La société de gestion GAM a réorganisé la gestion de plusieurs fonds suite aux départs de 13 gérants de fonds à la fin de l’année dernière, rapporte Citywire Selector. La réorganisation s’inscrit dans le plan dévoilé l’an dernier de réduire les effectifs du groupe à Londres et à Zurich. Pour le moment, elletouche précisément un fonds obligataire, un fonds actions japonaises et un fonds thématiquesur le luxe. D’après les informations du media britannique, le fondsGAM Multibond – ABS sera désormais supervisépar Tom Mansley et Gary Singleterry, suite aux départs deMatthias Wildhaber etLaurence Kubli, qui co-géraient précédemment le fonds. De la même manière, le fonds GAM Multistock – Luxury Brands, qui était géré par Scilla Huang Sun sera placé sous le contrôledeSwetha Ramachandran à partir du 8 mars prochain. Enfin, l'équipe d’investissement quantitative de la société, GAM Systematic Cantab, a été ajoutée à la gestion du fondsGAM Japan Equity qui est co-géré parErnst Glanzmann et Reiko Mito. Précédemment, outreErnst Glanzmann et Reiko Mito, le fonds étaitgéré parCarlo Capaul et Stefan Fröhlich, tous les deux partis en décembre dernier. La société a précisé que sa stratégie «Japan Leaders» n’a en revanche pas été modifiée.
Les actions ne pèsent plus que 45% des portefeuilles, soit un retour sur le niveau de juillet 2016. L’obligataire renoue avec des plus hauts de 30 mois.
La Commission a félicité dans un communiqué le Parlement européen et les États membres pour l’accord trouvé ce 25 février sur une nouvelle génération d’indices de référence bas carbone, «nécessaires pour stimuler l’investissement dans les actifs et projets durables». La réglementation proposée doit encore être officiellement approuvée par le Parlement européen et le Conseil. Cette nouvelle réglementation créerait deux nouvelles catégories d’indices de référence «bas carbone» : une catégorie d’indices de référence de transition climatique et une catégorie d’indices de référence spécialisés, permettant d’aligner les portefeuilles d’investissement sur l’objectif de l’accord de Paris consistant à limiter l’augmentation des températures au niveau mondial à 1,5 degré au-dessus de leurs niveaux pré-industriels. Initialement proposée par la Commission en mai 2018, la réglementation convenue aujourd’hui soutient l’objectif de l’union des marchés des capitaux (UMC) d’une finance en prise avec les besoins de l'économie et ceux du programme de l’UE en faveur du développement durable. «Cet accord va permettre de proposer aux investisseurs deux catégories d’indices de référence fiables pour poursuivre des stratégies climatiques ambitieuses. Il marque une étape importante dans la mise en œuvre du plan d’action de la Commission sur le financement de la croissance durable, car la réglementation proposée va contribuer à réorienter les flux de capitaux vers des investissements durables», a souligné Valdis Dombrovskis, vice-président de la Commission européenne chargé de l’euro et du dialogue social, également chargé de la stabilité financière, des services financiers et de l’union des marchés des capitaux. Les deux nouvelles catégories d’indices qui seront créées seront des labels d’adoption volontaire, conçus pour guider les investisseurs désireux d’adopter une stratégie d’investissement respectueuse du climat. Les indices de transition climatique offriront une alternative «bas carbone» aux indices de référence communément utilisés, tandis que les indices alignés sur l’accord de Paris ne référenceront que les entreprises en mesure de démontrer qu’elles respectent l’objectif d’une augmentation des températures limitée à 1,5 degré. Ces nouveaux labels visent à offrir des garanties supplémentaires contre le risque d’"écoblanchiment», c’est-à-dire le risque que les investisseurs puissent être trompés par les bénéfices environnementaux fallacieux ou infondés certifiés par un indice. Des éléments à préciser Un groupe d’experts techniques va à présent conseiller la Commission sur la manière de sélectionner les entreprises pouvant prétendre à être incluses dans les nouveaux indices. Il la conseillera également sur la question de savoir s’il convient d’exclure certains secteurs économiques des indices spécialisés alignés sur l’accord de Paris. Une fois que le groupe d’experts se sera prononcé, la Commission proposera des actes délégués détaillant la composition des deux catégories d’indices. Les institutions de l’UE ont aussi convenu séparément d’accorder aux fournisseurs d’"indices de référence d’importance critique» – les taux d’intérêt tels que l’Euribor ou l’EONIA – deux années supplémentaires, soit jusqu’au 31 décembre 2021, pour se conformer aux nouvelles exigences du règlement sur les indices de référence. Étant donné l’importance cruciale des indices de référence de certains pays tiers pour les entreprises de l’UE, deux années supplémentaires ont également été prévues pour les indices produits hors UE, afin de disposer d’un délai supplémentaire pour travailler avec les régulateurs des pays tiers concernés sur la manière dont ces indices pourraient être reconnus comme équivalents ou autrement approuvés aux fins de leur utilisation dans l’UE. Pour entrer en vigueur, la nouvelle réglementation devra être officiellement adoptée par le comité des représentants permanents (COREPER) du Conseil des ministres et par le Parlement européen. AB.
J.P. Morgan Private Bank has appointed Reto Demostene as head of its wealth management arm in Zurich, the US-based bank said in a statement on Friday. The Swiss banker has spent his entire 26-year career with UBS, most recently catering to ultra-high net worth clients. He was managing director and senior relationship manager for UBS Wealth Management. He will report to Matteo Gianini, the head of Swiss private banking at the USbank.
The weeks are lining up in the first quarter of the year, but investors are continuing to stay away from equities, in favour of bonds, which continue to be supported by inflections of monetary policy by central banks, according to the latest Bank of America Merrill Lynch Global Research study. Equity funds attracted only $0.3bn in the week to 27 February, with $10.2bn of inflows to ETFs, but $9.9bn in outflows from open funds, according to the study, based on data from the global flow evolution monitoring specialist EPFR Global. US equity funds have stood out in particular in the week under review, with inflows of $9.1bn, the largest in the past 23 weeks. US large caps have attracted $4.6bn, but this is the exception which proves the rule in the past few weeks, as investors steer clear of equities. European equity funds have seen net outflows of over $4bn. Japanese equities, with redemptions of $0.9bn, show a third week of net outflows, while funds specialised in emerging market equities show more modest redemptions of $0.1bn. Analysts at Bank of America Merrill Lynch report that with outflows of $50.3bn, the equity asset class has had its worst start to the year since 2016. However, bonds are benefiting from the accommodating attitude of the Federal Reserve, which has not hardened its policy as markets have risen. In the past week, bond funds attracted $6.5bn, for an eighth week of positive net inflows. Investment grade (IG) bond funds have seen a sixth consecutive week of net inflows, totalling nearly$3bn, while emerging market debt funds have attracted a further $1.1bn.
Le prestataire de services financiers et gestionnaire de fortune suisse VZ Groupa dégagé l’an dernier un bénéfice net de 98,2 millions de francs suisses, en progression de 13,1% par rapport à2017. En excluant une provision de 5,2 millions de francs constituée en 2017 dans le cadre de créances litigieuses sur la TVA, le bénéfice net a enregistré une croissance de 8,1% l’an dernier, précise dans un communiqué le groupe basé à Zurich. La collecte nette a fait un bond de11% à 2,6 milliards de francs, mais l’impact négatif des marchés a entraîné une progression de seulement 1,3 milliard de francsdes actifssous gestion à 23,1 milliards, contre 21,8 milliards fin2017. «Les turbulences sur les marchés financiers continuent d’avoir un impact et devraient encore affecter l’année fiscale en cours, estime Matthias Reinhart, directeur général de VZ Group. En 2018, la valeur de nos actifs sous gestion a augmenté d’un peu moins de 6%, contre plus de 18% la même période l’an dernier. Je m’attends à une croissance des revenus plus faible pour 2019. Cependant, la base de clientèle continue de grossir et la pénétration de notre base de clients avec les services VZ se développe «agréablement». Je ne prévois pas à court terme que cette croissance compensera pleinement la situation difficile de 2019; Nous prévoyons une croissance plus faible des bénéfices pour l’année en cours, avant que la croissance ne revienne à la normale à partir de 2020", a conclu le dirigeant dans un communiqué. . Dans ce contexte difficile, VZ entend néanmoins renforcer ses effectifs. Le nombre de conseillers devrait ainsi augmenter d’une douzaine pour atteindreun total de 160 équivalents plein temps.
In 2018, VZ Group’s operating revenues grew by 9.2 % to CHF 284.2m. Net profit rose by 13.1 % to CHF 98.2m. Due to the market turbulences in the previous year, CEO Matthias Reinhart expects significantly weaker profit growth in 2019. Net new money grew by 11% to CHF 2.6bn, while the value of assets under management rose from CHF 21.8bn to CHF 23.1bn. The difference is due to the market correction. VZ Group’s operating revenues grew by 9.2 % year-on-yearto CHF 284.2m. At 13.1 %, net income rose significantly stronger to CHF 98.2m. Adjusted for the CHF 5.2m set aside in 2017 for disputed VAT claims, actual profit growth was 8.1 percent. All asset classes lost in value in 2018. This slowed revenue growth inassets under management, VZ Group’s largest revenue component, particularly in the fourth quarter. In addition, negative interest rates are placing an increasing burden on the income statement. By contrast, the above-average trading volume led to a one-off increase in banking revenues. «The turbulences on the financial markets continue to have an impact and will also burden the current financial year,"says Reinhart. In 2018, assets under management increased by just under 6 percent, compared with over 18 percent over the same period in 2017. Reinhart therefore expects weaker revenue growth for 2019. Meanwhile, the client base is broadening further and the penetration of the client base with VZ services is developing pleasingly. In the short term, Reinhart does not anticipate that this growth will fully compensate for the difficult situation in 2019 : «We expect weaker profit growth in the current year, before growth should return to normal from 2020 onwards.»
DWS Investment va procéder à lafusion dedeux fonds le 9 avril prochain, a appris NewsManagers. Le fonds DWS Invest New Resources,investi dans les valeurs des secteurs des matières premières, de l'énergie et des services, va être absorbé par le fonds DWS Invest Climate Tech,stratégie d’investissement diversifiée etaxée sur la protection du climat. Dans une lettre aux investisseurs consultée par NewsManagers, DWS explique que «depuis le milieu de l’année 2008, l’actif du compartiment DWS New Resources est passé de 500 millions d’euros à 46,8 millions d’euros (43,9 millions d’euros au 28 février) en raison de sorties continues de capitaux.» «L’analyse des ventes montre que les investisseurs ne s’intéressent plus à la stratégie d’investissement du fonds incorporé, comme en témoigne l’absence d’apports de fonds nets au cours des 24 derniers mois», développe le gestionnaire d’actifs allemand, pour qui le «climate tech» est «un thème stratégique important pour les décennies à venir du point de vue de la société DWS.» Le fonds DWS Invest Climate Tech comptait 6,43 millions d’euros d’encours fin février 2019. Au 31 mars 2018, DWS gérait 676 milliards d’euros d’actifs.
DWS Investment will be merging two funds on 9 April, NewsManagers has learnt. The DWS Invest New Resources, which invests in stocks in the commodity, energy and service sectors, will be absorbed into the DWS Invest Climate Tech, a diversified investment strategy focused on environmental protection. In a letter to investors seen by NewsManagers, DWS explains that “since mid-2008, the active allocation of the DWS New Resources fund has decreased from €500m to €46.8m (€43.9m as of 28 February 2019), due to ongoing divestment of capital.” “Sales analysis shows that investors are no longer interested in the investment strategy of the absorbed fund, as shown by the lack of net inflows in the past 24 months,” the German asset management firm continues, adding that climate tech is “a major strategic theme for the coming decades in the view of DWS.” The DWS Invest Climate Tech fund had €6.43bn in assets as of the end of February 2019. As of 31 March 2018, DWS had €676bn in assets under management.
Malgré un environnement de marchés difficile, le groupe britannique MAN a enregistré des entrées nettes de 10,8 milliards de dollars contre 12,8 milliards de dollars l’année précédente, a annoncé ce 1er mars le groupe de gestion. Parallèlement, l’impact marchés a été négatif de 7,7 milliards de dollars alors qu’il avait apporté une contribution de 2,9 milliards de dollars en 2017 tandis que l’impact devises a été négatif de 3,7 milliards de dollars (contre +2,9 milliards de dollars en 2017). Les actifs sous gestion se sont ainsi légèrement contractés à 108,5 milliards de dollars à fin décembre 2018 contre 109,1 milliards de dollars un an plus tôt. Les revenus nets ont reculé d’un peu plus de 150 millions de dollars pour s'établir à 913 millions de dollars en 2018 contre 1,069 milliard l’année précédente. Les revenus des commissions de gestion ont progressé à 791 millions de dollars contre 736 millions en 2017 mais les commissions de surperformance ont chuté à 122 millions de dollars contre 333 millions précédemment (-63%). Le bénéfice ajusté avant impôts s’est replié à 251 millions de dollars contre 384 millions en 2017, soit une chute de près de 35%. Commentant les perspectives pourl’année 2019, Luke Ellis, directeur général de Man, indique dans un communiqué que la société a remporté un nombre conséquent de mandats mais que l'évolution des marchés pousse les clients à ajuster leurs portefeuilles, ce qui se traduit par une augmentation des rachats.
As at 31 December 2018, assets under management of Man Group totalled $108.5bn. Net inflows amounted to $10.8bn versus$12.8 bn in 2017.“2018 was a more difficult year for the asset management industry, characterised by periods of higher volatility which impacted performance across asset classes and investment styles. Against this backdrop we reported a decrease in performance fee profits but are pleased to have once again outperformed peers and made continued progress in areas we can influence. We have managed costs while investing for growth, further diversified to capture new opportunities and strengthened client relationships, helping us to achieve broad based net inflows of $10.8bn», said Luke Ellis, CEO of Man Group, in a press release. The CEO added that Man Group has had a healthy number of new mandate wins but as clients respond to changes in the market and adjust their portfolios it has also seen redemptions picking up. The group noted a negative investment moveof $7.7bn in 2018 and FX conversion and other movements of -$3.7bn. Adjusted profit before tax amounted to $251m in 2018 versus $384m in 2017.
The global index of investor confidence published by State Street Global Exchange stood at 70.9 in February, up by 1.5 points from January’s level (69.4 in corrected figures.) Investor confidence in North Ametica improved slightly, with the regional index up from 65.7 to 66.3. The European confidence index is up 6.1 points to 96.0, while the Asian confidence index is down by 3.5 points to 96.4. “Institutional investors remained prudent in February, and continued to hesitate to commit to high-risk assets,” says Kenneth Froot, one of the creators of the index. “Given that growth is sluggish and that uncertainties persist about trade policy, it seems that a more accommodating attitude by the US Federal Reserve and hopes of progress in trade relations between the United States and China have not been enough to reverse a trend toward aversion to risk.” “After a steep drop for the global index last month, the confidence of institutional investors is not showing many signs of recovery. Although the volatility in all asset classes has been reduced, the bruises from the market drop in fourth quarter, and more pronounced uncertainty concerning growth in Europe and China, are holding back investor confidence,” adds Rajeev Bhargava, managing director and director of the investor behaviour research group at State Street Associates.
Deka vient d’annoncer le lancement du fonds Deka-UnternehmerStrategie Europa, un fonds dédié aux entreprises dirigées et contrôlées par des familles. Le fonds investira exclusivement dans des sociétésprincipalement influencées par un entrepreneur ou une famille entrepreneuriale. En l’occurence, lorsqu’au moins 20% des droits de vote ou 10% des droits de vote et un siège au conseil de surveillance ou au directoire sont entre les mains d’une famille. L’univers d’investissement comprend ainsi 800 entreprises dans tous les secteurs, principalement des petites et moyennes entreprises. Les actifs sous gestion de Deka s'élevaient à environ 288 milliards d’euros.
La France et les Pays-Bas jouent l’apaisement après le psychodrame provoqué par la montée surprise de l’Etat néerlandais à hauteur de 14% du capital d’Air France-KLM, faisant quasiment jeu égal avec les 14,3% de l’Etat français. Les ministres des Finances des deux pays, Bruno Le Maire et Wopke Hoekstra, qui se sont rencontrés pendant une heure et demie ce matin à Bercy, ont annoncé le lancement d’un groupe de travail conjoint, censé rendre d’ici fin juin des conclusions permettant de dissiper tout malentendu. Plusieurs sujets ont été identifiés, dont la structure du capital du groupe, la gouvernance, la composition du conseil d’administration et la vision des deux pays quant à la stratégie de long terme. Ce groupe est co-présidé par Martin Vial, directeur général de l’Agence des participations de l’Etat (APE), et Christiaan Rebergen, trésorier général du ministère des Finances néerlandais.
Man Group a fait état vendredi d’une chute de 81% de ses commissions de surperformance, au titre de l’exercice 2018. Le groupe britannique, qui est également le plus grand gestionnaire mondial de hedge funds coté en Bourse, a subi un repli de 0,5% de ses actifs sous gestion l’an dernier, à 108,5 milliards de dollars (95,3 milliards d’euros), en raison de la débâcle des marchés fin 2018. Le bénéfice ajusté avant impôts a plongé de 384 millions de dollars en 2017 à 215 millions l’an dernier. L’action décrochait de 4,74% en fin de matinée.
Les actions des équipementiers automobiles français Plastic Omnium, Faurecia et Valeo figurent parmi les plus fortes hausses de l’indice SBF 120 vendredi, profitant d’un signal positif envoyé par l’activité chinoise. L’indice PMI du secteur manufacturier de la Chine établi par Caixin a rebondi pour atteindre son plus haut niveau depuis trois mois en février, ce qui contraste avec l’indice officiel, tombé à un point bas depuis trois ans. « Cette statistique chinoise est rassurante », a déclaré un analyste parisien, pour qui la hausse du secteur automobile à la Bourse de Paris s’explique également par « la hausse des immatriculations de véhicules neufs en France en février ». Le mois dernier, les ventes de voitures particulières neuves ont progressé de 2,1% en France, selon les données publiées vendredi par le Comité des constructeurs français d’automobiles (CCFA). A la Bourse de Paris, l’action Plastic Omnium accélère de 5,5% à 26,04 euros, suivie de près par Faurecia, en hausse de 5% à 44,03 euros. Le titre Valeo avance de 3,6% à 28,76 euros.
Mapfre AM is launching the ‘Mapfre AM Behavioral Fund’, a fund aiming to exploit pricing inefficiencies in European equities caused by the behaviour of market participants. Mapfre AM has developed a proprietary methodology for identifying opportunities caused by investors reacting to new information in exaggerated or irrational ways. The managers then apply detailed fundamental analysis to determine whether these equities represent attractive long-term investments. The fund managers are Luis García and Michael Morosi, «Understanding why market participants behave as they do is an important aspect of asset management and a great tool for those that follow a value investment philosophy,” said Luis Garcia. The managers’ investment process will be supported by an advisory board composed of recognised experts in the field of the behavioural economics. The team is made up of Natalia Cassinello, professor of finance of The Universidad Pontificia Comillas (ICADE); Pedro Rey Biel, professor of economics at ESADE; Pedro Bermejo, neurologist at The Puerta de Hierro University Hospital of Madrid and president of the Spanish Association of Neuroeconomics; and, Guillermo Llorente, Mapfre’s general director of Security. The fund, which is the first of its kind to be launched in Spain, will seek to invest primarily in companies that have a simple business model, are capable of generating cash, have a sustainable competitive edge, a low level of indebtedness and, in many cases, managed by the founding families whose interests are well aligned with those of their shareholders. The fund will be distributed mainly in Spain and France and will be domiciled in Luxembourg, so that it can be available to other international investors.
Le gestionnaire d’actifs suédois Carnegie Fonder s’apprête à lancer deux fonds diversifiés, Carnegie Total Plus et Carnegie Multi, le 4 mars, rapporte InvestmentEurope. Le fonds Total Plus sera investi à 80% en actions et 20% en obligations tandis que le fonds Carnegie Multi sera exposé à 40% en actions, 30% en obligations et 30% en alternatives. Tous deux tireront leurs idées d’investissements de produits existants dans la gamme de fonds de Carnegie et des boutiques de gestion affiliées de Carneo Group.
Michael Klaus, associé chez Metzler, et Hans Joachim Reinke, président du directoire d’Union Investment sont des candidats externes à la succession de Michael Rüdiger à la tête de DekaBank, a appris le quotidien financier Börsen-Zeitung. Michael Rüdiger avait indiqué en décembre dernier qu’il souhaitait quitter pour raisons personnelles la direction de la société de gestion des caisses d'épargne allemandes. Georg Stocker, l’actuel vice-président du directoire de DekaBank, candidat naturel à la direction générale, ne semble pas faire l’unanimité. Le groupe des caisses d'épargne ad’ailleurs sollicité un chasseur de têtes pour l’aider dans sa recherche de candidats.
Le gestionnaire d’actifs néerlandais NN Investment Partners (NN IP) et la Yale Initiative on Sustainable Finance (YISF) ont conclu un partenariat portant sur la recherche de génération de valeur aux investisseurs dans l’investissement durable. Ce programme de recherche académique vise à déterminer de quelle manière l’intégration de critères environnementaux, sociaux et de gouvernance dans un processus d’investissement pourrait améliorer le profil rendement-risque des portefeuilles d’investissement. YISF produit de la recherche sur les challenges et les opportunités de l’intégration d’indicateurs durables dans les décisions d’investissement.
Gonzalo Aguilar, banquier privé de Julius Baer en Uruguay, a quitté la firme après y avoir passé plus de six ans, rapporte Citywire Americas. Le média, citant dessources proches du dossier, croit savoir que Gonzalo Aguilar aurait été remercié après avoir violé une procédure du groupe. Le banquier gérait entre 400 et 500 millions de dollars d’encours pour des clients privés.