p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } The real estate asset management firm Savills Investment Management (Savills IM) has added to its investment team based in Hong Kong, with the recruitment of Craig Pearce as head of asset management for Asia. Pearce will report to Choy-Soon Hua, managing director at Savills IM. He will be responsible for development of the Asian platform at Savills IM. Before joining Savills IM, Pearce worked for seven years at Morgan Stanley Real Estate Investment in Hong Kong, as executive director in charge of asset management for a vast portfolio of real estate investments in Greater China and South-East Asia. Before that, he was asset manager at Goldman Sachs Realty in Tokyo, an asset manager in Japan, China and Singapore.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } Alliance Trust Savings, an affiliate of the British asset management firm Alliance Trust, has recruited Jeff Spence to the position of chief operating officer. Spence joins from Nucleus, an advising and distribution platform where he had already served as chief operating officer, responsible in this role for internal and outsourced operations. At Alliance Trust Savings, Spence replaces Elaine Maddison, who was appointed as director of the strategy earlier in the year, when it was acquired by the Stocktrade company. Spence will work to integrate Stocktrade into the Alliance Trust Savings platform.
Le gouvernement finlandais a annoncé lundi avoir révisé à la baisse ses prévisions de croissance pour 2015 et 2016. Dans un communiqué, le ministère des Finances précise désormais tabler sur un produit intérieur brut (PIB) en hausse de 0,2% cette année et en progression de 1,3% en 2016, contre des projections précédentes de +0,3% et +1,4% respectivement.
L’Autorité européenne des marchés financiers (Esma) a publié lundi en fin de matinée sur son site ses standards techniques définitifs concernant MiFID II, les abus de marché (MAR) et le règlement-livraison (CSDR). Ces standards expliquent la façon dont ces législations s’appliquent en pratique pour les opérateurs de marchés, les infrastructures et les superviseurs nationaux. Selon l’Esma, ils amélioreront aussi bien «la transparence, la sécurité et la résilience des marchés financiers que la protection des investisseurs».
La croissance dans le secteur des services aux Etats-Unis a ralenti en septembre pour atteindre son rythme le plus faible des trois derniers mois, montrent les résultats préliminaires de l’enquête mensuelle de l’institut d’études Markit. L’indice PMI des directeurs d’achat du secteur des services s’est établi à 55,6 ce mois-ci. Ce chiffre est inférieur à celui d’août (56,1). Le sous-indice des nouvelles commandes aux entreprises est passé de 55,7 en août à 55,3 en septembre, sa valeur la plus faible depuis janvier.
Les fonds investis dans les pays émergents ont enregistré leurs plus faibles sorties nettes hebdomadaires en deux mois, selon une étude de Bank of America-Merrill Lynch qui compile les statistiques d’EPFR. Elles ont atteint 200 millions de dollars, également répartis entre les fonds actions et les fonds obligataires. Selon ses rédacteurs, les sorties sur cette classe d’actifs, provoquées par la perspective de hausse des taux d’intérêt de la Fed, pourraient toucher à leur fin. Hors émergents, les sorties nettes sur les fonds actions ont atteint 3,2 milliards de dollars, en raison des 7,3 milliards de sorties enregistrées par les actions américaines.
La croissance de l’économie américaine s’est avérée plus forte que prévu au deuxième trimestre et a été revue en hausse pour la deuxième fois consécutive. Elle a été portée par la consommation des ménages et la construction. Le produit intérieur brut (PIB) des Etats-Unis a progressé de 3,9% en rythme annualisé au cours de la période avril-juin, selon les chiffres définitifs du département du Commerce, qui avait évoqué une hausse de 3,7% dans sa précédente estimation. Les dépenses des ménages ont contribué à cette révision. Elles ont affiché au deuxième trimestre une progression de 3,6% contre une estimation précédente de +3,1%.
Le crédit aux ménages a augmenté de 1% sur douze mois en zone euro, après un gain de 0,9% en juillet, tandis que le crédit aux sociétés non financières a progressé de 0,4% en août, après +0,3% en juillet, selon les statistiques publiées vendredi par la Banque centrale européenne (BCE). En revanche, la BCE, qui a adopté une nouvelle méthode de calcul, a révisé en baisse les chiffres du mois de juillet. La hausse du crédit aux ménages pour ce mois-là avait en effet été annoncée à 1,9% en première estimation et celle du crédit aux entreprises non financière à 0,9%. Par ailleurs, l’agrégat de masse monétaire M3 a crû de 4,8% annuels en août, alors que la BCE attendait initialement +5,3%. En juillet, M3 avait progressé de 5,3%.
Réuni en congrès annuel à Brighton, le Parti travailliste britannique, actuellement dans l’opposition, a déclaré hier avoir mis sur pied un comité consultatif qui comprend le Prix Nobel d’économie américain Joseph Stiglitz et l’économiste français Thomas Piketty (auteur du Capital au XXIe siècle), afin de l’aider à élaborer un programme anti-austérité. Ce comité se réunira tous les trimestres sous la houlette du porte-parole du Labour chargé des questions financières, John McDonnell, allié du nouveau chef de file des travaillistes, Jeremy Corbyn.
François Hollande a annoncé hier au siège des Nations unies à New York que la France allait débloquer quatre milliards d’euros supplémentaires pour l’aide publique au développement à compter de 2020. «J’ai décidé également de faire une grande réforme de l’aide publique au développement avec l’Agence française de développement, avec un grand établissement financier français, la Caisse des dépôts», a ajouté le président français, évoquant la création de «la plus grande banque européenne pour le développement».
La Préfon fait historiquement appel à quatre assureurs partenaires pour s’occuper de la gestion financière de ses encours qui dépassent actuellement 15 milliards d’euros. Très investi en obligations, le régime de retraite supplémentaire des fonctionnaires est à la recherche de rendement pour faire face à la faiblesse des taux et à l’évolution démographique de ses affiliés.
La croissance de l’économie américaine s’est avérée plus forte que prévu au deuxième trimestre et a été revue en hausse pour la deuxième fois consécutive, notamment portée par la consommation des ménages et la construction. Le produit intérieur brut (PIB) des Etats-Unis a progressé de 3,9% en rythme annualisé au cours de la période avril-juin, selon les chiffres définitifs publiés vendredi par le département du Commerce, qui avait évoqué le mois dernier une hausse de 3,7% dans sa précédente estimation. Les dépenses des ménages, qui représentent plus des deux tiers de l’activité économique aux Etats-Unis, ont contribué à cette révision à la hausse. Elles ont affiché au deuxième trimestre une progression de 3,6% alors que leur augmentation avait été estimée à 3,1% le mois dernier.
La croissance dans le secteur des services aux Etats-Unis a ralenti en septembre pour atteindre son rythme le plus faible des trois derniers mois, montrent les résultats préliminaires de l’enquête mensuelle de l’institut d’études Markit publiés vendredi. L’indice PMI des directeurs d’achat du secteur des services s’est établi à 55,6 ce mois-ci. Ce chiffre s’inscrit en deçà de celui d’août, à 56,1. Le sous-indice des nouvelles commandes aux entreprises du secteur est passé de 55,7 en août à 55,3 en septembre, sa valeur la plus faible depuis janvier. La composante de l’emploi s’inscrit également en recul.
Les fonds investis dans les pays émergents ont enregistré leurs plus faibles sorties nettes hebdomadaires en deux mois, à 200 millions de dollars également répartis entre les fonds actions et les fonds obligataires, selon une étude de Bank of America-Merrill Lynch qui compile les statistiques d’EPFR. Selon les analystes de BofA Merrill Lynch, les sorties sur cette classe d’actifs, qui s’expliquent par les perspectives de hausse des taux d’intérêt de la Réserve fédérale, pourraient toucher à leur fin.
La gérante Sarah Emly, qui travaille depuis près de 20 ans chez J.P. Morgan Asset Management, prend un congé exceptionnel pour des raisons de santé avec effet immédiat, rapporte Investment Week. L’intéressée assurait jusque-là la cogestion des «trusts» JP Morgan Income & Capital (111 millions de livres d’actifs) et JP Morgan Elect Income (51 millions de livres d’encours) aux côtés de John Baker. Elle était également cogérante des «trusts» JP Morgan Income & Growth (65 millions de livres d’encours) avec John Baker, James Elliot et Katy Thorneycroft et du JP Morgan Claverhouse Investment (310 millions de livres d’actifs) avec William Meadon.En parallèle, elle assurait la cogestion des fonds JPM UK Managed Equity avec James Illsley et JPM Equity & Bond Income (161 millions de livres d’encours) avec James Illsley et Talib Sheikh.
L’ancien directeur général du 3i, Michael Queen, a fait équipe avec Bertrand Lecourt, ex-analyste chez Deutsche Bank, pour lancer une société de gestion alternative, Aquilys Investment Management, spécialisée sur les secteurs de l’eau et des déchets, rapporte le Wall Street Journal.La nouvelle société a obtenu l’agrément de l’autorité britannique des marchés, la FCA, le 20 août dernier, et compte à ce jour dans ses effectifs les deux fondateurs de la société.
Allianz Global Investors (AllianzGI) a recruté, Mike Riddell en qualité de gérant de portefeuille obligataire pour son activité au Royaume-Uni, poste qu’il occupera à compter du 1er octobre 2015. La nouvelle recrue officiait précédemment en tant que gérant obligataire chez M&G Investments, société qu’il a quitté en juillet 2015 après y avoir travaillé pendant 12 ans. Dans le cadre de ses nouvelles fonctions, il sera rattaché à Mauro Vittorangeli, directeur des investissements pour l’obligataire de conviction («conviction fixed income»). Mike Riddell prendra notamment en charge les mandats Gilt Yield et Sterling Total Return dont la gestion est respectivement assurée par deux gérants de Pimco, à savoir Mike Amey et Ketish Pothalingam.
Les négociations n’ont pas abouti. AJ Bell, qui avait une période d’exclusivité de quatre semaines pour conclure un accord avec Legal & General pour le rachat de sa plateforme Cofunds, n’a finalement par trouvé un terrain d’entente avec le vendeur, rapporte Money Marketing.Les deux parties auraient décidé d’un commun accord de ne pas poursuivre les négociations, a indiqué à Money Marketing une source proche du dossier. L&G détient 100% de Cofunds depuis mars 2013, date à laquelle le groupe avait acquis les 75% qu’il ne détenait pas encore pour un montant de 131 millions de livres.
Le gestionnaire d’actifs britannique Alliance Trust vient de nommer Chris Samuel et Karl Sternberg en tant qu’administrateurs non-exécutifs et membre du conseil d’administration avec effet immédiat. Les deux impétrants sont des figures reconnues de la gestion d’actifs au Royaume-Uni. De fait, Chris Samuel était directeur général d’Ignis Asset Management depuis 2009 jusqu’au rachat en juillet 2014 de la société de gestion par Standard Life Investments. Avant cela, il a été directeur des opérations («chief operating officer») chez Gartmore et chez Hill Samuel Asset Management. Il a également été associé («partner») et directeur financier et des opérations de Cambridge Place Investment Management.Pour sa part, Karl Sternberg était associé fondateur d’Oxford Investment Partners où il a travaillé de 2006 à 2013. Avant cela, il a notamment officié chez Deutsche Asset Management aux postes de responsable mondial des actions et de directeur des investissements pour l’Europe et l’Asie-Pacifique.En parallèle, Alliance Trust annonce que deux de ses administrateurs – à savoir John Hylands, qui avait rejoint le conseil d’administration il y a sept ans, et Alastair Kerr, administrateur indépendant senior depuis trois – ont décidé de partir à la retraite à l’occasion de l’assemblée générale prévue en mai 2016. Résultat: Karl Sternberg deviendra administrateur indépendant senior de la société de gestion.