La région Nord-Pas de Calais veut soutenir les acteurs de la «troisième révolution industrielle». Dans le prolongement des travaux visant à décarboner l’économie locale à horizon 2050, le Conseil régional et la CCI Nord de France ont annoncé le lancement d’un fonds de 50 millions d’euros destiné à aider les PME et ETI porteuses de projet. Opérationnel dès le mois de janvier, ce fonds dédié sera notamment financé à hauteur de 15 millions d’euros par le Fonds européen de développement régional (Feder). «Ce mécanisme de fonctionnement est inédit car il associe des financements privés à des fonds publics français et européens autour d’une seule thématique», explique Philippe Vasseur, le président de la CCI Nord-Pas de Calais. Agissant traditionnellement via des subventions, le Feder réinvestira régulièrement son apport dans le fonds, qui recevra également deux apports de 15 millions de la part de la BEI et de la Caisse des dépôts, tandis que Nord Capital Partenaires mettra 5 millions. Contrôlée par le Crédit Agricole Nord de France et Turenne Capital, la société de gestion gérera le véhicule créé pour l’occasion avec l’appui du groupe Finorpa, qui rassemble des actionnaires publics, bancaires, mutualistes ou coopératifs issus de la Région Nord-Pas de Calais. Le fonds pourra recourir à du levier afin de porter jusqu’à 250 millions d’euros sa capacité d’investissement. Cette dernière devrait d’ailleurs être amenée à augmenter prochainement avec l’arrivée d’un nouvel investisseur privé, de sources financières. L’objectif est de financer des entreprises, PME ou ETI, ayant un projet en lien avec l’efficacité énergétique, le renouvelable, le stockage ou l’internet de l’énergie. Les concepts d’économie circulaire, d’économie de la fonctionnalité et de mobilité durable seront également au cœur de la démarche de la région Nord-Pas de Calais, très active sur ces thèmes. «Grâce à ce fonds nous complétons nos outils de soutien aux PME et ETI après avoir déjà lancé un ‘Hub’ réunissant tous les financeurs de la région, puis un livret d’épargne dédié», s’enthousiasme Philippe Vasseur. Depuis sa première réunion trimestrielle de juin 2014, le «Hub financement» a ainsi accompagné 300 projets afin d’accélérer les recherches de financements. Lancé début 2015, le livret d’épargne «troisième révolution industrielle» a lui collecté 9 millions d’euros.
Neuf des dix plus gros collecteurs chez Generali en septembre sont des fonds français. DNCA investments, Carmignac Gestion et H2O AM font partie des sociétés de gestion gérant ces fonds plébiscités. La majorité appartient à la catégorie des gestions diversifiées.
Carmignac a fait état jeudi d’une décollecte nette de 650 millions d’euros au troisième trimestre, soit 1,1% de ses encours. La société de gestion a souffert de la tourmente des marchés financiers cet été, qui a plus particulièrement touché l’univers des marchés émergents. Depuis le début de l’année, sa collecte reste positive en données nettes, à 2,2 milliards d’euros. Les encours atteignent 52,3 milliards d’euros à fin septembre, dont 19,6 milliards dans les actions et 32,7 milliards dans les obligations et les taux.
L’euro traitait jeudi après-midi à 1,116 contre le dollar, alors que le taux de change s’établissait à 1,132 juste avant la conférence de presse de Mario Draghi qui a suivi la réunion des gouverneurs de la BCE. Le président de la Banque centrale européenne a surpris les observateurs en évoquant une décision en décembre sur l’extension ou l’élargissement de son programme de rachats d’actifs. Il aussi indiqué que la BCE avait débattu jeudi de l’opportunité d’une baisse du taux de la facilité de dépôt, déjà négatif à -0,2%.
La population des investisseurs détenant des actions directement ou indirectement via les placements collectifs est passée de 16 % à environ 8 % entre 2009 et 2015, indique l’AMF dans sa dernière Lettre de l’observatoire de l’épargne. En particulier, les actionnaires en direct sont deux fois moins nombreux qu’il y a 6 ans, avec un taux de détention tombé de 13% en 2009 à 6,6% en mars 2015, précise l’AMF sur la base d’un sondage TNS Sofres. Sur la même période, le nombre de détenteurs de PEA (plans d’épargne en actions) est passé de 12,5 % à 7 %.
Dans le cadre de la réduction de ses activités de marché, annoncée mercredi, Credit Suisse va sortir du métier de spécialiste en valeurs du Trésor en Europe. Le groupe ne continuera ses activités de primary dealer qu’aux Etats-Unis. Jeudi, le Trésor britannique a confirmé que la banque suisse cesserait d’être active dès vendredi. En France, Credit Suisse faisait partie des 19 SVT agréés par l’Agence France Trésor pour animer le marché primaire et secondaire des emprunts d’Etat.
Le gestionnaire d’actifs espagnol Unigest a nommé Esther Revilla au poste de directrice des investissements, rapporte le site spécialisé Funds People qui cite des sources proches du dossier. Elle sera rattachée à Francisco Rodriguez Martos, directeur général de la société. Esther Revilla occupait déjà le poste de directrice des investissements, chez Caja España Fondos, une société de gestion qui vient d’être récemment rachetée par Unigest.
BNY Mellon a annoncé avoir été sélectionné par Banco Santander Brasil en qualité de banque dépositaire pour son programme de certificats de dépôt américains (ADR). BNY Mellon travaille sur les programmes de certificats de dépôt au Brésil depuis 1992 et n’a cessé depuis de renforcer son équipe de professionnels spécialisés.
Les directeurs des investissements des principales sociétés de gestion en Europe ont vu leur rémunération augmenter de 13 % en 2015, rapporte le Financial Times fund management, citant une étude de PwC portant sur 40 entreprises. Cette hausse, qui inclut les rémunérations fixes et les bonus, dépasse celle de 8 % enregistrée par les directeurs généraux des sociétés de gestion et celle de 3 % des responsables commerciaux et des directeurs des opérations. « 2014 a été une année solide en matière de performance, une mesure clé de la performance pour de nombreux directeurs des investissements », explique Tim Wright, associé de PwC. « Mais cela ne s’est pas toujours traduit par de forts revenus ou par une croissance des bénéfices pour les entreprises ».
Après à peine quatre mois aux commandes de Credit Suisse, le nouveau directeur général Tidjane Thiam a présenté le 21 octobre sa nouvelle stratégie. Cette stratégie, qui donne la priorité à la gestion de fortune et à l’Asie, qui s’accompagne d’un appel au marché de plus de 6 milliards de francs suisses (Newsmanagers du 21 octobre) et qui va entraîner une restructuration profonde du groupe, s’articule autour de trois objectifs fondamentaux. Le groupe bancaire suisse veut notamment développer sa présence sur les marchés d’Asie, d’Europe orientale, du Moyen-Orient, d’Amérique latine et d’Afrique. Credit Suisse entend accélérer sa croissance dans la région Asie-Pacifique en allouant davantage de moyens pour accompagner les entreprises de la région par le biais de la création d’une division dédiée Asia Pacific. Sur les autres marchés émergents, la nouvelle division International Wealth Management (IWM) s’inspirera du modèle Asia Pacific. Le groupe souhaite également redéployer ses activités de banque d’investissement en la mettant au service des besoins des clients de la gestion de fortune, ce qui devrait favoriser une amélioration de la rentabilité, une moindre consommation de capitaux et des résultats moins volatils. Il est aussi question de renforcer les positions du groupe sur le marché suisse en tant que banque universelle de première catégorie pour les clients privés, corporate et institutionnels suisses. A côté de la banque d’affaires gérée globalement, sont ainsi constitués trois pôles régionaux principaux et plus autonomes pour la banque privée, à savoir la Suisse (Swiss Universal Bank ou CHUB), l’Asie (Asia Pacific ou APAC) et le reste du monde (IWM). Credit Suisse a par ailleurs annoncé son désengagement de la gestion de fortune aux Etats-Unis, activité vendue à l’américain Wells Fargo (Newsmanagers du 21 octobre). Ce redéploiement s’accompagne de nouvelles initiatives de croissance pour un montant de 1,5 milliard de francs suisses dans les trois prochaines années et d’un plan d'économies global de 3,5 milliards de francs suisses d’ici à fin 2018. Credit Suisse pourrait ainsi supprimer 1.600 emplois en Suisse dans le cadre de ce plan. Le site de Londres pourrait également faire l’objet d’une délocalisation de quelque 2.000 personnes. Certaines activités devraient être transférées sur des sites moins onéreux, par exemple en Inde. A l'échelle mondiale, près de 5.000 postes devraient être supprimés sur un effectif total de 60.000 personnes, dont 17.100 en Suisse. Le groupe espère réduire à terme son endettement de 20 à 25%, Tidjane Thiam veut également augmenter le bénéfice avant impôts entre 9 à 10 milliards de francs suisses à la fin de l’exercice 2018. Des personnalités de premier rang vont se retirer du comité de direction: le directeur régional pour la Suisse Hans-Ulrich Meister, la directrice du marketing Pamela Thomas-Graham, le directeur de l’investissement Fixed Income Gaël de Boissard et le coresponsable PB&WM Robert Shafir. Le quatuor n’a pas quitté le groupe, du moins pour l’instant. Six nouvelles têtes intègrent la direction, dont certaines appartiennent à des proches de Tidjane Thiam. C’est le cas de Pierre-Olivier Bouée et Peter Goerke, qui ont travaillé avec le CEO auprès de l’assureur britannique Prudential. Thomas Gottstein, Iqbal Khan, Helman Sitohang et Lara Warner complètent la liste. Le comité de direction sera désormais composé de 12 membres. Dans le sillage de ces annonces, l’agence Moody’s a placé en révision négative les notes de crédit à long terme de Credit Suisse, qui comprennent notamment les dépôts à long terme (Aa3) ou encore les créances prioritaires non sécurisées (A1). La correction devrait toutefois se limiter à un cran de notation. Si Credit Suisse parvient à concrétiser ses nouveaux objectifs, l'établissement améliorera sa capacité d’endettement, reconnaît Moody’s. La mise en œuvre de la nouvelle stratégie pèsera toutefois sur la rentabilité au cours des deux prochaines années au moins et constitue à cet égard un risque certain pour les créanciers.L’augmentation de capital annoncée permettra de doper le ratio de levier de Credit Suisse, mais ne compensera que partiellement les effets des frais de restructuration, coûts d’exécution et autres dépenses liées aux externalisations d’activités. Le groupe suisse n’est d’ailleurs toujours pas à l’abri de procédures judiciaires. L’agence rappelle que Credit Suisse estimait fin septembre le potentiel de pertes liées à des affaires et non couvertes par des provisions entre 0 et 1,9 milliard de francs suisses.
La banque privée Julius Baer a l’intention d'émettre des obligations perpétuelles Tier 1 libellées en dollars de Singapour. Ces obligations seront cotés à la Bourse de Singapour, a précisé la banque, le 22 octobre dans un communiqué. Julius Baer serait ainsi, selon ses propres indications, la première banque étrangère qui mettrait de tels obligations directement sur le marché de Singapour.Le groupe suisse entend ainsi souligner l’importance du marché asiatique dans sa stratégie de développement. Simultanément, cela permettra aussi d’optimiser encore la structure de capital de Julius Baer. Les emprunt sont conformes aux exigences de Bâle III et seront considérés comme capital Tier 1 supplémentaire.
Mitsubishi UFJ Kokusai Asset Management (MUKAM) a obtenu une licence pour l’indice iSTOXX MUTB Japan Quality 150 afin de l’utiliser comme sous-jacent pour un fonds indiciel. Le nouveau fonds sera destiné aux investisseurs particuliers et devrait être lancé en novembre 2015. L’indice cherche à capturer la performance des sociétés japonaises de qualité, hautement rentables et présentant des cash-flow durables.
Le gérant d’actifs américain Fortress Investment Group a entamé des négociations exclusives avec Barclays pour lui racheter un portefeuille d’un montant d’un milliard d’euros de prêts immobiliers en Italie, ont déclaré à Reuters deux sources proches du dossier. La banque britannique cède son réseau de banque de détail en Italie, qui comporte 90 agences. Barclays détient également dans ce pays un portefeuille de 18 milliards d’euros de prêts immobiliers et cherchait dans un premier temps à céder l'équivalent de quatre milliards d’euros. Des sources avaient auparavant indiqué que Barclays cédait à des acquéreurs distincts sa banque de détail et son portefeuille de prêts immobiliers, dans l’espoir d’en tirer un montant plus élevé au vu de l’intérêt manifesté par des gestionnaires d’actifs et des gérants de fonds américains. L’une des sources a indiqué que la banque de détail avait suscité l’intérêt de Che Banca, filiale de Mediobanca, ainsi que du néerlandais ING. Fortress, Mediobanca et ING ont refusé de commenter cette information.
La banque australienne ANZ envisagerait de coter ses premiers ETF à Hong Kong l’année prochaine, après le lancement de sa gamme en Australie en juin, rapporte Asian Investor. Cela fait suite aux recrutements de Kris Walesby, devenu le responsable des ETF d’ANZ à Sydney le 10 octobre, et de Frank Henze, à Hong Kong, qui a rejoint la société en mai en tant que responsable des ETF en Asie. La banque australienne s’est associée à ETF Securities pour émettre des ETF à la fois en Australie et plus largement en Asie.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } Legg Mason on 21 October announced that it has completed the acquisition of a majority stake in Rare Infrastructure Limited, a publicly-traded asset management firm specialised in the infrastructure sector worldwide, based in Sydney, Australia. As of 20 October 2015, assets under management at Rare Infrastructure were estimated at about USD6.8bn.
Amundi has appointed Franck du Plessix as CEO of its Czech affiliate, IKS KB. Du Plessix had since 2010 been head of distribution partnerships with international networks at the French asset management firm.Du Plessix began his professional career in 1988 in the trading room at Société Générale in Paris, and then internationally, where he was head of the trading room in Singapore from 1996 to 2000. He then became head of sales for France at Société Générale Private Banking. Three years later, he bacame head of sales for structured management at SGAM AI, and then served in the same position at Amundi (ex CAAM) from 2008 to 2010.The appointment to the management of a foreign affiliate is the third announced by Amundi in less than ten days. The asset management firm, which is planning to hold its IPO in mid-November, has also appointed new directors for its German and Italian affiliates.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } The socially responsible investment asset management firm Mirova has released its first engagement report to share its best SRI practices. The report details the ways in which the firm exercises its influence to achieve better awareness of sustainable development challenges on financial markets The report refers to actions implemented by Mirova over all the asset classes it manages (equities, bonds, infrastructure) and all market actors: the financial markets, regulators, and businesses. Since 2014, Mirova has set up its own collaborative platform, constructed of Mirova experts and representatives of its clients, which offers Mirova and its partners influential leverage via close dialogue with businesses about their most controversial practices. The first two collaborative engagement initiatives of the platform have been launched to deal with current themes. On the one hand, the management of risks in the supply chain in the IT and communications sector, and in the textile sector, where price competition is leading to numerous excesses; and on the other, offshore Arctic exploration, where environmental and financial risks are insufficiently taken into account in a context of restricted carbon budget. These first two initiatives are supported by 32 institutional investors, and are targeting 16 businesses whose practices are considered deficient. The collaborative engagement platform at Mirova has given itself 3 years to achieve improvement in practices or changes of strategy at target businesses. Mirova will launch its third collaborative engagement initiative on the theme of financing a transition to a low carbon economy in January 2016.
The new CEO of Credit Suisse, Tidjane Thiam, on 21 October unveiled its new strategy. The new strategy, which gives priority to wealth management and Asia, comes with a call to the market for more than CHF6bn, and will result in a profound restructuring of the group, focused around three fundamental objectives.The group will seek to develop its presence in markets of Asia, eastern Europe, the Middle East, Latin America and Africa. Credit Suisse is planning to accelerate its growth in the Asia-Pacific region, by allocation more resources to assist businesses in the region through the creation of a dedicated Asia-Pacific division. In other emerging marktes, the new international wealth management (IWM) division is inspired by the model of Asia-Pacific.The group is also seeking to redeploy its investment banking activities, to put itself in the service of the needs of wealth management clients. It is also planning to strengthen the positioning of the group in the Swiss market, as a leading universal bank for Swiss private, corporate and institutional clients.Alongside the globally-managed business bank, three main, more autonomous regional units are being created for private banking, including Switzerland (Swiss Universal Bank or CHUB), Asia (Asia Pacific or APAC), and the rest of the world (IWM). Credit Suisse has also announced that it is disengaging from wealth management in the United States, which has been sold to the US firm Wells Fargo.This redeployment comes with new growth initiatives for CHF1.5bn in the next three years, and a globla savings plan for CHF3.5bn by the end of 2018. Credit Suisse may also lay off 1,600 employees in Switzerland as part of the plan. The London site may be transferred to a less costly location. Worldwide, nearly 5,000 jobs are expected to be affected out of a total personnel of 60,000 people, 17,100 of these in Switzerland.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } SEB Wealth Management has posted net inflows in third quarter of SEK5.8bn, down compared with the previous two quarters, in which inflows totalled SEK17.1bn and SEK24.8bn, respectively. These inflows are distributed with SEK2.3bn for institutional clients, and SEK3.5bn for the private bank. Since the beginning of the year, assets under management have totalled SEK1.559trn, compared with SEK1.706trn as of the end of June, and SEK1.563trn one year previously. Assets totalled SEK1.756trn in first quarter.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } Mitsubishi UFJ Kokusai Asset Management (MUKAM) has obtained a license for the iSTOXX MUTB Japan Quality 150 index, to use it as the basis for a passively-managed fund. The new fund will be aimed at retail investors, and is expected to be launched in November 2015. The index seeks to capture the performance of high quality Japanese equities with high levels of profit and sustainable cash flow.
Morningstar has announced two significant changes as part of its annual revisionn of the classification of various markets in its indices. From June 2016, Greece will move from the developed markets to the emerging markets category, while Morocco moves from emerging markets to frontier markets.“Greece is continuing to experience a period of political and economic instability, which is resulting in substantial risks for investors. In light of uncertainty concerning its future, Greece no longer meets the criteria for a developed market,” says Sanjay Arya, head of Morningstar Indexes, cited in a statement. Morocco, for its part, no longer has the minimal liquidity required to fall into the emerging market category.Morningstar has also indicated that South Korea is to be retained in the emerging markets category, as its market does not meet the accessibility standards expected by international investors. Chinese A-class equities are still excluded from the emerging markets category, due to restrictions still in force on cross-border movements of capital.
La société de gestion de fortune Bordier a nommé Paul Kelly en tant que chargé de développement, rapporte Fund Web. L’intéressé travaillait précédemment au sein de l’équipe de Schroders dédiée aux conseillers financiers. Il sera placé sous la direction de David Muncaster, directeur des activités commerciales.
Le gérant du trust immobilier AXA Property, Martin McGuire, va quitter la société le 28 novembre pour poursuivre d’autres intérêts après avoir piloté la stratégie pendant huit années, rapporte le site spécialisé Investment Week.Le portefeuille est en cours de fermeture et tous les investissements devraient être réalisés d’ici décembre. Lancé en mai 2005, le fonds affiche des actifs de 44 millions de livres. La VNA du trust a progressé de 7,4% au cours des trois dernières années, à comparer à une baisse moyenne de 20,6% pour le secteur Property – Direct Europe.
Jonathan Polin, l’ancien directeur général d’Ashcourt Rowan, va rejoindre Sanlam en tant que directeur général de son activité de gestion privée, croit savoir Money Marketing. L’intéressé avait démissionné d’Ashcourt Rowan après son rachat par Towry en début d’année. Il avait rejoint cette société en 2011 après avoir été directeur commercial et marketing d’Ignis Asset Management.
Amundi a nommé Franck du Plessix comme directeur général de sa filiale en République tchèque, IKS KB. L’intéressé était depuis 2010 responsable des partenariats de distribution avec les réseaux à l’international au sein de la société de gestion française. Franck du Plessix débute sa carrière professionnelle en 1988 en salle de marché chez Société Générale à Paris puis à l’international où il a notamment été responsable de la salle des marchés à Singapour entre 1996 et 2000. Il est ensuite nommé directeur commercial France chez Société Générale Private Banking. Trois ans plus tard, il prend les fonctions de directeur commercial de gestions structurées chez SGAM AI avant d’occuper les mêmes fonctions chez Amundi (ex CAAM) entre 2008 et 2010.Cette nomination à la direction générale d’une filiale étrangère est la troisième annoncée par Amundi en moins de dix jours. La société de gestion, qui doit s’introduire en Bourse mi-novembre, a également nommé de nouveaux dirigeants pour ses filiales allemande et italienne.
Henderson Global Investors (Henderson GI) vient de renforcer son équipe actions immobilières avec le lancement d’une entité en Amérique du Nord, rapporte FundWeb. Ainsi, Bob Thomas, qui a rejoint la société de gestion en août dernier en provenance d’AMP, a été nommé responsable de cette division et il sera basé dans le bureau de Chicago d’Henderson GI. En parallèle, la société a procédé à deux recrutements supplémentaires pour compléter cette équipe. Greg Kuhl rejoint ainsi l’équipe nord-américaine en qualité de gérant de portefeuille tandis que Mike Engles travaillera en qualité d’analyste. Tous deux arrivent en provenance de Brookfield Investment Management. Bob Thomas, Greg Kuhl et Mike Engles travailleront aux cotés de Guy Barnard et Tim Gibson, co-responsables des actions immobilières internationales.
Union Bancaire Privée a lancé un fonds de petites capitalisations américaines en partenariat avec une équipe dirigée par Mark Stoeckle, l’ancien CIO de BNP Paribas Investment Partners pour les actions US et monde, a appris Citywire Global. Ce dernier est maintenant CEO d’Adams Funds Adviser, société basée à Baltimore. La gestion du nouveau fonds, UBAM Adams US Small Cap Equity, est supervisée par Mark Stoeckle.
SEB Wealth Management a enregistré au troisième trimestre des souscriptions nettes de 5,8 milliards de couronnes suédoises, en ralentissement par rapport aux deux trimestres précédents où la collecte s’était élevée à respectivement 17,1 milliards de couronnes et 24,8 milliards. Cette collecte se répartit à hauteur de 2,3 milliards de couronnes pour les clients institutionnels et 3,5 milliards de couronnes pour la banque privée. Depuis le début de l’année, les entrées nettes se montent à 47,7 milliards de couronnes. A la fin du troisième trimestre, les encours sous gestion sont revenus à 1.559 milliards de couronnes, contre 1.706 milliards de couronnes fin juin et 1.563 milliards de couronnes un an plus tôt. Les encours avaient atteint 1.756 milliards de couronnes au premier trimestre.