La production industrielle a augmenté de 0,4% en juillet en Italie, après une baisse de 2% en juin (chiffre révisé) d’après les chiffres publiés lundi par l’Istat, un peu plus qu’attendu par les marchés qui tablaient sur 0,3%.
La production industrielle a reculé plus fortement que prévu en juillet en France, de 1,6% selon les données mensuelles publiées vendredi par l’Insee. Les économistes attendaient un recul de 0,5%. La hausse de juin a été révisée à 1,2%, après +1,4% annoncé initialement. Il s’agit de la plus forte baisse de l’activité industrielle depuis février 2021, la production ayant reculé dans le secteur manufacturier (-1,6% après +0,9 % en juin), avec des réductions dans presque toutes les branches à l’exception des productions de coke et de produits pétroliers raffinés La production a également diminué pour les mines et carrières, l’énergie et l’eau. En glissement annuel, la production industrielle a chuté de 1,2%.
La production industrielle a reculé plus fortement que prévu en juillet en France, de 1,6% selon les données mensuelles publiées vendredi par l’Insee. Les économistes attendaient un recul de 0,5%. La hausse de juin a pour sa part été révisée à 1,2%, après 1,4% annoncé initialement.
L’activité de l’industrie britannique a reculé en août à son plus bas niveau depuis mai 2020, en raison de l’incertitude croissante liée à la hausse des prix et au risque de récession au Royaume-Uni. L’indice PMI manufacturier a reculé à 47,3 en août après 52,1 en juillet, montrent les résultats définitifs de l’enquête de S&P Global (ex-IHS Markit), ce qui est mieux que l’estimation «flash» qui le donnait à 46,0. L’enquête montre aussi que les commandes en provenance de marchés essentiels comme les Etats-Unis, l’Union européenne et la Chine sont en repli, ce qui s’ajoute aux problèmes liés à la congestion des ports, aux chaînes d’approvisionnement et au Brexit. Eléments rassurants, les coûts des industriels - notamment pour les conteneurs, l’électronique, l’énergie, l’emballage et les matières premières - ont enregistré leur plus faible augmentation depuis novembre 2020, et les prix de vente ont également diminué.
L’activité de l’industrie britannique a reculé en août à son plus bas niveau depuis mai 2020, en raison de l’incertitude croissante liée à la hausse des prix et au risque de récession au Royaume-Uni.
L’indice du climat des affaires dans l’industrie a chuté pour le deuxième mois de suite en France, à 104 en août après 106 en juillet et 108 en juin, revenant à un plus bas depuis avril 2021 selon l’Insee, conformément aux attentes du marché. Les carnets de commandes globaux (-10 points après -5) et le bilan sur la production passée (+4 points après +8) ont été les principaux freins. En revanche, l’Institut observe une amélioration dans les perspectives générales de production (-2 contre -5) et l’incertitude économique ressentie s’est quelque peu atténuée (30 après 33). En revanche, selon les chefs d’entreprise interrogés en août, le climat des affaires est quasi stable dans les services, à 106 pour l’indicateur qui reste ainsi au-dessus de sa moyenne de longue période (100).
La croissance de l’activité du secteur privé a nettement ralenti en août au Royaume-Uni, conséquence d’une contraction dans l’industrie et d’une expansion ténue dans les services, montrent mardi les premiers résultats de l’enquête mensuelle de S&P Global (ex-IHS Markit) auprès des directeurs d’achats (lire par ailleurs). L’indice PMI composite a reculé à 50,9, après 52,1 en juillet, donc moins qu’attendu (51,1). L’indice PMI flash des services accuse une baisse marginale à 52,5, après 52,6 en juillet, mais celui de l’industrie chute à 46, après 52,1, au plus bas depuis mai 2020. Une faible demande des consommateurs sur fond de dégradation des perspectives, ainsi que des pénuries de personnel et de matières premières ont durement affecté les producteurs, selon S&P Global.
A l’issue de quatre années de modération salariale, IG Metall, parmi les syndicats les plus influents d’Allemagne, a réclamé lundi une hausse des salaires de 8% pour les quelque 3,8 millions d’employés de l’industrie métallurgique et électrique dans un contexte d’inflation galopante. «Les employés ont besoin d’un répit, y compris en ce qui concerne leurs factures, qui augmenteront à nouveau en 2023», a déclaré le président du syndicat, Jörg Hofmann. Le mois dernier, il avait demandé une augmentation des salaires comprise entre 7% et 8%.
A l’issue de quatre années de modération salariale, IG Metall, parmi les syndicats les plus influents d’Allemagne, a réclamé lundi une hausse des salaires de 8% pour les quelque 3,8 millions d’employés de l’industrie métallurgique et électrique dans un contexte d’inflation galopante. «Les employés ont besoin d’un répit, y compris en ce qui concerne leurs factures, qui augmenteront à nouveau en 2023», a déclaré le président du syndicat, Jörg Hofmann. Le mois dernier, il avait demandé une augmentation des salaires comprise entre 7% et 8%.
La production industrielle allemande a augmenté de 0,2% seulement en mai, après une hausse (révisée) de 1,3% en avril, et alors que les économistes tablaient sur une hausse de 0,4%. Les perturbations causées par la guerre en Ukraine dans les chaînes d’approvisionnement et les restrictions liées à la pandémie de coronavirus en Chine ont compliqué le traitement des commandes, selon des données officielles publiées jeudi par Destatis. La production de biens d’équipement a bondi de 2,2% et le secteur de la construction a légèrement augmenté, de 0,4%. En revanche, des baisses ont été observées dans les biens de consommation (-0,9%) et intermédiaires (-0,4%), et la production d’énergie a chuté de 5,8%. Sur un an, la production industrielle a baissé de 1,5%.
La production industrielle allemande a augmenté de 0,2% seulement en mai, après une hausse (révisée) de 1,3% en avril, et alors que les économistes tablaient sur une hausse de 0,4%. Les perturbations causées par la guerre en Ukraine dans les chaînes d’approvisionnement et les restrictions liées à la pandémie de coronavirus en Chine ont compliqué le traitement des commandes, selon des données officielles publiées jeudi par Destatis.
La production industrielle allemande s’est redressée mais a augmenté moins que prévu en avril, les restrictions liées à la pandémie et à la guerre en Ukraine ayant perturbé les chaînes d’approvisionnement : selon des données officielles publiées mercredi par Destatis, la production industrielle a augmenté de 0,7% sur le mois, après une baisse de 3,7% (révisée en hausse) en mars. Les économistes interrogés par Reuters tablaient sur une hausse de 1,0% en avril. Le ministère de l’Economie a prévenu que les perspectives restaient très incertaines, la guerre en Ukraine et la hausse des prix de l’énergie et des matières premières entraînant des pénuries dans l’industrie. Cette publication tombe après celle de commandes industrielles allemandes qui ont chuté plus que prévu en avril, et pour le troisième mois d’affilée, en raison de la faiblesse de la demande et de l’incertitude accrue liée à l’invasion russe de l’Ukraine. A moins d’une aggravation de la situation en Ukraine, les analystes évoquent une possibilité de stabilisation au cours de l’été.
La production industrielle allemande s’est redressée mais a augmenté moins que prévu en avril, les restrictions liées à la pandémie et la guerre en Ukraine ayant perturbé les chaînes d’approvisionnement : selon des données officielles publiées mercredi par Destatis, la production industrielle a augmenté de 0,7% sur le mois après une baisse de 3,7% (révisé en hausse) en mars. Les économistes interrogés par Reuters tablaient sur une hausse de 1,0% en avril.
La production industrielle en Allemagne a reculé nettement plus que prévu, de -3,9% en mars après une hausse de +0,1% en février selon les données publiées vendredi par Destatis. Les économistes interrogés par Reuters tablaient sur une baisse de 1,0% en mars. Mais les restrictions liées à la pandémie de coronavirus et à la guerre en Ukraine ont pesé sur les chaînes d’approvisionnement. Sur un an, la production industrielle de l’Allemagne a reculé de 3,5% en mars, a ajouté Destatis.
La production industrielle en Allemagne a reculé nettement plus que prévu, de -3,9% en mars après une hausse de +0,1% en février selon les données publiées vendredi par Destatis.
Les commandes à l’industrie allemande ont accusé un recul plus marqué que prévu en mars, en raison principalement du ralentissement de la demande en provenance de l’étranger avec la guerre en Ukraine, montrent les données de Destatis publiées jeudi. La baisse des commandes a atteint 4,7% sur un mois, leur plus important recul depuis octobre 2021, après une progression de 0,8% (révisé) en février. Les économistes tablaient sur une baisse de 1,1% en moyenne. Les commandes reçues de l’étranger ont reculé de 6,7% en mars. Après le plongeon des exportations en mars, l’économie allemande devrait connaître un ralentissement et potentiellement une récession technique au deuxième trimestre.
Les commandes à l’industrie allemande ont accusé un recul plus marqué que prévu en mars, en raison principalement du ralentissement de la demande en provenance de l’étranger avec la guerre en Ukraine, montrent les données de Destatis publiées jeudi.