p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } Axa Investment Managers (Axa IM) has recruited Casilda Lopes as head of client service, legal and compliance on the team led by Beatriz Barros de Lis, CEO and country head at Axa IM for Spain and Portugal. The new recruit, who has over 13 years of experience in the financial sector, joins from Credit Suisse, where she spent 8 years as head of development and marketing for the Iberian asset management firm. Before joining Credit Suisse Gestion, she served at Société Générale Asset Management and Allfunds Bank.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } The pension fund for the state of New York, the New York State Common Retirement Fund (CRF), will allocate USD2bn to a new low-carbon emissions US equity strategy developed in partnership with Goldman Sachs Asset Management. The programme will use a methodology developed by CRF and GSAM, which seeks to reduce the exposure of the pension fund to companies which have high levels of greenhouse gas emissions, while remaining within the defined risk framework. This will include the creation of a low emissions index based on existing indices for the CRF.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } 20 institutional investors with assets under management of over GBP331bn have asked the largest international companies to engage to use renewable energies. To achieve this, they are asking them to join RE100, a collaborative initiative which valorizes businesses that publicly promote the use of 100% renewable energies for their international activities. Google and BMW Group are among the lead companies to have joined the initiative last week, and are among the original members of the initiative, a statement from the ERAFP says, alongside investors such as Aviva Investors, Strathclyde Pension Fund, Environment Agency Pension Fund and Menhaden Capital. At the beginning of this week, six new companies, including Pearson, announced that they would be joining the RE100 initiative. The initiative is coordinated by ShareAction, a charity to promote sustainable investment. The new investor initiative programme aims initially to engage in dialogue with companies in writing, and then to extend dialogue on the subject through meetings and at general shareholders’ meetings.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } Old Mutual Wealth is adding to its presence serving financial advisers, with the recruitment of Martin Clubbs as a pensions specialist. In this role, Clubbs will be responsible for the development and growth of the Old Mutual Wealth platform, and will conentrate in particular on the individual pensions market. Clubbs, who has over 20 years of experience in the asset management and pensions sector, previously served as strategic relationships manager at Scottish Widows, where he was responsible for a team responsible for the management of relationships with key advisers in the area of corporate pensions for the North of England.
The financial group Sanlam, a specialist in wealth management and private banking, on 8 December announced an extensive reorganization of its structures in the United Kingdom, which will be implemented from 1 January 2016. From that date, all activities of Sanlam in the United Kingdom will be grouped together into a single entity, which will have a total of nearly GBP9bn in assets under management. The new structure, entitled Sanlam UK, will unit Sanlam Wealth Planning, Sanlam Private Wealth, Sanlam Investments and Pensions, Sanlam FOUR, and lastly, Sanlam Securities.As part of this extensive reorganization, Jonathan Polin has been appointed as CEO of the new entity, in charge of all activities of Sanlam in the United Kingdom. Polin was recently appointed as CEO of Sanlam Private Wealth.
Axa Investment Managers (Axa IM) vient de recruter Casilda Lopes en qualité de responsable du service client, du juridique et de la conformité au sein de l’équipe dirigée par Beatriz Barros de Lis, directrice générale et responsable pays d’Axa IM pour l’Espagne et le Portugal. La nouvelle recrue, qui compte plus de 13 ans d’expérience dans le secteur financier, arrive en provenance de Credit Suisse où elle a travaillé pendant 8 ans en tant que responsable du développement et du marketing pour la société de gestion ibérique. Avant d’intégrer Credit Suisse Gestion, elle avait officié chez Société Générale Asset Management et Allfunds Bank.
A compter du 1er janvier 2016, le fonds de pension Syntrus Achmea (100 milliards d’euros d’encours au total, dont la moitié à titre fiduciaire) et la société de gestion axée sur les particuliers Achmea Beleggingsfondsen fusionneront pour former Achmea Investment Management, rapporte le site spécialisé Fondsnieuws. L’opération avait été annoncée lors de la présentation des comptes semestriels en août.
Kempen Fiduciary Management vient de recruter Erik Hulshof en tant que directeur exécutif au sein de son équipe à Londres. L’intéressé, qui fera partie de l’équipe dirigeante, rejoindra la société le 1er janvier.Erik Hulshof a travaillé précédemment pour MN et Robeco. Il est actuellement « trustee » dans de nombreux fonds de pension néerlandais. Chez Kempen, Erik Hulshof sera avant tout chargé de concrétiser la coopération et l’intégration des activités au Royaume-Uni et aux Pays-Bas, avec comme objectif de mettre au point une offre de gestion fiduciaire au Royaume-Uni.
Vanguard doit lancer jeudi une gamme d’ETF gérés activement à bas coût visant à concurrencer directement les Schroders ou Aberdeen Asset Management, rapporte le Financial Times. Les nouveaux ETF, au nombre de quatre, fourniront une exposition à quatre critères d’investissement : value, liquidité, momentum et faible volatilité. Ils présentent un coût annuel de 22 points de base. « Ces ETF offrent une alternative irrésistible aux stratégies actives onéreuses qui ciblent des expositions similaires », commente John James, managing director de Vanguard en Europe. Ce lancement marque la volonté de Vanguard d’accélérer sa croissance en Europe, commente le FT. Le groupe doit lancer d’autres fonds actifs à bas coûts en Europe en 2016.
La galaxie Fideuram continue de recruter, rapporte Bluerating. Les deux réseaux Fideuram et Sanpaolo Invest ont embauché au total 205 professionnels, portant le nombre de leurs conseillers financiers à 5.030. Les dernières nouvelles recrues au sein de Fideuram sont : Roberto Rizzi, ex Banca popolare di Vicenza, en Vénétie ; Fabio Bonetta, de la Banca Cremonese, et Ivana Maria Rita Brigo, anciennement Banco Desio, en Lombardie; Eleonora Boldi, du Credito Valtellinese, dans le Piémont ; Fabio Marcaccioli, d’Allianz Bank, dans les Marche; Filippo Adessi, ex d’Unicredit, dans les Pouilles. Chez Sanpaolo Invest sont arrivés : Massimo Barbero, de Banco popolare, en Ligurie ; Michele Sarli, de FinecoBank, en Ombrie ; Maria Di Cola, ex Unicredit, dans le Latium.
Linedata, l'éditeur de solutions globales pour les professionnels de l’asset management, de l’assurance et du crédit, a annoncé le 9 décembre la signature d’un partenariat avec NetWorth Services, Inc., fournisseur de solutions en mode Saas et d’informations financières spécialisé dans le calcul des prix de revient fiscaux. Selon un communiqué, «ce partenariat offrira aux clients de Linedata Admin Edge un accès à la solution NetBasis, module automatisé de calcul et de déclaration auprès de l’IRS des prix de revient ajustés lors des cessions de fonds d’investissement. NetBasis est entièrement intégrée avec la solution dédiée aux agents de transfert, Linedata Mshare, qui lui fournit les données nécessaires au calcul des prix de revient ajustés. Composante essentielle de la plateforme Linedata Admin Edge, Linedata Mshare est une solution d’administration globale pour les administrateurs de fonds et gérants de fonds traditionnels, hedge funds et fonds alternatifs liquides."L’automatisation de ces processus permet aux utilisateurs de Linedata Admin Edge de respecter la conformité et d’optimiser leurs coûts. NetBasis calcule le coût de revient ajusté pour les fonds en appliquant une méthode par défaut ou sélectionnée parmi les options suivantes : FIFO, LIFO, spécifique, LOFO, HIFO, coût moyen simple (ASCC), coût moyen pondéré de la durée de détention (ACDC) ou corrigé des plus ou moins-values (LGUT). Le reporting des prix de revient prend également en compte tous les événements d’opérations sur titres, y compris les changements de dénominations, fusions et scissions, réinvestissements de dividendes et de plus-values ; le module assure aussi le suivi et l’identification des opérations d’optimisation fiscale de fin d’année.
Bellevue Asset Management a lancé un fonds sur les génériques dans le secteur de la santé pour les investisseurs européens, a appris Citywire Global. Le BB Adamant Global Generika avait été lancé en 2008 pour un public suisse uniquement. Désormais, il existe en version luxembourgeoise : Bellevue F (Lux) BB Adamant Global Generics.
Invité sur Newsmanagers TV, Martin Kolrep, gérant chez Invesco AM est l’un des premiers « asset managers » à être présent dès le lancement de la plateforme amLeague. Cette caractéristique donne désormais un recul de plus de six ans pour analyser ses performances. Et découvrir que celles-ci sont remarquables. Responsable des relations Partenaires de la plateforme, Vincent Zeller qui était présent aux côtés du gérant, a indiqué que son portefeuille était le plus performant (142,53 % au 04/12 depuis juin 2010). « Mais c’est également celui qui affiche le ratio de Sharpe le plus fort, de 1,4, contre 1 pour la moyenne des gérants et 0,8 pour le marché », a-t-il noté. D’autre part, toujours depuis l’origine, l’alpha annualisé du gérant ressort à 8 %. Et l’histoire se poursuit en 2015 dans la mesure où les performances du portefeuille (24,78 % au 04/12) sont encore les plus élevées, toutes compétitions confondues. Quant au ratio de Sharpe, il ressort à 1,8 et l’alpha à 15 %.Pour justifier ses résultats, notamment en 2015, Martin Kolrep a insisté sur la diversification de son portefeuille dont aucune ligne n’excède 2 %. « Le resultat n’est donc pas dû au bon comportement de deux ou trois lignes de titres mais plutôt, à un grand nombre de valeurs dont certaines sont détenues depuis longtemps », a-t-il rappelé. Sur le plan sectoriel, le gérant a favorisé cette année la consommation cyclique. A l’inverse, le secteur de l’énergie, des matériaux ainsi que le secteur de la finance ont été sous pondérés. Pour justifier cette mise à l’écart de la finance, Martin Kolrep a pointé la volatilité des titres alors que la maximisation du ratio de Sharpe reste l’un des principaux objectifs de la gestion. « Peu de banques sont attractives et volatiles simultanément », a estimé le gérant qui n’en possède pas moins quelques lignes de titres de banques scandinaves, mais aucune de la zone euro. Cela étant, si la volatilité diminue, le gérant a estimé qu’il pourra renforcer son portefeuille de valeurs bancaires en 2016.Dans le détail, les titres estampillés « value » sont également peu représentés au sein du portefeuille, a confirmé le gérant d’Invesco. «Nous regardons ce point dans la mesure où il fait partie des quatre concepts que nous regardons, dont le momentum ou les révisions de bénéfice. Cependant, il ne s’agit pas d’un critère discriminant pour l’achat de titres. Par ailleurs, le turnover des titres est limité. Plafonné à 10 %, il est de l’ordre de 5 à 6 % en réalité», a noté Martin Kolrep. Enfin, sur le plan géographique, le gérant qui investit de façon importante sur le marché britannique, a insisté sur l’intérêt de ce dernier, du fait de son approche « titres » et d’une volatilité moindre depuis 2008 comparé au marché de la zone euro. Pour 2016, le gérant se veut rassurant, même si la volatilité sera probablement de la partie, notamment au cours du second semestre. Un phénomène qui s’explique par le changement de politiques des banques centrales, surtout aux Etats Unis et au Royaume Uni, a rappelé Martin Kolrep qui reste néanmoins optimiste et table sur une progression comprise entre 5 % et 10 % des marchés.Enfin, pour conclure l’émission, Vinzent Zeller a annoncé le lancement prévu le 15 décembre du mandat d’actions internationales « low carbon ». « Le mandat a d’ores et déjà attiré 20 gérants dont Invesco AM », a t-il précisé, en rappelant également que les indicateurs y seront mesurés en absolu et en corrigé des impacts sectoriels. Pour visualiser la vidéo, cliquez sur le lien suivant : http://www.newsmanagers.com/NewsManagersTV/lesgerantssexpliquent.aspx?id=1386
Richard Pandevant a récemment intégré Exane Asset Management au poste de responsable marketing et communication, selon son profil LinkedIn. L’intéressé officiait précédemment chez Schroders France où, entre avril 2013 et novembre 2015, il a occupé le poste de responsable marketing. Avant cela, Richard Pandevant a été directeur du marketing et spécialiste produit à la Banque d’Orsay (1999-20011), directeur marketing chez Oddo Asset Management (2011-2012) et responsable marketing chez Aberdeen Asset Management (2012-2013).
Allianz Global Investors vient de lancer Allianz Europe Equity Climate Transition, un fonds commun de placement (FCP) qui propose un investissement en actions européennes de moyen long terme, respectant les critères de développement durable et permettant d’accompagner la transition vers une économie bas carbone. Le fonds est est né grâce à la transformation du fonds thématique Allianz Eureco Equity, qui était orienté vers le secteur des énergies renouvelables et les technologies liées à l’efficacité énergétique.Le fonds Allianz Europe Equity Climate Transition est investi à 75% au minimum en titres éligibles au PEA. La gestion active répond à deux obljectifs : réduire l’exposition du portefeuille au risque carbone, afin d’en limiter l’impact sur la valeur des investissements, notamment par la maîtrise de l’empreinte carbone et par un système d’exclusions ciblées des pratiques à risque, et accompagner la transition vers une économie « bas carbone » et en saisir les opportunités en intégrant l’impact « climat » des sociétés dans la sélection de valeurs. AllianzGI privilégie notamment les sociétés les moins émettrices en carbone dans leur secteur (best performer), celles qui montrent des dynamiques de progrès pour s’aligner avec les objectifs de la transition (best effort) et celles dont les activités, produits ou services offrent des solutions pour développer une économie bas carbone (best solution).
Le milliardaire Ken Griffin, fondateur et patron de la société de gestion alternative Citadel, a indiqué sur la chaîne de télévision CNBC qu’il soutiendrait financièrement le sénateur républicain de Floride Marco Rubio dans le cadre des présidentielles de 2016, rapporte l’agence Reuters. Un autre milliardaire, Paul Singer, fondateur et dirigeant d’Elliott Management Corporation, a également fait part en octobre dernier de son soutien au sénateur de Floride.
Beaucoup de projets. Après une année 2015 très bien remplie, avec une quinzaine de transactions réalisées contre une moyenne de cinq ou six par an, NewAlpha AM va encore lancer de nombreuses initiatives l’an prochain dans le sillage du premier fonds de venture capital français dédié aux FinTech proposé depuis fin novembre (Newsmanagers du 30 novembre 2015). NewAlpha devrait notamment annoncer dans le courant du premier trimestre ses premiers investissements dans les FinTech, au nombre de deux ou trois, a indiqué Antoine Rolland, président de NewAlpha AM, le 9 décembre à l’occasion de l’Emerging Manager Day 2015. La société devrait également annoncer début 2016 «deux deals» aux Etats-Unis qui concernent en fait un mandat confié à NewAlpha par un investisseur institutionnel et qui porte sur la gestion d’actions américaines par de jeunes sociétés américaines. Les premiers résultats ont été excellents et le mandat a été récemment doublé. Il est aussi question d’un fonds de private equity et dans le courant du second semestre, NewAlpha envisage de lancer un fonds de fonds qui investira dans les stratégies proposées par de jeunes sociétés entrepreneuriales déjà identifiées dans le cadre de ses recherches.
LBPAM a annoncé mercredi 9 décembre son engagement à mesurer et à publier l’évaluation de l’intensité moyenne de ses portefeuilles ouverts investis en actions. La société de gestion qui a signé le Montreal Carbon Pledge en novembre 2015, a choisi d’appliquer la méthodologie qu’elle met en place depuis 2010 pour ses fonds ISR actions. Elle est basée sur le calcul de l’intensité carbone dans une approche de risque : tonne de CO2 équivalent par million d’euros de chiffre d’affaires.Au 30 octobre 2015, l’intensité carbone moyenne pour les fonds ouverts investis en actions s’élevait ainsi à 223 tonnes équivalent CO2 par million d’euros de chiffre d’affaires. En comparaison, l’intensité carbone moyenne des indices « Euro Stoxx 300 » et « MSCI World » était respectivement de 230 et de 234 tonnes équivalent CO2 par million d’euros de chiffre d’affaires, précise un communiqué.
Le gestionnaire d’actifs américain BNY Mellon Investment Management a annoncé, le 9 décembre, le lancement du fonds BNY Mellon Absolute Insight Multi-Strategy, un fonds multi-stratégie à performance absolue disponible dans un «mutual fund» alternatif liquide. Ce nouveau produit est sous-conseillé par Insight Investment, une boutique affiliée à BNY Mellon IM qui gère 605 milliards de dollars d’actifs à travers le monde dont 27 milliards d’actifs dans des stratégies alternatives liquides. Ce nouveau fonds a pour objectif la préservation du capital en recherchant à générer un rendement positif sur une période de douze mois avec une volatilité identique aux actifs obligataires conservateurs et une faible corrélation tant aux actions qu’aux obligations. Le fonds a pour mandat d’investir à travers une gamme de six stratégies d’investissement «absolute return», y compris les actions, l’obligataire et les devises, dans le but de réduire la perte en capital en cas de baisse soudaine des marchés. Sonja Uys, membre du comité d’investissement Absolute Return, a été nommée gérante principale du fonds. Elle est assistée de gérants de portefeuilles spécialisés, responsable des portefeuilles sous-jacents.
Le secteur de la gestion d’actifs continue de produire de nouvelles sociétés sur la lancée des années précédentes. On dénombre pour l’année en cours 35 nouvelles sociétés de gestion, selon des estimations réalisées par l’Autorité des marchés financiers (AMF) et Morningstar et divulguées le 9 décembre à l’occasion de l’Emerging Manager Day. Un chiffre qui serait inférieur aux 48 créations enregistrées en 2014 mais assez proche des niveaux observés les années précédentes, 39 créations en 2013, 34 en 2012 et 39 en 2011. Dans ce contexte, et malgré le mouvement de consolidation encore timide, le nombre de sociétés de sociétés de gestion agréées par l’AMF pourrait bien passer la barre des 650 dès cette année, le seuil des 600 sociétés ayant été franchi en 2012 à 604 précisément.
Credit Suisse serait intéressé au rachat de la banque privée tessinoise BSI, à vendre. Selon l’agence Reuters, Credit Suisse envisage de faire une offre au brésilien BTG Pactual, l’actuel propriétaire de BSI. BTG a besoin de liquidités après que son ancien patron André Esteves a été arrêté sur soupçons de corruption, le mois dernier au Brésil.Credit Suisse serait prêt à payer un montant inférieur à 1 milliard de francs suisses pour BSI, ce qui représente une décote de près de 20% par rapport au prix que BTG avait payé il y a quelques mois pour racheter BSI. Julius Baer, Safra Sarasin, l’italienne Intesa Sanpaolo et des investisseurs chinois seraient aussi sur les rangs pour racheter BSI.
Le fonds immobilier Credit Suisse Real Estate Fund Hospitality a vendu l’hôtel Palace à Lucerne à un investisseur chinois Yunfeng Gao, selon un communiqué diffusé mercredi soir. Le transfert de propriété a eu lieu le même jour, et l’entrée en jouissance est prévue au 31 décembre prochain, précise le communiqué. La société Victoria-Jungfrau Collection (VJC), propriété du groupe Aevis, continuera à exploiter la structure hôtelière.
Old Mutual Wealth se renforce auprès des conseillers financiers avec le recrutement de Martin Clubbs en qualité de spécialiste des retraites (« pensions specialist »). Dans le cadre de ses fonctions, l’intéressé sera responsable du développement et de la croissance de la plateforme Old Mutual Wealth, en se concentrant tout particulièrement sur le marché des retraites individuelles. Martin Clubbs, qui compte plus de 20 ans d’expérience dans le secteur de la gestion et des retraites, travaillait précédemment en qualité de responsable des relations stratégiques (« strategic relationships manager ») chez Scottish Widows où il était responsable d’une équipe en charge du développement et des relations avec les conseillers clés dans le domaine des retraites d’entreprises pour le Nord de l’Angleterre.
Le gestionnaire de fortune Bordier (UK), filiale de Bordier Group, a nommé Peter Chamberlain au poste de responsable du développement (« business development manager »), rapporte Reuters. Il sera rattaché à David Muncaster, directeur commercial et marketing. L’intéressé arrive en provenance de Praemium où il était responsable commercial pour le Royaume-Uni pendant plus de six ans.
Le groupe financier Sanlam, spécialisé notamment dans la gestion de fortune et la banque privée, a dévoilé, ce 9 décembre, une profonde réorganisation de ses structures au Royaume-Uni dont la mise en œuvre effective interviendra au 1er janvier 2016. Ainsi, à compter de cette date, toutes les activités de Sanlam outre-Manche seront regroupées au sein d’une seule et même entité qui cumulera près de 9 milliards de livres d’actifs sous gestion. Baptisée Sanlam UK, la nouvelle structure réunira sous le même toit Sanlam Wealth Planning, Sanlam Private Wealth, Sanlan Investments et Pensions, Sanlam FOUR et, enfin, Sanlam Securities. Dans le cadre de cette profonde réorganisation, Jonathan Polin a été nommé au poste de directeur général de la nouvelle entité, en charge à ce titre de l’ensemble des activités de Sanlam au Royaume-Uni. L’intéressé avait été récemment nommé directeur général de Sanlam Private Wealth.
Les politiques des banques centrales, la volatilité du marché et les autres événements extérieurs exercent une forte influence sur les investisseurs institutionnels, qui sont désireux d’améliorer leur rendement et leur performance. Dans ce cadre, les institutionnels comptent se porter vers des stratégies innovantes répondant à des besoins spécifiques au sein de portefeuilles plus diversifiés et complexes. Telles sont les conclusions d’une enquête (*) réalisée par Natixis Global Asset Management auprès de 660 investisseurs institutionnels du monde entier sur leurs perspectives de marchés en 2016, qui se doublent par ailleurs d’une étude de leurs projets d’allocation d’actifs. Les actions restent pour eux la classe d’actifs la plus performante en 2016. Notamment les actions internationales qui, selon les investisseurs interrogés surpasseraient à la fois les actions américaines et les actions émergentes. Cela dit, pour tenir compte de la nouvelle donne, les investisseurs envisagent de renforcer la diversification de leurs investissements et de consacrer une part accrue de leurs portefeuilles aux actifs alternatifs. Dans le détail, la majorité d’entre eux (56 %) est convaincue que leurs actifs alternatifs vont enregistrer en 2016 des performances supérieures à celles de 2015. Dès lors, les investisseurs institutionnels qui entendent conserver ou renforcer l’an prochain leurs avoirs en actifs décorrelés envisagent d’accroitre pour 50 % d’entre eux, leurs positions dans le private equity. En outre, 45 % des sondés souhaitent augmenter la dette privée et 41 % compte renforcer les hedge funds. Enfin, 34 % envisagent d’ajouter des actifs physiques, tels que l’immobilier. A l’inverse, les obligations perdent en importance. En moyenne, indique l'étude, «les institutionnels allouent actuellement 28 % de leurs portefeuilles aux investissements obligataires, mais l’an prochain, 42 % d’entre eux comptent réduire la part des titres obligataires, soit la plus forte baisse de toutes les classes d’actifs». Seuls 16 % des institutionnels interrogés ont l’intention de renforcer la part des titres obligataires. Si la Réserve fédérale américaine (la Fed) et les autres banques centrales augmentent les taux, la majorité des sondés (65 % d’entre eux) va abandonner les obligations à duration longue au profit de celles à duration plus courte. Parmi les autres ajustements prévus : la réduction globale des positions obligataires (49 %), l’augmentation des placements alternatifs dans leur allocation d’actifs (47 %) et le recours aux stratégies de rendement absolu (47 %).Enfin, en matière de gestion, l’enquête de Natixis Global AM indique que les institutionnels favorisent une approche hybride de l’investissement, combinant gestion active et passive. «Ils se tournent vers des investissements gérés activement pour générer de l’alpha et détenir des actifs décorrélés, tandis qu’ils utilisent la gestion passive pour les actions principalement, en vue de réduire au minimum les commissions de gestion.» Deux tiers des investisseurs (67 %) pensent néanmoins que les facteurs économiques internationaux et le regain de volatilité du marché vont favoriser la gestion active au détriment de la gestion passive en 2016.(*) Les résultats sont présentés dans un livre blanc intitulé : « 2016 in focus, the investment outlook for institutional investors », publié par le Natixis Durable Portfolio Construction Research Center.
Sept des principaux fournisseurs de retraites et d’assureurs en Suisse se sont associés pour créer une association de l’investissement durable et responsable, appelée SVVK-ASIR, rapporte IPE.com. Le groupement a été fondé pour aider ses membres à intégrer des critères ESG dans leurs investissements. Les membres fondateurs sont le fonds du premier pilier AHV, le fonds de pension public Publica, le fonds de pension du canton de Zurich BVK, le fonds de pension de Swisscom Complan, le fonds de pension des services postaux PKPost, le fonds de pension des chemins de fer PKSBB et le fonds d’assurance des accidents Suva. Ils gèrent ensemble plus de 122 milliards d’euros d’actifs. L’association passera en revue les portefeuilles de ses membres en se basant sur des critères définis. Un engagement actionnarial sera mené pour les sociétés jugées « critiques ».
Le fonds de retraite de l’Etat de New York, le New York State Common Retirement Fund (CRF), va affecter 2 milliards de dollars à une nouvelle stratégie actions américaines à faibles émissions carbone développé en partenariat avec Goldman Sachs Asset Management. Le programme utilisera une méthodologie mise au point par CRF et GSAM qui cherche à réduire l’exposition du fonds de pension aux sociétés fortement émettrices de gaz à effet de serre tout en restant dans le cadre d’un niveau de risque défini. Cela passera par la création d’un indice « faibles émissions » modelé d’après les indices existants du CRF.
Vingt investisseurs institutionnels gérant un encours de plus de 331 milliards de livres sterling ont demandé aux plus grandes entreprises internationales de s’engager à utiliser les énergies renouvelables. Pour cela, ils souhaitent qu’ils adhérent à RE100, une initiative collaborative valorisant les entreprises qui promettent publiquement d’utiliser 100% d’énergies renouvelables pour leurs activités internationales. Google et BMW Group comptent parmi les sociétés phares ayant adhéré la semaine dernière, indique un communiqué de l’Erafp qui figure parmi les membres à l’origine de l’initiative, aux côtés d’investisseurs tels que Aviva Investors, Strathclyde Pension Fund, Environment Agency Pension Fund et Menhaden Capital. En début de semaine, six nouvelles entreprises, dont Pearson, ont annoncé qu’elles rejoignaient l’initiative RE100.L’initiative est coordonnée par ShareAction, organisation caritative promouvant l’investissement responsable. Ce nouveau programme à l’initiative des investisseurs prévoit, dans un premier temps, d’engager le dialogue avec les entreprises par courrier et ensuite, d’approfondir le sujet au cours de réunions et d’assemblées générales ordinaires (AGO).
Nhlanhla Nene, le ministre des Finances d’Afrique du Sud, a été démis mercredi soir de ses fonctions par le président Jacob Zuma. La décision a pris de court les investisseurs internationaux, alors que le grand argentier sud-africain, nommé mi-2014, prônait une politique de limitation des dépenses publiques et de hausses de salaires. Le rand, la devise du pays, a perdu jusqu’à 4,9% face au dollar et traitait jeudi midi autour de 15,08 pour un dollar, contre 14,60 avant l’annonce.