu’il a conservé de très nombreux contacts au sein de la société. Il a créé il y a une quinzaine d’années la société Constantin Bastian Leander Venture Capital GmbH. Martin Lehmann est responsable des ventes pour la France, la Suisse romande, la Belgique et le Royaume-Uni auprès d’une clientèle de gestionnaires de patrimoine, family offices, banques privées et investisseurxs institutionnels. Il travaillait précédemment chez RBS.
BlackRock possède actuellement 5,374 % du capital de Banco Popolare, rapporte Bluerating. C’est ce qui ressort des relevés de la Consob, l’autorité italienne des marchés financiers, selon laquelle l’opération remonte au 29 juin. La participation est détenue via divers fonds. Le précédent signalement remonte à fin novembre 2014 lorsque la société de gestion était descendue à 4,9 % du capital de la banque italienne, contre 6,85 % précédemment.
En juin, la société de gestion italienne Azimut a enregistré des souscriptions nettes de 252 millions d’euros, portant la collecte nette depuis le début de l’année à plus de 3,9 milliards d’euros. D’après Pietro Giuliani, le président et CEO d’Azimut, il s’agit du meilleur semestre de l’histoire d’Azimut.La boutique italienne a bénéficié de l’intégration de Pride, la deuxième société de conseil financier en Australie. Sans compter cette opération, la collecte de juin ressort à 130 millions d’euros.Le total des encours administrés s’est établi fin juin à 35,2 milliards d’euros, dont 30,2 milliards d’euros d’encours gérés.
D’ici à la fin de l’été, plusieurs fonds devraient être cotés à la Bourse de Milan, rapporte Bluerating. A ce jour, 37 compartiments de trois sociétés de gestion sont listés sur le marché italien. Cela inclut 14 compartiments de droit italien (AcomeA sgr) et 23 de droit luxembourgeois (11 de Pharus Sicav et 12 de New Millennium Sicav). Le bilan est donc positif pour le segment Etfplus qui accueille les fonds cotés depuis décembre seulement. Silvio Bosoni, responsable d’Etfplus, indique à Bluerating avoir reçu de nombreuses manifestations d’intérêt émanant aussi bien de maisons italiennes que de maisons étrangères et certaines d’entre elles se sont concrétisées en demandes de cotation. Selon Bluerating, parmi les sociétés ayant présenté leur candidature ou manifesté leur intérêt figurent Alessia sicav, Diaman sicav, Compass AM, Selectra Capital Management et Anthilia Capital Partners, ainsi que Nextam Partners, Arc AM, Zenit sgr et 8a+ Investimenti sgr. Banor sim et La Française AM observent également le marché. Enfin, Consultinvest travaille à la création de fonds ad hoc pour la cotation.
La Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ) a annoncé, ce 9 juillet, la création de sa nouvelle filiale CDPQ Infra dédiée au financement de projet d’infrastructures. Le lancement de cette entité opérationnelle constitue le point de départ de l’évaluation des deux projets confiés à CDPQ Infra, à savoir le système de transport collectif sur le nouveau pont Champlain et celui reliant le centre-ville de Montréal à l’aéroport international Montréal-Trudeau et à l’Ouest-de-l’Île.Michael Sabia, président et chef de la direction de la Caisse, a été nommé président du conseil d’administration de CDPQ Infra. Christian Dubé, premier vice-président Québec, et Macky Tall, vice-président principal Infrastructures, représenteront aussi la Caisse sur ce conseil d’administration, qui comptera cinq membres au total. Deux experts internationaux seront nommés administrateurs externes au cours des prochains mois. En outre, Macky Tall a été nommé président directeur général de CDPQ Infra tandis que Jean-Marc Arbaud agira comme directeur général adjoint et veillera à constituer les équipes nécessaires au fonctionnement de la nouvelle filiale.Conformément à l’accord signé il y a quelques mois entre le gouvernement du Québec et la CDPQ, un comité exécutif est également mis en place pour assurer la coordination entre CDPQ Infra et le gouvernement du Québec pour les phases de planification et de construction (si les projets identifiés sont approuvés au terme du processus d’évaluation). Quand les analyses préliminaires et les définitions de projets seront complétées, CDPQ Infra mènera également des consultations en continu avec les parties prenantes concernées.
Mirabaud Securities LLP, the brokerage and corporate finance arm of international Group Mirabaud strengthens its secondary brokerage business, having appointed Patrick Mayhew to lead the equity sales team, and Will Draper to become head of equity research.Both join from Espirito Santo in London and have been tasked with enhancing Mirabaud’s sales and research capabilities in secondary brokerage. The appointments signal a firm ambition in Mirabaud’s equities capabilities and come on the back of a strong performance over the past few years.With a degree from Cambridge University and five years as an officer in the British Army, Mayhew began his banking career in 1996 with Merrill Lynch, and moved to Execution Noble (which later became Espirito Santo) in 2009, where he was most recently head of pan-European equity sales.Draper joined BP in 1988 after graduating from Durham University, and his career since then spans Accenture, HSBC James Capel and Lehman Brothers, where he was a top-rated telecoms analyst. He joined Execution Noble (which later became Espirito Santo) in 2004, where most recently he was head of European equities research.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } At the conclusion of its fourth fiscal quarter, ending on 30 June 2015, the British asset management firm Ashmore Group, a specialist in emerging markets, posted a decline of 3.6%, or USD2.2bn, to its assets compared with 31 Marrch 2015. As of 30 June, assets under management totalled USD58.9bn, compared with USD61.1bn as of 31 March 2015. In the past quarter, Ashmore has seen net outflows of USD3bn, for which a positive market effect of USD0.8m could not compensate.
Financial technology (fintech) firms are rapidly changing the wealth management landscape, especially for traditional banks. While the impact of disruptors is currently in distribution, Cerulli predicts they will impact the product manufacturing process in Asia too. Cerulli identifies three types of digital disruptors. First, there are the aggregators, which form the bulk of disruptors at present. These companies provide a bird’s eye view of a wide range of products with greater transparency on pricing and services to investors. Online fund supermarkets are prime example of aggregators. Korea’s online supermarket, Fund Online Korea and India’s MF Utility were launched in April 2014 and March 2015, respectively. They were heavily championed by the country’s regulators and fund associations, underscoring a commitment to increase mutual fund penetration. The second type of digital disruptors are known as disintermediators, which eliminate the need to go through traditional banking channels. Fintech start-ups, such as Nutmeg, Wealthfront, and Eight Securities from Hong Kong, are examples of such disruptors in the wealth management industry. They offer prepackaged customized solutions to investors for a fraction of the usual fees.Lastly, the innovators harness front-end technology platforms to meet evolving client behavior and needs. «While these are not applicable in Asia yet, there are social trading platforms, where investors mirror real trades of successful individual or professional traders,» says Shu Mei Chua, an associate director at Cerulli Associates. Examples of these companies include Covestor, eToro, and Ayondo. The underlying concept is simple: Investors from all over the world are linked to a single network, whereby each investor benefits from the collective wisdom of the crowd. Cerulli predicts that the next wave of disruption will involve the integration of client data as inputs during the product manufacturing process. «The disruptors of the future will take on a very different nature by offering products and services before customers realize their need for them,» Chua adds. Big data analytics or consumer behavior data are offer the possibility of asset managers structuring a product or service based on the collective «unspoken» needs of clients. We are now only in the early stages of the use of big data and analytics across all industries. Many see it as the next big thing. It seems unavoidable for asset managers too, especially on the back of the ubiquity of social media and the internet. «It may help them understand why mutual fund penetration is low in Asia compared to other financial products such as savings and deposits, and stocks, and come up with an action plan to bridge the gap,» says Yoon Ng, Cerulli’s Asia research director.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } In June, the Italian asset management firm Azimut posted net subscriptions of EUR252m, bringing net inflows since the beginning of the year to over EUR3.9bn. According to Pietro Giuliani, chairman and CEO of Azimut, this has been the best year in the history of Azimut. The Italian boutique has benefited from the intergration of Pride, the second-largest financial consulting firm in Australia. Not counting this operation, inflows in June totalled EUR130m. Total assets under administration as of the end of June came to EUR35.2bn, of which EUR30.2bn are assets under management.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } At the conclusion of first half 2015, assets under management in Spanish common investment funds rose 11.66%, to a total of EUR221.19bn as of 30 June, compared with EUR198bn as of the end of December 2014, according to data published by the research agency VDOS. In the first six months of the year, the sector has posted net inflows of EUR20.13bn, while returns on portfolios generated EUR2.96bn. At the conclusion of first half, the strongest net inflows were at CaixaBank, which has posted EUR5.26bn in net subscriptions, followed by BBVA (EUR2.54bn in net inflows), Banco Sabadell (EUR2.48bn), Bankia (EUR1.69bn) and Ibercaja (EUR1.55bn). Conversely, Bestinver has posted the strongest outflows in the half, with EUR309.79bn in net outflows. The Spanish asset management firm beats Renta 4 (-EUR191.31m), Banesco (-EUR143.25m), Novo Banco (-EUR125.77m) and lastly Inverseguros (-EUR29.43m). Driven by solid net inflows, CaixaBank confirms its place as the top player in the asset management sector in Spain, with EUR38.24bn in assets under management, and 17.29% market share. It places ahead of Santander, which has EUR36.68bn in assets and a market share of 16.59%. Third place goes to BBVA, with EUR32.34bn in assets under management and a market share of 14.63%. As of 30 June 2015, the top ten players in the sector account for 79.10% of the market, or EUR174.96bn in assets.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } Macquarie Investment Management has appointed Peter Douvos to the position of head of consultant relationships for Europe, the Middle East and Africa (EMEA), based in London. Douvos arrives from Invesco Asset Management, where he worked for seven years as head of consultant relationships. Before that, he served at UBS Global Asset Management, Standard Bank and Fedsure Life.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } Banque Degroof France has announced the appointment of Jean Peyrelevade as chairman of its board of directors. Damien Bachelot remains chairman of the financial company Degroof, the holding company for the Degroof group in France, and François Wohrer, CEO both of Banque Degroof France and the Compagnie financière Degroof. Wohrer is also enlarging the board of directors for the bank in France, with the appointment of three new members: Véronique Jeannot, Chief Operating Officer (COO) and newly-appointed deputy CEO; Martine Girardet, head of private banking, and Laurence Jodogne, chief risk officer (CRO), who will join the board from 1 October 2015. They join Wohrer (CEO), Cyril Kammoun (Head of Investment Banking), Bertrand Manet (Head of M&A Midcap), Lionel Saint Georges Chaumet (Head of Family Office), and Laurence Gouraud (Head of HR).
In first half 2015, Carmignac posted net inflows of EUR2.8bn, Didier Saint-Georges, managing director and member of the investment committee, announced at a press conference. As a result of this performance, assets under management now total EUR56.9bn as of 30 June 2015, compared with EUR50.4bn as of the end of 2014.Saint-Georges also discussed current events at the asset management firm. At this press conference, he announced the recent arrival of Alexandre Deneuville as a credit analyst. Deneuville joins Carmignac from Eiffel Investments, where he had already been serving as an analyst, according to his LinkedIn profile.In a context of Europe in crisis as a result of the situation in Greece, Carmignac has decided to privilege the currency markets, to protect against risks related to a potential exit of Greece from the euro zone. In the construction of the Carmignac Patrimoine fund, “we have increased our exposure to US dollars and yen in second quarter,” says Rose Ouahba, fixed income manager and head of the international bond team at Carmignac.
Amundi has recruited Thierry Vallière as head of private debt activities, a newly-created position.Since 2010, Vallière had been deputy chief financial officer at Printemps. From 2000 to 2010, he worked at Rothschild, where he was executive dicrector of financing and restructuring advising activities. He began his career in 1998 at the Fiducial company as an analyst in the corporate finance department.The private debt unit is part of the bond management and specialist management departments at Amundi.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } By the end of summer, several funds are expected to be listed on the Milan stock exchange. So far, 37 sub-funds from three asset management firms are listed on the Italian stock market. This includes 14 Italian-registered sub-funds (AcomeA sgr) and 23 Luxembourg-registered funds (11 from Pharus Sicav and 12 from New Milennium Sicav). The balance sheet is thus positive for the ETFplus segment, which has been home to traded funds since December. Silvia Bosoni, head of ETFplus, tells Bluerating that she has received numerous expressions of interest from both Italian and foreign asset management firms, and that some of these have resulted in listing requests. According to Blueragting, among the firms which have applied or expressed interest are Alessia sicav. Diaman sicav, Compass AM, Selectra Capital Management, and Anthilla Capital Partners, as well as Nextam Partners, Arc AM, Zenit agr and 8a+ Investimenti sgr. Banor sim and La Française AM are also watching the market. Lastly, consultingvest is working to create ad hoc funds for listing.
Le Fonds monétaire international (FMI), la Commission européenne (CE) et la Banque centrale européenne (BCE) analysent les propositions de réforme économique soumises jeudi soir par la Grèce et exprimeront leur opinion d’ici à la fin de la journée de vendredi, a dit un porte-parole de l’exécutif européen. L'évaluation doit être bouclée avant une réunion de l’Eurogroupe samedi à Bruxelles, qui doit dire s’il y a lieu d’ouvrir les négociations en vue d’un prêt. Les conclusions des ministres seront discutées par les chefs d’Etat et de gouvernement lors d’un sommet prévu dimanche.
L’Etat espagnol pourrait vendre sa participation de 20% dans la société technologique Indra, a déclaré le ministre de la Défense Pedro Morenes. Dans un entretien publié vendredi par le journal Expansion, le ministre explique que la participation dans cette société, qui fournit des services informatiques au secteur de la défense entre autres, n’est pas stratégique. La participation de Madrid est valorisée 358 millions d’euros au cours actuel. Indra supprime actuellement des postes et tente de réaliser des économies également par d’autres moyens pour redresser ses comptes.
La déferlante ETF (exchange traded funds) est une réalité aux Etats-Unis. La gestion passive a concentré l’an dernier 50% de la collecte sur les fonds ouverts (hors mandats et fonds dédiés) outre-Atlantique, révèle l'étude annuelle sur la gestion d’actifs du Boston Consulting Group. En Asie, cette gestion a drainé 20% des flux nets et seulement 12% en Europe. «Cela fait plusieurs années que l’on annonce que les ETF vont croître fortement en Europe. Jusqu'à présent l’essor a été bloqué par les rétrocessions versées par les gérants aux distributeurs, mais leur interdiction devrait amorcer le mouvement», juge Hélène Donnadieu-Ouillet, coordinatrice du rapport du BCG.
Bien que durement frappé par la crise financière de ces dernières années, le marché immobilier français commence à reprendre des couleurs, selon les analyses à mi-année du Crédit Foncier. Signe de cette embellie : 68% des professionnels déclarent avoir atteint leur objectif commercial sur le premier trimestre 2015 contre 58% sur le dernier trimestre de 2014.