Lombard Odier Investment Managers (Lombard Odier IM) a annoncé, hier, avoir conclu un accord avec Credit Suisse Asset Management en vue de reprendre la gestion d’un fonds actions mondiales à forte conviction. Baptisé Credit Suisse (Lux) Global Prestige Equity Fund, ce fonds investit dans le domaine des marques et produits de luxe, ainsi que des biens de consommation. L’accord conclu entre les deux parties se concrétisera également par le lancement par Lombard Odier IM du LO Funds – Global Prestige le 26 juin 2018, issu de l’intégration du Credit Suisse (Lux) Global Prestige Equity Fund (236 millions d’euros d’encours) dans un fonds de Lombard Odier IM.Dans ce cadre, Juan Mendoza rejoindra Lombard Odier IM pour gérer ce fonds en qualité de « senior portfolio manager », avec effet au 26 juin. L’intéressé gérait précédemment la stratégie d’investissements sous-jacents du Credit Suisse (Lux) Global Prestige Equity Fund depuis 2009. Il assurera la gestion du LO Funds – Global Prestige avec les même objectifs d’investissement, la même politique et la même approche que ceux suivis au sein de Credit Suisse Asset Management, précise Lombard Odier IM dans un communiqué. Juan Mendoza sera secondé par Ingrid Nouhaud, analyste dans l’équipe « High Conviction Equity » de Lombard Odier IM. Le fonds « Global Prestige » sera investi dans un portefeuille concentré de 30 à 40 actions de sociétés ayant la capacité de générer des rendements économiques excédentaires durables, avec des positions fortes sur le marché, un pouvoir élevé sur les prix (« high pricing power ») et des perspectives d’expansion. « Le fonds visera une appréciation maximale du capital en offrant aux investisseurs l’opportunité de tirer parti des tendances de croissance structurelles à long terme, telles que le potentiel de consommation des pays émergents, les dépenses de la génération Y et tout autre tendance dans ce secteur.
Michael John Lytle, le co-fondateur de Source, lequel a été racheté par Invesco l’an dernier, lance une société spécialisée dans les ETF obligataires, rapporte Financial News. Il s’est associé à Hasan Sabri, ancien directeur des opérations de GLG Partners (qui fait désormais partie de Man Group). Basée à Londres, la société Tabula Investment Management prévoit de coter ses premiers ETF obligataires à la Bourse londonienne dans les prochains mois.
Hargreaves Lansdown a enregistré une collecte nette de 3,3 milliards de livres sur les quatre mois à fin avril 2018, a annoncé ce 15 mai le gestionnaire d’actifs et de fortune britannique. A l’issue des dix premiers mois de son exercice fiscal, le montant total des souscriptions nettes s’élève donc à 6,6 milliards de livres contre 5,6 milliards de livres sur la même période de 2017. Dans ce contexte, ses actifs sous administration atteignent désormais 88,8 milliards de livres à fin avril 2018, contre 86,1 milliards de livres à fin décembre 2017 et 77 milliards de livres à fin avril 2017.Ses revenus sur cette période de quatre mois à fin avril s’établissent à 150,6 millions de livres, contre 130,9 millions de livres un an auparavant, a précisé la société de gestion. Sur 10 mois, ses revenus s’inscrivent à 366,6 millions de livres, en hausse de 16% sur un an.
BrickVest, la plateforme d’investissement immobilier en ligne, a annoncé, ce 15 mai, la nomination de Morten Moller Holst au poste de directeur des opérations. L’intéressé aura pour mission de structurer et de développer l’organisation opérationnelle de BrickVest, en corrélation avec ses objectifs de croissance. La nouvelle recrue rejoint également le comité de direction de la société. Basé à Londres, il est directement rattaché à Emmanuel Lumineau, directeur général de BrickVest.Diplômé de l’INSEAD et de l’Université de Copenhage, Morten Holst, 41 ans, dispose d’une expérience de 10 ans en stratégie, « business développement » et management dans l’industrie du logiciel et de la finance. Il a auparavant cofondé DIVA Venture, un accélérateur à but non lucratif travaillant en partenariat avec les grands groupes pour codévelopper et cofinancer des projets porteurs, ainsi que Executio Partners, un cabinet de conseil en stratégie opérationnelle implanté au Danemark.
La société de gestion Aquila Capital a annoncé, hier, le lancement de sa stratégie de transition énergétique ETIF (Energy Transition Infrastructure Fund) dont la vocation est d’investir dans les infrastructures énergétiques essentielles à la transition énergétique européenne. Ce nouveau véhicule s’inscrit « dans le prolongement des trois précédents fonds entièrement investis », précise Aquila Capital qui gère actuellement des actifs de production d’énergie renouvelable d’une capacité de 2600 MW.Le véhicule ETIF aura pour objectif d’investir dans les trois plus importants sous-secteurs de la transition énergétique, à savoir la production d’énergie renouvelable, le stockage de l’énergie et le transport de l’énergie. « Cette stratégie sera portée par un fonds d’investissement alternatif (RAIF ou « Reversed Alternative Investment Fund ») basé au Luxembourg, avec un objectif de 750 millions d’euros et une durée de 12 ans », indique la société de gestion. Son TRI net cible est de 8% à 10%.La nouvelle stratégie vise principalement les investissements dans l'énergie éolienne « onshore » et « offshore », le photovoltaïque, l’hydroélectricité, les réseaux électriques et de chaleur, ainsi que dans le stockage d'énergie. Les investissements se concentreront sur l’Europe continentale et les pays nordiques, avec de possibles allocations supplémentaires en Grande- Bretagne et en Europe centrale et orientale. Le fonds prévoit de réaliser 10 à 15 investissements avec un ticket moyen en « equity » de 50 à 75 millions d’euros.
BMO Real Estate Partners (BMO REP), la filiale de gestion immobilière du groupe canadien BMO Financial, a annoncé, ce 15 mai, le lancement du fonds Best Value Europe II, deuxième véhicule de sa gamme Best Value Europe dédié aux actifs de commerces situés dans les principales villes européennes. L’objectif à court terme du fonds est d’atteindre un actif brut de 500 millions d’euros puis de poursuivre sa croissance pour totaliser à moyen terme 1 milliard d’euros, indique la société dans un communiqué. Comme son prédécesseur, qui est déjà investi à plus de 90% avec un portefeuille de 12 actifs totalisant 700 millions d’euros, Best Value Europe II se concentrera sur des actifs de commerce de grande qualité dans les principales rues commerçantes des plus grandes villes européennes. Le fonds Best Value Europe II a déjà réalisé trois opérations. Après avoir fait l’acquisition de deux actifs à Vérone (Italie) et à Madrid (Espagne) pour un montant total de 39 millions d’euros, il vient d’acquérir un troisième bien immobilier à Lisbonne (Portugal) situé Avenida da Liberdade, artère commerçante réputée pour ses boutiques de luxe. Cet actif, acquis pour 15,2 millions d’euros, a été entièrement remis en neuf et développe une surface de 2 104 m², incluant des bureaux et une boutique louée par l’enseigne Michael Kors.
Carnegie Fonder va reprendre le fonds actions monde Pandium Global et son gérant Mikael Tarnawski-Berlin à la société de gestion Pandium Capital, rapporte Realtid.se. Lancé en 2014, Pandium Global est géré par Mikael Tarnawski-Berlin, qui est le principal actionnaire de Pandium Capital. Carnegie réfléchissait à lancer un fonds actions monde pour compléter son offre. Avec cette opération, la société intègre un fonds qui a déjà un historique important.
Nordea Asset Management fusionne son fonds actions africaines Nordea 1 – African Equity fund dans son fonds marchés émergents Nordea 1 – Emerging Markets Focus Equity fund, rapporte Citywire. Le fonds africain de 51 millions d’euros d’encours était géré par Stanlib Asset Management, qui perd donc le mandat avec Nordea.
La société de gestion suédoise Swedbank Robur lance un fonds d’obligations d’entreprises appelé Swedbank Robur Företagsobligationsfond High Yield. Le fonds sera investi principalement sur le marché européen des obligations d’entreprises à haut rendement, mais pourra aussi aller chercher des opportunités ailleurs dans le monde. Le fonds est géré par l’équipe qui pilote déjà deux fonds d’obligations d’entreprises, dirigée par Christian Leonhard.
La gamme de fonds de placement de la BCGE (Banque cantonale de Genève) vient de s’enrichir d’une nouvelle solution Synchrony Guardian, caractérisée par une position ultra-défensive, ce qui en fait un instrument de choix pour les personnes sous curatelle, une clientèle protégée par des règles strictes, rapporte L’Agefi suisse. Ingénieur financier au sein de la BCGE, Frédéric Sugar est l’un des piliers de la conception de ce fonds dont les objectifs sont la préservation du capital et un rendement régulier. Ouvert aux personnes protégées à travers toute la Suisse, le fonds est accessible sans restriction à tout investisseur privé présentant un profil conservateur en francs suisses. «Le fonds ne contient que des actifs en francs suisses et a été conçu sous la forme d’un fonds de fonds qui suit une approche de type cœur-satellite. Cette structure permet d’appliquer la vision de la banque en matière de gestion tout en restant dans le cadre défini par la loi», explique Frédéric Sugar dans les colonnes du quotidien suisse.
State Street a annoncé ce 15 mai la publication de son rapport 2017 sur la responsabilité sociale de l’entreprise (RSE), qui souligne notamment son engagement pour la sauvegarde de l’environnement, la citoyenneté d’entreprise, ainsi que la diversité et l’intégration. State Street a ainsi signé l’engagement « CEO Action for Diversity and Inclusion » visant à promouvoir et respecter la diversité et l’intégration et à partager les meilleures pratiques avec ses homologues dans l’industrie.En 2017, l’entreprise a accompli une deuxième série d’objectifs de diversité à trois ans, atteignant voire dépassant ces objectifs dans cinq de huit catégories. Par exemple, en 2014, 18 % de ses effectifs aux États-Unis au poste de vice-président (VP) étaient issus de minorités. L’objectif visé était alors d’augmenter ce taux à 22 % d’ici 2017. Or, nous avons dépassé cet objectif de 3 % pour obtenir un taux de 25 % à la conclusion de cette période.State Street a maintenant établi une nouvelle série d’objectifs à trois et cinq ans afin d’augmenter le nombre de femmes et d’employés issus de minorités aux postes de direction. Pour la quatrième année consécutive, State Street a aussi obtenu un score de 100 % dans l’indice d’égalité d’entreprise de la Fondation Human Rights Campaign (HRC), qui évalue les politiques et pratiques des entreprises à l’égard des employés LGBT+. En outre, State Street a été reconnue pour la représentation des femmes à son conseil d’administration, recevant la certification « W » du groupe de campagne américain « 2020 Women on Boards ». Au Royaume-Uni, l’entreprise a également été reconnue au palmarès des 50 premiers employeurs pour les femmes publié par le journal britannique The Times, et ce pour la cinquième année consécutive.Sur le chapitre de l’environnement, State Street s’est engagée à réduire ses émissions de gaz à effet de serre de 30 % (taux en hausse par rapport à la cible de 20 % atteinte en 2017), à diminuer sa consommation d’eau de 10 % par employé à plein temps et à atteindre un taux de recyclage de 80 %, le tout d’ici 2025. State Street et State Street Global Advisors, sa division de gestion d’actifs, ont rejoint la « Task Force on Climate-related Financial Disclosures » (TCFD), une initiative mondiale visant à améliorer la qualité et la cohérence des rapports publiés par les entreprises sur le risque financier lié au climat. Au cours des quatre dernières années, State Street Global Advisors a mené plus de 240 actions liées au climat avec 168 entreprises. L’an dernier, State Street Global Advisors a engagé le dialogue avec plus de 610 sociétés mondiales représentant plus de 45 % du total de ses actifs (12 291 sociétés en portefeuille) sur les questions liées aux facteurs environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG). 271 de ses interactions ont porté strictement sur les questions environnementales et sociales.
Le fonds Groupama Axiom Legacy 21, lancé il y a un peu moins d’un an, vient de franchir la barre des 350 millions d’euros pour s'établir à 364 millions d’euros au 11 mai 2018. La gestion de ce fonds est déléguée par Groupama Asset Management aux spécialistes des valeurs financières Axiom Alternative Investments. Investi en dettes subordonnées financières, Groupama Axiom Legacy 21 cible l’ensemble des différents types de dettes subordonnées dites « Legacy », que les émetteurs devraient racheter du fait de leur déqualification au statut de capital réglementaire d’ici à fin 2021 pour les banques et à fin 2026 pour les compagnies d’assurance. Cette classe d’actifs spécifique compte encore un gisement profond d’environ 150 milliards d’euros de titres en Europe, offrant de nombreuses opportunités. L’objectif du fonds est d’obtenir, sur un horizon minimum d’investissement recommandé de 4 ans, un rendement annualisé égal ou supérieur à celui de l’indice Euribor 3 mois +3% (après déduction des frais de gestion). Depuis son lancement le 31 mai 2017, Groupama Axiom Legacy 21 affiche une performance de 3,55% (part P, au 11/05/2018). Dans un environnement de marché marqué par le retour de la volatilité et la normalisation des politiques monétaires des banques centrales, la stratégie du fonds a permis «des performances jugées satisfaisantes grâce à un risque de taux relativement faible, (sensibilité taux en-dessous de 2), un rendement au call jugé attrayant et un choix d’émetteurs notés Investment Grade uniquement, considérés de haute qualité de Crédit», relève un communiqué. « La profondeur de marché du segment Legacy est assez conséquente pour que notre équipe de gestion puisse encore y identifier des titres estimés attrayants. Dans les conditions de marché actuelles, le fonds pourrait atteindre 800 millions d’euros d’actifs tout en préservant nos capacités de gestion et notre agilité d’investissement », commente David Benamou, responsable des investissements d’Axiom-AI.
Meeschaert Asset Management (Meeschaert AM) a promu Guillaume Chaloin au poste de responsable des gestion actions, selon le profil LinkedIn de l’intéressé et le site internet de la société. Cette nomination fait suite au départ récent de Sébastien Korchia qui vient de rejoindre UBS La Maison de Gestion (lire NewsManagers du 15 mai 2018). Selon son profil LinkedIn, Guillaume Chaloin a pris ses nouvelles fonctions dans le courant du mois de mars.Diplômé de l’Ecole Supérieure de Gestion et Finance et titulaire d’un DESS gestion de portefeuilles à l’Université Paris XII, Guillaume Chaloin a rejoint le groupe Meeschaert en 2004 avant de devenir gérant actions dès 2006.Par ailleurs, Meeschaert AM a recruté Aurélien Taïeb en qualité de gérant actions, selon le site internet de la société. L’intéressé arrive en provenance d’Orange Bank Gestion Privée où il officiait depuis janvier 2017 en tant que gérant de portefeuilles diversifiés pour le compte de la clientèle privée d’Orange Bank. Avant cela, il a été gérant de fonds chez Groupama Banque, Entheca Finance et UBS Global Asset Management.
La société d’investissement Ardian a annoncé, ce 15 mai, avoir levé plus de 800 millions de dollars pour son premier fonds d’infrastructures dédié aux Etats-Unis et aux autres pays du continent américain membres de l’OCDE. Cette levée de fonds, réalisée en moins de six mois, a attiré un nombre important d’investisseurs institutionnels nord-américains aux côtés de fonds de pension, compagnies d’assurance et autres institutions européennes et asiatiques, assure l’entreprise. Baptisé Ardian Americas Infrastructure Fund IV, ce véhicule ciblera des actifs d’infrastructures essentielles de grande qualité dans les secteurs du transport et de l’énergie. « L’équipe va mettre à profit son réseau international de partenaires industriels, d’entreprises de construction et de gérants d’infrastructures, tout en continuant à établir des relations de long terme avec les parties prenantes, les communautés et les organismes de réglementation locaux », précise Ardian dans un communiqué.Ardian n’en est pas à son coup d’essai sur le marché nord-américain. La société a ainsi récemment mise sur pied un partenariat avec Transatlantic Power Holdings (TPH) en vue de créer une plateforme dédiée aux énergies renouvelables, Skyline Renewables, qui a réalisé sa première acquisition avec Whirlwind, un projet éolien de 60 MW au Texas. Ardian a également communiqué sur l’acquisition de LBC Tank Terminals, un leader d’installations de stockage de produits pétrochimiques. Enfin, la société a tout récemment annoncé l’arrivée, en août 2018, de Mark Voccola, expert américain du secteur de l'énergie. Mark partagera la responsabilité des activités d’infrastructure US d’Ardian avec Stefano Mion, Managing Director, qui a rejoint New York afin de diriger le développement de l’équipe aux États-Unis. « Deux autres professionnels rejoindront Ardian Infrastructure au cours de l'été à New York », dévoile la société.
Altamir a annoncé ce 15 mai un actif net rééavalué par action de 21,21 euros au 31 mars 2018, en recul de 1,5% par rapport au 31 décembre 2017 (21,54 euros), conformément à ce qui avait été publié le 7 mai dernier sur la base d’une première estimation. Cette évolution s’explique, d’une part, par la baisse des cours de Bourse des sociétés cotées du portefeuille, essentiellement Albioma et Altran, et d’autre part, par la cession de plus de la moitié de la participation dans Albioma à un prix inférieur au cours de Bourse dans le cadre d’un placement privé par voie de construction accélérée d’un livre d’ordres réservé aux investisseurs institutionnels. L’actif net réévalué (capitaux propres en IFRS) à fin mars 2018 s'élève ainsi à 774,4 millions d’euros contre 786,7 millions d’euros au 31 décembre 2017.Au cours du trimestre écoulé, les investissements se sont élevés à 40,3 millions d’euros contre 7,1 millions d’euros au premier trimestre 2017, dont 31,1 millions d’euros dans Business Integration Partners, tandis que les cessions ont totalisé 37,5 millions d’euros (contre 8,5 millions au premier trimestre 2017), dont 36,4 millions d’euros provenant de la vente de 54% de la participation d’Altamir dans Albioma, si bien qu’Altamir détient désormais 5,5% de la société via Financière Hélios.
Idinvest Partners doit annoncer, ce matin, le « closing » final de son quatrième fonds de « direct lending », Idinvest Private Debt IV, à hauteur de 715 millions d’euros, au-delà de son objectif initial de 600 millions d’euros. Plus de 60% des investisseurs sont basés hors de France. Depuis son lancement en 2016, le fonds Idinvest Private Debt IV a investi 60% des engagements totaux dans 17 sociétés, dont plus de 40% situées hors de France. Privilégiant des entreprises européennes dont leur valeur est comprise entre 35 millions et 250 millions d’euros, l’équipe « dette privée » d’Idinvest arrange principalement des financements unitranche pour des tickets compris entre 10 millions et 75 millions d’euros.Au cours du premier trimestre 2018, l’équipe de dette privée d’Idinvest a déployé plus de 120 millions d’euros dans sept entreprises, dont Technicis, Zodiac Milpro et Gravotech en France, ou encore Halex Group et GS Star en Allemagne. Sur l’ensemble de l’année 2017, elle avait déjà investi près de 900 millions d’euros dans 45 entreprises européennes.
L’investisseur immobilier GreenOak Real Estate a levé 1,55 milliard de dollars pour son troisième fonds dédié à des opérations immobilières aux Etats-Unis, rapporte Bloomberg. Le nouveau fonds cible des rendements autour de 15% après frais. Pour ce faire, il investira dans des biens immobiliers à valeur ajoutée dans les grandes villes du pays comme New York, San Francisco, Los Angeles, Boston mais également Seattle, Washington et Miami.
Appelez-là Milleis Banque. Comme prévu (voir NewsManagers du 13 février 2018), Barclays France, l’ancienne filiale française de la banque Barclays, a dévoilé hier sa nouvelle identité, conséquence de son rachat en 2016 par le fonds Anacap. «Portée par une trajectoire redéfinie, de nouveaux atouts, Milleis affiche de fortes ambitions», explique la banque dans un communiqué. «Bien plus qu’une nouvelle marque, notre changement de nom est notre chance d’inventer une nouvelle banque. C’est un projet de conquête et de reconquête pour nous et pour nos clients, c’est une nouvelle histoire que nous commençons ensemble.» a déclaré Philippe Vayssettes, Directeur général de MILLEIS Banque, recruté spécialement de la banque privée Neuflize OBC pour conquérir la clientèle française aisée. Les épargnants visés sont ainsi ceux dotés d’un patrimoine allant de 50.000 à 500.000 euros, jusqu’à 1 million d’euros, et dont les besoins spécifiques ne sont pas servis que ce soit par les grands acteurs de la gestion de patrimoine ou par les banques de réseau. La banque n’exclura pas bien évidemment les patrimoines dotés de plusieurs millions d’euros. «Forte d’une assise financière solide renforcée par l’entrée d’Anacap au capital, MILLEIS Banque se pose comme une des banques les plus solides du marché aujourd’hui, un élément clé dans sa stratégie de développement», assure par ailleurs la banque.Elle se donne ainsi pour objectif de doubler le nombre de clients d’ici à 2024 pour atteindre un portefeuille de 200 000. clients. Pour se faire, la banque va miser en grande partie sur sa nouvelle cible prioritaire en déployant de nouvelles offres et services. Milleis se place «résolument du côté des jeunes entrepreneurs les « millenials achievers » qui incarnent à la fois l’avenir et la prise de risque, deux valeurs qu’elle souhaite encourager à travers un accompagnement plus adapté à ce public en demande. La banque ne délaisse pas pour autant sa clientèle traditionnelle, et va adapter son offre pour lui proposer des produits et des solutions valorisant leur « réussite établie »".La nouvelle stratégie s’accompagne de l’élargissement et de la simplification de la gamme de produits pour la mettre en adéquation avec les besoins et les attentes de la clientèle redessinée. Ce renforcement se traduit par la mise en oeuvre de partenariats avec les meilleurs acteurs du secteur identifiés. Une démarche amorcée dès septembre 2017 avec le référencement de nouveaux contrats d’assurance-vie (Cardif Luxembourg), de nouveaux OPCVM (JP Morgan, Carmignac, Lazard) et de nouveaux produits (pierre papier Amundi, BNP Paribas). Cette offre sera prochainement élargie par un partenariat avec Rothschild Asset Management qui permettra aux clients d’investir dans des fonds profilés gérés par celle-ci.
Le fonds souverain de Singapour, GIC, va s’associer avec Nova, un gestionnaire d’actifs basé à Shanghai et co-fondé par Warburg Pincus, pour créer une plateforme de 675 millions de dollars américains (4,3 milliards de renminbi) dédiée à la location d’appartements en Chine. Cette nouvelle plateforme cherchera à investir dans des projets d’appartements en location de qualité dans les emplacements stratégiques à travers les plus grandes villes chinoises, indique les deux partenaires dans un communiqué. En parallèle, GIC va acquérir une participation minoritaire au capital de Nova afin d’accélérer son développement. L’opération, dont le montant n’a pas été dévoilé, devrait être finalisée au troisième trimestre 2018.
Le groupe espagnol Banca March a nommé Ainhoa Azpitarte en qualité de responsable de la sélection de fonds tiers au sein de son équipe de gestion et de conseil en investissement, rapporte le site spécialisé Funds People. Dans le cadre de ses nouvelles fonctions, l’intéressée est rattachée à Carlos Andrés, directeur de la gestion et du conseil en investissement au sein du département « Produits » de Banca March. Ainhoa Azpitarte a rejoint Banca March il y 5 ans, occupant jusque-là le poste de spécialiste produits au sein de March Asset Management, sa filiale de gestion d’actifs. Avant d’intégrer Banca March, elle a officié comme directeur associé chez UBS. Au cours de sa carrière, elle a également été gestionnaire de portefeuille chez BBVA Suisse et gérante junior chez Marcuard Family Office.
A l’occasion de la publication de ses chiffres du premier trimestre 2018, CNP Assurances a dévoilé un chiffre d’affaires pour la France en épargne/retraite de 4,9 milliards d’euros et qui enregistre une hausse de 6,6 % avec une évolution favorable du mix produit, dit le groupe. Ainsi, le chiffre d’affaires en euro est stable tandis que le chiffre d’affaires en unités de compte (UC) est en forte hausse de 34,9 % , porté par le dynamisme de BPCE, La Banque Postale et CNP Patrimoine. La part d’unités de compte dans le chiffre d’affaires est en forte progression et atteint 24,1 % (contre 19,0 % un an plus tôt). Les encours des supports Eurocroissance atteignent 207 millions d’euros contre 26 millions d’euros il y a un an. La collecte nette épargne/retraite est positive de 700 millions d’euros pour les contrats en UC et négative de 1,9 milliard d’euros pour les contrats en euro.
La société de gestion 7orca Asset Management AG a introduit un processus d’investissement quantitatif pour gérer activement la couverture des risques de change, rapporte le site spécialisé Investment Europe. Un modèle propriétaire de machine learning complète le dispositif afin d’améliorer les composantes de la performance de cette couverture.Ulrich Janus, chercheur quantitatif senior chez 7orca, a développé un modèle de machine learning avec l'équipe de recherche quant de 7orca qui compte sept personnes afin d’analyser les caractéristiques complexes des mouvements de cours qui sont autrement très difficiles à identifier.La société de gestion, créée il y a un peu plus de six mois et qui vise les investisseurs institutionnels, est spécialisée dans la gestion des couvertures de change et les stratégies de short volatility.
p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; } The Singapore sovereign fund GIC will be teaming up with Nova, an asset management firm based in Shanghai, co-founded by Warburg Pincus, to create a platform with USD675m (RMB4.3bn) dedicated to rental apartments in China. The new platform will seek to invest in high quality rental apartment projects in strategic locations throughout the largest Chinese cities, the partners say in a statement. Meanwhile, GIC will acquire a minority stake in the capital of Nova, to accelerate its development. The operation, for an undisclosed sum, will be completed in third quarter 2018.
Despite less consistent signals in the past few months, investors are continuing to expose themselves to high-risk assets, according to the most recent survey from Bank of America Merrill Lynch (“BofA Merrill Lynch May Fund Manager Survey,”) undertaken between 4 and 10 May, and coevering 223 respondents, representing cumulative assets under management of USD643bn.Optimism remains real, as cash levels have fallen very slightly in May, to 4.9%, from 5% in April, still above their ten-year average of 4.5%. European managers have reduced their cash allocations to 3.8%, from 4.9% in April. However, the macro indicator for the survey, the Global FMS Macro Indicator, continues to have a downward orientation for the sixth consecutive month, and is in negative territory for the first time since November 2016. The expectation of acceleration in global growth continue to get slighter, as only a net 1% of investors expect more vigorous global growth in the next 12 months, the lowest level since February 2016. Eight out of 10 investors are now predicting rising core inflation in the next 12 months.In terms of sectors, international investors are preferring banks, techs and energy in May, while avoiding basic consumer goods, telecommunications and utilities. Allocation to banks is overweight by a net 36%, the second-highest ever recorded. Allocation to commodities remains 6% overweight, the highest since April 2012.“The survey for the month presents good and bad news. Although cash levels remain high and optimism about growth is at its lowest level in two years, a majority of investors think there is still room for growth in this optimistic equity market. They do not see signs of recession in the short term. Managers feel that a rally in May may continue in the short term,” says Michael Hartnett, strategist in chief at BofA Merrill Lynch.
p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; } The Groupama Axiom Legacy 21 fund, launched just under one year ago, has topped EUR350m in assets, with EUR364m as of 11 May 2018. The management of the fund is outsourced by Groupama Asset Management to the financial specialists Axiom Alternative Investments. Groupama Axiom Legacy 21, investing in financial sector subordinated debt, targets the varieties of subordinated debt known as ‘Legacy,’ which issuers are required to repurchase by the end of 2021, as they have been disqualified from regulatory capital status for banks, while insurers have until the end of 2026. This specialist asset class still has a considerable volume of about EUR150bn in securities in Europe, with numerous opportunities. The objective for the fund is to earn annual returns on a minimum recommended investment horizon of four years equal to or greater than the Euribor 3 month index +3% (after deduction of management fees). Since its launch on 31 May 2017, Groupama Axiom Legacy 21 has posted returns of 3.55% (P share class as of 11/05/2018). In a market environment marked by rising volatility and normalizing monetary policy at central banks, the strategy of the fund has brought “satisfactory performance thanks to a relatively low risk level (sensitivity to interest rates under 2), returns on call which are considered attractive, and a choice of only Investment Grade rated issuers, which are considered to have higher credit quality,” a statement says. “The depth of the Legacy market segment is sufficient for our asset management team still to be able to identify securities which are considered attractive. In current market conditions, the fund may reach EUR800m in assets, while conserving our asset management capacity and our investment agility,” says David Benamou, chief investment officer at Axiom-AI.
State Street on 15 May announced the release of its 2017 report on corporate social responsibility, which emphasizes the engagement of the firm to safeguard the environment, corporate citizenship, diversity and integration. State Street has also signed up to “CEO Action for Diversity and Inclusion,” a programme to promote and respect diversity and integration and to share best practices with counterparts in the industry.In 2017, the company achieved a second series of three-year diversity objectives, meeting or exceeding the objectives in five out of eight categories. For example, in 2014, 18% of our personnel in the United States in the position of Vice President (VP) were minorities. The target had been to increase this level to 22% by 2017. We exceeded this objective by 3%, and achieved a level of 25% at the conclusion of this period.State Street has now set a new series of three to five year targets to increase the number of women and minority employees in senior positions. For the fourth consecutive year, State Street has also achieved a score of 100% on the equality index of the Human Rights Campaign (HRC) foundation, which evaluates corporate policies and practices in the area of LGBT+ employees. State Street has also been recognised for representation of women on its board of directors, with a certification of “W” from the US campaign group “2020 Women on Boards.” In the United Kingdom, the firm has also been recognised in the rankings of the top 50 employers for women, released by the Times newspaper for the fifth consecutive year.In its chapter on the environment, State Street engages to reduce its greenhouse gas emissions by 30% (higher than the 20% target achieved in 2017), to reduce its water consumption by 10% per full-time employee, and to achieve a recycling rate of 80% by 2025. State Street and State Street Global Advisors, its asset management division, have joined the Task Force on Climate-related Financial Disclosures (TCFD), a global initiative to improve the quality and coherence of reports released by companies about financial risks related to the climate. In the past four years, State Street Global Advisors has taken more than 240 actions related to the climate with 168 global companies. Last year, State Street Global Advisors engaged dialogue with 610 global companies, representing more than 45% of all of its assets (12,291 companies in portfolio), on questions related to environmental, social and governance (ESG) factors. 271 of these interactions were focused strictly on environmental and social issues.
Meeschaert Asset Management (Meeschaert AM) has promoted Guillaume Chaloin to the position of head of equity management, according to his LinkedIn profile and the website of the firm. The appointment follows the recent departure of Sébastien Korchia, who has joined UBS La Maison de Gestion (see NewsManagers of 15 May 2018). According to his LinkedIn profile, Chaloin began in the new role in March.Chaloin, a graduate of the Ecole Supérieure de Gestion et Finance, and with a DESS degree in portfolio management from Université Paris XII, joined the Meeschaert group in 2004, and became an equity manager in 2006.Meeschaert AM has also recruited Aurélien Taïeb as equity manager, according to the website of the firm. Taïeb joins from Orange Bank Gestion Privée, where he had served since January 017 as diversified portfolio manger for private clients of Orange Bank. Before that, he was a fund manager at Groupama Banque, Entheca Finance and UBS Global Asset Management.
p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; } The independent asset management firm A Plus Finance and the Caisse des Dépôts et Consignations (CDC) on 15 May announced that they are joining forces to acquire a serviced senior residence in Carnac, Brittany. The “Ty Gwelic” building is located at the heart of the town, and is being constructed on an area of 3,500 m². The construction will be three stories high, and will include 80 units, with 3,800 m² of habitable area and spaces for senior services. Delivery of the property is slated for second quarter 2020. “This investment represents the ninth acquisition on behalf of OPCI APG2 and its participations,” says Christophe Peyre, partner and director responsible for real estate at A Plus Finance, in a statement. “Seven other investments are expected to follow by the end of the year, to allow the asset management team to complete the investment programme for the fund.”
Le président du directoire de Deutsche Börse a déclaré mercredi être à l’affût d’opportunités d’acquisitions, dont il a fait l’un des piliers de sa stratégie de croissance. S’exprimant devant les actionnaires, Theodor Weimer, qui a pris les rênes de l’opérateur de marché allemand le 1er janvier, a déclaré que les acquisitions faisaient «partie de notre stratégie, en particulier lorsqu’elles sont complémentaires à nos activités». Les domaines prioritaires en matière d’acquisition concernent activités sur les titres obligataires, l'énergie, les devises, ainsi que les services pour les fonds d’investissement, les données et les indices, a-t-il énuméré.
Le groupe Primonial vient d'annoncer le renforcement de sa gouvernance avec la nomination de Valéry Bordes (photo gauche) en tant que secrétaire général et le recrutement de Thibault Demoulin (photo droite) pour le remplacer à la direction financière.