La banque privée suisse Mirabaud vient de recruter une équipe de cinq collaborateurs qui travaillaient en Amérique latine chez Julius Baer. Mirabaud ambitionne de développer depuis quelque temps ses activités de gestion de fortune dans la région en installant des antennes sur place, rapporte Citywire. Mirabaud a notamment embauché Fabio Kreplak et Geronimo Escudero en qualité de coresponsables de la gestion fortune dans le cône sud, ont indiqué des sources du secteur. Durant leurs dix années passées chez Julius Baer, le duo a géré quelque 700 millions de dollars pour des clients argentins. Ils seront épaulés par une chargée de clientèle, Lucila Guelfi, et deux assistants, qui ont tous trois également quitté Julius Baer.
Markus Würgler prendra la fonction de Head Sales & Marketing de Swiss Life Asset Managers le 1er janvier 2019, a annoncé ce 7 septembre la société de gestion du groupe d’assurances Swiss Life. Dans ce poste nouvellement créé, il sera responsable du développement et de la mise en œuvre de la stratégie de distribution internationale. Marius Würgler sera membre du comité exécutif de Swiss Life Asset Managers et sera directement rattaché à Stefan Mächler, Group CIO de Swiss Life. Il sera basé à Zurich.Depuis 2017, Marius Würgler a occupé le poste de CEO d’Amundi Switzerland SA. Auparavant, il a occupé durant trois ans la fonction d’Head of Sales Europe et Suisse pour Lombard Odier Investment Management et pendant sept ans celle de responsable pays chez Goldman Sachs Asset Management en Suisse. Il a débuté sa carrière en tant que gérant de portefeuilles diversifiés chez Credit Suisse Asset Management. Il est titulaire d’un diplôme en sciences économiques de l’Université de Berne. « Je me réjouis que nous ayons trouvé en la personne de Marius Würgler un spécialiste de la distribution fort d’une solide expérience qui, avec l’aide de ses équipes, saura soutenir le développement de nos activités et poursuivre les activités de distribution internationales chez Swiss Life Asset Managers », déclare Stefan Mächler, Group CIO, cité dans un communiqué
La Française Asset Management continue de se renforcer sur le marché allemand avec la nomination de Tina Künnen en qualité de responsable des ventes. Tina Künnen a une quinzaine d’années d’expérience dans la finance. Après avoir débuté sa carrière en 2003 chez Reuters en qualité d’analyste, elle a rejoint AXA Investment Managers Deutschland en 2008 en tant que sales managers. Elle a ensuite travaillé chez Natixis Investment Managers à compter de 2010, d’abord en tant que sales director et par la suite en tant que responsable Business and Client Development.Avec ce recrutement, La Française AM compte pousser les feux de son expertise d’investissement dans l’obligataire, la performance absolue et les actions durables aux clientèles institutionnelle et retail.
Le gestionnaire d’actifs Storebrand Asset Management (Storebrand AM), dont les actifs sous gestion s’élèvent à plus de 73 milliards d’euros, s’est enregistré au cours de l’été auprès du régulateur financier espagnol, la CNMV, afin de pénétrer le marché espagnol, rapporte le site spécialisé Funds People. L’approche de la société de gestion reste toutefois modeste puisqu’elle n’a pas, pour le moment, l’intention de commercialiser activement ses fonds dans le pays, selon le journal.
Daniel Michalow, un ancien associé de D.E. Shaw Group, l’un des principaux hedge funds au monde, a porté plainte contre la société, l’accusant de lui avoir porté préjudice en communiquant sur son limogeage, rapporte le Wall Street Journal. Le plaignant veut obtenir des centaines de millions de dollars de dommages et intérêts et une « déclaration corrective » de la société. En mars, D.E Shaw a proposé à Daniel Michalow de partir, ce qu’il a choisi de faire. La société a plus tard déclaré qu’il avait été licencié après une enquête interne. En mai, après avoir été contacté par Business Insider au sujet d’un article imminent, Daniel Michalow a demandé à D.E. Shaw de publier un communiqué affirmant qu’il n’avait pas été coupable de conduite sexuelle inappropriée ni de harcèlement. En réponse, la société a déclaré que l’intéresé avait été limogé pour des « violations importantes de nos standards et valeurs ». Sa conduite a été décrite comme « abusive et offensante ».
Funding Circle, une plateforme de prêts aux petites et moyennes entreprises (PME), et Alcentra, une société de gestion obligataire alternative affiliée à BNY Mellon Investment Management (BNY Mellon IM), ont dévoilé, ce 7 septembre, la signature d’un partenariat stratégique en vue de soutenir la croissance des milliers de PME américaines. Dans le cadre de cet accord, Alcentra, dont les encours s’élèvent à environ 37,7 milliards de dollars, va acheter pour le compte de ses clients jusqu’à 1 milliard de dollars de prêts commerciaux originés par la plateforme américaine de Funding Circle (Funding Circle U.S.) sur une période de trois ans, avec un financement de Credit Suisse. Au total, cette alliance devrait financer des prêts à environ 8.000 entreprises américaines, créant ainsi des millions d’emplois à travers tout le pays, selon le communiqué. Au cours du premier semestre 2018, Funding Circle a financé plus de 1,4 milliard de dollars de prêts.
Le gestionnaire d’actifs alternatifs Man Group, basé à Londres, a recruté Ethan Kang en qualité de « managing director » et de responsable de la Corée du Sud, rapporte le site Asian Investor. L’intéressé a officiellement pris ses fonctions le 3 septembre. Il est ainsi responsable du développement commercial et de la stratégie de la société sur le marché sud-coréen, tout en étant basé à Hong Kong. Il est rattaché à Hersh Gandhi, « managing director » en charge de l’Asie-Pacifique chez Man Group. Auparavant, Ethan Kang était « executive director » et chargé des ventes institutionnelles chez J.P. Morgan Asset Management à Séoul.
Temasek, un des deux fonds souverains de Singapour avec Government of Singapore Investment Corporation GIC, va investir 400 millions de dollars dans le fonds d’infrastructures India National Investment and infrastructure Fund (NIIF), dédié aux infrastructures indiennes, rapporte le quotidien Les Echos. Temasek rejoint d’autres grands investisseurs institutionnels et notamment le principal fonds souverain d’Abu Dabi, ADIA (Abu Dhabi Investment Authority). Ce dernier s’était engagé à investir jusqu’à 1 milliard de dollars dans le NIIF en 2017.
Le gestionnaire d’actifs néerlandais Robeco a annoncé, le 6 septembre, le renforcement de Robeco Institutional Asset Management (Robeco US), sa filiale aux Etats-Unis et au Canada, avec le recrutement de cinq nouveaux professionnels dédiés aux ventes et aux relations avec les consultants. Ainsi, Robeco US a nommé Keith Seidman et Carter Bailey en qualité de directeurs exécutifs (« Executive Directors) en charge des ventes institutionnelles. En parallèle, John Pinto a été nommé directeur exécutif en charge des relations avec les consultants. Keith Seidman et Carter Bailey sont tous deux responsables de la mise en place et du développement des ventes institutionnelles et des relations avec les clients aux Etats-Unis et au Canada. Pour sa part, John Pinto est responsable du développement des relations avec les sociétés de conseil en investissement.Par ailleurs, Robeco US a également recruté Zoe Brizzolara en tant que « business manager », en charge du marketing et des relations avec les consultants, et Yoko Kawashima en tant que chargé des opérations (« Operations Manager ») et « Senior Client Service Support ».Enfin, Robeco US a été recruté trois nouveaux professionnels de l’investissement, dont deux analystes crédit et un chercheur en actions quantitatives.Keith Seidman, qui compte plus de 30 ans d’expérience dans la gestion d’actifs, arrive en provenance d’American Century Investments, où il était « vice president » du département dédié à l’activité institutionnelle. Avant cela, il a été « vice president » des ventes institutionnelles en gestion d’actifs chez Hansberger Global Investors.Carter Bailey apporte également 30 ans d’expérience dans l’industrie. Il a récemment officié en tant que « senior vice president », en charge des ventes institutionnelles chez Franklin Templeton Investments. Avant cela, il a occupé le poste de « vice president » chez Deutsche Bank.Pour sa part, John Pinto rejoint Robeco US après avoir passé 14 ans chez Capital Group, où il a récemment été « senior vice president » en charge des relations avec les consultants au sein du département dédié aux institutionnels.Zoe Brizzolara, qui affiche 20 ans de carrière, a précédemment occupé des postes à responsabilités dans le marketing, les opérations et le développement commercial chez Investec, Barings et Pioneer Investments.Enfin, avant de rejoindre Robeco US, Yoko Kawashima a travaillé dans le domaine des relations avec les investisseurs et les opérations chez Viking Global Investors pendant 8 ans.
Pictet a procédé à de nombreux changements dans son équipe de fonds actions thématiques depuis le début de l’année, mais l'équipe est globalement plus importante avec désormais 31 gérants contre 27 fin 2017. Parmi les grands départs, on notera que Nolan Hoffmeyer n’est plus cogérant du fonds Pictet Digital, Simon Gottelier et Arnaud Bisschop ne sont plus les gérants du fonds Pictet Water et Frédéric Dupraz n’est plus gérant du fonds Pictet Security. De nombreuses nominations et recrutements ont eu lieu pour compenser.Concernant Pictet Digital, c’est Olivier Djopwouo et Stanislas Effront qui cogèrent désormais le fonds avec l’autre cogérante Sylvie Séjournet. Le fonds Pictet Water est lui désormais cogéré par Cédric Lecamp, qui avait géré le fonds pendant quelques années après son lancement, ainsi que par Louis Veilleux, Peter Rawlence et Hans Peter Portner, qui a lancé la stratégie. Enfin, le fonds Pictet Security, que Frédéric Dupraz co-gérait avec Yves Kramer est toujours co-géré par ce dernier mais il sera désormais assisté d’Alexandre Mouthon, ancien spécialiste produit du fonds, et Rachele Beata. Pictet a également recruté Moritz Dullinger en provenance de RobecoSAM, qui dirigeait auparavant le fonds RobecoSAM Healthy Living. Il est maintenant affecté au fonds Pictet Health & Biotech. Il travaillera sur ce fonds aux côtés de Tazio Storni, Grégoire Biollaz et Lydia Haueter.Enfin, le fonds Pictet-Nutrition a également changé son équipe de gérant, Cédric Lecamp et Gertjan van der Geer quittant leur poste. Il sera géré par Alice de Lamaze et Mayssa Al Midani. Gertjan van der Geer, qui a lancé la stratégie (alors Pictet-Agriculture) en 2009, se consacrera désormais exclusivement à la stratégie Global Thematic Opportunities lancée en 2016.On notera enfin que la gestion du fonds Pictet-Global Environmental Opportunities est renforcée par l’arrivée d’un troisième gérant au côté de Luciano Diana et Gabriel Micheli.. Il s’agit de Yi Du qui arrive de Hong Kong, où il était analyste sur les valeurs asiatiques des utilities et des énergies renouvelables chez JP Morgan.
Le gestionnaire d’actifs RBC Global Asset Management (RBC GAM) a annoncé, le 6 septembre, la nomination de Jeff Masom au poste de responsable mondial de la distribution institutionnelle. Basé à Boston, l’intéressé est rattaché à Mike Lee, responsable mondial de l’activité institutionnelle au sein de la société de gestion. L’intéressé prendra officiellement son poste le 10 septembre. Jeff Masom, qui compte plus de 20 ans d’expérience dans la gestion d’actifs, était précédemment « senior managing director » et responsable des ventes aux Etats-Unis chez Legg Mason, où il évoluait depuis plus de 16 ans.
BlackRock prévoit de renforcer ses activités d’investissements dans le non coté, rapporte le Financial Times. Mark Wiseman, responsable mondial des actions actives de BlackRock et président de l’activité placements alternatifs (private equity, immobilier et hedge funds), a indiqué au Financial Times que développer ses capacités en matière d’investissements privés était devenu une priorité de plus en plus importante pour le groupe. BlackRock a annoncé en début d’année qu’il lèverait jusqu’à 10 milliards de dollars pour un nouveau fonds de capitaux privés de long terme et a acquis Tennenbaum Capital Partners pour renforcer ses investissements dans la dette privée. Avec les infrastructures et l’immobilier, ces quatre domaines seront les principaux piliers de croissance pour BlackRock, pour Mark Wiseman.
La Française a annoncé lundi l’acquisition de Veritas Investment et de Veritas Institutional, deux structures basées respectivement à Francfort et à Hambourg. Présent en Allemagne depuis 1991, le groupe Veritas gère plus de 7 milliards d’euros d’actifs pour le compte d’investisseurs institutionnels et particuliers, ce qui porte à 8 milliards les encours gérés en Allemagne par La Française. La conclusion de cette acquisition est soumise à l’approbation des autorités réglementaires.
Natixis Investment Managers (NIM) a annoncé lundi la création d’une nouvelle division, «Dynamic Solutions», confiée à James Hugues, ancien responsable mondial des solutions dédiées aux clients stratégiques d’Aberdeen Standard Investments. Le département, fort d’environ 60 collaborateurs, réunira l’ensemble des expertises de NIM, spécialisées dans le développement de solutions d’investissement dédiées et offrira un point d’accès unique à une large gamme de solutions au sein de la structure multi-affiliés du gestionnaire d’actifs.
Donald Trump s’est dit prêt vendredi à taxer 267 milliards de dollars (230 milliards d’euros) d’importations chinoises, en plus de celles de 200 milliards sur lesquelles il doit se prononcer prochainement. «Les 200 milliards de dollars dont nous parlons pourraient s’appliquer très prochainement, suivant de ce qui se passe avec eux. Dans une certaine mesure, c’est à la Chine d’en décider. Et je déteste le dire, mais ensuite, ce sont 267 milliards de dollars supplémentaires qui seront rapidement concernées si je le souhaite», a-t-il déclaré. Donald Trump a déjà imposé des droits de douane de 25% sur 50 milliards de dollars de produits chinois. Larry Kudlow, conseiller économique de la Maison blanche, avait annoncé dans la journée que le président ne prendrait aucune décision sur les 200 milliards tant que l’administration n’aurait pas fait le point sur les réactions suscitées par le projet. Elle a reçu près de 6.000 commentaires au cours de la consultation publique, qui s’est achevée jeudi soir.
La Grèce dispose d’un matelas de sécurité de près de 30 milliards d’euros, qui devrait lui permettre de ne pas avoir besoin de se financer sur les marchés financiers en période de grande volatilité, a déclaré dimanche le Premier ministre grec, Alexis Tsipras. Cette réserve de trésorerie est suffisante pour assurer l’autonomie du pays pendant deux ans et demi, a-t-il précisé. Il a également estimé que la Grèce ne pensait pas devoir réduire les pensions de retraite ou augmenter les impôts sur les bénéfices en 2020, car Athènes comptait dépasser les objectifs d’excédent budgétaire fixés dans le cadre d’une «surveillance renforcée» post-plan de sauvetage. Le Premier ministre a ajouté qu’Athènes présenterait ses projections économiques à la Commission européenne mi-octobre.
@page { size: 8.27in 11.69in; margin: 0.79in }p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; background: transparent }DecaliaAsset Management SIM SpA, the Italian arm of the Swiss assetmanagement firm Decalia Asset Management, has recruited GiorgioMakula as deputy director.Makulajoins from Banca Leonardo, where he had been responsible for the Romeand Florence affiliates. He has also served in management positionsat Cassa Lombardia, European American Bank and Deutsche Bank SIM.
Novethic feels it is “premature” to develop a major range of funds based on sustainable development goals (SDG) adopted by the United Nations, or for major investors to integrate an SDG dimension into their reporting. “They are exposing themselves to a risk of ‘SDG washing,’ in the absence of relevant, consistent and reliable indicators,” the agency writes in a new study of the subject “ODD: new focus for extra-financial ratings agencies.”After the carbon footprint of portfolios, which has developed massively since 2015, the SDGs are now being used as a reference point for reporting for socially responsible investors. At the same time, several asset management firms have launched funds – about 10 – which are based on the SDG. These include Aberdeen Standard Investments, Union Investments, Ofi AM, La Financière de l’Echiquier, Robeco SAM and NN IP.The SDGs are increasingly often viewed by investors as “the appropriate framework for the evaluation of the environmental and social impact of socially responsible investment programmes,” says Novethic.The SDGs, adopted in 2015, cover 17 priority areas for action, such as eradication of poverty and hunger, health care for all, and environmental protection. They are expected to be achieved in 2030, via 169 goals. So far, only two ratings agencies out of 10 whose product ranges were analysed explicitly offer a service which analyses positive contribution on the part of businesses to the SDGs as well as their negative impact. These are ISS-Oekom, and Trucost S&P, which is in a testing phase.But the difficulty with offerings in this area for ratings agencies is a lack of data from businesses, which have not yet raised awareness of the subject.“A relevant SDG analysis is based on the quality of the data provided by businesses and their ability to publish ambitious strategies for 2030,” says Novethic. “That presupposes not only that they are able to measure and amplify their positive contribution to the SDGs, but also of evaluating and reducing their negative impact on the SDGs being achieved,” the agency adds. There is still some way to go.The missing link in the chain is analysis of the strategy of companies. To measure the positive or negative contribution of a firm, “it is necessary to analyse how the SDGs are taken into account in corporate strategy,” while today, companies are nearly silent on this subject.
@page { size: 8.27in 11.69in; margin: 0.79in }p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; background: transparent }Bordier& Cie France, the French affiliate of the Border & Cie group,has announced the arrival of Alice Ducros as private manager. Ducros,31, began her career in 2009 at the auction house Artcurial, where heparticipated in the development of modern and contemporary art. In2011, she joined the life insurance and pension fund Royal London inthe United Kingdom, where she assisted the management team. In 2013,Ducros joins KBL Richelieu in Paris as mandated management assistantand then as portfolio manager for private clients, and joins theinvestment and stock-picking committee as well as the committee formutual funds and private banking.
Sycomore Asset Management last night announced that it is in exclusive negotiations with Generali Investments Holding S.p.A., an affiliate of Assicurazioni Generali S.p.A. (“Generali”), the Italian insurance group, to reach a strategic partnership between the two firms. The French boutique, founded in 2001 and with about EUR8bn in assets under management, explains that it is planning to “take a new step in our mission for responsible management. At a time when active investors are increasingly desired for their creation of value and their social engagement, we need to bring more impact via our investments to continue to raise standards in our industry,” says Christine Kolb, founding partner of Sycomore Asset Management.At the conclusion of the planned transaction, the Generali group would control the economic majority, while the founders of Sycomore AM would remain significantly active in the company, alongside the employees who will be adding to the capital of the firm. According to reports received by NewsManagers, the stake to be sold by the four founders is said to be 60%. The Bloomberg news agency, which first reported on the talks in late August, spoke of a transaction which would value Sycomore at about EUR200m. Meanwhile, Sycomore is reported to recently have informed some clients that the merger would have no impact on jobs. In its statement, the asset management firm explains that “teams at Sycomore Asset Management will continue to define and implement the strategic guidelines of the company, and will undertake all investments with full independence.”Generali in May 2017 announced that it wanted to create one of the largest asset management platforms in Europe, “uniting its multi-boutique model for top calibre asset management firms, known for their expertise.” Sycomore is the first firm acquired as part of this move in Europe. In a separate statement, the Italian group says that “Sycomore would join the multi-boutique platform from Generali, coordinated by Generali Investment Partners, which would represent a key step towards its objective of becoming the number one multi-boutique platform in Europe.” Natixis currently holds this spot in Europe.“This agreement with Generali represents a major step in our development, and will allow us to become a leader in socially responsible investment in Europe. We are convinced more than ever in the sound basis of our mission: to generate sustainable performance and bring direction to the investments of our clients,” says Emeric Préaubert, founding partner at Sycomore Asset Management.The transaction remains subject to consultation with the social economics council at Sycomore Asset Management (in accordance with the applicable regulations), and on the necessary permissions being granted by the competition watchdog and regulatory authorities (particularly the approval of the Autorité des Marchés Financiers).
In the price wars, Vanguard has no plans to follow Fidelity, which has very recently launched zero-fee funds. “The zero-fee fund is a loss-leader product, which is part of the marketing approach. Vanguard, with its mutualist structure, cannot make a zero-fee range by construction. But we constantly lower costs with economies of scale and technological innovation,” Guy Parent, CEO of Vanguard France, announced on 6 September at an autumn seminar held by Morningstar.The seminar was the occasion for the representative from Vanguard to assure that passive management still has fine days ahead of it. “The rise of passive management can be expected to continue. The fund trend is well underway, and institutional investors are increasingly demanding ETFs,” he explained. The dynamic in the sector is being driven by performance considerations. Only 20% to 30% of actively-managed funds will do better than their benchmarks. “There are factors slowing this expansion. Modes of distribution in particular can work against this movement, but the trend is there. This is all the more true as regulation, including an end to commissions, will promote development in the sector,” says Parent.Against this background, is it legitimate to be concerned about the disturbing aspect of too much growth in ETFs? “In our sense, the margin for growth in passive management is very large, before it becomes able to challenge the mechanism of price formation and the determine the valuation of a company,” says Parent. For the French market, institutional are the largest users of ETFs, by far, but the situation is developing very slowly in the direction of retail investors,” the head says.
As part of its program of investment in unlisted as sets in the French economy, the FRR launched on June 15, 2017 a competitive procedure with negotiation to select several asset managers who, as part of a discretionary management mandate, will each be responsible for creating and managing a dedicated fund for the FRR. These funds will be invested exclusively in the growth capital segment. These investments will mainly finance SMEs, and possibly very small or medium-sized companies, whose head office or main activity is located in France. Following this selection process, the FRR has decided to accept the proposals from these following asset managers: As part of its program of investment in unlisted as sets in the French economy, the FRR launched on June 15, 2017 a competitive procedure with negotiation to select several asset managers who, as part of a discretionary management mandate, will each be responsible for creating and managing a dedicated fund for the FRR. These funds will be invested exclusively in the growth capital segment. These investments will mainly finance SMEs, and possibly very small or medium-sized companies, whose head office or main activity is located in France. Following this selection process, the FRR has decided to accept the proposals from these following asset managers: Azulis Capital, LBO France Gestion et Isatis Capital. The mandates are awarded for ten years and are renewable twice for one year. .
KKR announced the final closing of KKR Global Infrastructure Investors III (the “Fund”), a USD7.4 billion fund focused on pursuing global infrastructure investment opportunities with an emphasis on investments in OECD countries. KKR will be investing USD358 million in capital alongside external investors through KKR’s balance sheet and employee commitments.“The current scale of global infrastructure investment demand is simply enormous, and is only growing, with the need outstripping capital available,” said Raj Agrawal, KKR Member and Global Head of KKR’s infrastructure business. “This dynamic, coupled with limited public financing sources, has created a significant need for private capital to provide infrastructure solutions. We believe our sector expertise and global platform uniquely position us to help fill this funding gap and we look forward to our continued growth in, and commitment to, the infrastructure asset class.”KKR has a risk-based, rather than a sector-based, approach to infrastructure investing. Consistent with this approach, the Fund will focus on critical infrastructure investments with low volatility and strong downside protection where KKR believes it can leverage its global value creation resources to tackle complexity in sourcing, structuring, operations, and execution.
Vanguard has launched Vanguard Total World Bond ETF (BNDW), the industry’s first U.S.-domiciled index ETF offering investors access to the global investment-grade bond universe in a single fund. The new ETF trades on Nasdaq and seeks to track the Bloomberg Barclays Global Aggregate Float Adjusted Composite Index. It has an estimated expense ratio of 0.09%.1The fund is structured as an ETF of ETFs, investing directly in two Vanguard building-block bond ETFs: Vanguard Total Bond Market ETF (BND) and Vanguard Total International Bond ETF (BNDX). This structure enables the Vanguard Total World Bond ETF to achieve immediate scale by using existing exposure from the underlying ETFs and is expected to result in tighter bid/ask spreads and lower operating expenses than investing directly in the benchmark’s constituents. The approach is similar to Vanguard Total Corporate Bond ETF (VTC), which launched in November, 2017, and invests in Vanguard’s existing short-, intermediate-, and long-term corporate bond ETFs.
@page { size: 8.27in 11.69in; margin: 0.79in }p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; background: transparent }Aspart of the expansion of its its ETF and Index Solutions team in Germany,BNP Paribas Asset Management (BNPP AM) on 6 September announced theappointment of Florian Schoeps as ETF and Index Solutions sales trader. Based in Munich, Schoeps joined the dedicated sales team on 1 August 2018.He reports to Claus Hecher, head of business development for Germany, Austria and the German-speaking areas of Switzerland.Schoeps,40, has nearly 15 years of experience in the asset managementindustry. He began his career in Munich in 2004 at PioneerInvestments as head of internal communications. In 2007, he waspromoted to sales consultant, a position he held for one year, beforejoining MEAG Munich Ergo Kapitalanlagegesellschaft mbH as seniorrelationship manager.
Le fournisseur de services et solutions à destination de l’investment management SimCorp a annoncé ce 6 septembre que Groupama Asset Management avait mis en production «avec succès» sa solution SimCorp Dimension qui automatise désormais en temps réel ses opérations front et middle office. Afin d’accompagner son développement et d’accélérer sa croissance, Groupama Asset Management a en effet décidé de consolider et de simplifier son architecture IT, et en particulier l’ensemble de ses opérations front et middle office, pour en améliorer son efficacité, gagner en agilité et réduire ses risques et coûts opérationnels, précise un communiqué. “La mise en production de la solution SimCorp Dimension nous permet de nous concentrer sur notre cœur de métier et d’accélérer notre croissance. Nous constatons déjà des améliorations majeures ; au-delà du remplacement de plus de 10 systèmes existants et des bénéfices opérationnels tels que la réduction des coûts et risques associés induits, la mise à disposition de fonctionnalités plus larges mais surtout l’accès à l’ensemble des données de gestion en temps réel permettent désormais à nos équipes front office d’optimiser leurs décisions d’investissement”, commente Hubert Le Lourd, directeur des activités support de Groupama Asset Management..
Sycomore Asset Management a annoncé hier soir être entré en négociations exclusives avec Generali Investments Holding S.p.A., filiale d’Assicurazioni Generali S.p.A., groupe d’assurances italien, afin de conclure un partenariat stratégique entre les deux sociétés. La boutique française créée en 2001 et qui gère plus de 8 milliards d’euros, explique vouloir «franchir une nouvelle étape dans notre mission d’investisseur responsable». «A l’heure où les investisseurs actifs sont de plus en plus attendus pour leur création de valeur et leur engagement sociétal, nous nous devons d’apporter davantage d’impact à travers nos investissements pour continuer à élever les standards de notre industrie», souligne Christine Kolb, associée-fondatrice de Sycomore Asset Management.A l’issue de la transaction envisagée, le groupe Generali détiendrait la majorité économique, les fondateurs de Sycomore AM resteraient «significativement» actionnaires de la société, aux côtés des collaborateurs qui se renforceraient au capital de l’entreprise. Selon nos informations, la part cédée par les quatre fondateurs, dont l’un est récemment parti à la retraite, serait de 60%. L’agence Bloomberg, qui avait la première dévoilé ces discussions fin août, avait fait état d’une transaction qui valoriserait Sycomore à hauteur de 200 millions d’euros. Par ailleurs, Sycomore aurait averti récemment plusieurs clients que ce rapprochement n’aurait pas de conséquences en terme d’emploi. Dans son communiqué, la société explique d’ailleurs que «les équipes de Sycomore Asset Management continueront quant à elles de définir et d’implémenter les axes stratégiques de la société et réaliseront l’intégralité des investissements en toute indépendance». Generali avait annoncé en mai 2017 qu’il souhaitait créer l’une des plus grandes plateformes de gestion d’actifs en Europe, «rassemblant sous son modèle multi-boutique des asset managers de premier plan reconnus pour leur expertise». Sycomore est la première boutique rachetée dans ce cadre en Europe. Dans un communiqué séparé, le groupe italien indique que «Sycomore intègrerait la plate-forme multi-boutique de Generali, coordonnée par Generali Investment Partners et constituerait une étape clef vers son objectif de devenir la plate-forme multi-boutique numéro une en Europe». Sur le vieux continent c’est pour le moment Natixis qui occupe cette place. «Cet accord avec Generali marque une étape majeure dans notre développement et va nous permettre de devenir le leader de l’investissement responsable en Europe. Nous sommes plus que jamais convaincus du bien-fondé de notre mission : générer une performance durable et apporter du sens aux investissements de nos clients», déclare Emeric Préaubert, associé-fondateur de Sycomore Asset Management. Generali assure de son côté que ce partenariat stratégique «s’appuie sur la relation commerciale existante et l’alignement stratégique entre Generali et Sycomore et vise à offrir un potentiel considérable de synergies, notamment grâce à l’accélération du développement international de Sycomore et au développement d’offres sur mesure à destination de clients privés et institutionnels». La réalisation de la transaction reste soumise à la consultation du Comité Social Economique de Sycomore Asset Management (conformément à la réglementation applicable) et à l’obtention des autorisations nécessaires en matière de contrôle des concentrations et en matière règlementaire (et en particulier l’autorisation de l’Autorité des Marchés Financiers).