Le fonds Silvestica Green Forest, qui est investi dans des actifs forestiers en Suède, Finlande et les pays baltes, est fermé aux nouvelles souscriptions, rapporte le site danois AMWatch. Le fonds forêt a été créé au printemps 2017 par SEB et est géré par CRK Forest Management. La banque suédoise en est le principal investisseur, les autres étant Folksam, KLP et un quatrième qui n’a pas souhaité être identifié. Selon Håkan Brodin, de SEB Institutional Sales, il est possible que le fonds rouvre, puisqu’il a suscité un fort intérêt de la communauté nordique. L’horizon d’investissement de chaque placement est d’au moins 12 ans. Le fonds est actuellement limité à 500 millions d’euros, car il est enregistré comme Alternative Investment Fund. Au-delà, il devra devenir un AIFM, ce qui implique davantage de règles.
Dans le cadre du renforcement de son équipe ETF et solutions indicielles en Allemagne, BNP Paribas Asset Management (BNPP AM) a annoncé, ce 6 septembre, la nomination de Florian Schoeps au poste de commercial ETF et Solutions Indicielles. Basé à Munich, l’intéressé a rejoint l’équipe de ventes dédiée le 1er août 2018. Il est placé sous la responsabilité de Claus Hecher, responsable du développement commercial de cette activité pour l’Allemagne, l’Autriche et la Suisse Alémanique.Florian Schoeps, 40 ans, compte près de 15 ans d’expérience dans l’industrie de la gestion d’actifs. Il a commencé sa carrière à Munich en 2004 au sein de Pioneer Investments en tant que responsable de la communication interne. En 2007, il est promu « sales consultant », poste qu’il exercera pendant un an avant de rejoindre Deka Investment GmbH comme « senior product manager » en 2008. En 2015, il rejoint la société MEAG Munich ERGO Kapitalanlagegesellschaft mbH comme « senior relationship manager ».
La banque privée Rothschild & Co renforce ses activités sur le marché allemand avec l’ouverture d’un nouveau bureau à Düsseldorf qui vient s’ajouter à celui de Francfort. La direction de cette nouvelle implantation a été confiée à Friedrich Rogge qui prendra ses fonctions début octobre. Il devrait travailler en étroite collaboration avec Reinhardt Krafft, patron de l’activité de banque privée de Rotschild & Co en Allemagne.Friedrich Rogge travaillait précédemment chez Sal. Oppenheim où il dirigeait l’antenne de Düsseldorf. Friedrich Rogge sera épaulé par cinq anciens collaborateurs de son équipe chez Sal. Oppenheim.
La banque privée allemande Berenberg a annoncé, ce 6 septembre, le recrutement de Tim Albrecht en qualité de responsable des actions allemandes au sein de son département de gestion de fortune et de gestion (« Wealth and Asset Management »). L’intéressé, actuellement en poste au sein du gestionnaire d’actifs DWS, prendra officiellement ses fonctions le 1er janvier 2019. Il sera alors rattaché à Matthias Born, directeur des investissements en charge des actions. Le recrutement de Tim Albrecht « reflète notre intention de devenir l’une des meilleures sociétés de gestion actions en Allemagne et en Europe », a avance Henning Gebhardt, responsable de la gestion de fortune et de la gestion d’actifs chez Berenberg, cité dans un communiqué.Tim Albrecht a débuté sa carrière en 2000 chez DWS, filiale de gestion d’actifs de Deutsche, où il est devenu responsable des actions pour les pays germanophones. Auparavant, il a occupé les postes de responsable des actions allemandes et de responsable du secteur industriel, entre autres.Par ailleurs, selon Citywire Selector, DWS a nommé Petra Pflaum pour succéder à Tim Albrecht en tant que responsable des actions pour les pays germanophones (Allemagne, Autriche, Suisse). L’intéressée est actuellement co-responsable des actions pour l’Europe, le Moyen-Orient et l’Afrique (EMEA) et directrice des investissements en charge de l’investissement responsable, poste qu’elle conservera à l’avenir.
Le groupe espagnol Banca March vient de conclure l’acquisition de l’activité de banque privée dédiée à la clientèle « Mass Affluent » de BNP Paribas Wealth Management en Espagne, qui affiche 550 millions d’euros d’actifs, rapporte Funds People. L’opération devrait être finalisée dans les prochains mois. A l’issue de la transaction, une partie de l’activité de banque privée de BNP Paribas sera donc pleinement intégrée à Banca March.Avec cette transaction, Banca March confirme ainsi sa volonté de devenir une référence de la banque privée en Espagne. Pour sa part, BNP Paribas Wealth Managemnt continue son processus de spécialisation dans la gestion des très grandes fortunes, gérant désormais plus de 7 milliards d’euros d’actifs.
Le fournisseur de services et solutions à destination de l’investment management SimCorp a annoncé ce 6 septembre que Groupama Asset Management avait mis en production «avec succès» sa solution SimCorp Dimension qui automatise désormais en temps réel ses opérations front et middle office. Afin d’accompagner son développement et d’accélérer sa croissance, Groupama Asset Management a en effet décidé de consolider et de simplifier son architecture IT, et en particulier l’ensemble de ses opérations front et middle office, pour en améliorer son efficacité, gagner en agilité et réduire ses risques et coûts opérationnels, précise un communiqué. “La mise en production de la solution SimCorp Dimension nous permet de nous concentrer sur notre cœur de métier et d’accélérer notre croissance. Nous constatons déjà des améliorations majeures ; au-delà du remplacement de plus de 10 systèmes existants et des bénéfices opérationnels tels que la réduction des coûts et risques associés induits, la mise à disposition de fonctionnalités plus larges mais surtout l’accès à l’ensemble des données de gestion en temps réel permettent désormais à nos équipes front office d’optimiser leurs décisions d’investissement”, commente Hubert Le Lourd, directeur des activités support de Groupama Asset Management..
Sycomore Asset Management a annoncé hier soir être entré en négociations exclusives avec Generali Investments Holding S.p.A., filiale d’Assicurazioni Generali S.p.A., groupe d’assurances italien, afin de conclure un partenariat stratégique entre les deux sociétés. La boutique française créée en 2001 et qui gère plus de 8 milliards d’euros, explique vouloir «franchir une nouvelle étape dans notre mission d’investisseur responsable». «A l’heure où les investisseurs actifs sont de plus en plus attendus pour leur création de valeur et leur engagement sociétal, nous nous devons d’apporter davantage d’impact à travers nos investissements pour continuer à élever les standards de notre industrie», souligne Christine Kolb, associée-fondatrice de Sycomore Asset Management.A l’issue de la transaction envisagée, le groupe Generali détiendrait la majorité économique, les fondateurs de Sycomore AM resteraient «significativement» actionnaires de la société, aux côtés des collaborateurs qui se renforceraient au capital de l’entreprise. Selon nos informations, la part cédée par les quatre fondateurs, dont l’un est récemment parti à la retraite, serait de 60%. L’agence Bloomberg, qui avait la première dévoilé ces discussions fin août, avait fait état d’une transaction qui valoriserait Sycomore à hauteur de 200 millions d’euros. Par ailleurs, Sycomore aurait averti récemment plusieurs clients que ce rapprochement n’aurait pas de conséquences en terme d’emploi. Dans son communiqué, la société explique d’ailleurs que «les équipes de Sycomore Asset Management continueront quant à elles de définir et d’implémenter les axes stratégiques de la société et réaliseront l’intégralité des investissements en toute indépendance». Generali avait annoncé en mai 2017 qu’il souhaitait créer l’une des plus grandes plateformes de gestion d’actifs en Europe, «rassemblant sous son modèle multi-boutique des asset managers de premier plan reconnus pour leur expertise». Sycomore est la première boutique rachetée dans ce cadre en Europe. Dans un communiqué séparé, le groupe italien indique que «Sycomore intègrerait la plate-forme multi-boutique de Generali, coordonnée par Generali Investment Partners et constituerait une étape clef vers son objectif de devenir la plate-forme multi-boutique numéro une en Europe». Sur le vieux continent c’est pour le moment Natixis qui occupe cette place. «Cet accord avec Generali marque une étape majeure dans notre développement et va nous permettre de devenir le leader de l’investissement responsable en Europe. Nous sommes plus que jamais convaincus du bien-fondé de notre mission : générer une performance durable et apporter du sens aux investissements de nos clients», déclare Emeric Préaubert, associé-fondateur de Sycomore Asset Management. Generali assure de son côté que ce partenariat stratégique «s’appuie sur la relation commerciale existante et l’alignement stratégique entre Generali et Sycomore et vise à offrir un potentiel considérable de synergies, notamment grâce à l’accélération du développement international de Sycomore et au développement d’offres sur mesure à destination de clients privés et institutionnels». La réalisation de la transaction reste soumise à la consultation du Comité Social Economique de Sycomore Asset Management (conformément à la réglementation applicable) et à l’obtention des autorisations nécessaires en matière de contrôle des concentrations et en matière règlementaire (et en particulier l’autorisation de l’Autorité des Marchés Financiers).
Sur le chapitre de la guerre des prix, Vanguard n’a pas l’intention de suivre Fidelity qui a lancé très récemment des fonds à frais zéro aux Etats-Unis. «Le fonds à frais zéro est un produit d’appel qui s’inscrit dans une démarche marketing. Vanguard, avec sa structure mutualiste, ne peut pas faire, par construction, d’offre à frais zéro. Mais nous faisons constamment baisser les coûts avec les économies d'échelle et l’innovation technologique», a déclaré ce 6 septembre Guy Parent, directeur général de Vanguard France, à l’occasion du séminaire de rentrée organisé par Morningstar.Ce séminaire a été l’occasion pour le représentant de Vanguard d’assurer que la gestion passive a encore de beaux jours devant elle. «L’essor de la gestion passive devrait se poursuivre. La tendance de fonds est bien installée et les investisseurs institutionnels sont de plus en plus demandeurs d’ETF», a-t-il expliqué. La dynamique du secteur est notamment tirée par des considérations de performance. Seulement 20% à 30% des fonds gérés activement vont faire mieux que leur indice de référence. «Il existe des freins à cette expansion. Les modes de distribution notamment peuvent contrarier le mouvement mais la tendance est bien là. D’autant plus que la réglementation, avec notamment la suppression des rétrocessions, va favoriser le développement du secteur ", a insisté Guy Parent.Dans ce contexte, est-il alors légitime de s’inquiéter de l’impact perturbateur d’une croissance trop forte des ETF ? «A notre sens, la marge de progression de gestion passive est très grande avant qu’elle puisse gêner le mécanisme de formation des prix et la détermination du prix de la valeur d’une entreprise», a remarqué Guy Parent. Sur le marché français, les institutionnels sont les premiers utilisateurs, et de loin, des ETF mais la situation évolue encore très lentement du côté des particuliers», indique le responsable.
Dans le cadre de son programme d’investissement en actifs non cotés dans l’économie française, le Fonds de réserve pour les retraites (FRR) a lancé le 15 juin 2017 une procédure concurrentielle avec négociation visant à sélectionner plusieurs prestataires de services d’investissements qui, dans le cadre d’un mandat de gestion discrétionnaire, auront chacun la responsabilité de créer et de gérer un fonds dédié pour le FRR. Ce fonds sera investi exclusivement sur le segment du capital développement/transmission. Ces investissements seront destinés à financer majoritairement des PME, et éventuellement des TPE ou des ETI, dont le siège social ou l’activité principale est situé en France. A l’issue du processus de sélection, le FRR a décidé de sélectionner les offres des candidats suivants : Azulis Capital, LBO France Gestion et Isatis Capital. Les mandats sont attribués pour une durée de dix ans reconductibles pour deux périodes d’une année. Le FRR a par ailleurs retenu Gide Loyrette Nouel A.A.R.P.I. et Kramer Levin Baftalis & Frankel LLP dans le cadre d’une procédure adaptée lancée le 9 février 2018 et visant à sélectionner un ou deux prestataires de services juridiques externes. Les contrats sont attribués pour une durée de trois ans avec possible reconduction une fois pour une période d’une année.
Bordier & Cie France, filiale française du groupe suisse Border & Cie, a annoncé l’arrivée en son sein d’Alice Ducros en tant que gérant privé. Âgée de 31 ans, l’intéressée a débuté sa carrière en 2009 au sein de la maison de vente aux enchères Artcurial, où elle participe au développement du département Art Moderne et Contemporain. En 2011, elle intègre la société d’assurances vie et de retraites au Royaume-Uni, Royal London, où elle assiste l’équipe de gérants. En 2013, Alice Ducros rejoint KBL Richelieu à Paris comme assistante de gestion sous mandat puis comme gérant de portefeuilles pour une clientèle privée, et intègre le comité d’investissement et de sélection de titres et OPCVM de la banque privée.
BNP Paribas Asset Management (BNPP AM) a annoncé la signature d’un partenariat avec le « Global Research Alliance for Sustainable Finance and Investment » (GRASFI), un réseau mondial d’universités de premier plan créé pour promouvoir une recherche académique de pointe et rigoureuse en finance et investissement responsable. Ce partenariat prend la forme d’un soutien financier de la conférence académique annuelle organisée par les membres de GRASFI. BNPP AM envisage également d’octroyer des bourses à des étudiants doctorants afin de financer leurs travaux de recherche. La conférence inaugurale du GRASFI, du 5 au 7 septembre 2018, a lieu au European Centre for Corporate Engagement (ECCE) au sein de la School of Business and Economics de l’Université de Maastricht. « La recherche académique, tant dans sa dimension théorique que pratique, permet d’orienter les évolutions en matière de financement et d’investissement responsable, souligne la société de gestion dans un communiqué. Elle participe à la recherche d’un meilleur alignement du système financier aux enjeux environnementaux mondiaux et constitue un pilier essentiel de la mise en œuvre de l’Accord de Paris sur le changement climatique et des Objectifs de développement durable. »Créée en 2017, GRASFI réunit 19 universités de premier plan dotées d’une connaissance approfondie et reconnue en matière de financement et d’investissement responsable. Cette alliance vise à promouvoir une recherche pluri-disciplinaire à l’échelle mondiale, en encourageant la collaboration entre chercheurs et le développement de la formation d’étudiants et d’universitaires.
Pour Novethic, il semble « prématuré » de développer une offre importante de fonds basés sur les objectifs du développement durable (ODD) adoptés par les Nations unies ou, pour les grands investisseurs, d’intégrer une dimension ODD dans leur reporting. « Ils s’exposent à un risque d’"ODD washing " en l’absence d’indicateurs d’impact pertinents, homogènes et fiables », écrit l’agence dans une nouvelle étude sur le sujet (« ODD : nouveau focus des agences de notation extra-financière »).Pourtant, après l’empreinte carbone des portefeuilles qui s’est développée massivement depuis 2015, on assiste à l’utilisation des ODD comme référence de reporting pour les investisseurs responsables. Dans le même temps, plusieurs sociétés de gestion ont lancé des fonds – une dizaine en tout - s’appuyant sur les ODD. Parmi elles figurent Aberdeen Standard Investments, Union Investments, UBS, Ofi AM, La Financière de l’Echiquier, Robeco SAM ou NN IP. Les ODD sont en effet de plus en plus souvent considérés par les investisseurs comme « le cadre adapté à l’évaluation de l’impact environnemental et social des démarches d’investissement responsable », observe Novethic.Adoptés en 2015, les ODD couvrent 17 thèmes prioritaires d’action, comme l’éradication de la pauvreté et de la faim, la santé pour tous ou la protection de l’environnement. Destinés aux Etats, ils doivent être atteints en 2030 à travers 169 cibles. Jusqu’à présent, seule deux agences de notation sur six dont l’offre a été analysée proposent explicitement un service d’analyse de contribution positive des entreprises aux ODD mais aussi leur impact négatif. Il s’agit d’ISS-Oekom, tandis que Trucost S&P est en phase de test. Mais la difficulté de proposer une offre dans ce domaine pour les agences de notation est le manque de données de la part des entreprises, qui ne se sont pas encore emparées sur sujet. « Une analyse ODD pertinente repose en effet sur la qualité des données fournies par les entreprises et leur capacité à publier des stratégies ambitieuses à horizon 2030 », souligne Novethic. « Cela supposerait non seulement de mesurer et amplifier leur contribution positive aux ODD mais aussi d’évaluer et diminuer leur impact négatif sur l’atteinte des ODD », poursuit l’agence. Ce qui n’est pas encore gagné…Le chaînon manquant est bel est bien l’analyse de la stratégie de l’entreprise. Pour mesurer la contribution positive ou négative d’une société, « il est nécessaire d’analyser comment les ODD sont pris en compte dans la stratégie de l’entreprise ». Or, aujourd’hui, les entreprises reportent à peine sur cet aspect.
Le gestionnaire d’actifs néerlandais NN Investment Partners (NN IP) a annoncé, ce 6 septembre, la nomination effective au 1er septembre de Rani Piputri au poste de responsable de l’investissement automatisé (« Head of Automated Intelligence Investing »). Basée à La Haye, aux Pays-Bas, elle aura pour mission d'étudier le comportement des marchés financiers à l’aide de stratégies orientées sur les données, s’appuyant notamment sur la recherche factorielle mais aussi sur plusieurs techniques issues de l’intelligence artificielle. L’équipe « Automated Intelligence Investing » couvre l’investissement factoriel dans toutes les classes d’actifs et s’intéresse également aux données alternatives et aux nouvelles applications des techniques issues de l’intelligence artificielle aux marchés actions, précise NN IP dans un communiqué. Dans ce cadre, Rani Piputri travaillera aux côtés de 16 professionnels de l’investissement, scientifiques («data scientists») et chercheurs qui gèrent 11 milliards d’euros d’actifs sous gestion. Elle est directement rattachée à Valentijn van Nieuwenhuijzen, directeur des investissements de NN IP.Rani Piputri, qui compte plus de 18 ans d’expérience dans l’investissement et la recherche, arrive en provenance d’Aspect Capital, un «Commodity Trading Advisore (CTA) basé à Londres, spécialisé dans les solutions quantitatives et multi-actifs d’investissement, où elle occupait le poste de « Principal Equity Strategies ». Auparavant, elle a été associée (« partner ») et de gérante de portefeuille senior chez Saemor Capital. Elle a également été membre du conseil d’administration de la CFA Society Netherlands pendant quatre ans.
Aramco, la compagnie pétrolière d’Arabie saoudite, envisage de créer un fonds de capital-risque de 1 milliard de dollars pour investir dans des sociétés internationales de technologie, rapporte le Wall Street Journal, citant des sources proches du dossier. Le groupe envisage aussi d’ouvrir un bureau dans la Silicon Valley ou un autre endroit des Etats-Unis pour réaliser des opérations. Aramco investit déjà dans des start-up et sociétés à forte croissance dans l’énergie via son fonds de 500 millions de dollars Saudi Aramco Energy Ventures et le Aramco Entrepreneurship Center, qui a environ 200 millions de dollars à déployer dans des sociétés saoudiennes à un stage précoce de leur développement. Le nouveau fonds investirait dans des technologies qui profitent aux activités d’Aramco, mais ne se focalisent pas nécessairement dans l’énergie.
Decalia Asset Management SIM SpA, la succursale italienne de la société de gestion suisse Decalia Asset Management, vient de recruter Giorgio Makula en tant qu’administrateur délégué.L’intéressé vient de Banca Leonardo, où il était responsable des filiales de Rome et Florence. Il a également occupé des postes de direction au sein de Cassa Lombarda, European American Bank et Deutsche Bank SIM.
GAM Investments a lancé au deuxième trimestre deux nouveaux mandats pour les Banche di Credito Cooperativo en Italie, selon un communiqué. La levée de fonds s’est conclue fin juin et a été supérieure à 350 millions de francs suisses, distribués de manière équivalente sur les deux mandats.L’un des mandats contient une stratégie « Target Date » avec un focus sur le segment crédit, avec une durée limitée. Il est géré par l’équipe de Darren Reece de GAM Londres.L’autre mandat, géré par l’équipe Multi-Asset Italia (MACS) dirigée par Massimo De Palma, propose une stratégie multi-classes d’actifs en fonds et ETF. Le portefeuille est investi progressivement sur les classes d’actifs risquées, en prenant en compte les principes de la finance comportementale.
KKR announced the final closing of KKR Global Infrastructure Investors III (the “Fund”), a USD7.4 billion fund focused on pursuing global infrastructure investment opportunities with an emphasis on investments in OECD countries. KKR will be investing USD358 million in capital alongside external investors through KKR’s balance sheet and employee commitments.“The current scale of global infrastructure investment demand is simply enormous, and is only growing, with the need outstripping capital available,” said Raj Agrawal, KKR Member and Global Head of KKR’s infrastructure business. “This dynamic, coupled with limited public financing sources, has created a significant need for private capital to provide infrastructure solutions. We believe our sector expertise and global platform uniquely position us to help fill this funding gap and we look forward to our continued growth in, and commitment to, the infrastructure asset class.”KKR has a risk-based, rather than a sector-based, approach to infrastructure investing. Consistent with this approach, the Fund will focus on critical infrastructure investments with low volatility and strong downside protection where KKR believes it can leverage its global value creation resources to tackle complexity in sourcing, structuring, operations, and execution.
Vanguard has launched Vanguard Total World Bond ETF (BNDW), the industry’s first U.S.-domiciled index ETF offering investors access to the global investment-grade bond universe in a single fund. The new ETF trades on Nasdaq and seeks to track the Bloomberg Barclays Global Aggregate Float Adjusted Composite Index. It has an estimated expense ratio of 0.09%.1The fund is structured as an ETF of ETFs, investing directly in two Vanguard building-block bond ETFs: Vanguard Total Bond Market ETF (BND) and Vanguard Total International Bond ETF (BNDX). This structure enables the Vanguard Total World Bond ETF to achieve immediate scale by using existing exposure from the underlying ETFs and is expected to result in tighter bid/ask spreads and lower operating expenses than investing directly in the benchmark’s constituents. The approach is similar to Vanguard Total Corporate Bond ETF (VTC), which launched in November, 2017, and invests in Vanguard’s existing short-, intermediate-, and long-term corporate bond ETFs.
@page { size: 8.27in 11.69in; margin: 0.79in }p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; background: transparent }Aspart of the expansion of its its ETF and Index Solutions team in Germany,BNP Paribas Asset Management (BNPP AM) on 6 September announced theappointment of Florian Schoeps as ETF and Index Solutions sales trader. Based in Munich, Schoeps joined the dedicated sales team on 1 August 2018.He reports to Claus Hecher, head of business development for Germany, Austria and the German-speaking areas of Switzerland.Schoeps,40, has nearly 15 years of experience in the asset managementindustry. He began his career in Munich in 2004 at PioneerInvestments as head of internal communications. In 2007, he waspromoted to sales consultant, a position he held for one year, beforejoining MEAG Munich Ergo Kapitalanlagegesellschaft mbH as seniorrelationship manager.
As part of its program of investment in unlisted as sets in the French economy, the FRR launched on June 15, 2017 a competitive procedure with negotiation to select several asset managers who, as part of a discretionary management mandate, will each be responsible for creating and managing a dedicated fund for the FRR. These funds will be invested exclusively in the growth capital segment. These investments will mainly finance SMEs, and possibly very small or medium-sized companies, whose head office or main activity is located in France. Following this selection process, the FRR has decided to accept the proposals from these following asset managers: As part of its program of investment in unlisted as sets in the French economy, the FRR launched on June 15, 2017 a competitive procedure with negotiation to select several asset managers who, as part of a discretionary management mandate, will each be responsible for creating and managing a dedicated fund for the FRR. These funds will be invested exclusively in the growth capital segment. These investments will mainly finance SMEs, and possibly very small or medium-sized companies, whose head office or main activity is located in France. Following this selection process, the FRR has decided to accept the proposals from these following asset managers: Azulis Capital, LBO France Gestion et Isatis Capital. The mandates are awarded for ten years and are renewable twice for one year. .
@page { size: 8.27in 11.69in; margin: 0.79in }p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; background: transparent }DecaliaAsset Management SIM SpA, the Italian arm of the Swiss assetmanagement firm Decalia Asset Management, has recruited GiorgioMakula as deputy director.Makulajoins from Banca Leonardo, where he had been responsible for the Romeand Florence affiliates. He has also served in management positionsat Cassa Lombardia, European American Bank and Deutsche Bank SIM.
Novethic feels it is “premature” to develop a major range of funds based on sustainable development goals (SDG) adopted by the United Nations, or for major investors to integrate an SDG dimension into their reporting. “They are exposing themselves to a risk of ‘SDG washing,’ in the absence of relevant, consistent and reliable indicators,” the agency writes in a new study of the subject “ODD: new focus for extra-financial ratings agencies.”After the carbon footprint of portfolios, which has developed massively since 2015, the SDGs are now being used as a reference point for reporting for socially responsible investors. At the same time, several asset management firms have launched funds – about 10 – which are based on the SDG. These include Aberdeen Standard Investments, Union Investments, Ofi AM, La Financière de l’Echiquier, Robeco SAM and NN IP.The SDGs are increasingly often viewed by investors as “the appropriate framework for the evaluation of the environmental and social impact of socially responsible investment programmes,” says Novethic.The SDGs, adopted in 2015, cover 17 priority areas for action, such as eradication of poverty and hunger, health care for all, and environmental protection. They are expected to be achieved in 2030, via 169 goals. So far, only two ratings agencies out of 10 whose product ranges were analysed explicitly offer a service which analyses positive contribution on the part of businesses to the SDGs as well as their negative impact. These are ISS-Oekom, and Trucost S&P, which is in a testing phase.But the difficulty with offerings in this area for ratings agencies is a lack of data from businesses, which have not yet raised awareness of the subject.“A relevant SDG analysis is based on the quality of the data provided by businesses and their ability to publish ambitious strategies for 2030,” says Novethic. “That presupposes not only that they are able to measure and amplify their positive contribution to the SDGs, but also of evaluating and reducing their negative impact on the SDGs being achieved,” the agency adds. There is still some way to go.The missing link in the chain is analysis of the strategy of companies. To measure the positive or negative contribution of a firm, “it is necessary to analyse how the SDGs are taken into account in corporate strategy,” while today, companies are nearly silent on this subject.
@page { size: 8.27in 11.69in; margin: 0.79in }p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; background: transparent }Bordier& Cie France, the French affiliate of the Border & Cie group,has announced the arrival of Alice Ducros as private manager. Ducros,31, began her career in 2009 at the auction house Artcurial, where heparticipated in the development of modern and contemporary art. In2011, she joined the life insurance and pension fund Royal London inthe United Kingdom, where she assisted the management team. In 2013,Ducros joins KBL Richelieu in Paris as mandated management assistantand then as portfolio manager for private clients, and joins theinvestment and stock-picking committee as well as the committee formutual funds and private banking.
Sycomore Asset Management last night announced that it is in exclusive negotiations with Generali Investments Holding S.p.A., an affiliate of Assicurazioni Generali S.p.A. (“Generali”), the Italian insurance group, to reach a strategic partnership between the two firms. The French boutique, founded in 2001 and with about EUR8bn in assets under management, explains that it is planning to “take a new step in our mission for responsible management. At a time when active investors are increasingly desired for their creation of value and their social engagement, we need to bring more impact via our investments to continue to raise standards in our industry,” says Christine Kolb, founding partner of Sycomore Asset Management.At the conclusion of the planned transaction, the Generali group would control the economic majority, while the founders of Sycomore AM would remain significantly active in the company, alongside the employees who will be adding to the capital of the firm. According to reports received by NewsManagers, the stake to be sold by the four founders is said to be 60%. The Bloomberg news agency, which first reported on the talks in late August, spoke of a transaction which would value Sycomore at about EUR200m. Meanwhile, Sycomore is reported to recently have informed some clients that the merger would have no impact on jobs. In its statement, the asset management firm explains that “teams at Sycomore Asset Management will continue to define and implement the strategic guidelines of the company, and will undertake all investments with full independence.”Generali in May 2017 announced that it wanted to create one of the largest asset management platforms in Europe, “uniting its multi-boutique model for top calibre asset management firms, known for their expertise.” Sycomore is the first firm acquired as part of this move in Europe. In a separate statement, the Italian group says that “Sycomore would join the multi-boutique platform from Generali, coordinated by Generali Investment Partners, which would represent a key step towards its objective of becoming the number one multi-boutique platform in Europe.” Natixis currently holds this spot in Europe.“This agreement with Generali represents a major step in our development, and will allow us to become a leader in socially responsible investment in Europe. We are convinced more than ever in the sound basis of our mission: to generate sustainable performance and bring direction to the investments of our clients,” says Emeric Préaubert, founding partner at Sycomore Asset Management.The transaction remains subject to consultation with the social economics council at Sycomore Asset Management (in accordance with the applicable regulations), and on the necessary permissions being granted by the competition watchdog and regulatory authorities (particularly the approval of the Autorité des Marchés Financiers).
In the price wars, Vanguard has no plans to follow Fidelity, which has very recently launched zero-fee funds. “The zero-fee fund is a loss-leader product, which is part of the marketing approach. Vanguard, with its mutualist structure, cannot make a zero-fee range by construction. But we constantly lower costs with economies of scale and technological innovation,” Guy Parent, CEO of Vanguard France, announced on 6 September at an autumn seminar held by Morningstar.The seminar was the occasion for the representative from Vanguard to assure that passive management still has fine days ahead of it. “The rise of passive management can be expected to continue. The fund trend is well underway, and institutional investors are increasingly demanding ETFs,” he explained. The dynamic in the sector is being driven by performance considerations. Only 20% to 30% of actively-managed funds will do better than their benchmarks. “There are factors slowing this expansion. Modes of distribution in particular can work against this movement, but the trend is there. This is all the more true as regulation, including an end to commissions, will promote development in the sector,” says Parent.Against this background, is it legitimate to be concerned about the disturbing aspect of too much growth in ETFs? “In our sense, the margin for growth in passive management is very large, before it becomes able to challenge the mechanism of price formation and the determine the valuation of a company,” says Parent. For the French market, institutional are the largest users of ETFs, by far, but the situation is developing very slowly in the direction of retail investors,” the head says.
L’équipe ETF et solutions indicielles de BNP Paribas Asset Management (BNPP AM) a annoncé hier poursuivre son renforcement en Allemagne avec la nomination de Florian Schoeps au poste de Commercial ETF et Solutions indicielles. Basé à Munich, Florian Schoeps a rejoint le 1er août dernier l’équipe de ventes dédiée aux ETF et Solutions indicielles de BNPP AM. Il est placé sous la responsabilité de Claus Hecher, responsable du développement commercial de cette activité pour l’Allemagne, l’Autriche et la Suisse Alémanique.
Pour Novethic, il semble « prématuré » de développer une offre importante de fonds basés sur les objectifs du développement durable (ODD) adoptés par les Nations unies ou, pour les grands investisseurs, d’intégrer une dimension ODD dans leur reporting. « Ils s’exposent à un risque d’"ODD washing " en l’absence d’indicateurs d’impact pertinents, homogènes et fiables », écrit l’agence dans une nouvelle étude sur le sujet (« ODD: nouveau focus des agences de notation extra-financière »). Pourtant, après l’empreinte carbone des portefeuilles qui s’est développée massivement depuis 2015, on assiste à l’utilisation des ODD comme référence de reporting pour les investisseurs responsables. Dans le même temps, plusieurs sociétés de gestion ont lancé des fonds – une dizaine en tout - s’appuyant sur les ODD. Parmi elles figurent Aberdeen Standard Investments, Union Investments, UBS, Ofi AM, La Financière de l’Echiquier, Robeco SAM ou NN IP. Les ODD sont en effet de plus en plus souvent considérés par les investisseurs comme « le cadre adapté à l'évaluation de l’impact environnemental et social des démarches d’investissement responsable », observe Novethic. Adoptés en 2015, les ODD couvrent 17 thèmes prioritaires d’action, comme l'éradication de la pauvreté et de la faim, la santé pour tous ou la protection de l’environnement. Destinés aux Etats, ils doivent être atteints en 2030 à travers 169 cibles. Jusqu'à présent, seule deux agences de notation sur six dont l’offre a été analysée proposent explicitement un service d’analyse de contribution positive des entreprises aux ODD mais aussi leur impact négatif. Il s’agit d’ISS-Oekom, tandis que Trucost S&P est en phase de test. Mais la difficulté de proposer une offre dans ce domaine pour les agences de notation est le manque de données de la part des entreprises, qui ne se sont pas encore emparées sur sujet. « Une analyse ODD pertinente repose en effet sur la qualité des données fournies par les entreprises et leur capacité à publier des stratégies ambitieuses à horizon 2030 », souligne Novethic. « Cela supposerait non seulement de mesurer et amplifier leur contribution positive aux ODD mais aussi d'évaluer et diminuer leur impact négatif sur l’atteinte des ODD », poursuit l’agence. Ce qui n’est pas encore gagné... Le chaînon manquant est bel est bien l’analyse de la stratégie de l’entreprise. Pour mesurer la contribution positive ou négative d’une société, « il est nécessaire d’analyser comment les ODD sont pris en compte dans la stratégie de l’entreprise ». Or, aujourd’hui, les entreprises reportent à peine sur cet aspect. «Laurence Marchal»
L’assureur italien Generali a confirmé jeudi après-midi être entré en négociations exclusives avec le gestionnaire d’actifs Sycomore Asset Management, pour acquérir «une participation majoritaire». Des sources proches du dossier avaient évoqué la semaine dernière auprès de L’Agefi l’existence de ces discussions, confirmant une information de Bloomberg.