p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; } As of 31 March 2018, the total net assets of collective investment organisms, including OPC vehicles subject to the 2010 law, specialist investment funds and SICAR vehicles, came to EUR4.148trn, compared with EUR4.187trn as of 28 February 2018, a decline of 0.92% in one month, according to statistics released by the Luxembourg financial sector surveillance commission (CSSF). Over the past 12 months, the volume of net assets has risen by 6.22%. The Luxembourg OPC industry in March saw a negative variation totalling EUR38.425bn. This decline respresents the balance of positive net issues, totalling EUR17.9bn (0.43%), and the unfavourable evolution of financial markets, totalling EUR56.325bn (-1.35%).
The heads of active asset management firms are expected to increase their collaboration throughout the sector, by developing a framework to allow companies to identify potential attacks and to respond to them appropriately as quickly as possible, according to a study by the British Investment Association (IA) and the consulting firm KPMG. The professional association has created a committee dedicated to cyber-security to assist asset management companies with these issues and to develop a guide to cyber-security in partnership with regulators and public bodies. The committee met for the first time last month.According to the report, asset management firms should share information about cyber-attack threats. They should also share best practices in the area, and collaborate collectively to train personnel in cyber-security, investment in new technologies, and form a consortium to share their experiences.A shared collaborative platform would also make it possible to increase the lobbying of the sector with third parties, such as data providers, stock market operators and banks specialised in custody or administration of funds. According to the study, active asset management firms will probably form a privileged target for cyber-attacks, in light of the significant amounts of assets under management, but players in the sector are less well-prepared than in insurance or banking.
Mirova, an asset management firm affiliated with Natixis Investment Managers, on 2 May announced that it has reduced the carbon footprint for its consolidated equity portfolio, from 3.5° C slightly over two years ago, to 1.7° C. Mirova thus subscribes for all asset classes to the trajectory defined by the international community, to limit temperature rises to 2° C to prevent the most severe effects of climate change.“To reduce the carbon footprint of our equity portfolios, we have gone looking in particular for stocks which are present throughout the value chain in renewable energies and energy efficiency, as well as mid-sized publicly-traded companies not represented in indices,” says Hervé Guez (photo), director of research and equity and fixed income management at Mirova.Since its creation, a statement says, Mirova has sought to place the challenges of a sustainable economy at the core of its strategy. Its objective is to offer solutions which benefit all participants at the firm, with a long-term outlook. Mirova has therefore naturally signed up to the Montreal Carbon Pledge and Portfolio Decarbonization Coalition initiatives launched by the United Nations Principles for Responsible Investment (PRI) and United Nations Environment Programme Finance Initiative (UNEP-fi), ahead of the Paris climate conference COP 21 in 2015.To meet these commitments, Mirova has developed a methodology to measure the climate footprint of its investments, as well as the major market indices. This methodology, unlike most approaches developed previously, adopts a “life cycle” vision of the carbon footprint, which takes into account emissions related to products and services from companies. The impact on the climate of these is crucial in many sectors, either positively, as for renewable energies and energy efficiency sectors, or negatively, as for example for fossil fuels. This method calculates a final indicator for projects, companies and portfolios, which gives the level of compatibility with a climate scenario.
The asset management firm Vestathena on 2 May announced the arrival of Didier Lorre in the newly-created position of director of external distribution. Lorre joins from Amilton Asset Management, where he had been director of sales.Lorre, 52, began his career as head of sector and then regional head at Orangina France, and in 1995 joined Invesco Asset Management, where he was successively senior project manager for Fra ce, head of retail distribution for France (1997), deputy director of retail sales (1999), and then deputy director of sales for France (2002). In 2007, he became a director and partner at Swan Capital Management, responsible for the development strategy at the asset management firm. He then joined Amilton Asset Management in 2013, and served as director of sales, and worked in particular to develop a range of bespoke funds.p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; }
Neuflize OBC et La Financière de l’Echiquier ont annoncé ce jeudi la signature d’un partenariat exclusif pour leur clientèle privée. La banque privée, qui souhaite recentrer son activité auprès d’une clientèle amenée à détenir des actifs financiers supérieurs à 500.000 euros, a sélectionné le gérant d’actifs pour accueillir les clients n’entrant plus dans son modèle.
Bernie l’abeille et ses amis peuvent se réjouir. Réunis sur la place Schuman le 27 avril (photo), devant les bâtiments de l’Union européenne à Bruxelles, les membres du collectif Avaaz ont pu fêter l’interdiction ce même jour de trois néonicotinoïdes pour toutes les cultures en plein champ. Ces pesticides produits par le suisse Syngenta et l’allemand Bayer sont accusés de s’attaquer au système nerveux des abeilles et de contribuer à la hausse spectaculaire du taux de mortalité de l’espèce, qui joue pourtant un rôle essentiel dans la pollinisation des cultures. Défendue par la Commission européenne, l’interdiction a été votée par une majorité qualifiée d’États membres, dont les principaux pays de l’Union.
Theresa May a désigné Sajid Javid, un ancien de Deutsche Bank, pour remplacer au poste de ministre de l’Intérieur Amber Rudd, démissionnaire. Outre-Manche, on ne compte plus les ministres qui jettent l’éponge depuis le Brexit. Cette fois, on doit la démission au scandale Windrush, un dossier concernant plusieurs milliers de travailleurs des Antilles arrivés entre 1948 et 1971, classés… immigrants illégaux. Un thème pourtant « très Brexit ».
Mark Mobius, Carlos Hardenberg et Greg Konieczny ont annoncé hier la création de Mobius Capital Partners, une société de gestion spécialisée dans les émergents basée à Londres. Mobius Capital compte investir dans les marchés émergents et les marchés «frontières», avec un focus particulier sur la gouvernance des entreprises. La société a déjà reçu l’agrément de la FCA britannique, et une première Sicav ouverte devrait bientôt voir le jour au Luxembourg, sous réserve de l’autorisation de la CSSF.
Sumitomo Mitsui Financial Group (SMFG) et Daiwa Securities sont en train de clore des discussions en vue de fusionner leurs filiales de gestion d’actifs, rapporte le quotidien japonais Nikkei. Le rapprochement entre Sumitomo Mitsui Asset Management and Daiwa SB Investments devrait avoir lieu au printemps 2019. SMFG pourrait être majoritaire au sein du nouvel ensemble. Avec Daiwa, il souhaiterait créer un acteur plus compétitif pour attirer des investisseurs étrangers et réduire leurs coûts. A fin mars, les encours combinés gérés par les deux groupes nippons atteignaient plus de 20 milliards de yens (152 milliards d’euros), dont 5,2 milliards dans des fonds communs de placement.
La filiale de Suravenir dédiée aux CGPI, Vie Plus, vient d'annoncer le lancement d'un nouveau mandat d'arbitrage sur son contrat d'assurance vie Patrimoine Vie Plus. Cette offre, lancée en partenariat avec Vivienne Investissement, utilisera l'intelligence artificielle.
La Caisse Nationale de Retraites des Agents des Collectivités Locales (CNRACL) ne dispose pas de réserves de placements mais place ses excédents de trésorerie dans des OPCVM monétaires sélectionnés par appel d’offres. La gestion des actifs financiers est confiée à la direction Retraite de la Caisse des Dépôts, située à Bordeaux. Un appel d’offres a été mené en 2017 afin de renouveler le vivier des OPCVM autorisés. La CNRACL a pu diversifier ses placements sur des OPCVM monétaires à horizons d’investissement un peu plus longs (6-12 mois), et initier des positions modestes sur deux supports investis en obligations d’entreprises court terme. En 2017, la CNRACL a constaté une baisse de son rendement globale de - 0,13% de son portefeuille. Outre ses comptes ouverts à la Caisse des Dépôts, la CNRACL dispose de deux comptes bancaires rémunérés chez Arkea et La Banque Postale.
Dans son dernier rapport pays concernant la France, le Climate Bonds Initiative salue les efforts menés par les investisseurs et le gouvernement pour doper le marché des green bonds. «Les émetteurs français ont propulsé le pays à une position emblématique», indique d’emblée les auteurs. Le rôle de l’Etat émetteur est notamment salué avec l'émission en 2017 de l’OAT verte d’un montant de 9,7 milliards d’euros, « l’obligation verte la plus importante à avoir jamais été émise ». Grâce à cet effort, les émissions d’obligations vertes ont quadruplé en 2017 passant de moins de 5 milliards d’euros à près de 20 milliards d’euros, expliqué pour moitié par cette obligation souveraine. Et le potentiel à court terme pourrait être encore plus exploité, souligne l’étude. Elle identifie 50 autres émetteurs «en phase sur les questions climatiques (climate-aligned issuers)» qui pourraient rejoindre les autres émetteurs. Les auteurs ont repéré 25 émetteurs d’obligations classiques parmi les collectivités territoriales. « Au niveau local, l’Île-de-France, les Hauts-de-France, le département de l’Essonne et la ville de Paris ont ouvert la voie, mais d’autres municipalités et régions pourraient émettre des obligations vertes si elles le souhaitaient, et notamment six villes, dont Lille, Lyon, Marseille et Tours », soulignent-ils. Parmi les entités soutenues par l’Etat, le rapport cible 9 autres bons candidats : « La Société Nationale Immobilière, par exemple, est l’entité la plus exposée aux marchés obligataires internationaux. Le montant des obligations émises par la Caisse de Refinancement de l’Habitat est, en moyenne, le plus élevé, et le volume d’émissions permet de maintenir le coût relatif desdites émissions à un faible niveau. La Compagnie de Financement Foncier détient quant à elle l’encours obligataire le plus élevé, ainsi que montant le plus important d’obligations émises sur des marchés internationaux », indique le rapport. Enfin, parmi les entreprises privées, 16 sociétés pourraient émettre des obligations vertes dont Veolia, Saint Gobain, Klépierre, Alstom ou encore Bionersis. TV
Sumitomo Mitsui Financial Group (SMFG) et Daiwa Securities sont en train de clore des discussions en vue de fusionner leurs filiales de gestion d’actifs, a annoncé hier soir le quotidien japonais Nikkei. Le rapprochement entre Sumitomo Mitsui Asset Management and Daiwa SB Investments devrait avoir lieu au printemps 2019. SMFG pourrait être majoritaire au sein du nouvel ensemble.
Linedata a annoncé, ce 30 avril, le lancement de la nouvelle version 11.3 de Linedata Mfact, sa plateforme de comptabilité des fonds, qui renforce l’automatisation des processus. La plate-forme de gestion comptable de Linedata permet de gérer tous les types de portefeuilles des administrateurs et valorisateurs de fonds internationaux. Linedata Mfact automatise l’ensemble de la production des valeurs liquidatives (VL) et gère les structures de fonds multi-devises, de catégories de parts multiples à gérants multiples et différenciés. Cette dernière mise à jour améliore les fonctionnalités suivantes :•Dette bancaire : mise en place d’un algorithme spécifique afin de prendre en compte les particularités du traitement des intérêts courus et encaissés et du reporting par tranche.•Frais : calcul automatique des frais et des comptes de régularisation associés, dans n’importe quelle devise.•Revenus : alimentation des revenus courus, encaissés, des ajustements et automatisation de leur règlement. Par ailleurs, la gestion des règlements et le traitement des revenus durant les weekends, les jours fériés et en fin de mois est optimisée. Les fonctions d’automatisation de Linedata Mfact qui accompagnent son moteur comptable et ses pistes d’audit permettent aux clients de la solution d’améliorer considérablement leur efficacité opérationnelle. Les historiques de transactions et les soldes peuvent être consultés aisément à l’aide de 150 rapports prédéfinis et d’écrans de requête ; des outils d’extraction complets et intégrés permettent d’accéder rapidement aux données sous-jacentes.
Richard Hawkins, jusque-là gérant obligataire chez MFS Investment Management (MFS IM), a décidé de prendre sa retraite à compte du 30 juin 2018, abandonnant ainsi la gestion de plusieurs fonds, rapporte Citywire Selector. L’intéressé, qui avait rejoint la société de gestion américaine en 1988, va ainsi abandonner la gestion des fonds MFS Meridian Funds – US Corporate Bond (303 millions de dollars d’actifs) et MFS Meridian Funds Global Opportunistic Bond (103 millions de dollars d’encours), ainsi que deux autres stratégies domiciliées aux Etats-Unis.Le fonds MFS Meridian Funds – US Corporate Bond sera désormais géré par Bob Persons et Alexander Mackey, déjà cogérants du véhicule. Pour sa part, le fonds MFS Meridian Funds Global Opportunistic Bond sera piloté par Pilar Gomez-Bravo et Robert Spector, qui cogéraient déjà le produit.
State Street Global Advisors a annoncé un changement d’indice pour deux ETF obligataires de sa gamme, le SPDR Portfolio Short Term Treasury ETF et le SPDR Bloomberg Barclays Intermediate Term Treasury ETF. Le premier ETF utilise désormais le Bloomberg Barclays 1-3 Year U.S. Treasury Index en lieu et place du Bloomberg Barclays 1-5 Year U.S. Treasury Index, et le second le Bloomberg Barclays 3-10 Tear U.S. Treasury Index en lieu et place du Bloomberg Barclays Intermediate U.S. Treasury Index.Ces modifications offrent «une exposition plus précise à différents segment du marché américain des bons du Trésor», commente Noel Archard, responsable mondial produits pour les ETF SPDR de State Street Global Advisors. Les modifications sont effectives à compter de ce 30 avril.
Aberdeen Standard Investments (ASI) a annoncé, vendredi 27 avril, l’acquisition de l’activité américaine d’ETF Securities, le fournisseur de fonds indiciels cotés spécialisés dans les matières premières. La transaction, dont le montant n’a pas été dévoilé, concerne huit ETF pour 2,8 milliards de dollars d’actifs sous gestion et doit permettre à ASI « d’élargir davantage ses capacités d’investissement avec l’ajout d’une gamme d’ETF dédiée aux matières premières », indique le gestionnaire d’actifs écossais dans un communiqué. Elle doit également lui apporter une plateforme et une expertise susceptible de faire croître ses capacités existantes dans le domaine du « smart beta » à travers le lancement de nouvelles stratégies utilisant le véhicule ETF. « Cela signifie qu’ASI est désormais en mesure d’offrir des solutions d’investissements à travers tous les types de véhicules, renforçant ainsi sa capacité de répondre aux besoins sur mesure des clients », souligne la société de gestion. La présence d’ASI dans les solutions passives, quantitatives et « smart beta », totalise plus de 84 milliards de dollars d’actifs. Quant à ETF Securities, il poursuit son recentrage sur l’Australie. Le groupe avait déjà cédé en deux opérations 80% de ses 25 milliards de dollars d’actifs sous gestion en fin d’année dernière.Ses produits européens sur les matières premières, devises et stratégies de vente à découvert ont été cédés à WisdomTree, dont il détient désormais 18% du capital et sa plate-forme européenne Canvas a été cédée à Legal & General Investment. Dans le cadre de cette nouvelle opération, ASI acquiert les fonds suivants : ETFS Bloomberg All Commodity Strategy K-1 Free ETF ; ETFS Bloomberg All Commodity Longer Dated Strategy K-1 Free ETF ; ETFS Bloomberg Energy Commodity Longer Dated Strategy K-1 Free ETF ; ETFS Physical Swiss Gold Shares ; ETFS Physical Platinum Shares ; ETFS Physical Silver Shares ; ETFS Physical Precious Metals Basket Shares ; et, enfin, ETFS Physical Palladium Shares (PALL).
Les actifs sous gestion d’Invesco s’inscrivaient fin mars à 934,2 milliards de dollars, contre 937,6 milliards de dollars fin décembre 2017, soit une contraction de 3,4 milliards de dollars ou 0,4% d’un trimestre sur l’autre. La collecte nette s’est élevée à 0,3 milliard de dollars après des sorties nettes de 3,2 milliards de dollars au quatrième trimestre 2017. Par ailleurs, le premier trimestre a donné lieu à un impact marchés négatif de 12,2 milliards de dollars alors que le quatrième trimestre 2017 s'était soldé par des gains de marché de près de 15 milliards de dollars. Les mouvements sur les devises ont contribué à un gain de 7,9 milliards de dollars sur le trimestre, contre 2,5 milliards de dollars au quatrième trimestre.Les revenus du trimestre sont passés sous la barre du milliard à 958 millions de dollars contre un peu plus de 1 milliard de dollars au quatrième trimestre 2017. Le résultat d’exploitation ajusté ressort à 357,3 millions de dollars contre 397,5 millions de dollars au titre du quatrième trimestre.
Novares se dote d’un bras armé dans le financement de l’innovation. Baptisé Novares Venture Capital, ce fonds de corporate venture doit investir jusqu’à 50 millions d’euros dans les cinq ans à venir, avec pour terrain de jeu le secteur de l’automobile, rapporte Capital Finance. Sa première prise de participation porte sur FlexEnable : Novares Venture Capital confie 2,5 millions d’euros à cette start-up britannique, à l’origine d’écrans et de capteurs électroniques. Sa maison mère, anciennement connue sur le nom de Mecaplast, compte nouer un partenariat industriel avec la jeune pousse pour intégrer cette technologie dans l’habitacle des voitures.
Deux mois après le closing de son deuxième fonds « small cap » à 550 millions d’euros, IK Investment Partners plancherait déjà sur un nouveau projet de levée de fonds. Selon Capital Finance, une plate-forme dédiée à l’investissement minoritaire serait à l’étude. Cette ambition sera portée par un nouvel associé, Thomas Grob. Prévue pour le 2 mai, son arrivée au sein de la société de gestion paneuropéenne signifie la fin de son parcours chez Tikehau Capital, où il évoluait depuis près de trois ans comme « co-head of principal investments », aux côtés de Guillaume Benhamou.
BlackRock vient de recruter deux spécialistes du capital-investissement de Goldman Sachs afin de renforcer son activité dédiée à New York, rapporte Reuters qui cite un document interne. De fait, Steve Lessar et Konnin Tam rejoindront BlackRock au cours de l’été et ils auront tous les deux la mission de développer l’activité de capital-investissement secondaire de la société de gestion.
M7 Real Estate («M7»), un investisseur immobilier et un asset manager paneuropéen, a annoncé, ce 1er mai, avoir levé son premier fonds français dédié. Le M7 French Active Fund («M7 FAF») a reçu des engagements d’investisseurs privés, de family office et d’investisseurs institutionnels basés en Asie, aux Etats-Unis et en Europe pour un premier « closing » de 30 millions d’euros. « Un second closing est attendu au cours du prochain trimestre », indique la société dans un communiqué.Le M7 FAF ciblera l’immobilier régional à haut rendement dans les principales régions de France, y compris le Grand Paris, Marseille et Lyon. Les investissements seront principalement concentrés sur les actifs occupés par les petites et moyennes entreprises. Le fonds sera géré par M7 avec des services d’asset management fournis par sa filiale française basée à Paris.Parallèlement, M7 a réalisé une première acquisition de portefeuille de 23 actifs en Ile de France pour 60,15 millions d’euros. « Le premier portefeuille, est composé d’actifs logistiques urbains multi-loués et mono-locataires (43%) ainsi que de parcs d’activités (57%), pour un volume de 80 098 m² bien placés avec un taux de rendement initial de 7% », précise M7 Real Estate.