The United Nations Conference on Trade and Development (UNCTAD) on 4 May published a series of proposed principles to promote responsible investment in the buying and selling of sovereign debt securities. The proposals, which have already been the subject of detailed discussion with participants and experts, will in the next few months be presented to governments, in order to foster a broad consensus around the principles.
From 1 June, the Vienna Stock Exchange will release two emerging markets indices created by Erste Bank, entitled “rising markets,” which will aim to take into account economic growth as well as demographic evolution, as well as minimal standards in terms of the fight against corruption (Corruption Perception Index) and quality of life.The Austrian management firm Erste Sparinvest, an affiliate of Erste Bank, will on 1 June launch two Austrian funds, the Espa Bond Rising Markets and Espa Stock Rising Markets, each with three share classes. The products will replicate rising markets indices. Initial subscriptions will be closed on 31 May.Front-end fees will be 3.5% for the bond product, and 4% for the equities fund. The total expense ratio (TER) will be 1.2% for the former, and 2% for the latter product.
According to the Business Standard, relayed by Handelsblatt, the Indian Forward Markets Commission (FMC) is reportedly planning to ask all ETF issuers no longer to accept subscriptions to gold ETFs, and no longer to launch such products.The FMC, which is the regulatory authority for commodities, is concerned about the influence these funds have on the gold markets, although the Securities and Exchange Board of India (SEBI), which supervises investment funds, has thus far not reacted to the demands of the FMC.
Assets under management at the US management firm Legg Mason totalled USD677.6bn as of 31 March 2011, at the end of the firms 2010-2011 fiscal year, representing an increase of 1% compared with the end of December 2010, but a decline of 1% compared with the end of March 2010. In the fourth quarter of the fiscal year, ending 31 March, positive market effects were partially offset by an outflow of EUR8.7bn. Bonds represented 53% of assets as of 31 March, compared with 28% for equities, and 19% for money market funds. Net profits at Legg Mason for the fiscal year ending 31 March totalled USD253.9m, or USD1.63 per share, compared with USD204.4m, or USD1.32 per share, for the year ending in March 2010.
In the space of three years, the Paris office of M&G Investments (EUR230.4bn in total assets as of the end of December), led by Brice Anger, has posted a considerable increase in its assets under management, which stood at over EUR1.6bn as of the end of April. As of the end of March, assets were 38.1% invested in bond funds, 21.8% in regional funds, 19.5% in international equities funds, 11.5% in international convertible funds, and 9% in UK funds.This strong growth has been accompanied by growth in staff numbers, to a total of 5 presently. It has also allowed the local office of the British asset management firm to plan a move from their current location at 90, Champs-Elysées, to a more spacious location at 34, avenue Matignon, at the end of May.The Paris team held two presentations on 4 May, one for IFAs, and one a lunch for institutional investors, in order to promote three products of the range, including the bond fund M&G Optimal Income Fund, managed by Richard Woolnough, and the M&G Global Basics Fund, managed by Graham French.The third fund is a multi-asset class product, managed by Juan Nevada and Tony Finding, which aims for returns similar to those of equities, but with a volatility level closer to that of bonds. The M&G Global Dynamic Allocation Fund (GB00B56H1S45), which targets a euro zone client base, has only EUR15m in assets (it was launched on 4 December 2009), but replicates a larger fund aimed at the British market, a strategy with EUR80m in asstes. The fund will now be actively promoted by M&G in France.Nevada explains that he has set a performance objective of 5-10% in the mid-term, with volatility of 5-12%, and positive returns over a rolling three year period. To achieve this, he will rely on the resources of behavioural finance. The fund is currently 110% invested, although the managers use leverage only when it may limit volatility.
Asset management earnings at Axa were up 1% in first quarter, to EUR827m, with published average assets under management at a higher level, up from EUR846bn in first quarter 2010 to EUR861bn in assets as of first quarter 2011, Axa announced on 5 May in a statement. However, assets under management totalled EUR852bn as of the end of March 2011, down EUR26bn compared with 31 December 2010. Several factors contributed to this development, including a net outflow of EUR13bn, compared with about EUR23bn in fourth quarter 2010, largely due to outflows from AllianceBernstein from the institutional client segment. Outflows at AXA Investment Managers (-EUR2bn), a voluntary moratorium on unprofitable collective retirement policies (-EUR2bn) and money market products (-EUR1bn), were partly offset by positive net inflows to other areas of expertise, particularly Fixed Income (+EUR2bn) and AXA Framlington (+EUR1bn). Market effects totalled EUR13bn, due to a rebound on equities markets. Currency effects results in a EUR26bn gap to fill, largely due to depreciation of the US dollar against the euro. Total earnings for the group remained stable at EUR28bn, down 2% on a comparable basis.
L’opérateur boursier allemand a fait part hier à ses actionnaires du lancement de son offre de fusion avec Nyse Euronext. Cette étape intervient après l’accord du régulateur boursier allemand (BaFin). L’offre est ouverte jusqu’au 13 juillet inclus. Elle concerne le rachat de l’ensemble des parts détenues par les actionnaires de Deutsche Börse par la future holding des deux groupes. Au moins les trois quarts des titres devront être apportés pour que l’opération réussisse.
Le directeur général d’IntercontinentalExchange Jeffrey Sprecher s’est attaqué hier au conseil d’administration de Nyse Euronext, qui rejette son offre conjointe avec Nasdaq OMX, aux dépens des actionnaires, selon lui. Il a déclaré que le conseil d’administration de Nyse «est le seul obstacle pour les actionnaires» à la conclusion d’un accord plus avantageux que l’offre émise par Deutsche Börse.
Le Fonds stratégique d’investissement a pris la défense de la direction de Valeo, accusée par le fonds Pardus de ne pas agir avec assez de fermeté pour doper le cours de Bourse. «Dans le cas de Valeo, la stratégie développée a permis une évolution du cours de Bourse très favorable depuis notre entrée», a commenté Jean-Yves Gilet, le directeur général, dont l’institution possède 5,88% de l'équipementier.
La société a présenté l’extension de son offre d’ETC adossés à des métaux industriels physiques avec la cotation de l’ETFS Physical Aluminium, l’ETFS Physical Lead (plomb) et l’ETFS Physical Zinc sur la Bourse de Londres depuis le mardi 3 mai.
L’ancien propriétaire d’une écurie de Formule 1 Eddie Jordan a confié que News Corp et Exor devraient sans doute consentir à verser quelque 7 milliards de livres, l’équivalent de 7,8 milliards d’euros, afin de mettre la main sur l’organisation de course automobile. Son propriétaire actuel, CVC Capital Partners, a indiqué avoir été approché par ces deux prétendants, de façon amicale et très préliminaire.
Selon les statistiques publiées par Eurostat, les ventes au détail dans la zone euro ont reculé de 1,0% en mars d’un mois sur l’autre, soit leur plus fort repli mensuel depuis novembre 2009. Sur un an, elles ressortent en baisse de 1,7%.
La croissance des services de la zone euro a ralenti en avril mais la solide performance du secteur industriel suggère que l'économie des 17 pays ayant adopté la monnaie unique a bien débuté le deuxième trimestre. L’indice Markit des services a reculé à 56,7 (contre 56,9 en estimation flash) après son plus haut de près de quatre ans touché en mars à 57,2.
Les modalités du plan de sauvetage de 78 milliards d’euros consenti au Portugal laisse craindre que le pays plonge dans une profonde récession en 2011 et 2012 estiment certains analystes. Par ailleurs, selon Reuters, le plan de sauvetage comprendrait 12 milliards d’euros pour une recapitalisation du secteur bancaire. L’accord prévoit que les banques portugaises devront porter leur ratio de fonds propres «durs» (core Tier 1) à 9% fin 2011 et à 10% fin 2012. Des responsables de l’UE et du FMI devaient rencontrer dans la journée des membres du principal parti d’opposition pour obtenir leur accord sur les modalités du plan, alors que des élections législatives anticipées sont prévues le 5 juin. L’annonce de l’accord a provoqué une certaine détente pour le papier portugais, dont les rendements ont reculé pour la première fois depuis plusieurs semaines. Le taux de l’emprunt à 10 ans, qui a touché mardi un plus haut historique depuis l’introduction de l’euro à 10,32%, reculait autour de 10% mercredi. Le spread avec le Bund allemand de même échéance a lui baissé à 677 points de base (pdb), contre un pic à 707 pdb mardi. Lisbonne a emprunté mercredi environ 1,12 milliard d’euros à trois mois, soit un peu plus que prévu, à des rendements en hausse par rapport à fin avril.
Soutenue par l’afflux de nouveaux contrats, la croissance de l’activité dans le secteur des services en France a atteint en avril son rythme le plus élevé depuis septembre 2000, montrent mercredi les résultats définitifs de l’enquête mensuelle Markit auprès des directeurs d’achats. L’indice PMI est monté à 62,9 contre 60,4 en mars.
Piloter ses emplois de fonds propres en fonction des exigences en termes de réserves de liquidité est l’un des principaux thèmes de travail pour l’année 2011 du Crédit agricole de Charente Périgord. Le service financier très dynamique de la caisse s’est ensuite attelé à renforcer la poche de titres subordonnés qu’elle a fait passé de 25 à 40 millions d’euros. «Sur tous les titres seniors non subordonnés, nous sommes allés sur du papier hors groupe», précise son trésorier junior Jean Marc Loison. Par contre, la caisse marque cette année, une rupture dans la gestion du portefeuille de placements. «Nous avons décidé de ne pas utiliser le potentiel offert par les bénéfices annuels de la caisse pour les emplois de fonds propres mais de le conserver exclusivement pour le refinancement de nos crédits», souligne Jean Marc Loison. Mais Bâle III a pesé sur la gestion car la caisse a opté pour une légère réduction de ses horizons de placements, à savoir 2014/2015 pour du papier senior mais n’a pas encore enclenché la mécanique d’investissement sur les OAT. Le rendement attendu tous portefeuilles confondus, est évalué à 4%. La caisse qui ne délègue rien, travaille avec une douzaine de sociétés externes au groupe et recherche actuellement des thématiques matières premières et du high yield qui lui «permettrait de compléter son portefeuille d’investissement et de se diversifier», comme le stipule Jean Marc Loison.
«Nous sommes dans l’attente de Bâle III pour prendre des décisions en termes de liquidité en interne», prévient d’emblée Didier Chaubet, trésorier au Crédit Agricole Nord Midi Pyrénées. Didier Chaubet admet regarder surtout des investissements en obligations en direct. «Depuis trois ans, l’orientation de notre politique financière est de protéger notre portefeuille d’excédents de fonds propres de tout risque de marché, observe le trésorier. Nous plaçons 30% de notre investissement en obligations détenues en direct et jusqu'à début 2010, nous étions à 70% de protection pour tomber à 65% au troisième trimestre 2010; on s’oriente aujourd’hui, vers une protection de notre portefeuille à 60%». Une stratégie qui n’a pas été dictée par la crise mais plutôt par une volonté de prudence car la caisse a passé au pic de la crise, 5 millions de provisions et géré un excédent de fonds propres de 750 millions d’euros. Aujourd’hui le TEC 5 est son objectif de rendement pour l’année 2011. «Nos objectifs pour l’année seraient de respecter les niveaux de risques que nous avons prévu de décliner, précise Didier Chaubet. Aujourd’hui, notre investissement maximum en actions est de 10%, en alternatif 10% aussi, 20% d’obligations, 8% dans les convertibles et aujourd’hui on en est encore à 65% d’exposition sans risque».
Intech Investment Management, société de gestion du groupe américain Janus Capital, vient de lancer la stratégie «Alpha Capture Index» associant pour 75 % des portefeuilles basés sur des indices pondérés par la capitalisation boursière et pour 25 % des portefeuilles equi-pondérés. «La recherche d’Intech démontre mathématiquement que les stratégies basées uniquement sur les indices de capitalisation boursière n’offrent pas une performance optimale et que les portefeuilles équipondérés ont, eux, des ‘tracking errors’ importantes. Intech a donc décidé de développer une troisième voie dans le domaine des stratégies passives en associant les deux types d’approches afin de pouvoir surperformer un indice pondéré par la capitalisation boursière tout un ayant un portefeuille avec une ‘tracking error’ faible et des coûts opérationnels bas», indique un communiqué. Les objectifs sont ceux de générer (hors frais) un alpha de 50-60 points de base au dessus de l’indice de capitalisation choisi, une ‘tracking error’ de 1,5% à 2% par an, une rotation de portefeuille d’environ 8% sur le long terme ainsi que des frais opérationnels faibles. A ce stade, la stratégie, qui est brevetée par la société, peut être mise en place avec trois indices : le S&P 500, le Russell 1000 et le MSCI Monde. «Il n’est pas impossible que la stratégie soit étendue à d’autres indices, mais pour l’instant Intech considère que ceux choisis sont les plus représentatifs et les plus utilisés par les investisseurs», indique Sylvain Agar, responsable du développement de l’Europe francophone du Groupe Janus, à Newsmanagers. «Pour l’instant, cette stratégie sera disponible, y compris en France, sous forme de mandats pour les investisseurs institutionnels qui souhaitent rester dans les stratégies passives mais doper la génération de l’alpha de leurs investissements. Si la stratégie suscite un appétit grandissant de la part d’autres investisseurs professionnels (fonds de fonds, banques privées etc.), nous pourrons envisager de structurer un fonds qui s’inspire de cette stratégie, mais il est encore un peu prématuré pour le dire… Ce serait une étape de développement supplémentaire», poursuit Sylvain Agar.Ce dernier conclut en précisant que le lancement de cette stratégie ne reflète nullement un changement de philosophie chez Intech, avec un passage de la gestion active à la gestion passive. «Cette nouvelle offre vient simplement compléter la gamme actuelle de stratégie de gestion active des actions américaines à grandes capitalisations, des actions mondiales et internationales, des long/short equity ainsi que la plate-forme sur mesure de solutions adaptées aux besoins des investisseurs institutionnels».
Simon Edelsten et Alex Illingworth rejoignent Artemis Investment Management pour constituer une nouvelle équipe de sélection d’actions à l'échelon mondial pour des clients retail et institutionnels, rapporte Money Marketing. Le premier travaillait jusqu'à présent pour Taube Hodson Stonex et le second chez Insight Investment.
OPM Fund Management va fermer au 9 mai son fonds Balanced Management, qui pèse 17 millions de livres, rapporte Fundweb. Il sera remplacé par deux nouveux fonds, le EFA OPM Diversified Target return et le EFA OPM Worldwide Opportunities. Cette décision a été prise par la société de gestion britannique suite à la réforme Retail Distribution Review (RDR), qui poussera les conseillers financiers (IFA) à proposer des allocations par portefeuille à leurs clients. Ce qui, selon Tony Yousefian, chief investment officer d’OPM Fund Management, les empêchera d’investir dans un seul fonds à l’allocation «équilibré».
Estimant que la hausse du prix de l’or va se poursuivre, Schroders a modifié l’approche d’investissement et l’objectif de son fonds Schroder AS Gold & Metals Fund qui devient un fonds géré activement focalisé sur l’or. Dans ce cadre, le produit est renommé Schroder AS Gold and Precious Metals Fund. Le fonds «nouvelle génération» sera géré activement par Paula Bujia, gérante senior de l’équipe matières premières de Schroders, qui représente 12,5 milliards de dollars au 31 mars. Il pourra être investi sur des futures, des swaps, des ETF à réplication physique et des actions. Il se mesurera à un indice de référence composé à 75 % du prix de l’or spot et à 25 % d’actions aurifère (NYSE Gold Bugs Index). Le fonds a pour vocation d’être investi à hauteur de 50-100 % dans l’or, mais il peut détenir jusqu’à 50 % d’actions aurifère. Il peut aussi être investi jusqu’à 33 % de son actif dans d’autres métaux précieux comme l’argent et le platine ou dans des liquidités.
Sur les six mois au 31 mars 2011, la société de gestion britannique Aberdeen Asset Management a enregistré un bénéfice sous-jacent avant impôts de 142,8 millions de livres, soit une hausse de 54 % par rapport à fin mars 2010, sur des revenus de 385,9 millions de livres. Les encours sont ressortis à 181,2 milliards de livres, en augmentation par rapport aux 170,9 milliards de livres de mars 2010. Pourtant, au premier semestre de son exercice, Aberdeen AM a accusé des rachats nets de 700 millions de livres, alors qu’elle avait enregistré des souscriptions nettes de 100 millions de livres sur la période correspondante de 2010.Dans le détail, la société a accusé des rachats nets sur toutes les classes d’actifs à l’exception des actions qui ont recueilli 5,5 milliards de livres en net.
Sur les trois premiers mois de 2011, F&C Asset Management a enregistré des souscriptions nettes de 195 millions de livres (hors assurances). Ses encours ont ainsi augmenté à 106,1 milliards de livres, contre 105,8 milliards au 31 décembre. La société de gestion britannique confirme par ailleurs dans un communiqué que son conseil d’administration passe en revue sa stratégie. Par ailleurs, plusieurs lancements de fonds Ucits III à performance absolue sont en cours et notamment celui d’un fonds obligations à haut rendement monde.
Au premier trimestre, le pôle Investment Solutions de BNP Paribas a enregistré des souscriptions nettes de 8,3 milliards d’euros. Selon la banque, la contribution de tous les métiers est positive : +4,7 milliards d’euros pour la Banque privée (soit un taux de collecte annualisé de 7,3%) ; +2,3 milliards d’euros dans l’Assurance ; +0,9 milliard d’euros dans la Gestion d’actifs grâce à l’obtention de nouveaux mandats sur les fonds diversifiés et obligataires et à une moindre décollecte sur les fonds monétaires ; enfin, +0,4 milliard d’euros chez Personal Investors. Malgré l’effet change défavorable lié à l’appréciation de l’euro, cette collecte permet aux encours sous gestion (actifs gérés et conseillés pour les clients externes) de progresser de 3,5% par rapport au 31 mars 2010 pour atteindre 904 milliards d’euros. Les revenus d’Investment Solutions, à 1.605 millions d’euros, sont en hausse de 12,2% par rapport au premier trimestre 2010. «Les revenus de la Gestion Institutionnelle et Privée (+7,6%) sont tirés par la très bonne performance de la Banque privée et de Personal Investors, notamment en Allemagne. Ceux de l’Assurance progressent de 20,7%, grâce à la croissance tant en France que hors de France. L’augmentation des actifs, combinée au net rebond des volumes de transactions, permet aux revenus de Securities Services de progresser de 14,4%», précise la banque. Dans le cadre de la poursuite de l’intégration des entités de BNP Paribas Fortis et de BGL BNP Paribas, 135 millions de synergies ont été réalisées au premier trimestre portant le total des synergies cumulées à 733 millions d’euros pour un objectif révisé de 1,2 milliard d’euros en 2012. Cette performance est en ligne avec le nouveau plan annoncé fin 2010.BNP Paribas a annoncé le 4 mai un bénéfice net, part du groupe, de 2,61 milliards d’euros, en hausse de 14,6% par rapport au premier trimestre 2010. La rentabilité annualisée des capitaux propres s’établit à 15,1% contre 14,4% au premier trimestre 2010. Le bénéfice net par action du premier trimestre atteint 2,12 euros, en hausse de 13,6% par rapport au premier trimestre 2010.
Le hedge fund français Nexar Capital, fondé par d’anciens collaborateurs et dirigeants de SGAM AI, a annoncé l’acquisition de la société de gestion alternative Ermitage Group pour un montant non divulgué, rapporte Les Echos. Il s’agit une nouvelle opération qui intervient six mois seulement après le rachat d’Allianz Alternative Asset Management (AAAm). Nexar, qui s’est associé dès sa création en septembre 2009 à un fonds américain de capital-risque spécialisé Aquiline, vise autour de 10 milliards d’euros d’encours d’ici à 2015, grâce à une combinaison de croissance organique et de rachats opportunistes.
Deux ans après le rapprochement avec La Française des Placements, le groupe UFG-LFP tire un bilan très positif de l’opération et reste fixé sur ses objectifs. Après la mise en place en 2010 du nouveau dispositif avec le développement de partenariats stratégiques et des premiers jalons du déploiement à l’international, le groupe entend faire de 2011-2012 des années de concrétisation du business model, axé sur la gestion privée et l’international, a souligné le président du directoire d’UFG-LFP, Xavier Lépine à l’occasion d’un point de presse.UFG-LFP, dont la collecte nette long terme (hors 800 millions de rachats sur le monétaire) s’est élevée l’an dernier à près de 2 milliards d’euros pour des encours qui dépassent les 35 milliards d’euros, souhaite devenir un leader européen parmi les asset managers multi-spécialistes. «Les clients on besoin de spécialistes. Nous ne prétendons pas tout faire mais nous devons bien faire ce que nous faisons», a lancé Xavier Lépine. Ce qui devrait se traduire par la concentration sur certains segments de clientèle et certaines expertises. A savoir les expertises historiques que sont les taux (18 milliards d’euros d’encours) ou la gestion diversifiée (5,7 milliards) mais également la montée en puissance de nouveaux savoir-faire dans les actions (1,6 milliard) et la performance absolue (300 millions d’euros). Dans l’immobilier, dont les encours s'élèvent désormais à 5,8 milliards d’euros, le groupe veut se concentrer sur la gestion pour compte de tiers et envisage de déléguer à Nexity les activités de property management dans le cadre d’un partenariat dans lequel UFG-LFP serait minoritaire. A l’international, le plan de développement à partir de la plate-forme administrative du Luxembourg va se poursuivre tambour battant au cours des prochains mois. Plusieurs recrutements et un projet de partenariat de distribution en Allemagne avec Klimek Advisors devraient intervenir qui feront passer les effectifs de 19 personnes actuellement, à au moins 22 (12 commerciaux et 10 personnes en support) avant la fin de l’année. Les encours à l’international pourraient représenter 5% des actifs totaux sous gestion dans les deux à trois ans contre 800 millions d’euros aujourd’hui. Enfin, le groupe relève qu’il fait partie des gérants les plus reconnus à la fois par la clientèle des institutionnels et des prescripteurs mais veut encore peaufiner son image et envisage très sérieusement de changer de nom…