Amundi serait intéressé par une acquisition de la société de gestion italienne Arca Sgr, rapporte Bluerating, qui cite Il Sole 24 Ore. Les autres prétendants au rachat sont Anima et des sociétés de private equity.
Depuis le début de l’année, FinecoBank a enregistré une collecte nette totale de 4,383 milliards d’euros, en hausse de 30 % par rapport à la période correspondante de 2014. Sur le seul mois de novembre, les souscriptions nettes ressortaient à 294 millions d’euros, soit une baisse de 3 % sur un an. Ce repli résulte du paiement d’une taxe. Sans cet effet, les encours sont en hausse de 39 %.
L'éditeur de solutions pour l’asset management Linedata a annoncé le 7 décembre le lancement de la nouvelle version de Linedata Mshare, qui s’enrichit de fonctionnalités étendues de calcul et d’allocation des résultats, notamment pour les fonds de capital-investissement, ainsi que de nouvelles fonctions de gestion des prix de revient et d’un module Allocations amélioré.Composante essentielle de la plate-forme Linedata Admin Edge, Linedata Mshare prend en charge aussi bien les fonds alternatifs et traditionnels calcul et d’allocation des résultats, notamment pour les fonds de capital-investissement, ainsi que de nouvelles fonctions de gestion des prix de revient et d’un module Allocations amélioré. Composante essentielle de la plate-forme Linedata Admin Edge, Linedata Mshare prend en charge aussi bien les fonds alternatifs et traditionnels que les investissements alternatifs liquides.
Robeco a demandé un quota supplémentaire pour gérer des actions A chinoises en vue de lancer un fonds dédié à cet univers d’investissement, a annoncé Arnout van Rijn, CIO Asie-Pacifique de Robeco, basé à Hong Kong, dans le cadre d’une conférence à Paris. Si tout se passe comme prévu, le produit devrait voir le jour l’année prochaine. Dans cette perspective, la société de gestion néerlandaise a également recruté récemment Jie Lu en tant que responsable de la recherche Chine. Cet ancien analyste et gérant de Norges Bank Investment Management, le gestionnaire du fonds souverain norvégien, va diriger une équipe d’analystes spécialisée sur la Chine continentale. Pour cela, d’autres embauches sont prévues et à la fin de l’année prochaine, l’équipe comptera trois à quatre personnes, confie Arnout van Rijn. Cette dernière sera basée à Shanghai, où Robeco est en train de monter une société détenue à 100 % (Wholly Foreign Owned Enterprise ou WFOE).L’univers des actions A n’est pas inconnu à Robeco, qui en gère déjà dans le cadre de l’une de ses stratégies asiatiques. Arnout van Rijn pense que cette classe d’actifs va s’ouvrir de plus en plus, d’où la nécessité d’élargir la couverture de cette zone. En attendant, l’équipe de Robeco basée à Hong Kong gère un total de 6,82 milliards de dollars à la fin du troisième trimestre 2015 au sein de diverses stratégies : stratégie diversifiée Asie hors Japon, actions Asie Pacifique, actions stars asiatiques, actions chinoises et actions indiennes. Pour 2016, Arnout van Rijn reste optimiste sur la Chine, face à un environnement monétaire conciliant et aux réformes attendues. Il estime que la plupart des marchés asiatiques ont corrigé en raison de craintes excessives concernant la Chine, ce qui a conduit à d’importantes sorties de capitaux, notamment en août et septembre. Mais selon lui, ces flux devraient revenir, une fois que les investisseurs auront réalisé que les craintes étaient exagérées.
À quelques semaines seulement de la date limite de mise en œuvre de la directive Solvabilité II dans l’Union Européenne, la majorité des assureurs ne se sentent toujours pas suffisamment préparés à relever les défis du nouvel environnement réglementaire, comme l’indique une récente enquête publiée par Natixis Global AM (*).Cet environnement règlementaire est perçu comme la menace la plus importante par 50 % des assureurs interrogés. 56 % affirment que les nouvelles règles entraîneront une hausse des investissements dans le contrôle des risques ainsi qu’une amélioration des stratégies de contrôle des risques. Les sondés cherchent donc à devenir plus efficients et ingénieux pour trouver des sources de croissance.La principale priorité d’investissement pour les assureurs est donc la recherche de rendements plus élevés (pour 6 sur 10). La volonté ne suffisant pas, 77 % affirment, qu’en raison de la faiblesse extrême des taux, il leur est plus difficile de trouver des investissements rémunérateurs pour couvrir leurs dettes à venir et 62 % reconnaissent qu’il devient de plus en plus difficile de diversifier leurs portefeuilles tout en demeurant dans les limites de leur budget de risque.Les assureurs sont quasi unanimes sur un point, le besoin de complexifier leurs portefeuilles. 92 % des dirigeants de compagnies d’assurance reconnaissent la nécessité de l’accroître et pour atteindre leurs objectifs d’investissement, 42 % confient une partie, voire l’intégralité, de leurs activités d’investissement à des gérants d’actifs extérieurs.Dans ce contexte, 58 % des assureurs interrogés ont l’intention, au cours de l’année prochaine, d’avoir un plus grand recours aux investissements non traditionnels, en particulier l’immobilier, le private equity et autres actifs alternatifs. Malgré cette volonté de diversification, 59 % des sondés admettent qu’il est devenu plus difficile d’investir dans de nouvelles classes d’actifs alternatives, en raison des nouvelles exigences de valorisation et de fonds propres.(*) Enquête conduite auprès de 200 dirigeants de compagnies d’assurances dans neuf pays (États-Unis, France, Allemagne, pays nordiques et Royaume-Uni)
Allianz Global Investors (AllianzGI) vient de lancer un fonds dédié aux obligations vertes afin de tirer avantage de la transition vers une économie à faible carbone, rapporte Citywire Global. Domicilié au Luxembourg, le véhicule Allianz Green Bond est co-géré par Hervé Dejonghe et Julien Bras, tous deux basés à Paris et logés au sein de l’équipe dédiée aux obligations et à l’investissement socialement responsable. Ce nouveau produit est disponible à la fois pour les particuliers et les institutionnels. Il investira principalement dans des obligations vertes émises par les entreprises, des Etats ou des agences supra-nationales.
BNP Paribas Investment Partners (BNPP IP) a dédidé de fusionner deux de ses fonds actions internationales, révèle Citywire Global. Dans le détail, les actifs du fonds Parvest Opportunities World (161 millions d’euros d’encours) seront intégralement transférés dans le fonds Parvest Equity Best Selection World (185 millions d’euros) à compter du 29 janvier 2016. Ces deux fonds sont actuellement gérés par Simon Roberts, rôle qu’il assume depuis début 2015.
Pimco crée un comité consultatif mondial (global advisory board) composé de cinq personnalités politiques et économiques à l’échelle mondiale. Outre l’ancien président de la Federal Reserve Ben Bernanke, qui a déjà rejoint en avril la société de gestion obligataire et qui présidera ce nouveau groupe, ce « board » inclut l’ancien président de la Banque centrale européenne Jean-Claude Trichet, l’ancien premier ministre britannique Gordon Brown, l’ancien directeur des investissements du fonds souverain de Singapour Ng Kok Song et l’ancienne directrice du planning politique pour le département américaine d’Etat Anne-Marie Slaughter. Les membres de ce comité apporteront à la société de gestion leur vision sur les développements économiques, politiques et stratégiques et leur pertinence pour les marchés financiers, indique un communiqué de presse. Le « board » se réunira plusieurs fois par an dans les bureaux de Newport Beach de Pimco ainsi que dans les autres bureaux de la société dans le monde. Les membres du comité assisteront aussi au « Secular Forum » de la société qui a lieu chaque année en mai et où les professionnels de l’investissement de Pimco discutent des perspectives économiques et de leurs implications pour les marchés sur les trois à cinq ans qui viennent.
La société française de capital-investissement Activa Capital vient d’annoncer le recrutement de Mathilde Sergent en tant que Manager. Auparavant, la nouvelle recrue a travaillé comme chargée d’affaires en Fusions & Acquisitions chez Nomura pendant 5 ans. Activa Capital gère actuellement près de 600 millions d’euros pour le compte d’investisseurs institutionnels en investissant dans des PME et ETI françaises à fort potentiel ayant une valeur d’entreprise comprise entre 20 et 200 millions d’euros. Activa Capital les accompagne pour accélérer leur développement et leur présence internationale, indique un communiqué.
Le géant de l'énergie EDF va quitter l’indice vedette parisien et sera remplacé par la foncière Klépierre, a annoncé le 7 décembre l’opérateur boursier Euronext. Ces changements prendront effet le 21 décembre, selon un communiqué d’Euronext.EDF, avec un chiffre d’affaires de près de 73 milliards d’euros en 2014, est l’un des actifs les plus importants pour l’Etat, actionnaire à plus de 84%. L’entreprise représente près du tiers de la valorisation du portefeuille de participations cotées de l’Etat. Le groupe, qui pèse plus de 24 milliards d’euros en Bourse, a connu une année 2015 difficile, puisque le titre affiche une perte de près de 42% depuis le 1er janvier, alors que le CAC 40 prend plus de 11%. Dans un communiqué, EDF rappelle être la 22eme capitalisation boursière en France et ne disposer que d’un flottant limité à 15%, ce qui explique la décision d’Euronext.De son côté, Klépierre n’a jamais fait partie de l’indice vedette de la Bourse de Paris. Le groupe rejoint ainsi au sein du CAC 40, son concurrent Unibail-Rodamco, qui évolue dans le même secteur. La foncière, qui est née en 1990, pèse 13 milliards d’euros en Bourse et son titre a bondi de plus de 17% depuis le début de l’année. Elle a réalisé un chiffre d’affaires de plus de 900 millions d’euros en 2014.
Sofinnova Partners, spécialiste des investissements dans les biotechnolgies et les sciences de la vie, a annoncé, ce 8 décembre, avoir levé 300 millions d’euros pour son fonds Sofinnova Capital VIII dédié à la santé, soit un montant supérieur à l’objectif initial de 250 millions d’euros. Le fonds précédent, levé en 2012, était de 240 millions d’euros, précise la société dans un communiqué. Le total d’actifs géré par Sofinnova Partners atteint désormais plus de 1,5 milliard d’euros.Ce nouveau véhicule investira dans le secteur de la santé, et plus spécifiquement dans la biopharmacie et l’instrumentation médicale. Sofinnova Partners investira, de façon prioritaire, dans les start-up et spin-off d’entreprises en tant qu’investisseur fondateur et chef de file. Environ les deux tiers du fonds Sofinnova Capital VIII seront investis en Europe et un tiers hors d’Europe, principalement en Amérique du Nord. Ce fonds s’appuiera sur une équipe expérimentée et internationale. Basée à Paris, elle réunit douze professionnels de l’investissement venus d’Europe, des Etats Unis et de Chine.Sofinnova Capital VIII a su attirer un pool d’investisseurs institutionnels de premier plan au niveau mondial, en particulier des compagnies d’assurance, des fonds de fonds, des family offices et des fonds de pension. La majorité des fonds levés viennent d’Europe, notamment de France, d’Italie, de Suède, de Norvège, de Suisse, de Belgique et du Luxembourg, mais aussi des Etats-Unis et du Canada.
Invesco Perpetual vient d’annoncer deux promotions au sein de son équipe dédiée aux actions européennes, rapporte Citywire Global. Oliver Collin, qui a rejoint la société l’an dernier en qualité d’analyste au sein de l'équipe, est nommé co-gérant, aux côtés d’Erik Esselink, du fonds Invesco Continental European Opportunities, dont les actifs sous gestion s'élèvent à 629 millions d’euros. Oliver Collin a également été nommé co-gérant, aux côtés de Jeff Taylor, du fonds récemment lancé Invesco Euro Equity. Parallèlement, Matthew Perowne a été nommé co-gérant, aux côtés d’Adrian Bignell, du fonds Invesco European Opportunities, dont les actifs sous gestion s'élèvent à 535 millions d’euros. Adrian Bignell reste le gérant principal de cette stratégie. Matthew Perowne avait rejoint Invesco en 2010 en qualité d’analyste stagiaire au sein de l'équipe dédiée aux actions européennes.
Le gestionnaire d’actifs allemand Allianz Global Investors (AllianzGI) a nommé Marie Le Dorner au poste de «assistant vice president» au sein de son équipe dédiée à la dette d’infrastructure, rapporte Investment Europe. Basée à Londres, elle sera rattachée à Ralph Eley, directeur de l’asset management au sein de l’équipe dette infrastructure chez AllianzGI. Dans le cadre de ses fonctions, Marie Le Dorner participera activement à la croissance du portefeuille d’actifs de dettes infrastructures de la société de gestion, en se concentrant tout particulièrement sur le marché français. Elle rejoint AllianzGI en provenance de Bank of Tokyo-Mitsubishi UFJ où elle était «senir associate» au sein de l’équipe de finance structurée.
Psigma Investment Management vient de recruter Rory McPherson au poste nouvellement créé de responsable de la stratégie d’investissement, rapporte le site spécialisé Money Marketing. Rory McPherson supervisera l’allocation d’actifs et sera chargé de piloter les relations avec les intermédiaire externes.Rory McPherson rejoint Psigma en provenance de Russell Investments où il était gérant multi-classes d’actifs depuis une dizaine d’années.
Le gestionnaire d’actifs britannique Rathbone Brothers (Rathbones) a nommé, ce 7 décembre, Gaius Jones au poste de responsable de la planification financière («Head of Financial Planning») au sein de son entité Rathbone Investment Management. L’intéressé compte plus de 15 ans d’expérience dans le secteur du conseil financier auprès des clients et des professionnels. Précédemment, il était directeur général d’Ashcourt Rowan Financial Planning.
Old Mutual Global Investors (Schweiz) GmbH (ou OMGI Switzerland) a été autorisée par l’Autorité fédérale de surveillance des marchés financiers (Finma) à distribuer des fonds en Suisse. Old Mutual Global Investors a ouvert son bureau à Zurich en juin 2015, après que Dominik Issler a été nommé responsable du service DACH Distribution, qui couvre l’Allemagne, l’Autriche et la Suisse. Avec cette autorisation de la FINMA, OMGI Suisse est désormais en mesure de distribuer les fonds d’investissement d’Old Mutual Global Investors en Suisse.Depuis son lancement à Londres en 2012, Old Mutual Global Investors a progressivement consolidé sa présence en Europe. L’entreprise gère aujourd’hui environ 3,2 milliards de francs suisses (2,17 milliards de livres sterling) d’actifs clients dans la région à fin septembre. Avec ce premier bureau européen à Zurich, Old Mutual Global Investors dispose des capacités requises pour servir les principaux gestionnaires de patrimoine, institutions financières internationales, banques privées et fonds de pension de la région DACH.Old Mutual Global Investors affiche une forte croissance depuis sa création en août 2012 et gère actuellement 22,2 milliards de livres sterling d’actifs à fin septembre. L'équipe est composée de 230 professionnels du secteur, dont 59 spécialistes de l’investissement.
Plusieurs prétendants auraient manifesté leur intérêt pour racheter la banque tessinoise BSI, dont la reprise par le groupe financier brésilien BTG Pactual a été finalisée il y a à peine trois mois. Parmi eux figurent Julius Baer et l’italien Intesa Sanpaolo, selon des informations rapportées dimanche par la radio suisse RSI se basant sur des sources proches des milieux bancaires, rapporte l’agence AWP.A l’entame du week-end, plusieurs agences avaient fait état du besoin de liquidités du groupe BTG Pactual, après la débâcle financière qui a suivi l’arrestation le 25 novembre, puis la démission, de son numéro un et principal actionnaire, André Esteves, embourbé dans le scandale Petrobras. Interrogé par la RSI sur le bénéfice que pourraient tirer les acquéreurs potentiels d’une reprise de BSI, le professeur Giovanni Barone Adesi, de l’Université de Suisse italienne (USI), évoque pour Julius Baer l’acquisition de dépôts en Suisse. Quant à Intesa Sanpaolo, BSI pourrait devenir «un centre d’excellence» dans les activités de banque privée du groupe, estime le professeur tessinois.
La société de gestion suisse Partners Group rachète Vermaat, un des principaux prestataires de services de catering des Pays-Bas. La transaction, dont le montant n’est pas connu, devrait être bouclée d’ici la fin de l’année. Actuellement détenue par sa famille fondatrice, l’entreprise néerlandaise compte plus de 2.300 employés. Ses responsables tablent sur des ventes 2015 de l’ordre de 130 millions d’euros, ont indiqué le 7 décembre dans un communiqué commun Vermaat et Partners Group.Suite au rachat par Partners Group, une extension des activités dans les pays voisins est prévue. C’est Rick Zeelen, actuel responsable commercial de Vermaat, qui prendra la tête de l’entreprise une fois la transaction conclue. Partners Group emploie plus de 800 personnes à travers le monde. Implantée notamment à San Francisco, Londres, Shanghai et Sydney, la société a vu au premier semestre 2015 ses actifs sous gestion croître de 12%, à 42,1 milliards d’euros.
Le gérant de fonds Chris Watt a décidé de quitter Jupiter Asset Management après y avoir travaillé pendant 16 ans pour rejoindre la société Aberforth, spécialiste des petites capitalisations, rapporte le site spécialisé Funds Strategy. Chris Watt assurait jusque-là la gestion des fonds Growth and Income, Responsible Income et UK Alpha. Il rejoindra Aberforth en avril 2016. A la suite de son départ, Charlie Thomas, actuel responsable de l’équipe développement durable et environnementale, va rependre la gestion du fonds Responsible Income tandis que Richard Curling, gérant du Jupiter Global Trust, du fonds Monthly Income et du Fund of Investment Trusts, va récupérer la gestion du fonds UK Alpha.En parallèle, la société Aberforth va également recruter Peter Shaw, un gérant actions britanniques de Kames Capital.
Royal Bank of Scotland (RBS) a signé un accord avec trois sociétés de gestion, Hermes Investment Management, M&G Investments et AIG Asset Management, qui permettra à ces dernières de prêter aux côtés de la banque à des entreprises de taille moyenne soutenues par des sociétés de private equity, rapporte le Financial Times. Les trois sociétés de gestion pourront co-financer des prêt jusqu’à 100 millions de livres, dont 15-30 millions de livres seront fournis par la banque.
Artemis a fait référencer sur Allfunds Bank les huit compartiments OEIC que la société de gestion britannique propose aux investisseurs européens. Cette gamme inclut l’offre en actions américaines gérée par Cormac Weldon, ainsi que le fonds Artemis Global Equity Income Fund piloté par Jacob de Tusch-Lec. Ces fonds sont enregistrés en Espagne, en Italie, en France, en Autriche, en Allemagne, en Suisse et au Luxembourg. Des parts en euros et en dollars sont disponibles.Allfunds Bank est présente localement en Espagne, en Italie, au Royaume-Uni, au Chili, aux Emirats Arabes Unis, en Suisse, en Colombie et Luxembourg. « Allfunds est la principale plate-forme de fonds en Europe. Ayant enregistré notre gamme OEIC en Espagne et en Italie il y a un an, s’associer avec Allfunds était l’étape supplémentaire évidente pour que davantage de clients aient accès à nos produits », commente James Martinelli, le directeur commercial d’Artemis pour l’Italie, l’Espagne et la France. Artemis gère 31,2 milliards d’euros d’encours au 30 octobre 2015.
Léger remaniement au sein de la gestion actions de Columbia Threadneedle. Leigh Harrison, responsable actions de la société de gestion et du fonds Threadneedle UK Overseas Earnings, a décidé de céder la gestion de ce véhicule à une nouvelle recrue, a appris Citywire Global. De fait, Jeremy Smith a repris la responsabilité de ce fonds à compter du 1er décembre, précise le site d’information britannique. L’intéressé a rejoint Columbia Threadneedle en septembre 2015 en qualité de responsable de la recherche actions britanniques en provenance de Liberum Capital. Au cours de sa carrière, il a notamment été responsable des actions britanniques chez Neptune Investment Management et «director» au sein de l’équipe grandes capitalisations britanniques chez Schroders.Outre son poste de responsable des actions, Leigh Harrison conserve aussi son rôle de de gérant principal du fonds Threadneedle UK Equity Alpha Income, et d’autres portefeuilles «alpha» de la société de gestion. Domicilié au Royaume-Uni et commercialisé à travers toute l’Europe, le fonds Threadneedle UK Overseas Earnings affiche 102 millions de livres (142 millions d’euros) d’encours. Il a dégagé un rendement de 38,5% en livres sterling au cours des trois dernières années.
Le gestionnaire d’actifs asiatique Eastspring Investments, filiale de l’assureur britannique Prudential, vient de recruter King Lun Au au poste de directeur général pour Hong Kong, révèle le site spécialisé Asian Investor. L’intéressé, qui compte 30 ans d’expérience dans l’industrie de la gestion, officiait jusque-là en qualité de directeur général de Bank of China Hong Kong Asset Management, poste qu’il a occupé au cours des cinq dernières années. Au cours de sa carrière, King Lun Au a notamment officié en tant que président («chairman») de la Hong Kong Investments Funds Association, l’association professionnelle de la gestion d’actifs à Hong Kong, et en qualité de président du Hong Kong Securities and Investment Institute. Durant son parcours professionnel, il a travaillé chez Baring Asset Management à Londres pendant plus de cinq ans, chez GMO à Hong Kong où il a travaillé cinq ans, chez HSBC Global Asset Management (Hong Kong) pendant 11 ans et, aussi, chez FRM Hong KongWayne Shum, responsable de l’activité institutionnelle chez Bank of China Hong Kong Asset Management depuis deux ans, a été nommé directeur général par intérim, précise le site d’information asiatique.
Kempen Securities a annoncé, ce lundi 7 décembre, la nomination de Bart Horsten en qualité de «Senior Research Analyst» au sein de son équipe de recherche couvrant le Benelux. A ce titre, il sera plus particulièrement chargé d’assurer la couverture du secteur des services financiers en Belgique et aux Pays-Bas. Bart Horsten, âgé de 44 ans, officie actuellement en qualité de responsable des services et des produits de gestion de fortune («Head of Wealth Management Products & Services») chez Van Lanschot Private Banking. Il avait rejoint l’établissement bancaire en 2001 en tant qu’analyste pour le secteur des services financiers.
BNP Paribas Investment Partners lancera le 14 décembre deux fonds indiciels dédiés au développement durable qui seront disponibles sur le marché néerlandais, selon le site spécialisé Fondsnieuws. L’un est axé sur les actions européennes, l’autre sur les actions monde. Ces deux produits utiliseront comme référence l’indice MSCI ex Controversial Weapons. De plus, le processus filtrera et exclura les titres de sociétés qui contreviennent gravement aux principes du Pacte Mondial (Global Compact Principles). .
Le gestionnaire d’actifs espagnol InverCaixa Gestion, filiale du groupe bancaire CaixaBank, va changer de dénomination sociale pour devenir CaixaBank Asset Management, rapporte le site spécialisé Funds People. «L’objectif est de se renforce et de gagner en importance avec une marque d’entreprise propre», explique la société de gestion. Depuis le début de l’année, sa part de marché en termes d’encours a augmenté de 242 points de base pour atteindre 17,7%. Au cours du troisième trimestre, la société de gestion a capté 42% des souscriptions nettes du secteur, note Funds People. En intégrant les sicav et les portefeuilles de gestion, ses actifs sous gestion atteignent 50 milliards d’euros, selon des données officielles de la société de gestion.
Le groupe de services financiers Stifel Financial Corp vient d’annoncer avoir bouclé l’acquisition de la clientèle de la division Wealth and Investment Management, Americas de Barclays. Une transaction qui avait été annoncée en juin dernier. Au 31 mai 2015, Barclays comptait aux Etats-Unis environ 180 conseillers financiers qui géraient quelque 56 milliards de dollars d’actifs. Dans le cadre de l’accord, Stifel sera désormais le distributeur aux Etats-Unis de nouvelles émissions actions ou crédit lancées par Barclays sur le sol américain. Pour accompagner sa clientèle haut de gamme, Stifel a profité de cette opération pour moderniser sa plateforme de gestion de fortune, avec des investissements notamment dans la sélection et la recherche de gérants, la construction de portefeuille ou encore dans des ressources technologiques supplémentaires.
Le fabricant de cafetières Keurig Green Mountain a annoncé le 7 décembre son rachat par un consortium d’investisseurs emmené par le fonds allemand JAB pour un montant de 13,9 milliards de dollars. Cette opération, approuvée par son premier actionnaire Coca-Cola (17,4% du capital), va conduire au retrait de la cote du groupe, est-il précisé dans un communiqué.JAB holding co, associé au groupe agroalimentaire américain Mondelez et au fonds BDT Capital Partners, propose 92 dollars par action Keurig, ce qui représente une prime de 78% par rapport au cours de clôture du titre vendredi à Wall Street. Le fonds JAB gère la fortune de la richissime famille allemande Reimann et a des participations dans le groupe de cosmétiques Coty, le chausseur Jimmy Choo ou encore le spécialiste du café Jacobs Douwe Egberts.
Arkéa Banque Entreprises et Institutionnels, filiale du groupe Crédit Mutuel Arkéa, vient de lancer La Plateforme des Institutionnels qui reprend les principes du financement participatif (ou crowdfunding) au service du financement des projets des collectivités locales. Cette plateforme numérique doit leur permettre de promouvoir leurs projets et de solliciter directement des financements auprès d’une communauté d’investisseurs institutionnels de référence : compagnies d’assurances, mutuelles, institutions de prévoyance, établissements de crédit…La Région Bretagne a été la première collectivité à finaliser un prêt via La Plateforme des Institutionnels, indique un communiqué qui précise que le projet concernait le lycée maritime Florence Arthaud, à Saint-Malo, financé par trois investisseurs. D’autres collectivités, et notamment les villes de Quimper et Marseille ainsi que les départements de Gironde et du Pas-de-Calais, déposeront prochainement un projet sur la plateforme.
Hermes Investment Management vient de perdre un mandat de 8,4 milliards de livres au sein du programme de pension du groupe britannique de télécoms BT (le BT Pension Scheme ou BTPS) qui a décidé de faire passer cette partie de son portefeuille en gestion passive, rapporte Investment Week. Selon une déclaration de BTPS, qui est aussi propriétaire de Hermes IM, «nous transférons notre mandat d’obligations indexées sur l’inflation dans des gestions passives». Une décision motivée par les besoins actuels du programme de retraites et pour une question de coûts. Cela dit, Hermes IM, qui est le plus gros gestionnaire de BTPS, devrait continuer de gérer entre 30% et 40% des actifs du programme.