CDC International Capital (CDC IC), la filiale de la Caisse des Dépôts, et son partenaire Mubadala Development Company, le fonds souverain d’Abu Dhabi, ont investi 50 millions d’euros conjointement afin s’emparer de 40 % du capital du groupe de cliniques Vivalto Santé, rapporte le quotidien Les Echos. Le reste du tour de table sera complété par MACSF, Arkéa Capital Partenaire, BNP Paribas Développement, le Crédit Agricole et le management de Vivalto. CDC IC boucle ainsi sa quatrième opération depuis son lancement en février 2014.
Le gestionnaire d’actifs français Carmignac vient de lancer un nouveau fonds multi stratégie, baptisé Carmignac Portfolio Capital Cube et domicilié au Luxembourg, révèle Citywire Global. Cette nouvelle stratégie est pilotée par Carlos Galvis, qui supervise déjà le fonds Carmignac Capital Plus. Dans le cadre de cette nouvelle approche, Carlos Galvis s’appuiera sur des idées d’investissement provenant des équipes en charge des actions mondiales (y compris donc les actions européennes), des marchés émergents et des matières premières, ainsi que celles en charge des devises mondiales, des taux internationaux et du crédit mondial. Carlos Galvis adoptera des stratégies directionnelles et relatives tout en cherchant à exploiter des investissements opportunistes à travers des paris tactiques. Evoluant sur une base « absolute return », il pourra utiliser une stratégie d’arbitrage composée de positions longues et/ou courtes sur l’obligataire, la devise, les indices de marchés de matières premières via des instruments financiers. En outre, il pourra aussi investir dans des dérivés de gré à gré. Jusqu’à 20% du fonds sera investi dans des actions, le solde se répartissant entre les devises, le crédit, les taux d’intérêts et les indices, tandis que les matières premières sont plafonnées à 10% du fonds. A ce stade, le fonds est uniquement et exclusivement commercialisé au Luxembourg.
Tous les marchés actions se sont affichés dans le vert en novembre et ont permis, par la même occasion, à la gestion active d’en faire de même. Avec néanmoins des différences de comportement assez sensibles, et sans qu’aucun type de gestion prenne l’ascendant sur un autre. Au sein du mandat «actions zone euro» par exemple, seuls cinq portefeuilles sur 16 ont battu l’indice Eurostoxx, en hausse de 2,94 %, avec une moyenne en termes de résultats pour les gérants de + 2,63 %. A l’inverse, l’Europe a permis à onze gérants sur dix-huit de faire mieux que le Stoxx 600 NR en progression de +2,81 %. D’autre part, la moyenne des performances des portefeuilles (+2,78 %) est, cette fois, très proche. La gestion ISR s’est également illustrée sur le vieux Continent puisque sept portefeuilles sur dix battent l’indice. A l’international en revanche, le mois a été difficile pour la gestion active. Trois gérants sur onze concurrents battent le Stoxx 1800 (+4,05 %). Avec, comme au sein du mandat Europe, une performance moyenne assez éloignée de l’indice (+3,76 %). Plus précisément, les meilleurs au sein de la zone euro sont surtout des adeptes de l’analyse fondamentale et du stock picking. A l’image de Allianz GI en tête de classement (+4,20 %), devant un quant cependant – Swiss Life AM (+3,60 %) – et Ecofi Investissements (+3,50 %). En bas de classement, le scenario est assez proche. A la dernière place figure Vivienne Investissement, plutôt « quant », devant Federal Finance, adepte du stock picking (+1,23 %). En Europe, en revanche, pas moins de trois «quant» occupent les cinq premières places. En tête figure le portefeuille d’Invesco AM géré par Martin Kolrep (+5,08 %) suivi par les portefeuilles du CM-CIC AM (+3,61 %) et d’Allianz GI (+3,51 %). En bas de tableau, Candriam occupe la dernière place, derrière Federal Finance et Vivienne Investissement (+1,10 % ; +1,19 et +1,33 % respectivement). Toujours sur l’Europe mais dans le cadre de la gestion ISR, Tobam arive en tête du classement (+4,47 %) devant Swiss Life AM (+4,19 %). A la dernière place, Federal Finance s’est contenté d’une progression de +2,14 %. L’amplitude des performances est moindre par rapport au mandat européen « classique ». De 2,33 points de pourcentage entre le premier et le dernier contre 3,98 points de pourcentage pour le mandat Actions Europe. Enfin, au sein du mandat « Global Equities », Ecofi Investissements arrive en tête devant Theam et Allianz GI (+4,86 % ,+4,16 % et +4,06 % respectivement). En bas de tableau, les quants se mêlent également aux stock pickers. Tobam ferme le classement (+2,89 %) battu par Degroof Petercam (+3,23 %) ou Roche-Brune (+3,28 %). Sur le plan de la gestion pure, hormis sur le mandat actions Euro, le volume moyen de transactions par gérant s’est affiché en hausse par rapport au mois d’octobre, selon les données fournies par amLeague. Dans le cas du mandat Global Equities, le volume moyen de transactions revient au niveau de septembre. Par ailleurs, sur le plan sectoriel et des valeurs, dans le cadre du mandat amLeague Euro Equities, les gérants ont sous-pondéré les banques, notamment au profit du secteur Media. Les principaux achats ont été BMW et Anheuser-Busch Inbev, les principales ventes Unilever et LVMH. Sur le mandat Actions Europe Equities, les transactions ont porté principalement sur les secteurs automobile, boissons et biens de consommation avec à l’achat Sabmiller et BMW, à la vente Pirelli & C, Unilever, Daimler. Sur le mandat Europe SRI Equities, les secteurs les plus prépondérants dans la gestion active ont été les secteurs automobile et biens industriels et services avec à l’achat BMW, Johnson Matthey et à la vente Polyus Gold Intl et Grifols. Enfin, sur le mandat Global Equities, les gérants ont surpondéré les secteurs liés à la consommation : Food & Beverage, Personal & Household Goods ainsi qu’Industrial Goods & Services. Les principaux achats ont été Atos, Gemalto et Linde, les principales ventes CVS Health Corp. Sigma-Aldrich Corp
First Trust lance un ETF dédié à la zone euro, l'économie la plus importante de la planète en 2014. Le First Trust Eurozone AlphaDEX UCITS ETF (FEUZ) offre aux investisseurs une possibilité de s’exposer au marché européen par le biais d’un processus de sélection d’actions basé sur les facteurs growth et value. L’ETF est chargé à 0,65%. Sur les neuf premiers mois de l’année, les investisseurs ont confié près de 33 milliards de dollars en net à des fonds et à des ETF européens, dont un peu plus de 7 milliards de dollars au troisième trimestre, selon les statistiques de Morningstar.
Le gestionnaire d’actifs allemand Deutsche Asset & Wealth Management (Deutsche AWM) vient de nommer Britt Lintner au poste de responsable des ventes pour ses fonds alternatifs liquides (« Head of sales for liquid alternatives ») pour l’Europe, le Moyen-Orient et l’Afrique, selon un document interne consulté par Financial News. En parallèle, Francesca Guagnini a été promue au poste de responsable commerciale pour ses fonds alternatifs illiquides (« Head of sales for illiquid alternatives ») également pour la région Europe, Moyen-Orient et Afrique.Britt Lintner, qui a rejoint Deutsche AWM en octobre, travaillait précédemment en tant que « managing director » au sein de l’équipe commerciale chargée des clients institutionnels au Royaume-Uni pour le hedge fund Man Group. Au sein de la société de gestion allemande, elle est responsable des actifs réels liquides et des plateformes de comptes gérés (« managed accounts »). Pour sa part, Francesca Guagnini est responsable de l’immobilier direct, des investissements durables et des stratégies assurantielles. Auparavant, elle était co-responsable de la distribution pour la division dédiée aux services aux fonds alternatifs.
La banque d’affaires BTG Pactual chercherait déjà à céder BSI, à peine trois mois après avoir reçu le feu vert des autorités pour l’achat de l'établissement tessinois, selon un article mis en ligne le 4 décembre par le Financial Times. Le groupe brésilien serait à la recherche de liquidités depuis que son ancien directeur général (CEO) André Esteves a été arrêté dans le cadre du scandale de corruption Petrobras. Aucun prix de vente n’aurait été fixé. Le journal londonien, qui cite des sources proches du dossier, affirme que BTG a été approché par des concurrents intéressés par un rachat de BSI. Aucune démarche formelle, comme le recours à des conseillers, n’aurait cependant été engagée. BTG Pactual a racheté BSI à l’italien Generali en 2014 pour un montant de 1,25 milliard de francs suisses. La transaction n’a pu être finalisée qu’en mars 2015, après le règlement du programme américain en mars 2015.
M.M. Warburg Bank Schweiz, filiale de la banque privée allemande M.M. Warburg, vient de recruter Bertrand Merkli qui rejoint le comité directeur de la banque pour piloter les activités de banque privée et la gestion de portefeuille, rapporte le site spécialisé finews. Bertrand Merkli est un ancien managing director de Julius Baer qui a également travaillé chez HSBC et Credit Suisse. Les actifs sous gestion de M.M.Warburg s'élevaient fin 2014 à 56 milliards d’euros.
Le groupe suisse Raiffeisen, dont les actifs sous gestion s'élèvent à quelque 200 milliards de francs suisses, et le groupe Avaloq ont annoncé le 4 décembre un renforcement de leur partenariat qui se traduit par l’acquisition de 10% des actions d’Avaloq par Raiffeisen. Les deux entreprises sont partenaires depuis 2007 et ont une filiale commune, Arizon, lancée en janvier 2015. Dans le cadre de sa stratégie de croissance, le groupe Avaloq élargit ainsi le cercle de ses actionnaires en gagnant un partenaire stratégique. Jusqu’alors propriété de ses collaborateurs et de sa direction, Avaloq renforce ainsi sa base de capital, créant les conditions préalables à une mise en oeuvre accélérée de sa stratégie de croissance, dont des investissements dans «deux opportunités imminentes». Pour Raiffeisen, l’engagement auprès d’Avaloq constitue, selon Patrick Gisel, CEO de Raiffeisen Suisse, «une attrayante contribution stratégique dans le domaine des technologies financières».
Selon les informations de Das Investment, Alexander Gerstadt a décidé de quitter la présidence de GAM Allemagne (ex Swiss & Global AM Allemagne). Dans une lettre adressée aux clients, Alexander Gerstadt indique que son départ est sa décision personnelle. Ses fonctions seront assurées dans un premier temps par Thorsten Ott, membre du directoire du gestionnaire basé à Francfort, précise Das Investment.
La société de gestion italienne Etica Sgr vient d’accueillir au sein de son comité éthique Laura Berry, ex-directeur general d’ICCR (Interfaith Center on Corporate Responsibility), une organisation basée à New York regroupant 300 investisseurs responsables. L’intéressée remplace Daniele Conti, qui quitte le comité après plusieurs mois de collaboration. Le mandat de Laura Berry court jusqu’en octobre 2017, data à laquelle un nouveau comité éthique sera désigné. Le comité éthique d’Etica Sgr a un rôle de supervision et de soutien, en aidant la société à réaliser efficacement l’analyse et la recherche sur la responsabilité sociale des émetteurs et à renforcer les stratégies d’actionnariat actif. Par ailleurs, Etica Sgr annonce que l’encours de ses fonds Valori Responsabili a dépassé le seuil de 2 milliards d’euros, à 2,1 milliards d’euros fin novembre. Sur les 11 premiers mois de l’année, ils ont collecté environ 656 millions d’euros.
La société de gestion italienne Anima Sgr a fusionné le fonds Anima Star Market Neutral Europe dans le fonds Anima Short Term Bond terme suite à des rachats et à un manque de nouveaux investisseurs, rapporte Citywire.
Plusieurs hedge funds macro ont été pris de court par les récentes décisions de la Banque centrale européenne (BCE), rapporte le Wall Street Journal. Parier sur la faiblesse de l’euro et la vigueur du dollar – alors que la BCE assouplit sa politique monétaire et la Federal Reserve la durcit – est l’une des positions les plus populaires pour les hedge funds macro. La plupart avaient misé contre l’euro avant la réunion de la BCE. Or après l’annonce des mesures du président Mario Draghi, la monnaie européenne a bondi de plus de 3 % face au dollar, tandis que les rendements des obligations européennes bondissaient et que l’indice Stoxx Europe 600 perdait 3,1 %. « Je crois que cela a été douloureux pour de nombreuses personnes », commente Michele Gesualdi, directeur des investissements de Kairos Partners à Londres, qui investit dans des hedge funds. « Presque tout le monde vendait l’euro à découvert ». Man Group a indiqué que son fonds AHL Diversified de 4,4 milliards de dollars avait perdu 5,1 % jeudi. Parmi les autres fonds qui pariaient contre la monnaie européenne figurent aussi Brevan Howard Asset Management Investment Corp, Moore Capital Management et Caxton Associates.
State Street Global Advisors vient de lancer un ETF libéré de toute exposition aux combustibles fossiles, le SPDR S&P 500 Fossil Fuel Free ETF (SPYX). Ce nouvel ETF permet aux investisseurs d'éliminer de leur portefeuille les sociétés utilisant les combustibles fossiles tout en maintenant une exposition à l’indice de référence des 500 valeurs. L’ETF, qui réplique la performance du S&P 500 Fossil Fuel Free Index, est chargé à 0,20%.
JP Morgan Asset Management – Global Insurance Solutions (GIS) a nommé James Peagam en tant que responsable de Global Insurance Solutions, rapporte Investment Europe. Il quitte ainsi Londres pour s’installer à New York et sera placé sous la direction de Jed Laskowitz et Mike O’Brien. Avant cela, James Peagam dirigeait l’équipe commerciale de GIS et supervisait la région européenne.
La société de gestion Vestathena, spécialisée dans l’investissement en actions, vient de recruter Carlos Pardo en qualité de responsable de la stratégie. Fondée en 2014 par Claudio Arenas-Sanguineti (co-fondateur de La Française des Placements et de Financière de la Cité), la société réunit une dizaine de collaborateurs et affiche d’ores et déjà des actifs sous gestion d’environ 400 millions d’euros. Economiste de formation, Carlos Pardo était auparavant Directeur des études économiques à l’Association Française de la Gestion financière (AFG). Il avait rejoint l’AFG fin 1999, après avoir exercé les fonctions de Responsable R&D à la direction technique (actuariat) vie-individuelle chez UAP-vie et Axa-vie (1991-1999). Docteur en économie (Université d’économie de Budapest - 1984), Carlos Pardo a démarré sa carrière en tant que professeur à l’Université d’Economie de Budapest avant de devenir chargé d’études banque et assurance à la Fondation pour la Recherche Economique et Financière (1985-1991). Carlos Pardo est co-auteur avec Jean-François Boulier, Président d’Aviva Investors France, de l’ouvrage « Les 100 mots de la gestion d’actifs » (éditions PUF-2013), et auteur d’un grand nombre d’études et d’articles, notamment sur le rôle de la gestion dans le financement de l’économie.
Les actionnaires d’Oddo ont approuvé le 3 décembre le principe d’une augmentation de capital pour financer l’acquisition de la banque anglo-germanique BHF Kleinwort Benson, a annoncé vendredi un porte-parole de la banque d’investissement française. «La famille et les collaborateurs ont voté à l’unanimité une augmentation de capital d’un montant maximal de 100 millions d’euros», a-t-il précisé à Reuters.Oddo a annoncé le 27 novembre une contre-OPA sur BHF Kleinwort Benson, une opération qui vise à couper l’herbe sous le pied du groupe chinois Fosun et permettre à la banque française de doubler de taille en se renforçant en Allemagne.
Philippe Brassac qui dirige le Crédit Agricole a annoncé au Bourget, vendredi dernier, de nouveaux engagements que le groupe s’engage à respecter en faveur du climat. Ainsi, au cours des trois prochaines années, le groupe s’engage à structurer 60 milliards d’euros de nouveaux financements pour lutter contre le changement climatique. En France, à travers ses Banques régionales et sa filiale spécialisée, CAL&F, il s’engage à doubler le niveau de financement des énergies renouvelables d’ici deux ans, et à financer plus de 5 milliards d’euros de projets de transition énergétique d’ici 2020, par le biais des fonds de gestion d’actifs mis en place par Amundi avec EDF d’une part et avec l’Agricultural Bank of China d’autre part. Enfin, dans le cadre de la gestion de la liquidité du groupe, le responsable a rappelé que le Crédit Agricole venait de s’engager à placer 2 milliards d’euros d’investissements en obligations vertes d’ici fin 2017.Le responsable est également revenu sur les engagements pris par le groupe à New York en septembre 2014 à l’occasion du sommet des Nations Unies sur le climat, pour annoncer que l’intégralité de ces engagements avait été tenue. Dans le détail, le Crédit Agricole a structuré en 2015 pour 25 milliards de dollars de nouveaux financements pour lutter contre le changement climatique. Selon Philippe Brassac, le Crédit Agricole a été le premier établissement à mesurer et à publier l’empreinte carbone des financements du Groupe, dès 2012. Par ailleurs, pour les secteurs représentant un total de 80 % des émissions carbone induites par les financements de la banque de financement et d’investissement, des politiques sectorielles et des critères d’exclusion stricts ont été publiées et appliquées. Toujours selon le responsable, le Crédit Agricole a été la première banque à ne plus financer l’extraction du charbon dans le monde ni les centrales au charbon dans les pays à haut revenus.Enfin, plusieurs partenariats innovants pour financer la transition énergétique ont été conclus, qui ont contribué à mettre en place le Energy Access Fund, fonds d’investissement et d’assistance technique doté de 55 millions d’euros et dédié à l’accès à l’énergie dans les pays les plus pauvres. Enfin, Philippe Brassac a rappelé que la banque a contribué à la création de la société de gestion commune entre Amundi et EDF pour financer la transition énergétique en France et en Europe et, sur le même modèle, la société de gestion commune entre Amundi et Agricultural Bank of China, pour financer dès 2016 la transition énergétique en Europe et dans le monde. Par ailleurs, Amundi qui a lancé des fonds indiciels « Low Carbon » gère actuellement 4,5 milliards de dollars d’actifs à faible intensité carbone.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } State Street Global Advisors has launched an ETF free of all exposure to fossil fuels, the SPDR S&P 500 Fossil Fuel Free ETF (SPYX). The new ETF allows investors to eliminate companies which use fossil fuels from their portfolios, while maintaining exposure to the benchmark index of 500 shares. The ETF, which replicates the performance of the S&P 500 Fossil Fuel Free Index, charges 0.20%.
UCITS net sales declined to EUR 55 billion, down from EUR 114 billion in Q2, according to the European Fund and Asset Management Association (EFAMA). Long-term UCITS, i.e. UCITS excluding money market funds, also posted a steep decline in net sales during the quarter to stand at EUR 33 billion at the end of Q3, down from EUR 144 billion in Q2. Demand for equity funds decreased from EUR 22 billion in Q2 to EUR 13 billion in Q3. Net sales of multi-asset funds net sales decreased from EUR 72 million in Q2, to EUR 34 billion in Q3. Bond funds registered a turnaround in net sales to post net outflows of EUR 19 billion, against net inflows of EUR 32 billion in Q2. Cumulative UCITS net sales totalled EUR 452 billion during the first three quarters of 2015, up from EUR 404 billion registered in the first three quarters of 2014. Cumulative net sales of long-term UCITS also increased during the first three quarters of this year to EUR 414 billion, up from the EUR 399 billion registered in the first three quarters of last year. AIF net sales amounted to EUR 33 billion, down from EUR 48 billion in Q2. European investment fund net assets decreased 4.1% during the third quarter of 2015 to stand at EUR 12,114 billion at end Q3 2015.
Skagen elected a new chairman to its board of directors on 3 December, following the changes announced recently. Henrik Lisaeth takes over the reins from Martin Gjelsvik, who is stepping down after more than 15 years at the helm.Henrik Lisaeth has many years of experience from the financial sector and is currently an advisor to FSN Capital after being a partner of FSN Capital since 2000. Prior to this, he held various positions at Morgan Stanley and The Boston Consulting Group. He has extensive board and chairmanship experience and is currently a board member at Validus/Vita.
Responsable des marchés français, belge, luxembourgeois et autrichien pour la société de gestion suisse GAM, Jan Hein Alfrink revient pour Newsmanagers sur ces projets pour la France. Sur ce marché qu’il connaît bien, le responsable souhaite avant tout pérenniser sa présence, notamment avec l'installation d'une antenne locale, qu’il juge indispensable. Avec en ligne de mire, à long terme, l’ouverture à de nouveaux types de clientèle.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } The Canadian asset management firm AGF Management Limited, which has CAD33bn in assets under management, has acquired a majority stake in FFCM, a US company specialised in ETFs, with CAD1.3bn in assets under management. ETFs from FFCM will now be exported to Canada. Meanwhile, AGF will be able to extend its distribution in the United States. FFCM, led by Bill Carey and based in Boston, creates, structures and manages ETFs. “We are teaming up with AGF to allow us to strengthen our research, marketing and product development,” says Carey.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } The alternative asset management firm Tages Capital, which has USD2.2bn in assets, has appointed Ed Morse to the position of director of sales for the United Kingdom and Northern Europe. Morse, who has more than 30 years of experience in asset management, had previously served as co-head of investment trusts at F&C Asset Management, in charge of development of activities. He previously served for 12 years as director of sales at Thames River Capital. Before that, he was responsible for European retail (outside Switzerland) at Credit Suisse Asset Management, and managing director at Robert Fleming Asset Management.
The US billionaire and former mayr of New York Michael Bloomberg will take over as head of a group of experts responsible for evaluating financial risks related to climate change for businesses and investors, the Financial Stability Board (FSB) announced on 4 December at COP21. The task force, as it is called by the FSB, which was itself created in 2008 to oversee and monitor international financial institutions, will “provide information to banks, insurers, investors and shareholders,” according to a statement.It will also makde recommendations to businesses about ways that they must publish information about their exposure to these risks, “in order to assist financial market actors to understand risks related to climate,” which “will be likely to increase in the future,” according to Mark Carney, chairman of the FSB and governor of the Bank of England, cited in a statement.The announcement comes at a time when many experts are making frequent warnings about the enormous financial consequences of uncontrolled global warming.The task force will initially be composed of 10 people, who by March 2016 will detail its precise objectives It may eventually include as many as 30 people, who will provide recommendations by the end of 2016.
The tripartite joint committee uniting the three European supervisory authorities, the European Banking Authority (EBA), European Insurance and Occupational Pensions Authority (EIOPA) and the European Securities Markets Authority (ESMA), on 4 December published a working document on automation of financial advising, with the objective of evaluating the need to regulate this innovation in order to reduce risks.The trend toward digitization of financial services is increasingly inciting financial firms to offer automatic advising tools, often referred to as “robo-advisors.” These tools have the potential to modify communications about financial products between consumers and financial institutions. “In this document, we admit that the markets are evolving and we want to open the debate about this potential evolution in a manner which financial firms can integrate with consumers,” says Steven Maijoor, chairman of the joint committee.The supervisors have identified a certain number of potential advantages to the innovation, such as lower cost, greater consistency of advising and the greatest numebr of clients likely to be affected. Among the potential risks are in particular the lack of a means for the consumer to be able to converse with an adviser who may be able to analyze the process and provide explanations, to say nothing of the increased vulnerability to various types of faults and IT malfunctions.The consultation remains open until 4 March 2016.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } The Italian asset management firm Etica Sgr has welcomed Laura Berry, former CEO of the Interfaith Center on Corporate Reponsibility (ICCR), an organization based in New York uniting 300 socially responsible investors, onto its ethical board. Berry replaces Daniele Conti, who is leaving the board after several years of collaboration. Berry’s term will run until October 2017, when a new ethics board will be appointed. The ethics board at Etica Sgr plays a supervisory and supporting role, helping the firm to effectively perform analysis and research into social responsibility of issuers, and to reinforce active shareholding strategies. Etica Sgr has also announced that assets in its Valori Responsabili fund have reached EUR2.1bn as of the end of November. In the first 11 months of the year, they have seen inflows of about EUR656m.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } BNP Paribas Wealth Management has made several appointments to newly-created positions in Singapore to strengthen its activity in South-East Asia. Inge Kua is appointed as Senior Advisor alongside Stephanie Lair, head of markets for Singapore, Indonesia and Malaysia. Kua retains her current position as Senior Banker. In her new role, she will be responsible for strengthening the position of the bank in the mega wealth client segment, a key element in the development plan at BNP Paribas Wealth Management in the region. Meanwhile, Jonathan Ng has been appointed as managing director and Market Leader for Indonesia, in which role he will report to Lair. Jonathan Ng will be responsible for overseeing the team which manages the Indonesian market and growth of activities in this market. Jonathan Ng, who has over 20 years of experience, was recently Executive Director and Desk Head for Indonesia Ultra High Net Worth Divisions at UBS. Lastly, Sharon Yee has joined the team of Jonathan Ng in the capacity of Team Head for Indonesia. Yee, who has 13 years of experience in wealth management at the bank, also arrives from UBS, where she had been responsible for Ultra High Net Worth in Indonesia.
p { margin-bottom: 0.25cm; line-height: 120%; } EFG Bank European Financial Group SA, Geneva (EFG Group) and EFG Bank AG (EFG Bank) have settled their dispute with the US tax authorities, and have agreed to pay a fine of slightly over USD29m as part of the regularization programme, according to a statement released by the US Department of Justice.
La société de gestion norvégienne Skagen a nommé Henrik Lisaeth en tant que nouveau président de son conseil d’administration le 3 décembre. Il succède à Martin Gjelsvik, qui quitte ses fonctions après 15 années à la tête du conseil d’administration.Henrik Lisaeth est actuellement conseiller auprès de FSN Capital après avoir été associé de cette société depuis 2000. Avant cela, il a occupé diverses fonctions au sein de Morgan Stanley et The Boston Consulting Group.
KBL European Private Bankers (KBL epb) a annoncé la nomination de Rachel Hamen au poste de directeur financier pour l’ensemble du groupe («Group Chief Financial Officer»). Elle fera également partie du Comité Exécutif du Groupe. La nouvelle recrue prendra ses fonctions au sein de KBL epb en février 2016 et sera basée à Luxembourg, après l’approbation des autorités réglementaires. Auparavant, Rachel Hamen était CFO, Continental Europe, chez State Street Bank à Luxembourg, établissement qu’elle a rejoint en 2007, où elle était également membre du Comité de Direction. Elle sera chargée des finances du Groupe au lieu d’Yves Pitsaer, actuel CFRO qui restera membre du Comité Exécutif en sa qualité de Group Chief Risk Officer. Il aura en plus un rôle de supervision et de coordination des relations avec les autorités de réglementation à travers le Groupe, indique un communiqué. Cette réallocation des responsabilités témoigne des meilleures pratiques internationales et d’une conformité aux principes du Comité de Bâle sur le contrôle bancaire, qui recommandent de séparer les fonctions risque et finance, note KBL epb.