Toute l’actualité de l’Union européenne (élections, lois, réglementations) et l’impact des décisions de la Commission européenne, du Parlement ou du Conseil sur l'économie, les marchés et l'écosystème financier.
Le gouvernement irlandais va proposer les noms de deux candidats pour intégrer la Commission européenne après la démission de Phil Hogan de son poste de commissaire au Commerce, indique Reuters de source gouvernementale.
Les Vingt-Sept préparent des sanctions à l’encontre de la Turquie dans le cadre du différend qui l’oppose à la Grèce en Méditerranée orientale et ces mesures pourraient être à l’ordre du jour du prochain sommet, prévu le 24 septembre, a annoncé vendredi le porte-parole de la diplomatie européenne Josep Borrell. Ces sanctions, destinées à limiter les capacités de la Turquie à faire de la prospection d’hydrocarbures dans des zones contestées, pourraient concerner des individus, des navires ou l’utilisation des ports européens, a précisé le Haut représentant aux Affaires étrangères de l’UE. Celle-ci se focalisera sur tout ce qui concerne «les activités que nous considérons illégales», ajouté Josep Borrell.
Les Vingt-Sept préparent des sanctions à l’encontre de la Turquie dans le cadre du différend qui l’oppose à la Grèce en Méditerranée orientale et ces mesures pourraient être à l’ordre du jour du prochain sommet, prévu le 24 septembre, a annoncé vendredi le porte-parole de la diplomatie européenne Josep Borrell.
L’Union européenne, futur poids lourd des marchés obligataires, peut devenir l’émetteur d’un nouvel actif sûr de référence. Mais le chemin est encore long.
La Commission européenne a déjà alloué 87 milliards d’euros, sur les 100 milliards disponibles, à 16 Etats-membres pour financer les mesures de chômage partiel.
La livre sterling a continué à baisser face à l’euro lundi matin en raison de préoccupations persistantes concernant le Brexit, après que les négociateurs britanniques et de l’Union européenne ont déclaré vendredi qu’ils n’avaient fait aucun progrès réel dans leurs dernières discussions sur les relations après le 31 décembre. Contre l’euro, la livre a reculé de 0,2% à 90,28 pence, une livre ne valant plus que 1,11 euro contre 1,12 vendredi matin. Après avoir chuté de plus de 1% face au dollar vendredi, elle s’est légèrement reprise à 1,3103 dollar (+0,1%) lundi matin.
L’Union européenne (UE) va limiter l’exportation vers Hong Kong de technologies qui pourraient être utilisées pour la surveillance ou la répression, a indiqué Reuters à la lecture d’un projet de document européen. Exprimant leur «vive inquiétude» à la suite de l’instauration à Hong Kong d’une loi de sécurité nationale imposée par la Chine, les 27 Etats se sont mis d’accord vendredi sur une série de sanctions censées entrer en vigueur mardi et incluant des restrictions commerciales ainsi qu’une révision des accords de visas avec l’île.
Le Parlement européen s’est dit «très satisfait» du plan de relance paneuropéen adopté mardi par les dirigeants de l’Union européenne mais juge inacceptables certaines réductions de dépenses proposées par les dirigeants des 27 Etats membres sur le prochain budget pluriannuel, a déclaré mercredi lors d’une conférence de presse à Bruxelles son président, David Sassoli : «Nous ne pouvons pas réduire le budget pour la recherche et le programme Erasmus à destination des étudiants, c’est impossible.» Il a ajouté que les eurodéputés s’efforceraient de rétablir un mécanisme liant le versement des aides européennes au respect de l’Etat de droit et des valeurs fondamentales de l’UE, ce dont plusieurs pays comme la Hongrie ou la Pologne ne veulent pas entendre parler. Tout cela impliquera de nouvelles (longues ?) négociations avant le vote définitif sur le budget et le plan de relance, indispensable pour leur mise en oeuvre.
Historique : adjectif accolé parfois un peu trop facilement aux sommets de chefs d’Etat et de gouvernement européens. La réunion des 17 et 18 juillet méritera à coup sûr cette appellation si elle permet d’approuver le plan de relance de l’Union européenne et de hisser la solidarité communautaire à la hauteur du choc subi cette année. Sa dramaturgie est déjà réglée comme du papier à musique. Dans le coin gauche, le couple franco-allemand revigoré par le retour de Berlin aux avant-postes, avec la bénédiction de Madrid et Rome ; dans le coin droit, le front du refus constitué par les Pays-Bas, la Suède, le Danemark et l’Autriche. Pour laisser croire à chaque camp qu’il sort victorieux aux points, les habituels marchandages et ristournes sur le budget européen. L’échec n’est pas une option. Il n’est même pas envisagé par les investisseurs. La chancelière Angela Merkel a fait d’un compromis cet été sa priorité.
Malgré sa défaite face à Apple devant le Tribunal de l’Union européenne, la Commission von der Leyen a présenté hier les premiers éléments de sa politique fiscale.
La Commission européenne a approuvé mercredi le projet allemand de constituer un fonds plafonné à 500 milliards d’euros pour aider les entreprises affectées par les conséquences économiques de la pandémie. Le plan allemand «garantit que l’Etat est suffisamment rémunéré pour les risques que les contribuables supportent», a précisé Margrethe Vestager, commissaire chargée de la Concurrence. Quant aux mesures spécifiques de recapitalisation, elle note qu’elles sont accompagnées de dispositions permettant à l’Etat de sortir «dès que possible» du capital des entreprises concernées. Le fonds allemand vise à permettre l’octroi de liquidités et d’un soutien en capital pouvant aller jusqu'à 500 milliards d’euros aux entreprises touchées par la pandémie.
La Commission européenne a approuvé mercredi le projet allemand de constituer un fonds plafonné à 500 milliards d’euros pour aider les entreprises affectées par les conséquences économiques de la pandémie. Le plan allemand «garantit que l’Etat est suffisamment rémunéré pour les risques que les contribuables supportent», a précisé Margrethe Vestager, vice-présidente de la Commission chargée de la concurrence.
Le Premier ministre néerlandais s’attend à des négociations difficiles mais croit à un accord sur le fonds de relance proposé par l’Union européenne (UE): «Il y a des divergences. La négociation sera difficile, cela prendra un peu de temps, mais un compromis est possible», a-t-il déclaré dans un entretien au Corriere della Sera. La crise du coronavirus a mis en lumière des divergences entre les Vingt-Sept, avec d’un côté Paris, Berlin ou Rome, de l’autre, les Etats dits «frugaux» - Autriche, Pays-Bas, Danemark, Suède - réticents à l’idée de simples transferts budgétaires et qui préfèrent l’option de prêts remboursables. «Nous voulons que ce ne soient que des prêts», répète Mark Rutt. Les chefs d’Etat et de gouvernement se retrouveront les 17 et 18 juillet à Bruxelles pour un sommet consacré au plan de relance économique et au prochain budget.
Le Premier ministre néerlandais s’attend à des négociations difficiles mais croit à un accord sur le fonds de relance proposé par l’Union européenne (UE): «Il y a des divergences. La négociation sera difficile, cela prendra un peu de temps, mais un compromis est possible», a-t-il déclaré dans un entretien au Corriere della Sera.