Following months of speculation, Lloyds Banking Group has announced that it will retain its majority stake of 60% in the management firm St James’s Place, Money Marketing reports. Assets under management at St James’s Place as of 31 March totalled GBP28bn, compared with GBP27bn as of the end of 2010, and GBP21.4bn as of the end of March 2010.
Amy Lo, head of Asian operations at UBS, on Thursday announced that the Swiss group is aiming for growth in the next three to five years of 10-20% in assets under management in Asia for high net worth clients (those with over USD50m in assets), Handelsblatt reports.To achieve that goal, the bank will recruit client advisers to increase their total numbers by one third, to 1,200 advisers, at a time when staff reductions will be ongoing in other regions.As of the end of 2010, 22% of CHF768bn in assets in UBS’ wealth management division came from Asia.
The opposition party Partido Popular has obtained support from all other groups in the Senate to propose that the Senate economy and finance commission pass a motion calling on the Spanish government to introduce a limit on commissions charged by banks to retirement savings plans, and to set up a variable commission which would depend on performance, Cinco Días reports. The argument is that banks run no risks with these savings plans.
Temasek, one of two sovereign funds in Singapore, on 7 July announced a net profit of SGD13bn, or about USD7.4bn, for its fiscal year ending on 31 March 2011, compared with SGD5bn one year previously.The asset portfolio has reached a record SGD193bn, compared with SGD186bn as of the end of March 2010. Asia will remain the priority region for investments by the holding company, which is present in the capital of a large number of businesses in the transport sector (Singapore Airlines), telecommunications, finance, and real estate. Asia represents 77% of the fund’s portfolio, with 32% for Singapore, followed by North American, Europe and Australia (at about 20% each).Temasek says in a statement that investments since March 2002 have earned annualised returns over nine years of 21%. Over ten years, the global portfolio shows annualised returns of 9%.
A survey in second quarter by Forsa on behalf of Union Investment, covering financial decision-makers aged 20 to 59 in 500 German households has found that now 45%, up from 42% in January-March, estimate that the ecological impact of financial investments is the most important criterion. Meanwhile, 49%, compared with 54%, feel that the social aspect is determinant for a sustainable investment.This development may be attributed to an increase in environmental awareness following the Fukushima disaster, says Daniel Günnewig, CEO of Union Investment Privatfonds. Meanwhile, 31% of respondents estimate that the sustainable development aspect of their investments is important (comppared with 32% in first quarter). The percentage who are not interested in these issues has fallen to 23%, from 27% in January-March.
L’Autorité de contrôle prudentiel et l’Autorité des marchés financiers ont constaté une forte augmentation des propositions d’investissements sur le marché des changes auprès des particuliers. Cette alerte vise en particulier neuf sites internet pour lesquels aucun prestataire autorisé n’a pu être clairement identifié.
Le marché danois des obligations indexées sur des créances hypothécaires ne devrait pas subir de dégradation de la part de S&P, malgré les alertes de Moody’s sur les risques de refinancement que représentent de tels titres quand ils sont à taux variables. Realkredit, la filiale de Danske Bank, avait écarté Moody’s de la notation de ses émissions de «covered bonds» après que l’agence a menacé la banque de dégradation. Alan Boyce, directeur général de la coentreprise de George Soros, Absalon Project, a indiqué que les exigences de Moody’s étaient «ridicules». «Vous achetez des obligations danoises si vous ne souhaitez aucun risque de crédit et beaucoup de liquidité» a-t-il estimé.
L’investisseur a cédé 19,3 millions d’actions de classe B de sa société Berkshire Hathaway pour un montant de 1,5 milliard de dollars au titre de sa contribution annuelle à la fondation caritative de Melinda et Bill Gates, selon un communiqué. Les actions ont clôturé à 77,77 dollars hier à New-York. Le financier entend donner, à terme, 99% de sa fortune à des associations.
L’apparition du trading de haute fréquence et la course à la réduction du temps de réalisation des transactions accroît la volatilité sur les marchés et crée un risque systémique, selon le quotidien qui cite des propos tenus à Pékin par Andrew Haldane, le dirigeant de la stabilité financière au sein de la Banque d’Angleterre.
La filiale de gestion de Dexia va ouvrir un bureau de représentation à Londres et un autre à Dubaï, avec la Chine en ligne de mire à plus long terme. Le groupe vise 4 milliards d’euros de collecte nette sur 2011 alors qu’il n’en a gagné que 400 millions au premier trimestre.
Le gestionnaire d’actifs a envoyé un courrier électronique à ses conseillers financiers pour les informer d’un relèvement au mois de novembre prochain des commissions prélevées sur sept fonds de clientèle privée et deux fonds institutionnels. Les clients devraient en être informés la semaine prochaine par courrier. Une initiative malheureuse et au calendrier inapproprié aux yeux d’un conseiller interrogé par le quotidien.
Les banques centrales ont retiré 635 tonnes d’or auprès de la Banque des règlements internationaux, appelée «la banque des banques centrales», l’année dernière, souligne le quotidien d’après le rapport annuel de la BRI. Il s’agit du montant le plus important jamais retiré depuis plus d’un siècle. Les banques centrales détenaient environ 30.000 tonnes de lingots dans leurs réserves et comptent les utiliser comme une devise.
Le coût de l’assurance contre un défaut de la dette souveraine du Portugal a atteint un niveau record, en réaction à l’abaissement par Moody’s de la note du pays. Les credit defaut swaps (CDS) à cinq ans sur le papier portugais sont en hausse de 95 points de base (pdb) à 1.015 pdb. Ceci signifie qu’il coûte 1,015 million d’euros pour assurer 10 millions d’euros d’obligations portugaises. Sur le marché obligataire, le rendement du papier portugais à deux ans atteint environ 17,8% tandis que celui du papier à dix ans ressort autour de 14%. Le coût de l’assurance sur un défaut grec est quant à lui en hausse de plus de 100 pdb à 2.200 pdb. Les rendements de la dette italienne et espagnole à dix ans sont également en hausse, respectivement autour de 5,15% et 5,66%. L'écart de rendement entre le papier allemand à dix ans et son équivalent italien a ainsi atteint 224 pdb, un plus haut depuis la création de l’euro.
La Bourse de dérivés Eurex a annoncé le lancement le 19 septembre prochain d’un nouveau contrat sur la dette publique italienne à moyen terme, le Mid-Term Euro BTP Future. Ce future sera basé sur des emprunts de maturités résiduelles allant de 4 à 6 ans et dont la maturité de départ n’excède pas 16 ans. Le contrat aura une valeur nominale de 100.000 euros et portera un coupon de 6%. En septembre 2009 et octobre 2010, Eurex avait lancé des contrats sur les parties longue et courtes de la courbe italienne, et revendique à ce jour 3 millions de contrats traités.
La production manufacturière britannique a progressé à rythme sans précédent en plus d’un an en mai après un ralentissement en avril, provoqué par le mariage princier, montrent les données publiées jeudi. La production manufacturière, qui n’inclut pas les services aux collectivités et l’extraction du gaz, a augmenté de 1,8% en mai après une baisse révisée de 1,6% en avril. C’est la plus forte hausse enregistrée depuis mars 2010. Sur un an, la hausse est de 2,8%.
L’Irlande pourra de nouveau se financer sur les marchés d’ici la fin de l’année 2012, a dit le ministre irlandais de la Dépense publique, malgré la hausse des rendements de la dette souveraine provoquée par l’abaissement de la note du Portugal.
Le déficit commercial de la France a battu en mai le record établi le mois précédent, sous l’effet d’une hausse des importations, notamment énergétiques, et d’une relative atonie des exportations. Le solde de la balance commerciale s’est établi à -7,422 milliards d’euros, après -7,174 milliards (révisé) en avril, selon les données CVS/CJO publiées jeudi par les Douanes.
Comme attendu, la Banque centrale européenne (BCE) a annoncé un nouveau relèvement de ses taux directeurs, après un premier resserrement en près de trois ans en avril, afin de lutter contre une inflation jugée trop élevée dans la zone euro à 2,7% en juin. Elle relève ainsi le taux de refinancement d’un quart de point à 1,50%, le taux de prêt de 0,25 point à 2,25% et le taux de dépôt à 0,75%. De son côté, la Banque d’Angleterre (BoE) a maintenu comme prévu jeudi son taux d’intervention au plus bas record de 0,5%. La BoE a par ailleurs maintenu le niveau des achats liés à l’assouplissement quantitatif à 200 milliards de livres. Les signes de faiblesse économique localement et à l'étranger semblent l’avoir emporté sur une inflation qui dépasse l’objectif de la banque centrale. Ce taux n’a plus bougé depuis mars 2009.
L’Espagne a facilement adjugé jeudi pour trois milliards d’euros d’obligations arrivant à échéance en 2014 et 2016, moyennant une hausse des rendements sur le papier à cinq ans. Madrid a adjugé pour 1,5 milliard d’euros d’obligations 2014 à un taux de rendement moyen de 4,291% avec un coefficient de couverture de 2,3. L’autre adjudication a porté sur 1,5 milliard d’euros d’obligations 2016 donnant un rendement moyen de 4,871% contre 4,549% lors d’une émission semblable organisée en mai. Le coefficient de couverture est de 2,9 contre 1,9 observé lors de l’adjudication de mai.
La production industrielle allemande a renoué avec la croissance en mai, montrent les données publiées jeudi par le ministère allemand de l’Economie. La hausse est ressortie à 1,2% (contre +0,6% attendus par le consensus) d’un mois sur l’autre, après une baisse de -0,8% (révisé de -0,6%).
Le 30 juin, la CNMV a donné son agrément de commercialisation aux parts A (ES0131236004) et B (ES0131236012) du fonds d’investissement libre (hedge fund coordonné de droit espagnol) EQMC, qui porte le nom d’une sicav irlandaise (120 millions d’euros) de N+1 (N mas 1) Asset Management, dont les dépositaire est Santander Investment. La liquidité de ce produit destiné aux investisseurs institutionnels sera semestrielle.Ce fonds prendra des participations minoritaires, et actives, dans 8 à 12 sociétés européennes cotées pour les aider à se développer. L’objectif pour le fonds espagnol est de collecter entre 250 millions et 300 millions d’euros sur 3 ans, avant de le clôturer.Les parts A (souscription minimale 1 million d’euros) sont assorties d’une commission de gestion de 1,6 % et les parts B (100.000 euros) d’une commission de 2 %. Dans les deux cas, il est prévu une commission de performance de 15 %.Selon Funds People, le portefeuille de la sicav irlandaise est investi à 65 % dans des firmes allemandes, à 17 % dans des sociétés britanniques, et à 10 % tant des entreprises nordiques que des sociétés ibériques.
Le 30 juin, la CNMV a donné son agrément de commercialisation aux parts A (ES0131236004) et B (ES0131236012) du fonds d’investissement libre (hedge fund coordonné de droit espagnol) EQMC, qui porte le nom d’une sicav irlandaise (120 millions d’euros) de N+1 (N mas 1) Asset Management, dont les dépositaire est Santander Investment. La liquidité de ce produit destiné aux investisseurs institutionnels sera semestrielle.Ce fonds prendra des participations minoritaires, et actives, dans 8 à 12 sociétés européennes cotées pour les aider à se développer. L’objectif pour le fonds espagnol est de collecter entre 250 millions et 300 millions d’euros sur 3 ans, avant de le clôturer.Les parts A (souscription minimale 1 million d’euros) sont assorties d’une commission de gestion de 1,6 % et les parts B (100.000 euros) d’une commission de 2 %. Dans les deux cas, il est prévu une commission de performance de 15 %.Selon Funds People, le portefeuille de la sicav irlandaise est investi à 65 % dans des firmes allemandes, à 17 % dans des sociétés britanniques, et à 10 % tant des entreprises nordiques que des sociétés ibériques.
Le 30 juin, la CNMV a donné son agrément de commercialisation aux parts A (ES0131236004) et B (ES0131236012) du fonds d’investissement libre (hedge fund coordonné de droit espagnol) EQMC, qui porte le nom d’une sicav irlandaise (120 millions d’euros) de N+1 (N mas 1) Asset Management. Le dépositaire est Santander Investment.Ce fonds destiné aux investisseurs institutionnels et dont la liquidité sera semestrielle prendra des participations minoritaires, et actives, dans 8 à 12 sociétés européennes cotées pour les aider à se développer. L’objectif pour le fonds espagnol est de collecter entre 250 millions et 300 millions d’euros sur 3 ans, avant d'être clôturé.Les parts A (souscription minimale 1 million d’euros) sont assorties d’une commission de gestion de 1,6 % et les parts B (100.000 euros) d’une commission de 2 %. Dans les deux cas, il est prévu une commission de performance de 15 %.Selon Funds People, le portefeuille de la sicav irlandaise est investi à 65 % dans des firmes allemandes, à 17 % dans des sociétés britanniques, et à 10 % tant dans des entreprises nordiques que des sociétés ibériques.
La société de gestion espagnole Alpha Plus vient de lancer un contrat de retraite (Alpha Plus Horizonte fund) qui va mettre en oeuvre une stratégie prenant en compte les critères environnementaux, sociétaux et de gouvernance (ESG) et qui investira dans les actions et l’obligataire, rapporte le site IPE.com"Le fonds sera géré selon des critères éthiques tels que le respect des droits de l’homme et l’environnement», souligne le patron d’Alpha Plus, Javier Amo Fernandez del Avila. La moitié des frais de gestion sera reversée à la fondation de l’université de Navarre pour la recherche médicale appliquée.