Le fournisseur de services financiers Gottex enregistre le départ de Maximilian Gottschalk, directeur exécutif et membre du comité exécutif, selon un communiqué publié le 8 décembre. Gottex a en outre annoncé que sa filiale Penjing Asset Management, focalisée sur l’Asie, sera cédée à son fondateur Ronnie Wu et à l'équipe de direction de Penjing, Gottex conservant une participation minoritaire. Le patron de Gottex prendra par ailleurs un siège au conseil d’administration de Penjing. La société, basée à Hong Kong, avait été achetée en 2012 par Gottex.Par ailleurs, Gottex indique que le contrôle renforcé des finances a permis de détecter un «cas isolé» d’abus. Un ancien collaborateur de l’entreprise aux Etats-Unis a détourné des fonds entre 2013 et 2015. L’enquête menée depuis le 16 novembre par le directeur financier Pierre Udriot a permis de déterminer que la somme détournée est de moins de 3 millions de dollars et que les actifs de la clientèle n’ont pas été affectés. Le collaborateur en question ne travaille plus pour Gottex, précise le communiqué.
Octopus Investments vient de recruter un gestionnaire spécialisé dans les partenariats stratégiques en la personne de Lotfi Ladjemi avec l’objectif de se renforcer dans le secteur de la gestion de fortune. Le mois dernier, Octopus a déjà embauché Tim Lambert avec les mêmes fonctions. Lotfi Ladjemi travaillait précédemment dans une start-up, Draycott Capital, spécialisée dans la levée de fonds. Il a été précédemment directeur des ventes chez Amundi Asset Management.
Mark Harries, responsable de la sélection des gérants («Head of Manager Selection») et de l’activité multi-gérants chez Aberdeen Asset Management, a quitté la société, révèle le site spécialisé Investment Week. L’intéressé était devenu responsable de l’équipe multi-gérants en juillet 2014 lors de l’acquisition de Scottish Widows Investment Partnership (SWIP) par Aberdeen Asset Management. L’information a été confirmée au site d’information britannique par un porte-parole de la société de gestion écossaise. A la suite de son départ, la direction de l'équipe multi-gérants d’Aberdeen revient à Simon Wood, actuel «head of manager research», et à Graham Duce, directeur du multi classes d’actifs («director of multi-asset»).
Columbia Threadneedle vient de renforcer son équipe de gestion au sein de deux de ses principales stratégies actions américaines, rapporte Citywire Global. Ainsi, la société de gestion a nommé Nicolas Janvier en qualité de co-gérant du fonds Threadneedle American Smaller Companies, dont l’encours s’élève à 798 millions d’euros. L’intéressé, qui a rejoint le bureau londonien de la société en juin 2014, est rattaché à Diane Sobin, responsable des actions américaines pour l’Europe, le Moyen-Orient et l’Afrique (EMEA) et gérante principale de la stratégie. Avant cette nominatin, Nicolas Janvier travaillait en tant que gérant de portefeuille au sein de l’équipe en charge des stratégies «value» avant de se concentrer sur les petites et moyennes entreprises américaines.En parallèle, Amit Kumar a été promu au poste de co-gérant du fonds Threadneedle (Lux) American Absolute Alpha. Il assurera la gestion de cette stratégie aux côtés d’Ashish Kochar. Cette nomination implique que Neil Robson, qui était précédemment le gérant de cette stratégie, se concentrera désormais entièrement aux actions internationales, et en particulier sur le fonds Threadneedle Global Extended Alpha.
Le gestionnaire d’actifs et de fortune américain Northern Trust a nommé Belinda Burgess en qualité de responsable des îles Anglo-normandes en remplacement de Paul Cutts. Ce dernier assume désormais le poste nouvellement créé de responsable des services d’investissement alternatifs («Head of Alternative Investment Services») pour la division Northern Trust Global Fund Services à travers l’Europe, le Moyen-Orient et l’Afrique (EMEA). Belinda Burgess a rejoint Northern Trust en 2005 et elle officiait dernièrement en qualité de responsable de l’activité pour les pays scandinaves. Rattachée à Wilson Leech, responsable de Northern Trust pour la région EMEA, elle est chargée d’accompagner et d’accélérer la croissance de l’activité de Northern Trust dans les îles Anglo-normandes, région dans laquelle la société de gestion est implantée depuis 1972.Pour sa part, Paul Cutts est basé à Londres et est rattaché à Toby Glaysher, responsable du Global Fund Services pour la zone EMEA. Dans le cadre de ses nouvelles fonctions, il est responsable des produits et des services d’investissement alternatifs ainsi que de la relation avec les clients. L’intéressé a intégré Northern Trust en 1993 et a occupé différentes fonctions à responsabilité dans le monde dont, dernièrement, celle de responsable de l’activité dans les îles Anglo-normandes.
Le gestionnaire d’actifs britannique Aviva Investors a décidé de fermer le European Property Fund, un fonds immobilier européen de 194,3 millions de livres d’encours victime d’une importante décollecte, rapporte le site spécialisé Fundstrategy. Dans une lettre adressée aux investisseurs, la société de gestion explique que cette décision résulte de la décision d’un important investisseur de retirer ses capitaux du fonds. En mai 2014, ce fonds, géré par Andrew Hook, affichait encore 320 millions d’euros d’actifs sous gestion.
La banque privée suisse Julius Baer est en quête d’acquisitions en Chine et au Brésil, et espère y faire des affaires alors que la plupart des investisseurs se détournent des deux pays en raison d’inquiétudes sur les perspectives économiques, rapporte le Financial Times. Boris Collardi, le directeur général, a indiqué au quotidien financier qu’il avait dressé une liste de cibles parmi les sociétés de technologies financières en Chine. Il a aussi indiqué qu’il voulait doubler la taille de ses activités récemment acquises au Brésil. Ses propos interviennent alors que certains estiment que Julius Baer pourrait être une cible d’acquisition pour un concurrent plus gros. Boris Collardi, toutefois, balaye l’idée d’un rapprochement avec un acteur plus grand comme Credit Suisse. « Nombre de nos clients viennent d’UBS et de Credit Suisse parce qu’ils veulent quelque chose de différent et ne veulent pas travailler avec une grande organisation », dit-il. Revenant sur l’Asie, Boris Collardi indique avoir de « grands projets », à la fois en matière de recrutements et de définition de notre stratégie marketing. « Nous allons beaucoup changer en Chine », déclare-t-il. La banque suisse espère créer une société dans la nouvelle zone de libre-échange en Chine.
GAM a fusionné deux de ses fonds obligataires indexés sur l’inflation pour créer une nouvelle stratégie, a appris Citywire Global. Les fonds Julius Baer BF Inflation Linked Bond Fund (EUR) et Julius Baer BF Inflation Linked Bond Fund (USD) seront regroupés pour donner naissance au fonds Julius Baer Global Inflation Linked Bond. Bernhard Urech gérera ce nouveau produit.
Ashburton Investments, la société de gestion du groupe sud-africain FirstRand Group a annoncé, ce 8 décembre, l’acquisition de 100% du capital d’Atlantic Asset Management, une boutique de gestion obligataire basée au Cap en Afrique du Sud. Cette opération, dont le montant n’a pas été dévoilé, sera effective au 1er janvier 2016, a précisé la société de gestion dans un communiqué. « Cette acquisition va permettre de compléter l’activité obligataire existante ‘nouvelle génération’ d’Ashburton Investments en y ajoutant une gamme de fonds obligataires traditionnels et en intégrant l’expertise d’Atlantic dans la gestion des investissements socialement responsables », a souligné Ashburton Investments.Dans le cadre de cette opération, Arno Lawrenz, actuel directeur des investissements d’Atlantic Asset Management, sera nommé responsable de la gestion des portefeuilles obligataires d’Ashburton Investments. En outre, Heather Jackson, directrice générale d’Atlantic Specialised Finance, travaillera à l’avenir avec les spécialistes de la gestion alternative d’Ashburton.
Trente-quatre fonds commercialisés en Allemagne ont obtenu un label ISR dans le cadre de la première attribution réalisée par le centre de recherche de Novethic associé au FNG, le Forum pour l’Investissement Responsable allemand. Ces fonds sont gérés par un total de 17 sociétés de gestion (41% Allemandes, 18% Suisses, 24% Autrichiennes et 18% Néerlandaises). Celles qui obtiennent le plus de labels sont Erste-Sparinvest (5), Triodos Investment Management (4) et Deka Investments GmbH (4 fonds), Sur les 34 fonds, trois seulement obtiennent trois étoiles, la meilleure distinction : il s’agit des fonds Triodos Sustainable Pioneer Fund et Triodos Sustainable Equity Fund et du Erste WWF Stock Environment. Le Label FNG décline en effet la qualité ISR des fonds grâce à un système à une, deux ou trois étoiles. Cela permet de valoriser les fonds ayant les pratiques les plus exigeantes. « La moitié des fonds ont obtenu entre deux et trois étoiles, ce qui dénote la qualité de l’offre et le potentiel de ce marché encore émergent qui constitue une toute petite part des produits proposés aux particuliers en Allemagne », commente Novethic, qui a accompagné le FNG pour la mise en œuvre opérationnelle de son concept de label ISR et est l’auditeur exclusif des candidatures.« Dans l’ensemble, le millésime 2016 présente un niveau d’exigence élevé sur la sélection ISR. Elle consiste à écarter de l’univers d’investissement des entreprises en fonction de leur notation sur des critères ESG (pour Environnement, Social, Gouvernance). Les fonds labellisés doivent en revanche améliorer la qualité de leur reporting public et leurs stratégies d’engagement actionnarial », conclut l’agence française.
Vontobel va prochainement dévoiler un partenariat avec un groupe important pour un mandat spécifique dédié à la distribution directe, a confié Giovanni De Mare, responsable de la distribution retail en Italie, à Bluerating. « Nous travaillons avec les directions d’importants réseaux italiens pour nouer des accords de distribution pour la Vontobel Fund Sicac mais aussi pour des mandats de gestion sur des stratégies dédiées », indique-t-il.
Début 2016, la société de gestion italienne Zenit Sgr prévoit d’introduire à la Bourse de Milan les six fonds de la gamme de la société : Zenit Mc Pianeta Italia, Zenit Mc Megatrend, Zenit Mc Obbligazionario, Zenit Mc Breve Termine, Zenit MC Parsec et Zenit Mc Evoluzione. C’est ce qu’a indiqué Marco Simion, président de Zenit Multistrategy Sicav dans un entretien à Bluerating. Pour le moment, trois des quatre compartiments de la Sicav Zenit Multistrategy sont cotés sur Borsa Italiana.
Sur les neuf premiers mois de l’année, Fideuram Intesa Sanpaolo Private Banking, surnommée SuperFideuram, a enregistré un bénéfice net consolidé de 597,4 millions d’euros, en hausse de 36,1 % par rapport à la période correspondante de 2014, rapporte Bluerating. Les encours de gestion d’actifs de 127,3 milliards d’euros ont été dopés par une collecte de 5,8 milliards d’euros dans des gestions sous mandat. La collecte nette de la gestion d’actif s’établit à 7,7 milliards d’euros, en augmentation de 11,6 %.
2015 qui était censé être l’année du grand retour des hedge funds a au contraire été l’une des pires depuis la crise financière, analyse le Financial Times. Pris de court par les banques centrales et de soudains accès de volatilité, plusieurs grands gérants de hedge funds comme Bill Ackman et David Einhorn ont subi des pertes douloureuses, tandis que d’autres fonds, comme le Fortress Macro Fund de Mike Novogratz, ont dû purement et simplement fermer. Dans ce contexte, nombre de hedge funds avancent que leurs paris vont finir par payer en 2016. Mais s’ils se trompent à nouveau, bien d’autres fonds fermeront pour de bon.
L’agence Fitch Ratings a confirmé la note Asset Manager nationale ‘High Standards(mar)’ de Valoris Management. La perspective est stable. La note reflète la discipline des processus de gestion de Valoris Management qui bénéficient de ressources renforcées et d’une recherche plus approfondie, ainsi que la qualité du dispositif de contrôle et de conformité de la société et sa plateforme technologique intégrée du front- au back-office. La note repose également sur le bon positionnement de la société sur le marché institutionnel marocain et auprès des institutions financières. Les principaux enjeux pour Valoris Management consistent à poursuivre la diversification de sa base de clientèle, à adapter ses capacités opérationnelles à la croissance du nombre de portefeuilles et à développer sa gestion des risques d’investissement. Valoris Management est la société de gestion de fonds ouverts du groupe Capital Gestion Group. A fin juin 2015, Valoris Management gérait 21,6 milliards de dirhams marocains d’actifs (environ 2 milliards d’euros). A l’image de l’ensemble du marché marocain, ces actifs sont fortement concentrés sur les produits obligataires et monétaires (95%). La société emploie sept gérants et analystes, quatre personnes au middle- et au back-office et un responsable contrôle interne et conformité. Certaines fonctions, telles que les directions commerciale, informatique et administrative et financière, sont déléguées à Capital Gestion Group dans le cadre d’une mutualisation de ressources au sein du groupe.
La société d’assurance suédoise Folksam a ajouté un fonds obligataire de Jupiter et un autre de Neuberger Berman à son offre de produits, rapporte le site suédois Realtid.se. Il s’agit des fonds Global Dynamic Bond et du Neuberger Berman Emerging Market Blend.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } State Street Global Advisors on 7 December announced the launch of three new smart beta ETFs which can help investors to improve their risk-adjusted returns. The three vehicles, listed on Nyse Arca, are the SPDR Russell 1000 Yield Focus ETF (ONEY), SPDR Russell 1000 Momentum Focus ETF (ONEO), and SPDR Russell 1000 Low Volatility Focus ETF (ONEV). These three SPDR ETFs charge fees of 0.20%. Smart beta products from SSGA now represent assets of USD81bn.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } Mirova is for the first time publishing a report on the carbon footprint of its publicly-traded equity investments, representing total assets of EUR2.8bn, or 47% of assets under management, under commitments made as part of the Montreal Carbon Pledge and the Portfolio Decarbonisation Coalition. The measurement was made with the Carbon Impact Analytics methodology, co-developed with Carbon 4. The carbon footprint calculated in this way finds that, for the consolidated perimeter of equities held by Mirova, carbon emissions induced are 97 tonnes of CO2/million euros, or 56% lower than the European large cap benchmark; emissions prevented of 12 tonnes of CO2/million euros are identical to a European large cap benchmark. For a European environmental strategy which assigns a meaningful place to climate challenges, Mirova has announced emissions prevented three times higher than the benchmark (-43 tonnes of CO2/million euros, compared with -12 tonnes of CO2/million euros). This investment strategy realizes an ambition to align with a climate scenario which makes it possible to maintain temperature increases at 2° C.
In 2015, the market for European socially responsible investment (SRI) funds dedicated to retail investors grew by 8% to total assets of EUR136bn (compared with EUR127bn in 2014), according to the 15th edition of the study “Green, social and ethical funds in Europe,” by Vigeo Italy, in partnership with Morningstar, undertaken between June 2014 and June 2015. This represents 1.7% of the total retail fund market.The number of funds this year rose 26%, to a record total of 1,204 funds (compared with 957 in 2014), Vigeo notes.With a market share up 4% this year, France confirms its place as the largest and most dynamic European market for retail SRI funds (35% of the total). It is characterised by a high percentage of bond funds. Despite a market share down 7%, the United Kingdom remains in second place (15%), followed by Switzerland and the Netherlands. Although the latter market is down slightly, from 17.8% in 2015 to 16.3% this year, the Netherlands has the highest penetration rage for SRI funds for retail investors. Belgium is in second place, with a level of 9.3%.The four largest European markets (France, the United Kingdom, Switzerland and the Netherlands) this year account for 68% of European assets. But the smallest markets are gaining new assets: this is the case in Spain (+19%), Austria (+17%), and Italy (+2.5%).In terms of asset classes, equity funds (52% of the total) remain predominant compared with bond funds (27%) and diversified funds (21%). However, these funds did not reach the record market share of 67% in 2007. Of the five best-performing funds of the year, four are domiciled in France.
It was a timid month in November for the European ETF industry. According to the barometer of monthly trends from Lyxor, net inflows to European ETFs totalled EUR3.7bn in the past month, 27% less than the average over one year. Total assets under management, however, are up 27% compared with the end of 2014, at a total of EUR462bn, driven largely by significant market effects (+13.2%).Investors preferred ETFs investing in equities from developed countries, Lyxor observed. Inflows to equity indices totalled EUR2.6bn, nearly three quarters of the inflows observed for the market as a whole. The rebound in inflows to emerging marmets observed in October was short-lived, with only EUR97m in capitali nflows, and EUR319m in capital outflows for equities from emerging markets of Asia. Investors preferred to turn back to developed market indices, which saw EUR2.4bn in capital inflows, twice the level observed in October 2015.For US and Japanese equity ETFs, inflows rebounded, to EUR785m and EUR321m, respectively. In Europe, inflows remained limited, unchanged from the previous month (EUR667m), and concentrated largely on financial sector and small and midcap indices, Lyxor analyzes.Elsewhere, inflows to bond indices fell sharply to a total of EUR930m in November, 57% below the one-year average. Outflows were concentrated on government bonds from developed markets, with EUR1.1bn in outflows.Lastly, commodity ETFs posted positive inflows, with EUR153m in total, and EUR16m for global indices, while inflows were limited for gold and precious metal ETFs (EUR7m).
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } The Canadian asset management firm Manulife Asset Management has announced the appointment of Wendy Lim to the position of CEO of its Singapore affiliate. She will report to Michael Dommermuth, head of wealth management and asset management for Asia at Manulife Asset Management. Lim, who has over 24 years of experience in the financial services industry in Singapore and the Asia-Pacific region, previously served at BNY Mellon Investment Management as CEO for Singapore and managing director in charge of development and marketing for Asia-Pacific. Meanwhile, Manulife AM has appointed Bonnie Lam to the newly-created position of head of partnership development for asset management and wealth management in Hong Kong. In this role, she will report to Bruno Lee, head of partnerships, for products and development for Asia at Manulife AM. Lam, who has 25 years of experience in the asset management sector, joins from HSBC Global Asset Management in Hong Kong, where she spent 15 years as regional head of wholesale.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } Octopus Investments has recruited a manager specialised in strategic partnerships, in the person of Lotfi Ladjemi, with the objective of building its presence in the wealth management sector. Last month, Octopus recruited Tim Lambert in the same role. Ladjemi previously worked at a startup, Draycott Capital, specialised in fundraising. He was previously director of sales at Amundi Asset Management.
Mizuho Alternative Investments, a quantitative asset management affiliate of the Japanese Mizuho Financial Group, and Wilshire Funds Management, an asset management firm of the US group Wilshire Associates, have signed a strategic alliance to work jointly to create, develop, structure and distribute risk premia investment solutions aimed at institutional investors and financial intermediaries. “Risk premia” strategies are based on investment rules designed to capture market risk premiums (such as carry, momentum, value, or volatility) across all asset classes.Through this strategic alliance, the two companies will work together to analyze risk premia strategies, construct investment portfolios and custom solutions, and lastly, to implement these strategies.The two companies have already launched several risk premia porfolios for institutional investors, including an income-oriented diversified portfolio including only strategies developed by some of the largest global banks, and a defensive portfolio whose objective is to outperform in difficult periods on equity markets.
En faisant évoluer son organisation à l’international. Fidelity rebat les cartes de son bureau en France. En effet, Christophe Gloser prendra, à compter du 1er janvier 2016, la responsabilité de la ligne de métier Wholesale en Europe Continentale et en Amérique Latine. L’activité en question qui pèse 80 milliards de dollars (soit 85 % des encours de la société sur cette zone géographique) englobe l’ensemble des fonctions commerciales à destination des banques et intermédiaires bancaires ainsi que des sociétés de gestion et des conseillers en gestion de patrimoine. Ce poste nouvellement créé le conduit de facto à céder à Jean-Denis Bachot la responsabilité du bureau français. L’ancien directeur Marketing et Communication devient également président de la société de gestion FIL Gestion et pourra compter sur Jean-Marc Didier, l’actuel directeur commercial Institutionnels et Entreprises de Fidelity International en France. Ce dernier devient également directeur général de FIL Gestion. Enfin, Cédric Michel, directeur commercial Distribution, devient, pour sa part directeur commercial Wholesale de Fidelity International pour la France. Les nominations se référant à la société de gestion FIL Gestion sont naturellement soumises à l’approbation de l’Autorité des marchés financiers.Jusqu'à présent responsable du bureau français et du bureau suisse de Fidelity International, et président de FIL Gestion, la société de gestion française, Christophe Gloser a sans doute tiré profit du bon développement de l’activité de Fidelity en France. Les actifs sous gestion sont passés de 5 milliards d’euros d’encours en 2012, à 9 milliards aujourd’hui. Et ce en dépit d’une collecte nette proche de zéro cette année due à des réallocations de portefeuille selon Christophe Gloser et des prises de bénéfices, notamment sur le marché américain.
Le gestionnaire d’actifs canadien Manulife Asset Management a annoncé, ce 9 décembre, la nomination de Wendy Lim au poste de directrice générale («CEO)» de sa filiale à Singapour. Elle est rattachée à Michael Dommermuth, responsable de la gestion de fortune et de la gestion d’actifs pour l’Asie chez Manulife Asset Management. Wendy Lim, qui compte plus de 24 ans de carrière dans l’industrie des services financiers à Singapour et dans la région Asie-Pacifique, officiait précédemment chez BNY Mellon Investment Management en qualité de directrice générale («CEO») pour Singapour et «managing director» en charge du développement et du marketing pour l’Asie Pacifique.En parallèle, Manulife Asset Management a nommé Bonnie Lam au poste nouvellement créé de responsable du développement des partenariats («Head of Partnership Development») pour la gestion d’actifs et la gestion de fortune à Hong Kong. A ce titre, elle est rattachée à Bruno Lee, responsable des partenariats, des produits et du développement pour l’Asie chez Manulife Asset Management. Bonnie Lam, qui affiche 25 ans d’expérience dans le secteur de la gestion, arrive en provenance de HSBC Global Asset Management à Hong Kong où elle a travaillé pendant 15 ans dont six ans en tant que responsable régionale de l’activité «wholesale».
Mizuho Alternative Investments, la filiale de gestion quantitative du groupe japonais Mizuho Financial Group, et Wilshire Funds Management, société de gestion du groupe américain Wilshire Associates, ont conclu une alliance stratégique afin de travailler conjointement à la création, au développement, à la structuration et à la distribution de solutions d’investissement de primes de risques («risk premia investment solutions») à destination des investisseurs institutionnels et des intermédiaires financiers. Les stratégies «risk premia» sont basées sur des régles d’investissement conçues pour capter les primes de risque de marchés (comme le carry, le momemtum, la «value» ou encore la volatilité…) à travers toutes les classes d’actifs. Grâce à cette alliance stratégique, les deux sociétés travailleront ensemble à l’analyse des stratégies de primes de rique, à la construction de portefeuilles d’investisseement et de solutions personnalisées et, enfin, à la mise en œuvre de ces stratégies. «L’infrastructure de risque et d’analyse de Wilshire permet le contrôle de la performance de la stratégie de prime de risque et le contrôle du risque en-dessous de son niveau sous-jacent», indiquent les deux partenaires dans un communiqué commun.Les deux sociétés ont d’ores et déjà lancé plusieurs portefeuilles «risk premia» auprès d’investisseurs institutionnels, dont un portefeuille diversifié orienté revenu comprenant seulement des stratégies développées par certaines des plus grandes banques mondiales, ainsi qu’un portefeuille défensif dont l’objectif est de surperformer dans des périodes difficiles pour les marchés actions.
Le capital investisseur Omnes Capital investit 11,5 millions d’euros dans la société Dispam, l’un des leaders français dans le transport sous température dirigée, à l’occasion d’une opération d’OBO (Owner Buy Out) primaire aux côtés de Pascal Masse, actuel président de la société. L’objectif de l’opération est de permettre la sortie des actionnaires familiaux du capital de Dispam et de poursuivre le maillage géographique du groupe en France, déjà en cours de déploiement avec l’ouverture d’une plateforme à Arras. « Cette opération est le quatrième investissement primaire du fonds Omnes Croissance 4 qui a déjà investi en 2015 dans les sociétés Cogepart (service d’expédition rapide), Bimedia (solutions logicielles pour les commerces de proximité) et Capcom (installation de fibre optique et réseaux câblés). Ce nouvel investissement s’inscrit dans notre stratégie : une sélection rigoureuse de sociétés à fort potentiel, des opérations primaires, une stratégie de création de valeur portée par la croissance organique et une politique active d’acquisitions. Un positionnement qui a fait ses preuves comme l’illustre la cession d’Exclusive Networks réalisée en mai 2015 avec un multiple de 5x», explique Benjamin Arm, associé gérant d’Omnes Capital, cité dans un communiqué.
BNP Paribas REIM France vient de publier son rapport annuel RSE. Signataire des PRI en 2012, BNP Paribas REIM France souhaite par ce rapport rendre compte de son activité et mesurer ses progrès environnementaux, sociétaux et de gouvernance.La politique RSE de BNP Paribas REIM France se décline en 12 engagements, affiliés à 4 piliers : économique, environnemental, social et civique. La société indique par exemple avoir signé une Charte Chantier Responsable pour tous les chantiers ouverts après le 1er janvier 2014. Pour permettre l’accessibilité des personnes handicapées, 72 % des 189 immeubles du panel RSE de BNP Paribas REIM France ont déjà atteint le niveau 1 avec un objectif de 100 % d’ici 2020. Au chapitre de la responsabilité environnementale, la modernisation du parc pour atteindre l’objectif de deux tiers des immeubles ayant un âge énergétique dans la tranche supérieure aux années 2000 à horizon 2020 est atteint à 78 %. Coté social, BNP Paribas REIM France assure favoriser la diversité, promouvoir une politique de rémunération juste et s’assure du développement professionnel et personnel de chacun. Enfin, BNP Paribas REIM France souligne ses efforts de responsabilité civique. La société s’engage "à jouer un rôle responsable dans la société civile en étant mécène de l’architecture et des générations de futurs professionnels, en développant une politique de sponsoring axée sur la santé et la solidarité et en participant aux groupes de réflexion sur son secteur», souligne le communiqué.
En faisant évoluer son organisation à l’international, Fidelity rebat sensiblement les cartes de son bureau en France. En effet, Christophe Gloser prendra, à compter du 1er janvier 2016, la responsabilité de la ligne de métier Wholesale en Europe Continentale et en Amérique latine. L’activité en question qui pèse 80 milliards de dollars (soit 85 % des encours de la société sur cette zone géographique) englobe l’ensemble des fonctions commerciales à destination des banques et intermédiaires bancaires ainsi que des sociétés de gestion et des conseillers en gestion de patrimoine. Ce poste nouvellement créé le conduit à céder à Jean-Denis Bachot la responsabilité du bureau français. L’ancien directeur Marketing et Communication devient également président de la société de gestion FIL Gestion et pourra compter sur Jean-Marc Didier, l’actuel directeur commercial Institutionnels et Entreprises de Fidelity International en France. Ce dernier devient également directeur général de FIL Gestion. Enfin, Cédric Michel, directeur commercial Distribution, devient, pour sa part directeur commercial Wholesale de Fidelity International pour la France. Les nominations se référant à la société de gestion FIL Gestion sont naturellement soumises à l’approbation de l’Autorité des marchés financiers.Jusqu'à présent responsable du bureau français et du bureau suisse de Fidelity International, et président de FIL Gestion, la société de gestion française, Christophe Gloser a sans doute tiré profit du bon développement de l’activité de Fidelity en France. Les actifs sous gestion sont passés de 5 milliards d’euros d’encours en 2012, à 9 milliards aujourd’hui. Et ce en dépit d’une collecte nette proche de zéro cette année due à des réallocations de portefeuille, selon Christophe Gloser, et des prises de bénéfices, notamment sur le marché américain. Reste que cette nomination peut poser question, notamment sur l’organisation de Fidelity. Jusqu’ici basée sur des implantations locales, elle met en place une fonction de coordination transversale. Interrogé par Newsmanagers, Christophe Gloser a insisté sur les deux façons d’interpréter ce changement. « Il est nécessaire au niveau continental de mettre en place une coordination efficace, a-t-il expliqué, en précisant que celle-ci se justifiait sur le plan réglementaire sur le Vieux Continent. « Pour autant », a-t-il noté, « il n’est pas question de tomber dans la dictature du « top down ». Autrement dit, a exposé Christophe Gloser, «la société bénéficiera dorénavant d’une plus grande coordination en Europe continentale qui s’appuiera à la fois sur des initiatives européennes et également sur ce qui a fait le succès de Fidelity ces dernières années, à savoir la proximité des équipes locales auprès des clients». Et de citer l’exemple d’une stratégie paneuropéenne avec des produits « dividendes » par exemple avec, pour un pays comme la France, la présence de produits particuliers à l’image du fonds Fidelity Patrimoine. Dans le cadre de ses nouvelles fonctions, Christophe Gloser tentera de déterminer et d’accroître le potentiel de Fidelity International en Europe dans le domaine du wholesale. Sachant que les marchés italien, espagnol et français se caractérisent par un fort dynamisme, le nouveau promu a identifié comme marchés offrant encore du potentiel la Suisse, le Benelux et l’Allemagne. Quant à la présence du marché d’Amérique latine dans le giron des responsabilités confiées à Christophe Gloser, elle s’explique à la fois par la présence d’une importante clientèle espagnole et d’une offre produits qui passe par la sicav luxembourgeoise de Fidelity. Enfin, de son côté, Jean-Denis Bachot a réaffirmé sa volonté pour le marché français de définir de nouvelles étapes de développement tant pour l’activité institutionnelle que wholesale. Et pour cela, le cadre s’appuiera sur l’expérience acquise dans sa fonction transverse de communication et marketing, « qui lui ont permis dès son arrivée en 2012 de resserrer les liens entre les équipes commerciales et marketing », a-t-il conclu.
Au cours du mois de novembre, les investisseurs ont retiré près de 74 millions de dollars du fonds Janus Global Unconstrained géré par Bill Gross, soit la plus importante décollecte mensuelle depuis que l’ancien patron de Pimco a repris la gestion de ce fonds l’an dernier, rapporte Bloomberg. L’encours total du fonds a ainsi chuté à 1, 32 milliard de dollars au 30 novembre 2015 contre 1,39 milliard de dollars un mois plus tôt, selon des données compilées par Bloomberg. Pour mémoire, en octobre, le fonds avait enregistré une collecte nette de 6 millions de dollars.